Les talons rouges (épisode N°10) X – Les deux bacchantes

- Par l'auteur HDS VIEULOU -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Les talons rouges (épisode N°10) X – Les deux bacchantes Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les talons rouges (épisode N°10) X – Les deux bacchantes
LES TALONS ROUGES (épisode N°10)

Agathe, âgée de quarante-cinq ans et assez effacée, elle se laisse dépuceler et dévergonder par Jacques, un jeune homme de trente-deux ans, ami de son neveu. Le beau Jacques profitant de sa candeur et de son innocence la dévergonde, entraînant également la sœur d’Agathe, la belle comtesse Gaëlle de Santesteban, qui elle, approche de la cinquantaine. Agathe étant rentrée de sa croisière, Jacques l’initie au sadomasochisme.

X – Les deux bacchantes

Alors que l’orage gronde sur les contreforts des Pyrénées, une tempête s’annonce, la première de la saison. Au Château de Garralda, son propriétaire, le comte Adrien de Santesteban préside une réunion importante. Il s’agit d’élus et de personnalités opposées des régions basquaises de France et d’Espagne. En effet, le fief de cette famille de haut lignage se trouve situé à quelques kilomètres de la frontière espagnole, dans la vallée des Aldudes, entre le col d’Ispéguy et le bourg de Banca. Le château domine une région assez déserte et magnifique, où les maquis se mélangent aux forêts et où les vignes côtoient les pâturages escarpés au-dessus de la rivière Nive des Aldudes. Les propriétés des de Santesteban s’étendent de chaque côté de la frontière sur un peu plus de 2 600 hectares. Pour l’essentiel ce sont des terres à moutons avec quelques vignes sur les coteaux de France et d’Espagne. De nombreuses forêts couvrent le domaine ainsi qu’un certain nombre d’étangs. Le château, construit par les Sarrazins au VIIIe siècle, est une bâtisse qui a subi de nombreuses transformations au cours des siècles, mais qui garde un caractère exceptionnel ; en effet, le bâtiment principal couvre deux mille cinq cents mètres carrés sur trois niveaux. De nombreuses dépendances font parties du domaine qui comporte également cinq fermes, gérées par des métayers.

La réunion politique risquant de s’éterniser encore le lendemain, peut-être assez tard dans la nuit, le comte qui veut garder une certaine confidentialité sur la composition de ce conseil, mettant en présence des personnalités diverses, a demandé à son épouse avec l’aide de sa sœur, d’éloigner leur jeune ami durant deux jours. Pour cela, il a été décidé qu’une randonnée à cheval sera organisée sur cet immense domaine, et que, le but étant un relais de chasse situé à plus de 30 kilomètres dans la montagne, le trio restera une ou deux nuits, avant de redescendre à la propriété. Gaëlle a seulement indiqué à Jacques, que son époux a besoin d’être seul au château pour une visite qu’il tient à garder discrète. Enfin, elle lui a fait comprendre que deux jours et deux nuits ensembles, elle, sa sœur et lui, ils pourraient ainsi se livrer à tous leurs fantasmes.

Les deux femmes et l’homme sont donc partis à l’aube, montés sur leurs chevaux, accompagnés de deux mulets de bât, lesquels transportent leurs bagages et leurs provisions de bouche. Le relais, datant de la fin du XVIe siècle, est situé à 1500 m d’altitude. C’est en fait un ancien poste de douane des rois de Navarre, construit avec les pierres de la montagne et dont le toit est recouvert de bardeaux en bois dur. Il comporte tout ce qu’il faut pour rendre leur séjour agréable, le rez-de-chaussée est une seule pièce de près de cent cinquante mètre carrés qui fait fonction de pièce à vivre, rassemblant salon, salle à manger et cuisine. Au seul étage du bâtiment, sous combles, cinq chambres ont été aménagées avec chacune leur salle de bain.

À leur arrivé en fin de matinée, ils ont juste à desseller les chevaux et les mulets qu’ils rentrent dans les écuries prévues à cet effet, à donner à boire aux animaux et à leur donner à chacun une botte de foin dans leur stalle, pour enfin s’occuper de leur confort. Pendant que Jacques allume une grande flambée dans la vaste cheminée de pierre, Gaëlle et Agathe déballent les provisions et préparent rapidement un repas, à base de charcuterie de montagne, d’une grosse omelette aux champignons et de fromages de chèvre et de fruits. Jacques, qui connaît bien les lieux, s’est glissé par une trappe dissimulée sous un tapis de laine des montagnes, dans une cave creusée dans la roche et, choisissant deux bonnes bouteilles de vin rouge et une de Cérès, il remonte pour aider à mettre les couverts sur la table de ferme qui se trouve dans la cuisine meublée à l’espagnol. Après le repas, il demande la permission d’aller faire la sieste car il est tout de même un peu fatigué après cette longue randonnée, l’air de la montagne lui ayant de plus coupé son souffle. Les deux femmes acquiescent en riant, et, peu fatiguées, en bonnes montagnardes qu’elles sont, elles font la vaisselle et rangent les provisions apportées. Puis, elles s’assoient sur le canapé de cuir qui fait face à la cheminée.

Elles se regardent gravement, sachant que ce qui leur est arrivé, il y a maintenant six mois risque de se reproduire. Elles ont beaucoup parlé de cette nuit folle passée avec l’homme, qui, il faut bien le reconnaître est devenu leur amant à toutes les deux. Elles se sont fait toutes les confidences que deux sœurs qui s’aiment et se sont toujours bien entendues peuvent se faire sur ce qui s’est produit depuis avec Jacques. Elles imaginent que dans peu de temps, lorsque le « mâle » sera de nouveau en forme, il va les entraîner dans des situations plus scabreuses les unes que les autres. Pourtant, elles sont assez clairvoyantes pour être certaines qu’elles ne se déroberont pas à ses désirs. En s’épanchant encore une fois, à voix chuchotées, elles sont bien conscientes qu’elles ne pourront échapper à leurs jeux impurs et incestueux qui vont recommencer. Aussi, devant l’appréhension qui est la leur, elles s’enlacent en se serrant l’une contre l’autre. Pourtant, c’est la première fois depuis cette fameuse nuit où elles ont voulu mystifier le beau Jacques en se prenant à leur propre piège, qu’elles se retrouvent ainsi, physiquement prêtes à s’aimer.

Elles se caressent le visage, s’embrassant d’abord sur les joues, le front, les yeux, pour finir par se baiser les lèvres, puis, entrouvrant leur bouche, elles mélangent leur langue dans un baiser passionné, pour se rassurer et calmer leurs angoisses. Leur baiser dure, dure très longtemps ; restant ainsi soudées l’une à l’autre, alors que leurs mains qui se caressent les épaules, viennent, presque ensemble, détacher leur corsage pour se glisser sur leur poitrine tout en soulevant leur soutien-gorge, emprisonner leurs globes et sentir leur chair palpiter à l’unisson.

Leurs gestes sont indissociables, car, atteintes d’une frénésie voluptueuse, elles s’arrachent leur corsage et leur soutien, se vautrant à demi nues sur le canapé, baisotant leurs seins en suçant les tétins érigés qui se sont naturellement durcis sous l’excitation commune. Allongées l’une sur l’autre, elles se frottent, ventre contre ventre, au travers de leurs culottes de cheval qu’elles n’ont pas encore retirées. C’est à regret, qu’elle se séparent pour les arracher ainsi que leurs bottes, se retrouvant encore enlacées et entremêlant leurs cuisses et leurs jambes, alors que leur seul rempart se trouve être leur petite culotte, dont l’entrejambe laisse percer l’humidité de leurs sécrétions intimes.

Alors que Gaëlle introduit une main dans l’échancrure de la culotte en satin de sa jeune sœur, celle-ci pousse un gémissement, mais s’ouvre sous la main qui cherche sa chatte qui mouille abondamment, embrassant goulûment sa sœur, qui, arrivant enfin à ses fins, introduit ses doigts vers la fente qui s'entrouvre et ne peut que constater la moiteur de l'antre féminin. Agathe gémit à cette fouille audacieuse, mais elle ne peut s'empêcher d'entrouvrir ses cuisses encore plus, laissant les doigts fureteurs s'enfoncer dans ses chairs qui frémissent sous les attouchements précis des doigts, encore inexpérimentés il y a peu, mais devenus à présent si experts. Gaëlle poussant son avantage, pénètre au plus profond de la matrice avec trois doigts réunis, barattant longuement le vagin qui laisse s'écouler des flots de mouille. Agathe répond maintenant avec frénésie à la langue qui fouille sa bouche, projetant son bassin au-devant de la main qui la fait jouir dans sa chair si vulnérable, se laissant aller dans une volupté délicieuse, déjà affolée par la dépravation dans laquelle l'entraîne son aînée. Gaëlle frotte aussi délicatement avec un doigt le clitoris qu’elle a sorti de son capuchon protecteur, alors que ses trois autres doigts enfouis dans la fente vulvaire, masturbent la quadragénaire avec beaucoup d’habilité, provoquant ainsi l’arrivée tumultueuse de l’orgasme qui fait crier sa joie à sa petite sœur.

- Oh ! Ma chérie ! Je t’aime ! Continue, encore ! Encore Oh ! Oui ! Je jouis ! Je jouis ! Oui ! Oui ! Oui ! Ooooh ! Oh !.......... Mhhhh.... Oh !........... Encoorrrr !... Je jouis ! Oui ! Oh ! Je… Je…….. jouuuuuiiiiiiiiiiiiiiii........ Aaaaaaaaaaahhhh

Aussi c'est sans hésitation, qu'après avoir tant joui, elle se retourne vers sa sœur et qu'elle la caresse aussi de la même façon. Celle-ci se soulève, lorsque Agathe lui retirant sa culotte en soie vient poser ses lèvres sur ce sexe qui la fascine, et dardant sa langue, elle la glisse entre les parois étroites de la vulve, lapant la mouille qu'elle produit à profusion depuis le début de leurs caresses... Après avoir léché la liqueur savoureuse, elle remonte vers le clitoris et le prenant entre ses lèvres, elle le suce comme un bonbon. Cette fois, Gaëlle qui jusqu'ici se trémoussait, pousse des grognements inintelligibles en se livrant à de brusques soubresauts. Agathe lui a saisi ses deux cuisses et, abandonnant toute décence, elle pompe littéralement le bouton qu'elle tient serré dans sa bouche, l'aspirant entre ses lèvres, elle le suce et le mordille, arrachant à Gaëlle des feulements de plaisir. Les sécrétions vaginales giclent bientôt dans sa gorge faisant pousser à Gaëlle des hurlements, en criant sa jouissance.

- Oui, comme ça, comme l'autre fois. Oh ! Oh ! Oui ! Je ne sais plus où j'en suis, Continue, encore ! Encore Oh ! Oui ! Je jouis ! Je jouis ! C'est délicieux. Mange-moi ma chérie. Oui ! Lèche-moi bien, Oh ! Quel bonheur ! Oh ! Oui ! Je t'en prie mords-moi.... n'arrête pas surtout, Oh ! Encoorrrr !... Tu me fais mal, mais continue.... Oui ! Oui ! Ah ! Aaarrrrrrrr....... Aaaaarrrrrrrrrr...

Agathe, galvanisée par cette situation tout de même inhabituelle, car, adolescentes toutes les deux, leurs jeux était plutôt un peu soft, à peine du touche-pipi d’enfants, savoure le pouvoir qu'elle découvre, se sachant capable de dominer par les sens une autre femme qu'elle devine à sa merci. Elle gobe et dévore le clitoris, le suçant avec force et même, surexcitée, elle le mordille et accentuant parfois la morsure de temps en temps. Sa sœur aînée gigote et clame son bonheur hystérique. Puis, affolée par la jouissance stupéfiante qu'elle subit, elle se retourne entre les jambes d’Agathe et plonge sa langue dans le vagin dégoulinant de sa jeune sœur qui lui bouffe littéralement ses chairs enflammées, faisant aller sa langue jusque dans la raie culière et léchant la rosace de l'anus. Les deux femmes se font un magnifique soixante-neuf et se gamahuchent à qui mieux mieux. Elles n'arrêtent pas d'avoir des orgasmes successifs, chacune ne voulant pas arrêter la première, aussi, elles se déchaînent telles des bacchantes en furies, se malaxant et se tripotant ardemment dans une étroite symbiose.

Soudain, un claquement de mains qui applaudissent fait sursauter les deux nouvelles adeptes de Lesbos. Se redressant, elles découvrent Jacques qui est à moitié descendu de l’escalier qui mène à l’étage et qui, appuyé à la rambarde les regarde d’un air goguenard. Celui-ci s’esclaffe en riant.

- Eh ! Bien mes jolies, vous ne perdez pas de temps. Quels tempéraments ! Vous êtes incroyables de lubricité. Hé ! Réveillez-vous ! Il serait peut-être temps de vous occuper de votre hôte mes chères amies. Il y a mon cinquième membre qui attend avec impatience que de jolies lèvres veuillent bien le cajoler et, éventuellement déguster sa liqueur savoureuse.

Alors qu’il dégrafe son pantalon et qu’il en sort une verge à demi érigée, les deux femmes se regardent en souriant, puis, ensembles, sans se préoccuper de leur entière nudité, elles rejoignent leur amant avec empressement. Elles prennent son vit entre leurs doigts, puis, elles l’attirent vers le canapé, le faisant s’asseoir après lui avoir ôté ses vêtements. Enfin, se disposant à genoux toutes les deux à ses pieds, elles engloutissent à tour de rôle le gland qui s’est gonflé presque instantanément dans leurs bouches. Jacques contemple avec ravissement les deux aristocrates, l’une de bientôt cinquante ans et sa sœur de quarante-cinq, si prudes il y a peu, qui se vautrent dans une fange lubrique et honteuse pour le milieu puritain qui est le leur habituellement.

Gaëlle et Agathe ont posé chacune une joue sur une cuisse de Jacques, entourant de leurs doigts fins et blancs la grosse colonne annelée, tirant à l’extrême sur la peau du capuchon qui recouvre le gland, découvrant ainsi le gros nœud congestionné qui vire au rouge grenat et palpite sous leurs yeux. Alternativement, les deux sœurs engloutissent l’énorme mandrin entre leurs lèvres, baignant la tige dans leur bouche et suçant voracement le gland, le mordillant pour l’exciter davantage. Jacques, devant la dextérité, doublée de l’incroyable virtuosité dont font preuve les deux sœurs, est sidéré par le savoir-faire qu’elles ont acquis en si peu de temps. Les lèvres chaudes et humides ne tardent pas à faire de l'effet au sexe de l’homme qui se délecte des délicieuses fellations que ses compagnes pratiquent avec plus d’attention que des professionnelles. Les deux femmes effectuent des circonvolutions avec leur langue, occasionnant à la verge ainsi sollicitée des soubresauts brusques, alors que la tige rigide se déploie alternativement dans chaque bouche. Jacques sent qu'il ne va bientôt plus pouvoir retenir le sperme qu'il sent remonter irrémédiablement dans le canal urétral. Gaëlle, à qui c’est le tour de prendre entre ses lèvres la tige rigide, sursaute tout de même lorsque la première giclée jaillit au fond de sa gorge, pourtant elle ne desserre pas les lèvres, avalant le sperme en le regardant droit dans les yeux pour bien lui faire voir qu'elle le fait volontairement et sans répugnance. Jacques se vide dans sa bouche qui laisse bientôt dégouliner autour des lèvres le trop plein de foutre qui s'écoule sur le menton et le cou gracile de la belle aristocrate. Jacques ressortant son vit, le présente à Agathe, qui lèche le vit maculé qui rétrécit à vue d'œil jusqu'à l'assèchement complet. Toutes les deux s’étendent sur leur amant, alors que celui-ci, les prenant dans ses bras, les embrassent à tour de rôle profondément, aspirant son propre sperme dans leurs bouches altières. Puis, tout en les berçant dans ses bras, il les remercie de l'avoir si bien pompé.

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