Vieux souvenir d'une premiere fois sans lendemain - histoire érotique

Ce que je vais vous raconter est une histoire vraie, il y a de cela très longtemps, Histoire que je n'ai jamais raconté à qui que ce soit et peut être le fais-je aujourd'hui pour me soulager d'un poids que je porte depuis de longues années.

J'avais juste à peine une vingtaine d'année. J'étais animateur dans un centre aéré dans l'Ain. Sans avoir un succès énorme avec les filles, j'étais un garçon et je suis un homme au physique anodin, doté d'un peu d'humour et assez ouvert. Les jeunes femmes m'attiraient, j'étais sensible à leurs charmes, leurs courbes.....et les quelques aventures que j'avais eues avec elles ne me faisaient pas douter de mon orientation sexuelle. Cependant, un soir de congé alors que nous nous étions retrouvés à quelques uns autour d'une bonne fondue savoyarde dans un petit restaurant proche de notre lieu de travail, l'ambiance aidant, je bus plus que de raison, assez de toute façon pour ne pouvoir retourner même à pied au centre où nous dormions le soir en l'absence des enfants. L'un de mes collègues animateurs proposa de me raccompagner. Je n'étais pas en état de refuser même si j'ai sans doute éprouvé le besoin de faire le fanfaron. C'était un jeune homme de ma taille de ma corpulence, nous étions sportif tous les deux et dans la force de l'âge. Je crois me souvenir qu'il ne se passa rien sur le chemin hormis l'état rigolard de deux jeunes hommes plus ou moins éméchés. Nous arrivâmes donc tant bien que mal au centre et à la chambre que nous partagions, deux lits superposés dans une pièce relativement étroite....... Je dus m'allonger sur le lit du bas. Pour tenter d'arriver à me déshabiller un tant soit peu avant d'essayer de dormir, j'ignore pourquoi, j'ai du avoir une érection et l’alcool aidant, désinhibé j'ai commencé à me masturber devant mon camarade sans aucunement faire attention à lui.... les yeux fermés je guettais le plaisir qui vu mon état refusait d'arriver à son apogée. En ouvrant les yeux je me rendis compte que mon camarade était assis à coté de moi les yeux fixés sur mon sexe sa propre bite à la main et qu'il faisait exactement ce que j’étais en train de faire.

Je ne sais pas comment nous en sommes arrivé à une situation où quand par fatigue j’arrêtai de me branler lui prenais le relais en saisissant ma queue dans sa main et de l'autre je me souviens qu'il se masturbait ... Loin d'avoir honte, j'étais dans un état second , complètement excité, j'écartais mes fesses et je reprenais ma branlette l'invitant ainsi à me toucher en lui offrant une vue imprenable sur mon petit trou......... sa main se glissait dans ma raie et il continuait à se masturber comme un forcené , la sensation que j'éprouvais et que je n'avais jusqu'alors jamais connue était divine, j'avais envie de le sentir entre mes fesses, j'avais envie de regarder et de toucher sa queue et j'avais envie qu'il en fasse de même... Je revois la scène comme dans du coton, comme au ralenti .... j'étais trop beurré pour jouir ... excité sans pouvoir me satisfaire ... Je regardais sa bite tendue, plus courte que la mienne. je voulais le toucher mais il m'en empêchait, cela dura un certain temps, puis ni tenant plus il me déplaça sur le lit, pour cela il du se lever et j’aperçus ses fesses que j'avais déjà vu parce que nous partagions cette chambre et alors que jusqu'à ce moment je n'y avais jamais vraiment fait attention je les ai trouvées superbes, légèrement rebondies et fermes, c'était un jeune homme au corps moins poilu que le mien. J'ai eu envie de le toucher, ma main c'est tendu vers son cul, mais il écarta mes doigts d'un geste ferme. Il me déplaça sur le lit de façon à ce que sur le dos mes pieds touchent le sol, j'étais doc à demi allongé sur le lit, il se mit face à moi la queue dans la main, accélérant ses gestes sur son sexe tendu relativement court et épais le gland violacée que je voyais tressautait alors que je continuais à me branler en lui touchant ses couilles velues ne pouvant de l'autre main atteindre malheureusement sa raie, ses fesses. Il fini par se cambrer, les yeux fermés et par jouir sur mon ventre... Je ne me souviens plus comment je me suis endormi, je me souviens de l'odeur de son sexe, de sa bite à quelques centimètres de mes yeux ... de mon envie de plus, de mon envie de le sucer, de me faire sucer, de lui offrir mon cul et de pouvoir le prendre .... et de sa semence sur moi ...puis j'ai du m’écrouler de vin et de sommeil, sans avoir pu jouir. Depuis je repense à cette époque, à cette envie, ce désir à la fois un peu honteux et regrettant que nous ne soyons pas aller plus loin. .... et je sais, depuis, que je ne suis pas qu'un simple hétérosexuel.