LA PLAGE PRIVÉE

- Par l'auteur HDS Alibaba6924 -
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Récit libertin : LA  PLAGE PRIVÉE Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-09-2015 dans la catégorie Plus on est
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LA PLAGE PRIVÉE
LA PLAGE PRIVÉE
Une semaine par année moi et mon mari prenons nos vacances à la même place depuis les cinq dernières années.
Une petite péninsule privée près d’Aruba au nord des cotes du Venezuela.
Nous somme membre d’un club V IP de vacance qui par l’intermédiaire d’un agence de voyage : disons spécialisé, (((de 25 a 50 ans, pas d’enfant, en parfaite santé, certification médical en main, son admis sur le site de l’hôtel le EL LIBERTINAJE))) s’occupe des menu détail pour satisfaire nos exigences, car nous n’avons pas les contacts nécessaires et surtout pas le temps de planifier ce genre de voyage.
Nous somme un couple sans enfants qui adore le sexe sous différente forme, qui depuis cinq ans partageons notre vie de couple dans un club d’échangiste privé.

Je suis une femme de 42 ans, bien ordinaire qui va à la gym trois fois semaines et qui travaille à son compte pour des firmes indépendantes d’import export.
Mon mari, 34 ans, bel homme, maitre nageur à la base militaire et aime se croire poète à ces heures.
Bref nous somme a l’aéroport, en ligne avec nos billets en main depuis environs une heure trente.
Moi et mon mari jouons du coude et de la tête pour faire remarquer a l’autre quelque visages connu a les quelle une simple reconnaissance de la tête suffit à me faire retourner dans le temps et de revoir nos libertines galipettes.
Sans laisser pour compte les autres passagers qui parmi eux embarque pour leurs première expérience dans se genre d’aventure, qui surement a la gêne n’ose entamer de discutions en ne regardant personne.
Enfin on nous informe d’avancé et d’aller prendre place a nos sièges.
Les kilomètres s’additionne, notre voisin de banquette, bel homme mince et svelte a peut près fin trentaine, avec un fort accent a la russe entame timidement la conversation avec mon mari.

Salut moi c’est Adrien et ma femme Natacha…..Bla….Bla…Bla.

Le gendre de personnage accaparant qui ne cesse de parler et que de ne parler que de lui, genre j’ai tous vu, je sais tout ,tellement chiant que mon mari qui lui parle a peine a sauter sur l’occasion d’allonger sa banquette et feindre le sommeil durant que notre beau Gino est aller a la toilette.
De mon coté j’ai bien voulu fraterniser avec sa femme ,une belle et grande femme, merveilleusement bien proportionner avec deux belles atouts, probablement elle aussi fin trentaine ,mais en vain, un vrai bloc de granite.
La destination approche, les hôtesses se positionnent et le discourt d’usage du commandant s’amorce.
Je regarde par le hublot pour voir si l’autocar de l’hôtel était arrivé.
Oui …il est stationné à la même place que d’habitude.
L’avion atterrit et se positionne au débarcadère aussi tôt notre Gino se lève promptement et se dirige a la toilette, je réveille mon mari, car il c’était vraiment endormit.
On descend et à la queue leu leu nous nous dirigeons tous au guichet des douanes.
Par chance quand les douaniers ouvre nos passeports et remarque que nous somme déjà venu et que de plus nous répondons a sa demande.
A quelle hôtel avez-vous réservé et que la réponse est le EL LIBERTINAJE il s’empresse de nous ouvrir la porte sachant très bien que des milliers de dollars seras investi dans son pays.
Aussi tôt sorti un soldat prend nos bagages et nous escorte a l’autocar en nous disant
Bienvenido a nuestro gran país y pasar buenas vacaciones : Bienvenue dans notre beaucoup pays et passez de belle vacances
On prend place et apprécions la climatisation durant que le conducteur attend que tous les passager prenne place.
Les passagers entre un a un, sans dire un mot, ils prennent place a leurs banquettes attitré, les nouveaux membres en avant et les autre a l’arrière.
Attention quand je dis sans aucun mot ne pensez surtout pas que nous somme hautain, non ceci fait parti du Corum du club privé a le quelle nous appartenons.
Et sans être étonné deviné qui arrive en dernier, et oui notre Gino et sa femme qui aussi tôt les pieds dans l’autocar durant que sa femme s’assoie, nous regarde debout, fier comme un chef de meute avec sa grosse voix rauque commencent à nous dire malgré la pancarte coller a la porte qui stipule
ENTREZ ET SVP GARDER LE SILENCE en quatre langues
Salut tout le monde, vous allez voir que moi et ma femme on va se payer du bon temps.

Tous sans exception le regarde et de nos index coller a nos lèvres lui fait signe de se fermer la boite a parole.
Au lieu de s’assoir en silence comme tout le monde ferais, rétorque…
Ah….Ok…je vais m’assoir et me taire.

Apres quelques heures de route nous voila arrivés à notre hôtel.
Je me rends au comptoir de service pour enregistrer notre arrivé et prendre la clef de notre chambre habituel qui depuis les cinq dernière années a bien vu et entendu notre vie de débauche et qui a servit pleinement nos plus fou de nos fantasmes.
On a placé nos choses, pris une douche et on c’est couché très tôt car nous somme des lève tôt qui aime profiter pleinement de leur journées.

Le lendemain matin on se rend a la salle à manger qui disposé sur la grande table centrale nous offre le brunch déjeuner.
On mange, on discute et se remémorons quelques frasque de nos séjours antérieur avec quelque habitué de la place qui sont venu s’attablé a notre table.
Apres avoir pris notre déjeuner, moi et mon mari on c’est dirigé a la plage.
Ce matin, première journée à la plage, il fait superbement beau et chaud et choisissons de nous installer dans un petit coin tranquille.
Sans perdre un instant mon mari se dirige à la mer telle un gamin dans une barbotteuse.

Je ne bronze jamais les seins à l’air car je déteste les coups de soleil qui vous gâche la vie.
Je porte plutôt un maillot de type classique, deux pièces mais je le choisis toujours avec soin pour qu’il soit le plus excitant que possible pour agricher les hommes.
Souvent blanc qui pour cause, une fois mouillée deviens quasi transparent, tous les mâles ont les yeux braquer sur mes gros seins et mon entre jambe !
De toute façon les hommes aiment deviner le corps des femmes et moi j’adore quand ils me regardent.

Comble de malchance devinez qui arrive accompagné de sa femme …, et oui encore notre Gino, torse poilu arborant une chaine en or a son cou, habillé d’un minuscule caleçon de bain vert lime qui vous laisse apprécie le gros paquet de son entre jambe.

Sa femme, cheveux blond, tresser et enroulé sur sa tète, vêtu d’un maillot beige une pièce orné d’immenses fleurs brune et orange, sans éclat pour la race masculine, mais qui pour moi allume quelques neurones aphrodisiaque.
Elle allonge son corps, sur une chaise longue fournit par l’hôtel, lisant un livre à côté de son homme, en dessous d’un parasol ne voyait rien d’autre que les mots de son livre
Je me suis donc amusée à l’allumer, y allant de poses subjectives, allongée sur le dos, croisant et décroisant les jambes, me caressant les cuisses, arrangeant régulièrement mon maillot en appliquant de la crème à bronzer en forçant un peu sur les endroits stratégiques, levant mon maillot pour ne pas oublier les contours !
Bref un allumage en règle, de quoi le clouer sur sa serviette et lui faire attraper une insolation.

J’étais couchée sur le dos lorsque mon mari sortit de l’eau et debout à coté de moi, tout souriant me demanda en se faisant poète.

Le corps chaud de cette belle dame, la allongé sur le sable accepterait-il d’être recouvert de mon humble corps légèrement refroidi par les eaux de Neptune?

Jouant le jeu, je lui répondis.

Oui…prenez place …Oh mon Adonis, et vous confirme que cela ne feras que grand bien a mon corps et a mes ardeurs qui on grand besoin d’être acclimater.

Étonné par le dernier parti de ma phrase, il se place doucement son corps mouillé sur moi se qui me fit du bien, car j’avais besoin d’être refroidie disons le a double sens car je commençais à être passablement excitée de fantasmer sur mon voisin de plage.

Il me regarde et me dit.

Oh ….il est vraie que votre corps est chaud, Je regarde vos yeux et vos lèvres et on dirait qu’ils expriment quelques idées perverse et quelque peu malicieuse.
Mais dite moi belle dame a quelle référence faite vous allusion en mentionnant vos ardeur.

A voix basse et à son oreille je lui dis.

Mais regarder …la …au devant de ma vision …ce bel homme quasi nu, qui est assis jambe écarteler arborant fièrement son phallus en érection au travers son caleçon de plage.

Sachant très bien que je le narguais dans mes élucubrations, il a vite compris mon petit stratagème.
Le connaissant bien je savais qu’il ne manquerait pas de vérifier mes ardeurs.
Sa main glissa sur mon ventre et essaya de passer sous mon maillot.
Je me dégageai en roulant sur le coté et le fis tomber à coté de moi.
Mon regard croisa celui de l’homme que j’avais "un peu " allumé, il n’en perdait pas une miette allant même a l’occasion caresser son énorme membre.
Cela m’amusa et, comme je suis un peu provocatrice, parfois j’aime bien finir ce que j’ai commencé.

Je fis celle qui, anxieuse prépare à faire des choses, qui regarde autour d’elle pour être sure de ne pas être vu ou remarquée ou a peine.
En fait, je vérifiais que notre bienheureux Gino ne manquerait rien de ce qui allait suivre.

Il est en face de moi, assis sur sa grande serviette de plage, à peine une soixantaine de pieds nous sépare tandis que sa femme est en arrière de lui.
J’ai pris la main de mon mari pour la porter entre mes cuisses.
Mon époux toujours près aux galipettes n’en demandait pas tant.
Immédiatement ses doigts écartèrent le tissu et il commença à me caresser.
Il s’était collé à moi, lui sur le côté, moi sur le ventre mais quand même légèrement sur le coté, normalement personne ne pouvait voir ce que nous faisions, mais je repliais une jambe pour que mon voyeur suive nos ébats bien qu’il ne devinait plus à mon avis qu’il ne voyait réellement.

De toute façon au bout de quelques secondes je l’avais complètement oublié, tout entière aux caresses de mon mari.
Je n’étais radin de mes gestes, je frottais son sexe, le faisant rouler sous le maillot, ce ne fut pas long avant de le voir franchir l’élastique et sortir largement de son slip de bain avec une belle et grosse érection.
Je le masturbais doucement pendant que lui usait de tous ses doigts entre mes lèvres toutes mouillées, pénétrant à l’occasion mon vagin, pinçant et branlant mon clitoris.
Je lui rendis la pareille en jouant avec son gland, le caressant de plus en plus de conviction.
Maintenant très excité, il en oubliait la plage et les gens autour, se collant à moi je compris vite qu’il voulait me prendre là, il allait trop loin, les personnes autour s’en rendraient compte et ceci n’était pas au menu pour le moment.

Je m’écartai et en réponse à son air tout triste j’accentuai ma pression sur sa verge, il ferma les yeux, les dents serrées, Pour me remettre dans le contexte, je regarde le Gino et suis agréablement et doublement surprise.
Il a en main son gros membre en érection et se masturbe tel un ados qui ne veut pas que sa mère le surprenne, mais chose qui ne voyait pas était sa femme qui en arrière de lui toujours son livre en main de sa main droite durant que sa main gauche fouille son entre cuisse en nous regardants du coin de son livre.
Je regardais mon homme que j’adore voir, esclave de mes gestes et du moment présent.
Il est allongé de tout son long, la queue bien droite et dure qui apprécie les vas et viens de mon poignet.
Je décent les brettelles de mon maillot de bain pour laisser exposé mes gros seins, a qui veut bien les voir.
Je regarde ma voisine du coin de l’œil et avec étonnement que vois-je, pas de livre en main, Madame est au stade de la gratification…elle se frotte le clitoris avec vigueur d’une main et de l’autre se masturbe.
Le bloc de granite que je croyais est à mes yeux devenus une femme attirante.
Voyant une belle opportunité de faire plaisir a mon homme que je connais trop bien j’ai donc glissé ma main en dessous de sa nuque pour la soulevé pour qu’il voit qu’elle effet nous faisions sur nos voisin.

Mon ardeur à son membre s’accentue, il regarde mes seins, mes mamelons tout plissé qui pointe.
Il tend sa main et la plaque à mon sein, son index et son pouce roule mon mamelon.
L’effet domino est immédiat, j’ai la main rendu a mon entre cuisse et frotte ma vulve avec ardeur.
Je regarde, elle regarde, bref nous somme tous devenu voyeur de se moment qui je suis convaincu seras mémorable.
Cinq minutes on suffit et voila que je la grosse veine que j’ai en main annonce d’une seconde à l’autre une belle conclusion.
Je ne cesse de regarder les ardeurs intime et individuel de mes voisins.
Je la regarde s’adonner a la luxure, le bassin soulevé qui saccade à grand coup de rein annonçant sans aucun doute un orgasme sinon des orgasmes.
Notre Gino se doute de rien de se qui se passe en arrière en continuant sa masturbation.
A mon tour maintenant de jouir.
Mes jambe instinctivement, se replis et sert ma main pour que celle-ci presse et coince mon clitoris.

Maintenant voila mon mari qui est pris de spasme que je reconnais, il éjacule, je sens son sperme chaud couler le long de mes doigts.
Voyant le spectacle se terminer notre Gino décide de le terminer en beauté.
Il tourne la tête pour voir si sa femme ne saurait pas en train de dormir, attention la belle garce…..a eu son orgasme en silence, elle le connaît son Gino elle feint le sommeil.
Tout fier il se lève debout, baisse son maillot, prend sa queue en main et la gratifie a grand coup de poignet, son membre diriger vers le bas, la tête qui regarde le ciel en éjaculant sur la serviette a ces pieds.
Les giclés interminable de son sperme ne cesse de virevolté, son corps sautille, il secoua son membre pour extraire les dernières goute et pour terminer relève son maillot.
Je le regarde et lui souris et mis mes doigts dans ma bouche pour lécher le sperme de mon mari.

Il y à un avantage d’être femme dans ces moments là, on arrange un peu nos tenue de plage et nous voilà comme si de rien était, juste le bas du maillot un peu humide.
Mon homme, lui, a le ventre tapisser de sable sans parler de son pénis, il est tout rouge et n’a plus qu’une solution : courir se laver dans la mer.
Je me cache la tête entre les genoux pour qu’il ne se vexe pas, je suis morte de rire.
Je me relève la tête et que vois-je …mon bel homme d’en face, les deux mains couvrant son sexe, courir vers la mer à toutes jambes.

Pour tuer le temps je m’amuse à regarder les paons macho qui regarde et scrute les femelles potentielle, torses et fesses bombées dont les regards vide et hargneux ne daignant même pas regarder l’entourage, car le menton est soulevé.
Le temps file, mon mari me propose d’aller à la chambre se changer et d’aller casser la croute a la salle à diner de l’hôtel.

A peine avions nous commencer de dîner, je les ai vus arriver, mon Gino et sa femme, j’étais persuader qu’il allait nous demander de s’asseoir à notre table.
Ils se sont approcher et deviné quoi…c’est mon mari qui prit parole en leur proposant de nous accompagner en disant.

Les grandes tables sont faites pour ça, pour que les gens ne restent pas tous seuls et se rencontrent pour aussi parler de tout et de rien.
Allez prenez place.

Le beaux Gino prend place, me regarde avec un petit et tendre sourire charmeur, sur le coup quelque peu surprise mais avoue que cela ne me déplaisait pas.
La situation était juste un tantinet embarrassant exactement comme je les aime, tout comme mon exhibition du matin offert a ses yeux.
Sa femme de glace ne disait rien juste des sourires coincé dans le coin de sa bouche écoutant le baratin de son mari.

Tout en parlant, il ne me quittait pas des yeux, ne s’adressant qu’à moi, pas un instant de répit, j’étais de toutes les discutions, mon mari durant se temps s’amusait à me donner de petits coups de pied sous la table, y allant d’une main baladeuse pour me déconcentrer.

Le café et le dessert arriva enfin, on déguste, on avale et chacun de nous se dit bonsoir et a demain peut être.

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