Les talons rouges (épisode N°04) L’épreuve suprême

- Par l'auteur HDS VIEULOU -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Les talons rouges (épisode N°04) L’épreuve suprême Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-09-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les talons rouges (épisode N°04) L’épreuve suprême
LES TALONS ROUGES (épisode N°04)

Agathe, âgée de quarante-cinq ans et assez effacée, se laisse courtiser par Jacques, un jeune homme de trente-deux ans, ami de son neveu. Après avoir l’avoir déflorée, Jacques l’entraine dans des dépravations insensées pour la mure aristocrate. Après l’avoir rasée et l’avoir initiée à la fellation, il l’accule au sadomasochisme en roulant avec elle dans un fourré d’orties.


IV – L’épreuve suprême

Le soir, après le dîner, Jacques va retrouver Agathe dans ses appartements. Celle-ci a revêtu la nuisette et le déshabillé en soie et en dentelles mauve que son amant lui a rapportés de son dernier voyage. Elle est complètement nue au-dessous, se montrant très provocante avec l’homme qui l’entraîne dans la folie enivrante d’une perversion troublante. Sa peau est encore un peu rouge, mais, depuis qu’elle s’est enduite de pommade adoucissante, les brûlures occasionnées par les orties se sont apaisées. Elle a encore envie de faire l’amour, elle songe qu’elle devient vraiment insatiable. Pourtant elle est inquiète, car Jacques lui a dit que ce soir il faudrait qu’elle accepte de perdre encore un peu de sa virginité. Elle ne comprend pas très bien ce qu’il veut dire par là. Lui ayant accordé déjà tout ce qui lui semble possible. Soudain, alors que Jacques est devant elle, la réalité se fait jour et elle comprend que son amant va vouloir ce soir la sodomiser. Elle comprend mieux les attouchements qu’elle a subi l’avant-veille, où Jacques a pénétré son anus avec un doigt. Étrangement, elle n’a pas eu mal et même elle en a ressentie une sensation confuse. Tout de même, la verge de son amant ne va pouvoir pénétrer entre ses fesses si facilement. Un sentiment de panique l’envahit soudain à la pensée qu’elle risque d’être blessé, voire déchirée par le sexe tout de même imposant de son compagnon. Jacques s’est rendu compte de l’émoi de sa belle. Il a deviné qu’elle avait compris ce qu’il avait prévu de lui faire subir. Il en profite immédiatement pour enfoncer le clou.

- Mais oui ma Chérie ! Vous avez bien deviné ce qui vous attend ! Je vais vous sodomiser, c’est le seul endroit que vous ayez encore intact. Il me faut votre cul ma Chère ! Vous n’avez pas le choix.

Résignée à ce dernier outrage, Agathe se sent tout de même mortifiée d’être une victime aussi consentante. Pourtant, soumise à la volonté de l’homme qui l’a révélé, sans un mot, elle n’hésite pas. Se retournant avec une impudence qu’elle ne se connaissait pas, elle retrousse son déshabillé jusqu’à la taille, et, se campant sur ses jambes en les disjoignant, elle se penche en avant offrant son postérieur, ses mains posées sur ses fesses écartant les globes, pour qu’il atteigne plus facilement son œillet qui se contracte spasmodiquement.

Jacques, amusé, s’approche tout en mouillant son majeur de salive, il caresse la raie culière jusqu’à la rosette noir violacée qu’il agace malicieusement, puis il se fraye un passage au travers du sphincter qui se contracte autour de son doigt, élargissant peu à peu l’orifice qui se prête à sa manœuvre. Le conduit étroit s’est resserré fermement, alors qu’il sent les palpitations et la chaleur torride de la chair profanée sur son index qui fouille la cavité encore inexplorée. Agathe pousse malgré elle un gémissement, mortifiée de se savoir offerte aux agissements démoniaques de son amant. Celui-ci, impavide, ressort son doigt du rectum, puis, il sort de sa poche un tube de crème émolliente, spécialement faite pour la pratique de la sodomie qu’il a achetée dans un sex-shop à Paris. Il en fait glisser avec son index dans le rectum d’Agathe, badigeonnant l’intérieur du conduit anal jusqu’à ce qu’il se coule parfaitement dans la gaine étroite, puis, il ajoute son médium, ce qui fait sursauter la femme qui malgré tout ne se dérobe pas devant ce qu’elle s’attend à subir. Jacques fait aller ses doigts dans un va-et-vient continu, assouplissant ce cul qui l’excite furieusement. La position complaisante et docile de la quadragénaire dominée est terriblement bandante. L’entrecuisse d’albâtre laisse apparaître la raie culière parfaitement lisse, les grandes lèvres imberbes sont à présent béantes laissant couler un mince filet de cyprine, et l’œillet, complètement glabre des poils qu’il a rasés, distendu par les deux doigts, s’ouvre et se referme alternativement, offrant ainsi un tableau aussi indécent qu’obscène.

Aussi, il lui faut beaucoup de maîtrise sur soi pour ne pas la forcer immédiatement. Pour se calmer, il retire de sa poche un anus picket, ce petit godemiché qui permet d’habituer les femmes à la sodomie. Il l’introduit délicatement dans la rosette qui s’ouvre difficilement, le faisant pénétrer progressivement dans le goulet trop étroit, arrachant cette fois des gémissements de douleur à Agathe qui tremble de tout son corps et ne peut s’empêcher de supplier.

- Oh ! Noon !..... Aie ! Aiiieee !... Pitiééé !.. Nooon !.... Nooooon !..... J’aie trop mal ! Je vous en supplie Aie ! Aiiieee !... Nooooooooooonn Oh !…… Aaaaarrrrrrrrrr...... Ooooh ! Ooooh !

Mais Agathe se calme, le gode étant maintenant bien en place dans son anus. Elle est encore terrifiée par ce qu’il l’attend, au désespoir de pouvoir attendrir son amant, mais, telle une proie offerte à son bourreau, elle accepte l’inconcevable intromission prochaine.

- Pardon mon chéri ! J’avais trop mal, mais continuez ! Je ne dirais plus rien, je vous le promets ! Je vous aime ! Prenez mon postérieur, il est à vous !

Jacques la pousse vers le lit et la fait s’agenouiller. Pendant que d’une main, il maintient l’engin de plastique, de son autre main il flatte la vulve et caresse le clitoris, calmant ainsi les appréhensions de la future enculée. Le godemiché est maintenant engagé entièrement dans l’anus, tandis qu’un renflement l’empêche de ressortir seul, permettant à Jacques de s’occuper de sa maîtresse d’une façon plus courtoise.

La retournant délicatement, il l’embrasse tendrement, tout en la masturbant avec adresse, la faisant monter presque jusqu’à l’orgasme, puis s’arrêtant quelques minutes pour qu’elle revienne sur terre. Agathe a les yeux pleins de larmes, mais elle lui sourit tendrement et répond à son baiser avec passion. Ils savent tous les deux qu’elle sera d’une obéissance aveugle sans qu’il soit obligé de la contraindre. Son passé puritain et prude est bien mort. Elle sera docile à toutes les pratiques luxurieuses et même lubriques qu’il suggérera. Elle ne pourra plus jamais se passer de la fornication, même si pour cela elle doit se damner.

Jacques se laisse glisser le long du corps d’Agathe et, tout en écartant ses jambes, il enfouit sa tête dans l’entrecuisse, explorant de sa langue le vagin béant, aspirant la sève odorante de la féminité épanouie, fouillant les moindres plis des grandes et petites lèvres, suçotant la petite saillie ronde du clitoris, le mordillant doucettement, faisant monter rapidement la femme au septième ciel. Trois fois il recommence ; à chaque fois, l’orgasme arrive plus vite, jusqu’à ce qu’Agathe crie grâce et s’abandonne dans un alanguissement voluptueux. Alors, sentant son sexe gonflé et dur, il l’enduit de la même crème qu’il a déjà introduite dans l’anus, puis il demande à Agathe de bien relever ses jambes à l’équerre. Celle-ci est surprise, son amant ne va-t-il pas la sodomiser et la prendre dans son vagin ? Mais celui-ci retire doucement l’anus picket du rectum, puis il présente son vit devant le cratère encore ouvert, et, très subtilement, il pousse graduellement son gland dans l’orifice qui résiste un peu. Puis, petit à petit, son phallus s’enfonce patiemment dans l’anus inviolé. Agathe pousse de petits cris, se retenant le plus possible pour ne pas hurler sa douleur à ce monstre qui envahit ses entrailles. Bientôt, la verge atteint la limite du fondement, s’immobilisant pour que le conduit rectal s’habitue à cette intromission monstrueuse.

Agathe regarde intensément Jacques qui est transfiguré par le plaisir qu’il ressent. Elle se veut ainsi offerte à son amant. Aussi, oubliant sa douleur, elle projette son bassin vers le membre qui la transperce, revenant en arrière d’elle-même, afin d’instaurer un va-et-vient lent et continu de la verge, qui glisse maintenant parfaitement dans le conduit rectal. Jacques n’a plus de scrupules, il pilonne maintenant ce cul tant convoité, qui s’assouplit progressivement à la cadence des allées et venues du dard, englué du lubrifiant à base d’émollient. Il caresse délicatement le bourgeon clitoridien, accentuant le plaisir que commence à ressentir Agathe à la profanation de son derrière. Soudain, perdant toute dignité, elle lui crie.

- Oh ! Aie ! Nooon !.... Oui ! Viens mon chéri ! Encore ! Encore !… Aie ! !.... Aaaaaaaaaaahhhh !........ Aaarrrrrrrr !... Ouuuuiiiiiiiiiii......... Je meurrrrrrrrrrrrrrr... Aaaaahhh !.... Je n’en peux plus……… Aaaaassez !... Oh ! Je t’aimeeeeeeeeeeeeee…..

Jacques, à ces cris qui l’émoustillent accélère sa cadence et, c’est dans un rugissement qu’il répand sa semence dans les entrailles longuement barattées. Agathe s’est évanouie pour de bon, épuisée par la tension, la peur, la douleur et le plaisir intimement mélangés qu’elle a pu ressentir. Jacques s’étend auprès d’elle, recouvrant du drap et d’une couverture leurs deux corps harassés, puis, terrassé par l’assaut qu’il vient de donner, il s’endort, lui aussi auprès de sa compagne inanimée.

Après un nouveau voyage à Paris qui a duré cette fois deux bonnes semaines, Jacques est de retour au château de Garralda. Le soir même, il retrouve Agathe qui est de plus en plus amoureuse et se frotte contre lui, lui disant son envie d’être prise et le grand manque qu’elle a ressenti durant ces jours interminables. Jacques essaie de calmer ses ardeurs, lui disant qu’il a concocté un petit jeu durant son escapade parisienne, et qu’il revient avec des cadeaux bien sûr, qu’il lui donnera plus tard, mais que dans l’instant elle devra encore une fois se plier à ses désirs. Agathe éperdue d’amour et de désir acquiesce avec joie, lui disant qu’elle attend les surprises. Jacques lui passe d’abord un bandeau de tissu sur les yeux qu’il lui noue derrière la tête. Ensuite il la déshabille lentement, caressant son corps qui frémit de désir contenu. Puis, il la fait étendre sur le lit et lui attache les poignets avec des menottes qu’il a sorties d’un gros sac de voyage. Agathe est un peu inquiète de se sentir prisonnière, surtout lorsque Jacques attache ces menottes aux barreaux métalliques de la tête du lit. Mais ce n’en est pas fini, car lui prenant une cheville il lui passe aussi une paire de bracelets métalliques qu’il fixe aux barreaux du bas, en faisant autant de l’autre cheville peu après. Agathe est ainsi écartelée et entravée, ne pouvant se défendre des agissements de son amant.

Elle ne peut s’empêcher de questionner.

- Jacques, pourquoi m’attacher ? Vous savez bien que je ferais ce que vous voudrez. Répondez-moi mon amour !

En fait de réponse, elle entend une porte qui s’ouvre et se referme, puis, des chuchotements, comme si plusieurs personnes se trouvaient dans la pièce. Elle appelle cette fois avec de l’angoisse dans la voix.

- Jacques ?… Jacques, répondez-moi s’il vous plaît ?… Que se passe-t-il ?… Oh ! Mon Dieu ! Ne me laissez pas sans réponse.

C’est à ce moment qu’elle sent une main très froide lui caresser un sein, puis une autre, chaude cette fois, s’introduire entre ses cuisses. Affolée elle pousse un petit cri, puis.

- Jacques ? C’est vous n’est ce pas ? Je vous en supplie, répondez-moi ! Ne m’abandonnez pas ! Qui sont ces gens ? Oh ! J’ai honte.

Agathe pleure maintenant, car les chuchotements ont repris et elle sent sur son corps des mains et des objets qui s’agitent en tous sens. Une verge recouverte d’un préservatif vient de s’introduire dans sa vulve, alors qu’une autre, habillée aussi d’un chapeau de plastique, ballotte près de son visage, effleurant ses joues et ses lèvres. Les chuchotements comportent aussi des voix féminines. C’est un vrai cauchemar qu’elle vit là. Combien de personnes la voient ainsi nue et sans défense à leurs fantasmes. Alors que la verge plonge dans son vagin avec vigueur, des lèvres aspirent son clitoris et des doigts écartent ses fesses. Elle ne peut s’empêcher de vibrer sous les attouchements pervers. Inattendu, un orgasme déferle en elle, alors qu’un doigt a percé l’œillet de son anus et vient frotter contre la verge qui pourfend sans arrêt son conin et qu’une langue titille toujours son gros bourgeon. Elle ne peut s’empêcher de crier son bonheur.

- Oh ! Oh ! Nooon !.... Oh ! Mon Dieu ! Oui ! Ouiiiii ! Nooon !.... Ouiiiii ! Ouiiiii ! Aaaaaaaaaaahhhh !........ Oh ! C’est trop bon ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ahhhhhhhhhhhh ! Continuez ! Oui comme ça ! Nooon !.... J’ai honte ! Mais continuez ! Ooooh ! Ooooh ! Oui ! Oui ! Oui ! Mhhhh.... Mhhhh.... Aaaaaaaaaaahhhh !........

Son corps, garrotté aux montants du lit, se tend comme un arc devant la jouissance incroyable qui déferle dans ses chairs enflammées, elle crie, elle sanglote, se prêtant à toutes ces mains, ces bouches et ces sexes qui la pénètrent pas tous ses orifices, jusqu’à l’orgasme final qui la secoue violemment et la laisse anéantie sur le lit. C’est à ce moment, que son bandeau est arraché et qu’elle s’aperçoit que seul Jacques est présent, affublé de toutes sortes d’objets : Gants en plastique et en gros caoutchouc, godemichés en plastique mou, imitant à la perfection les nervures d’une vraie verge, certains recouverts de préservatifs, etc… Jacques lui révèle la supercherie, alors qu’il arrête un petit magnétophone qui diffusait les vois et chuchotements qu’elle a entendus.

- Mais ma chère, je constate que vous êtes prête aux amours multiples, je suis certain que je ne vous suffis plus à présent, il va falloir vous trouver d’autres amants pour vous contenter.

- Jacques j’ai honte, vous m’avez fait croire que plusieurs personnes étaient dans ma chambre et me faisaient l’amour. J’étais effrayée par cette situation et pourtant, je n’ai pu m’empêcher d’éprouver un bonheur intense. Mais vous êtes un coquin, c’est vous seul qui m’avez fait jouir avec vos mains et votre bouche et vos… vos accessoires. Oh ! Vous êtes un monstre.

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