Deuxième été sans Emilie (1)

- Par l'auteur HDS Arnaud Desens -
Auteur homme.
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Récit libertin : Deuxième été sans Emilie (1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-12-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(7.0 / 10)

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Deuxième été sans Emilie (1)
Émilie et Erwann partirent pendant le mois de juillet avec leur père. Ils firent le tour des capitales européennes, Madrid, Rome, Berlin, Bruxelles, Londres. Je me retrouvais à nouveau seul pour l’été. Avant leur départ, ils m’embrassèrent, et Émilie me murmura qu’elle partait avec son gode ceinture, en cas d’urgence.
Après notre nuit à trois, je devins l’amant d’Émilie autant que d’Erwann. Passant de l’un à l’autre sans faire de jaloux, il m’arrivait même de passer du cul d’Erwann à celui d’Emilie dans la même soirée. Ce n’est que quelques jours avant leur départ que nous avons baisé de nouveau tous les trois ensemble. Avec le même plaisir, la même perversité latente. Émilie m’avoua qu’elle était à deux doigts de baiser son frère pour de vrai, sans avoir recours à son gode. Elle voulait le sucer, nous sucer en même temps et se faire prendre en double par nous deux. Consciente des limites qu’elle franchirait elle arrivait encore à se contrôler, mais doutait de pouvoir le faire longtemps, surtout un jour où elle serait bien excitée.

Je pensais à eux en rentrant chez mes parents, dans ma chambre, en me branlant faute de mieux. Cet été là ,mon père m’avait trouvé un boulot dans une succursale de la banque pour laquelle il travaillait. C’était moins glamour que le club de vacances, mais les horaires étaient plus fixes, j’avais trois jours de repos par semaine, et surtout le salaire était plus intéressant. Heureusement, car le travail était loin de l’être. Au-delà du costume obligatoire, et de la cravate indispensable, c’est surtout l’ambiance qui était loin du fun et de la rigolade. Henri ,le chef d’agence, un cinquantenaire chauve et bedonnant, pas méchant, mais tout aussi gris que son costume, nous foutait la paix. Aux guichets je travaillais avec Louis, un beauf absolu, gras, lourd, balançant des blagues de cul éculées qui ne faisait rire que lui. Heureusement il partit en vacances entre le 14 juillet et le 15 aout, et fut remplacé par Sophie, une étudiante comme moi. Mignonne comme tout. Brune aux yeux verts. Elle savait mettre en avant ses petits seins tout comme son petit cul, mais me voyant venir de loin, mit un frein à mes envies en me déclarant que je n’étais pas son type, qu’elle ne coucherait jamais avec un collègue, et que son petit ami me casserait la gueule. D’ailleurs elle me fit la gueule pendant tout le mois où nous travaillâmes ensemble. Enfin il y avait Marie, une vieille fille d’un âge indéterminé. On pouvait lui donner 60 ans quand elle parlait de ses chats et de sa vieille mère dont elle s’occupait, comme 40 quand elle riait de bon coeur.

Cet été-là je savais que je ne trouverais pas de quoi m’occuper sexuellement sur mon lieu de travail. En dehors c’était aussi assez calme, Svetlana était partie en Slovaquie pour deux mois, et si je croisais Fabien le 14 juillet, cela resta sans suite, trop occupé qu’il était avec un pompier qu’il comptait bien pomper.

Cette misère sexuelle estivale, et urbaine, je la calmais de ma main. Ne profitant même pas du fait que mes parents m’avaient laissé la maison pour moi pendant qu’ils étaient en vacances en Bretagne. Je me contentais de me branler devant des films de cul, me projetant dans les images en imaginant que c’était moi qui baisais les actrices aux gros seins et aux trous offerts.

Bon, j’exagère un peu. Il me fut donné de vivre durant le mois de juillet deux aventures sexuelles. La première avec une cliente de la banque. Virginie avait 38 ans. Une belle femme, blonde, mince, de beaux yeux d’un bleu profond. Elle venait tous les deux, trois jours pour déposer des espèces sur son compte. Elle travaillait comme esthéticienne, et avait peur de garder du liquide dans sa boutique. Dans la file, je repérais vite qu’elle s’arrangeait pour passer à mon guichet. Elle aurait pu traiter avec un conseiller attitré, mais faisait la queue comme les autres. Elle se présentait à moi, tout sourire, chemisier entrouvert me laissant deviner ses seins. Que je matais sans me cacher! Elle me draguait gentiment. Répondant à son petit jeu, elle se fit plus insistante, et glissa son adresse et numéro de téléphone dans une liasse. « Venez quand vous voulez », y avait-elle inscrit. Même si elle m’excitait bien, je ne répondis à ses avances qu’à la fin du mois, quand elle m’annonça qu’elle partait en vacances.

— Nous ne nous verrons plus, c’est votre dernière chance, ne la laissez pas passer.

Je sonnais chez elle un vendredi soir. Je l’avais appelée avant, en sortant du boulot. Elle m’avait dit de venir, tout de suite. Elle habitait un appartement dans un vieil immeuble. Je montais l’escalier en pierre, et frappais à sa porte. Elle m’accueillit sur le pas de la porte. Elle ne portait qu’une robe de chambre en soie, sous laquelle il n’était pas difficile de deviner sa nudité. Elle attrapa ma cravate et me tira à l’intérieur. Il y faisait frais, tous les volets étaient tirés, lumière éteinte, seules quelques bougies éclairaient le salon. Une bouteille de vin attendait sur la table basse. Elle servit un verre et me demanda si je voulais me mettre à l’aise. Je dis oui. Elle me fit assoir, se mit à genou devant moi, et sorti mon sexe de mon pantalon.

— Je vois que je te fais bander mon petit, dit-elle en prenant ma bite pour me sucer. Une belle et grosse queue, bien dure, bien jeune, comme j’aime.

Sa robe de chambre glissa au sol, elle me livrait son corps nu que je devinais à la lueur des bougies. Sa bouche avait dû sucer bien des bites avant la mienne, elle savait s’y prendre, faire monter le plaisir, le dominer, le calmer, le dompter. Elle me suça comme une déesse, la plus belle et plus longue pipe de ma courte vie.

— Tu as une petite amie?
— Oui.
— Elle te suce?
— Oui.
— Elle te suce aussi bien que moi?
— Non.
— Je le savais, les jeunes sont trop rapides, il faut savoir prendre son temps, tu veux jouir dans ma bouche ?
— Oui.

Elle me reprit en bouche, sa langue glissa sur mon sexe, ses lèvres suçaient mon gland et j’explosais dans sa gorge, de long et puissant jets de sperme. Je hurlais de plaisir. Elle me regarda droit dans les yeux, ouvrit la bouche pour que je voie mon jus laiteux, et se renversa la tête en arrière pour tout avaler.

— Elle avale ta copine ?
— Oui.
— Alors il y a de l’espoir pour elle.

Elle me déshabilla et me conduisit dans sa chambre. La pièce était presque vide, seulement un lit et une table de nuit. Elle se coucha, écarta les jambes. Son sexe était rasé, mais elle gardait une grosse touffe de poils blonds au-dessus de sa chatte béante et luisante.

— Tu es jeune et tu devrais vite bander, mais un attendant viens gouter à mon minou.

Je me glissais entre ses cuisses. Son sexe sentait fort, une odeur excitante, bandante, en quelques coups de langue je sentais ma bite à nouveau dure.
— Tu aimes mon sexe de femme, tu n’as dû bouffer que des minettes, des petites chattes serrées, des abricots pas encore murs. Le mien est à point, bien juteux. En plus je ne me suis pas douchée ce soir, pour qu’il soit bien gouteux.

Excité par ses mots je lui bouffais la chatte comme si ce devait être mon dernier repas. Ma langue fouillait partout, buvait son jus au gout poivré, intense, fruit de sa journée de travail, de la chaleur de cette journée d’été. Mes doigts glissèrent en elle, cherchant à la faire mouiller, à me donner encore plus de son nectar à boire.

— Tu es déchainé, un vrai sauvage. C’est bon ce que tu fais, mais soit plus audacieux encore, mon sexe est bien ouvert, entre tous tes doigts, j’ai l’habitude.

Je lui crachais dessus et enfonçait ma main dans son sexe comme elle me l’avait demandé. Je la baisais de mon poing, sentant son sexe envelopper ma main, l’enserrer, se contracter sur elle au fur et à mesure que le plaisir montait.
Elle poussa un cri, et je sentis une vague de plaisir la submerger. Elle se tordit dans tous les sens, je retirais ma main et fut inondé d’un jet sortant de sa chatte. Elle resta sans rien dire, sans bouger, je lui léchais le sexe, buvant son jus.

— Tu es super mon petit, super. Ce n’est pas tous les jours que j’éjacule comme ça.

Elle se redressa, et découvrant ma bite bien dure, se mit à quatre pattes.

— Tu as le droit de me baiser maintenant. Et si tu es sage, je te donnerai mon cul.

Je la pris en levrette. Sa chatte était bien glissante, bien ouverte aussi. Elle gémissait, miaulait, m’encourageait. Elle se caressait le clito en même temps que je la bourrais. Sa main glissait parfois jusque sur mon sexe et me branlait un peu. Un cri, un raidissement, elle jouit.

— Tu veux mon cul maintenant, ou je te suce encore?

Je ne lui laissai pas le temps de réagir, et la plaquai contre le lit. Je quittai sa chatte et ,sans préliminaire, lui enfonçai ma queue dans le cul. Lui aussi avait dû connaitre bien des bites, j’y entrais sans problème. Je lui limais le trou à fond. J’étais super excité et n’avais qu’une envie: lui juter dans l’anus, lui foutre mon jus bien profond . Ce qui arriva bien vite.

— Tu es un baiseur de première, dommage que je doive partir demain, et qu’on ne se reverra plus.

Je pris une douche et me rhabillai. Elle restait nue, puissante de sueur. Elle m’embrassa, me glissa un billet dans la poche. Je protestais, refusais, lui dit que je n’étais pas un gigolo.

— Je sais mon petit, mais il faut toujours remercier ceux qui vous font du bien. Prends, fais un cadeau à ton amie.

Je la quittais avec le billet en poche. Jamais plus je ne la reverrais. Mais jamais je ne l’oublierais.

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