Etre une femme

- Par l'auteur HDS Mr Oizo -
Récit érotique écrit par Mr Oizo [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Etre une femme Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-06-2004 dans la catégorie A dormir debout
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Etre une femme
<p>J'aimerais bien parfois... être une femme.

Ne serait-ce que pour avoir le loisir de me regarder en sous-vêtements devant un grand miroir, juger mes formes d'un oeil sévère et critiquer mes défauts, puis élancer mes jambes, relever mes fesses, rentrer le ventre et gonfler ma poitrine pour me sentir plus belle. Me dire que j'ai encore quelques efforts à faire, mais qu'après tout, je ne suis pas si mal.
Imagine que nous soyons ainsi, tous... toutes les deux, un beau dimanche matin de juin ensoleillé, devant ce miroir, à n'avoir rien d'autre à faire aujourd'hui que de nous faire belles. Tu as choisi de mettre ton ensemble en dentelle rose, celui dont le string est un peu transparent et dont le bonnet met si bien tes seins en valeur. Moi, comme toujours, je cherche à m'assortir avec toi et j'ai pris mon ensemble blanc où sont brodées quelques fleurs roses et jaunes ; c'est très de saison, et je sais que tu l'aimes car tu joues souvent avec le double élastique de mon string.

On se dandine ainsi longuement devant la glace. J'envie ta poitrine, tu dis vouloir l'échanger contre mon petit cul... Nous rions car malgré nos petits défauts, nous nous savons très belles l'une et l'autre. Le nombre d'hommes chaque jour, croisés dans la rue, qui se retournent derrière nous, ne nous permet pas d'en douter. Souvent, quand ils nous voient main dans la main, ils se lamentent du gâchis que nous formons, mais cela les excite de nous imaginer faire l'amour. Si nous le voulions, combien d'entre eux seraient même prêts à oublier qui ils sont pour prendre un peu de plaisir avec nous ? Ceux-là, je les imagine toujours très déçus dans le cas où cette situation arrivait. Tant excités par le fait de réaliser leur plus grand phantasme, je suis sûre que la plupart en oublieraient d'être performants, et assisteraient finalement passivement aux ébats de deux lesbiennes faisant l'amour seulement entre elles. Personnellement, une telle scène ne m'attire pas particulièrement, et quitte à se faire mâter, autant que ce soit par nous...

Je me glisse derrière toi. Comme je suis plus petite, on ne voit de moi dans le miroir que mon oeil espiègle par dessus ton épaule. Je colle ma poitrine sur ton dos, rapproche mes cuisses des tiennes, et tente un baiser tout en haut de ta nuque, juste à l'endroit où naissent tes beaux cheveux blonds. Mon baiser tirant de toi le soupir escompté, ma bouche continue son investigation le long de ton cou, appliquant de très légères caresses sur ta peau parfumée. Mes mains commencent à se faufiler, partant de tes cuisses jusque sur ton ventre, en passant par tes fesses. Tu sembles te laisser aller à mes bonnes attentions. Tu bascules la tête en arrière, rendant ta gorge vulnérable à tous mes baisers. Ceux-ci deviennent de plus en plus audacieux ; ma bouche s'ouvre davantage pour mieux ressentir le contact de ta peau. Sans le vouloir malheureusement, je te chatouille, et tu as le réflexe de hausser les épaules. Je me cache alors à nouveau derrière toi. Pendant quelques secondes, on regarde toutes les deux, immobiles, ton reflet dans le miroir. On se sourit. Tu devines ensuite à mon air malicieux que je m'apprète à faire mon tour de magie favori ; à peine as-tu senti ma main effleurer ton dos et mon souffle caresser tes épaules, que ton soutien-gorge se décolle de ta poitrine, glisse sur ta peau et tombe. Dans le reflet, rien n'a bougé, si ce n'est le petit bout de tissu rose, et voilà que sont apparus deux jolis seins, fermes et assez volumineux. Je suis toujours surprise, quand je les vois, de l'effet qu'ils génèrent en moi ; chaque fois, j'ai l'impression de découvrir un nouveau trésor...

Mes mains ont déjà pris le chemin de tes deux joyaux. Elles les soulèvent, les rapprochent un petit peu, les palpent doucement, puis les cachent une seconde, pour permettre à mes yeux de les redécouvrir une nouvelle fois, avec toujours autant d'émerveillement. Je colle mes petites fleurs brodées sur tes fesses ; une de mes mains descend sur ton ventre, l'autre remonte sur ton thorax, entre tes deux seins ; mes lèvres s'attaquent à ta nuque, puis plus timidement, passent derrière ton oreille. Tu frissonnes de bien-être. Je te serre plus fort contre moi. Mes tétons, comme deux petites pointes, s'enfoncent dans la chair de ton dos. Mes baisers se font plus mouillés. Peu à peu, nos bouches se rapprochent l'une de l'autre, je desserre mon étreinte, tu te retournes, et nous nous embrassons, tendrement d'abord, puis avec de plus en plus d'ardeur. Nos deux langues se mêlent, nos corps s'enlacent. Mes mains glissent sur ton dos et sur tes fesses ; les tiennes, posées autour de mon cou, me massent délicatement la nuque, puis descendent dégrafer mon soutien-gorge.

Sentir nos seins nus se toucher m'excite. Ces petits coussins moelleux qui se tamponnent font déjà frissonner mon bas-ventre... Je commence à mouiller ma culotte et ressentir le besoin de frotter ma fleur rose contre toi. Tandis que ma langue continue de se perdre dans ta bouche, je passe une jambe entre tes cuisses et applique de petites pressions bienfaisantes. Tu fais la même chose, simultanément, et je constate avec satisfaction que le contact de ton string mouille légèrement ma peau. Sans arrêter le mouvement de ton bassin, tu glisses une main entre nous, pour peloter ma petite poitrine. Hum ! Que j'aime ça ! Ta main passe d'un sein à l'autre, puis s'arrête sur le droit, pour le caresser de plus en plus avidement. Je soupire mon bonheur. Mes seins sont gonflés de plaisir. Voyant que je sursaute et frotte plus fort mon sexe contre ta cuisse quand tu effleures mon téton, tu diriges ta bouche vers lui. Tes baisers et tes coups de langue me font l'effet de petites décharges qui se propagent dans tout mon corps, jusque dans mes doigts de pieds. C'est comme si tout mon corps était concentré dans ce téton. La moindre excitation que tu lui donnes, tout mon corps la ressent.

Je suis surprise du temps que tu consacres à mes seins aujourd'hui. Je ne vais pas m'en plaindre ; la poitrine est une zone très érogène chez moi...

J'adore ce que tu me fais ! Si il était possible de jouir des seins, crois-moi que je serais en train de jouir... tout de suite ! Oh oui, c'est tellement bon ! J'aime quand tu embrasses, lèches, mordilles, et suçes alternativement un de mes seins, en pelotant l'autre amoureusement pour ne pas le rendre jaloux... Cela m'excite plus que tout ! J'ai une main sur tes cheveux, une autre sur ta main, et je te caresse ainsi, en m'imaginant avoir des pouvoirs magiques qui sortent de mes seins.

Je perds toute raison, mais apparemment, tu es aussi excitée que moi ; tu me pousses sur le lit derrière moi. Je m'assois, m'accoudant sur le matelas, et ris de te voir te jeter sur moi. Tu embrasses mon ventre, mon nombril, puis tire sur les élastiques de mon string pour délivrer mon clitoris. Tu t'agenouilles. Tu as compris qu'aujourd'hui je n'avais pas besoin de plus longs préliminaires ; tu peux me lécher, ma chatte est déjà toute excitée...

- Dis moi ce que tu vois.

Tu me sors de mes pensées, j'avais oublié le miroir. Oh oui, c'est une bonne idée de te décrire la scène qu'il s'y passe.

- Très bien ! Alors... je vois deux femmes... Ouh ! C'est une scène... plutôt... chaude. Une est très sensuellement allongée sur un lit. Elle est accoudée, face à moi, les jambes bien écartées... L'autre est devant elle, à genoux, ou plutôt à quatre pattes, prête à lui lécher... l'entrejambe... Je ne vois pas son visage, elle me tourne le dos, mais je devine à ses longs cheveux blonds, très beaux et très lisses, que cette fille est vraiment canon. Je vois bien ses fesses... hum... elles sont très appétissantes. Seul un petit string rose habille son corps de rêve. Il a de fines dentelles, ce qui rend la scène très coquette...

- L'autre fille, comment elle est ?

Je ne pensais pas que nous voir dans ce miroir en train de faire l'amour m'exciterait autant. Nous décrire comme deux personnes étrangères est encore plus amusant. Je me prends très facilement au jeu.

- L'autre fille... elle est pas mal non plus. Elle a un visage très fin, très doux et ses grands yeux verts lui donnent beaucoup de charme. Elle a de longs cheveux noirs qui, je pense, lui arrivent au milieu du dos... Je vois ses seins... Ils ne sont pas tellement gros, mais ils sont bien ronds et bien proportionnés avec le reste du corps. Ils ont l'air déjà tout excités, si j'en juge par leurs tétons gonflés... C'est effectivement une scène vraiment excitante : la belle blonde pulpeuse qui lèche la petite brune ohhh...

Un long frisson m'a parcouru le ventre, je n'ai pas pu le retenir. Ta langue m'a encore lancé une décharge dans tout le corps... C'est trop bon ! Depuis le début, mon clitoris a triplé de volume... Tu approches une main près de mon sexe mouillé et d'un doigt expert, tu titilles mon clitoris sans cesser de le lècher.

- Continue !

- Ok ! La blonde lèche comme une reine... Elle s'est mise à me br... à branler la brune en même temps ... Apparemment, la brune prend vraiment son pied ! Je crois qu'elle aime bien se faire bouffer la chatte ! Elle appuie sur la tête de sa copine pour lui montrer qu'elle aime ça et qu'elle en veut encore ! Il ne faut pas que la blonde s'arrête maintenant ! Ooh putain ! Excuse-moi... c'est juste qu'elle vient de poser sa main sur un des seins de la brune. Ca la rend folle ! Elle adore se faire peloter et lècher en même temps... Mmm... La brune a de plus en plus de mal à respirer, elle soupire constamment...Tout ce plaisir contenu dans un si petit corps, il va falloir que ça explose... Oh ! Qu'est ce que je vois ? La blonde écarte ses genoux, elle a laché le clito de la brune pour glisser sa main dans sa... petite culotte... Ouh ! Je vois ses doigts écarter le tissu couvrant son sexe et... elle commence à se branler... avec le majeur. C'est très excitant ! C'est une petite cochone cette blonde ; ça l'excite de lècher et peloter sa copine. Mmm... Dommage que tu ne pui... puisses pas voir ça... Ca te plairait de la voir remuer ses fesses en se branlant... Son doigt va de plus en plus vite sur son... petit clito. Son cul se secoue en cadence. L'élastique de son string lui rentre dans les fesses, mais ça ne l'empêche pas de tirer plus fort encore sur sa culotte pour mieux se branler. Oh ! C'est bon !... Je vois ses petits poils blonds... Ahhh ! Ah mon dieu, c'est bon ! Elle pelote... lèche... Mmm... j'en peux plus... la brune va... ahhh ! Plus ça va, plus la blonde se branle fort, son cul tremble, je vais j... oh ! Oui ! Lèche-moi, lèche-moi, ouiiiii ! Je jouis !

Je jouis. Tu continues de te branler et de vouloir me lècher. Je repousse ta tête, je n'en peux plus, c'est trop fort. Ton doigt tremble, ton cul tremble, tout ton corps tremble... Tu vas jouir dans deux secondes, je ne veux pas ! Pas tout de suite !

- Non Marie ! Ne jouis pas ! Viens ! Viens sur moi ! Je veux te lècher un petit peu...

Je t'invite à monter à quatre pattes sur le lit, je m'allonge sur le dos et place mon visage entre tes deux cuisses. J'avais tellement faim de ton clito après ce que tu m'as fait. Je le lèche sans précaution, ma langue le frappe très rapidement. Lui aussi est devenu énorme. Je te dévore. Je te mords parfois. Je t'entends gémir... Que ta chatte est bonne ! Je ne me lasse pas de mêler ma salive au savoureux jus qu'elle produit...

- Je te vois, je te vois !

Pauvre chérie ! Tu est obligée de te tordre le cou pour nous voir dans la glace... Pour te montrer ma compassion, j'écarte bien à fond mes jambes afin que tu aies une belle vue sur ma chatte. Je voudrais bien me branler mais mes deux mains sont occupées à te peloter tes fesses et à tenter de les tenir en place, car tu trembles de plus en plus. Entre ça et ton string qui me gêne, je peine un peu pour ne pas dévier de ton clito. A ce stade cependant, je pense que tu ne m'en tiens pas rigueur car plus rien ne peut t'empêcher de jouir. Tu m'écrases ta chatte toute entière sur la bouche. Mon menton, mes joues, mon nez, tout est mouillé. J'adore ça. Un dernier coup de langue, et voilà que je te sens jouir bien fort... Mmm.... Je suis si fière de toi...

Tu t'écroules sur le ventre en plein milieu du lit, les bras le long du corps. Tu tentes, malgré le peu de forces qu'il te reste, de te débarasser de ton string, devenu inconfortable tant tu l'as trempé. Je t'aide dans ton épreuve, puis m'allonge à tes cotés en collant un maximum de ma peau sur la tienne.

Le repos qu'on s'octroit est bien mérité. Je caresse tes longs cheveux, joue à t'effleurer du bout des doigts, le dos, puis les fesses, puis les cuisses, puis les fesses à nouveau. Je frôle certaines zones inhabituées aux caresses et tu frissones encore parfois. Tu ronronnes comme une petite chatte. Je passe une jambe sur tes cuisses, la frotte doucement contre ta peau ; mon pied effleure un tâlon, une cheville, un mollet...

J'apprécie ces purs moments de tendresse, où le temps paraît s'arrêter pour nous.

Le soleil perce les rideaux de ses rayons pour nous faire comprendre que la mâtinée est déjà bien entammée, mais cela nous est égal, on a la journée pour nous. On fait ce qu'il nous plaît. Etre nue et couchée contre toi est mon unique préoccupation... C'est un véritable repos pour le corps et l'esprit. Je suis si sereine que je commence déjà à me rendormir...

C'est toi qui me sors de mes songes... Ta main s'est ranimée et elle s'est déjà glissée entre mes cuisses. Tu me caresses tout doucement, faisant très graduellement remonter le désir en moi. Je soupire en m'étirant. Je t'embrasse sur l'épaule, tu te tournes sur le côté, face à moi, en me souriant. Tu es si belle. Je veux t'embrasser sur la bouche. Nos seins se rencontrent à nouveau.

Ta main continue à me caresser l'intérieur des cuisses, puis elle se rapproche lentement de mon sexe, passe sur mes lèvres encore enflées, et retrouve mon clitoris, déjà tout impatient. Je tends ma main droite vers ton entrejambe et commence aussi à exciter ton clitoris. Nous nous branlons voluptueusement l'une et l'autre en se roulant des pelles. C'est si agréable que je ne pense à rien d'autre. Si nous étions télépathes, tu m'écouterais simplement te dire je t'aime, je t'aime, je t'aime... C'est la seule pensée qui remplit mon esprit en cet instant. Je t'aime, je t'aime à la folie. J'aime t'embrasser, j'aime te caresser, j'aime te faire l'amour...

Plus ça va, plus le désir monte. Mon clito est maintenant assez enflé, j'ai envie de coller ma chatte à la tienne... Mmm ! Ca aussi, j'aime beaucoup... On active simultanément nos bassins de haut en bas pour bien sentir nos clitoris se frotter l'un contre l'autre. Nos mains qui sont devenues libres ont pris du coup le chemin des poitrines. Je te pelote, tu me pelotes, nous nous branlons...Voilà comment j'aime conjuguer le verbe baiser...

- Chérie ! Et si nous faisions la tarentule devant le miroir ?

- Oh oui, pourquoi pas ?

Je ne refuse jamais une petite tarentule, c'est une de mes positions préférées. Et c'est encore plus excitant de la réaliser devant le miroir. Je passe mes jambes entre les tiennes et colle mon sexe contre le tien. Il est difficile de stimuler nos clitoris dans cette position, mais coller nos grandes lèvres mouillées n'est pas une sensation qui me déplaît. Je donne de petits coups de chatte dans la tienne et je regarde notre reflet dans le miroir.

- C'est beau, hein ?

- Oh oui, c'est beau... C'est nous, tu crois, les deux canons qui baisent dans le miroir ?

- Bien sûr, c'est nous...

- Mmm ! J'adore nous voir dans cette position !

- Moi aussi. Je crois que je vais me branler un petit peu en même temps.

- Oh oui, branle-toi ma chérie. Je te regarde... Tu peux pas savoir comme tu m'excites !

- Ah oui ? Et si je me touche les seins, ça t'excite aussi ?

- Ohh, encore plus...

Je simule un peu pour satisfaire ton besoin de voyeurisme. Je me branle et me pelote pour t'exciter.

- Ta bouche me manque, ma chérie. Je voudrais t'embrasser...

- Oui moi aussi... Tu es trop loin de moi...

- Donne moi ton pied. Je suis en manque, il faut que je suce quelque chose.

J'approche mon pied, le lève devant ta bouche, pour te permettre de l'embrasser. Tu le lèches avec délectation. Ca me chatouille un peu, mais c'est agréable. Puis tu te mets à sucer langoureusement mon gros orteil. Oooh, que c'est bon ! Je ne me branle plus simplement pour t'exciter, je me branle vraiment parce que mon clito me démange... Nous frottons toujours nos deux sexes ensemble, de plus en plus fort et de plus en plus vite. Tu me donnes de grands coups de chatte, comme si tu voulais y rentrer une bite imaginaire. Ooooh ! J'en soupire de béatitude.

- Dis-moi chérie, tu veux qu'on sorte le god ?

- Le god ? Heu... je sais pas...

J'aime bien le god, mais pas trop souvent. En général, je me contente très bien de nos caresses bucales et clitoridiennes. C'est d'ailleurs pour ça que je suis lesbienne. Cependant, de temps en temps, c'est agréable aussi de se sentir pénétrée en profondeur et c'est vrai que cela fait longtemps que ce ne m'est pas arrivé.

- Bon, d'accord, je vais le chercher...

Je me défais péniblement de notre position car elle me plaisait bien. Je me lève et sors le god de son tiroir. Je suis toujours impressionnée quand je tiens ça entre mes mains. A sa vue, inconsciemment, tu passes ta langue sur tes lèvres et tu écartes les jambes. Sur moi, l'effet serait plutôt inverse ; ces trente centimètres me font presque peur. Mais c'est oublié que cette énorme bite molle est faite pour deux et je sais par expérience, quand on l'a toutes les deux dans la chatte, que ce n'est plus de la peur que je ressens...

Je m'approche avec Rocco de ton sexe épanoui. Par simple réflexe, je me suce un doigt et te l'enfonce dans la chatte pour voir si tu es prête à le recevoir. Je pouvais me douter que c'était inutile ; tu pourrais cirer le parquet tellement tu mouilles...

Je commence alors ma pénétration. Lentement, pour laisser à ton vagin le temps de s'adapter au calibre, j'avance, recule, pousse le god un peu plus loin, le retire, l'enfonce plus profondément. Je prends tout mon temps. Ayant atteint la bonne profondeur, j'exécute ensuite des petits mouvements de va-et-vient. Tu gémis à chaque butée de god dans ton con. Je sors ma langue pour stimuler en même temps ton clitoris. Je sais que tu adores ça. Du coup, j'adore ça moi aussi. Tu appuies de tes deux mains sur ma tête, en remuant ton bassin de haut en bas. On dirait que tu en veux plus que je ne peux t'en doner. Je te lèche de plus en plus vite et enfonce Rocco de plus en plus fort dans ta chatte. J'oublie la douleur dans mon poignet et tente de ne pas perdre la cadence.

- Aaah ! Aaah ! Ouiii !

Tu cries comme une actrice de porno. C'est très excitant. Ca me pousse à aller encore plus vite.

- Ouhhh ! C'est bon ! Viens, toi aussi ! Viens !

Tu lis dans mes pensées ; je commencais à envier ton plaisir. J'abandonne Rocco dans ton vagin et me positionne en tarentule, comme nous étions tout à l'heure. Je guide la deuxième extrémité du god, et d'un coup sec, je me l'enfonce à fond dans la chatte. Ooooh ! Ca fait du bien ! J'avais bien envie de ça finalement. Je regarde le miroir : vision irréelle de deux lesbiennes baisant avec chacune une moitié de god dans la chatte. Je coordonne mes mouvements pour qu'à chaque pénétration, je cogne bien mon cul contre le tien. Mmm ! C'est trop bon ! Oups ! Je sens un doigt sur mon clito ! Tu réussis en tendant le bras à atteindre mon point d'excitation externe. Je tente de faire de même. Nos mains se croisent au dessus de nos sexes unis et nous nous branlons l'une et l'autre, tout en continuant de s'enfiler Rocco. Quel pied ! Je suis comblée de partout ! Je ne maîtrise plus la vitesse de mon doigt sur ton clito, celui-ci va toujours en s'accélérant, je ne peux plus m'arrêter, je suis trop excitée...

- Oui oui oui oui oui ahhh !

Oh ! Je t'ai fait jouir ! Pardon ! Ce n'est pas ma faute ! Je ne me contrôle pas !

- Oooh ma chérie ! Merci ! J'ai joui comme jamais !

- Je... je suis désolé...

- Mais non pourquoi ? Au contraire !

- Je voulais jouir en même temps que toi.

- T'inquiètes pas. Maintenant, je vais pouvoir m'occuper de toi ! C'est pas fini !

En général, quand tu dis ça, je sais ce que tu veux. Je m'en réjouie d'avance.

- Vas-y ma puce, fais moi du bien !

- D'accord ! Alors, retourne toi ! Met toi en levrette et continue de t'enfourner Rocco dans le minou. Moi, je me place derrière toi, je te branle et je te bouffe le cul...

J'en étais sûre ! Voilà où est ton péché mignon ! Tu adores titiller avec la pointe de ta langue les nombreux plis resserrés de mon anus. Je ne sais pas pourquoi, tu as une certaine fascination pour lui. Je sais qu'au départ, tu disais sortir avec moi pour mon petit cul, mais à ce point ! Je ne comprends pas encore bien pourquoi cette partie de mon corps t'attire particulièrement. Pour moi, c'est une zone plutôt obscure, inconnue. Cela m'effrait presque parfois de t'en laisser l'accès. Mais tu montres tant d'enthousiasme ! Après tout, entre nous, il n'y a rien d'obsène. J'ai goûté moi aussi à cette gourmandise et j'avoue avoir beaucoup aimé. Depuis, j'ai alors appris à être moins prude et à mieux considérer mon anus comme une zone érogène. J'en viens même, des jours comme aujourd'hui, à désirer ardemment ces caresses.

Je fais alors comme tu dis, je me mets à quatre pattes et je me laisse entièrement faire. Je continue machinalement de m'enfoncer le godemichet dans le vagin. Tu commences délicatement à masturber mon clitoris ; tes doigts glissent sur mon petit organe en érection. Ce n'est pas facile pour toi, d'autant plus Rocco prend beaucoup de place. Néanmoins, tu t'en sors très bien, et je ressens beaucoup de plaisir.

Ton plaisir, à toi, est concentré ailleurs. Pendant que ton autre main caresse le haut de mes cuisses, ta bouche embrasse fièvreusement mes fesses une par une. Tes baisers claquent sur mes coussins de chair. Parfois, tu me caresses avec tes joues, pour jouir de la douceur de ma peau. Tu me renifles aussi, et soupires d'extase en expirant mon parfum. Ta bouche se déplace de plus en plus rapidement ; elle ne se relève même plus entre deux pressions, faisant de mille baisers une seule caresse. L'objet de ta passion se rapproche. Ta main vient écarter mes fesses à ta guise, et tu plonges ta figure entière dans ma vallée des soupirs. Enfin, tu t'attardes sur mon anus. Oh ! Quel petit délice ! Ta langue le taquine d'abord amicalement. Elle se fait ensuite moins farouche, voire de plus en plus indiscrète ; elle tente de s'inviter dans la petite cavité en frappant à sa porte. Elle n'insiste pas longtemps ; elle change de comportement, se fait plus tendre ; elle me lappe maintenant l'anus et la raie des fesses. Ton doigt sur mon clito appuie de plus en plus fort. Tu approches le majeur de ton autre main près de ma chatte pour en prélever un peu de substance que tu ramènes directement sur mon anus. Tu mêles généreusement ta salive à ma mouille. Ta langue se raidit, se fait plus audacieuse et oooh ! Ca y est, je la sens entrer en moi ! Un tout petit bout de langue vient de pénétrer mon anus. Sensation étrange ! Encore très inhabituelle pour moi ! Je me débarasse du god pour mieux me concentrer sur cette amusante... humiliation. Tous mes sens sont retournés. Je m'étonne de trouver si grisant le fait que mon anus se dilate pour y laisser entrer ta langue. Comme pour me rassurer, je te demande si tu aimes ça. Tu réponds la bouche pleine que tu adores, que tu te régales. Tant mieux ! Régales toi ! Fais toi plaisir ! Oui ! C'est ça ! Tu te sers à nouveau du jus de ma chatte pour agrémenter ton repas. Oui, voilà ! Mmm ! Que c'est bon ! Mais pourquoi j'aime autant ça ? Est-ce que je suis normale ? Mais qu'est ce que... ? Ohh ! Tu glisses deux doigts dans ma chatte sans me prévenir, je ne sais pas si je dois t'en vouloir ou t'en félic... Oui ! Non ! Je ne t'en veux pas ! Continue ! J'aime ça ! Ahhh ! Mais pourquoi mes gémissements sont si aïgus ?

Je me sens flattée au plus profond de moi, car tu me lèches l'anus avec autant d'application que tu le fais habituellement pour mon clito. C'est très agréable. Peu à peu, tu diriges ta main libre vers mon orifice honorée par ta bouche, tu te mets à le caresser d'un doigt intéressé, et tu glisses timidement une phallange. Tu t'arrêtes pour attendre ma réaction. Tu guettes sur mon visage une marque d'approbation. Celle-ci n'est pas longue à venir. Je valide ta tentative de doigté anal par un grand sourire et un mouvement de hanches qui dit « donne moi s'en plus ». Alors, tu souris toi aussi, et tu enfonces très lentement, sans gestes brusques, ton doigt dans mon cul. Ouh la la ! Quel... ! Mmm ! Quelle incroyable sensation ! C'est indescriptible...

Je me mords les lèvres. Je ne veux pas admettre que j'adore ça. Un doigt dans le cul, deux dans la chatte, je devrais me sentir humiliée ! Je le suis sans doute, mais c'est parfois bon d'être humiliée ! J'aime ça ! Par la façon dont tu me baises par les deux trous, c'est plus un honneur en réalité qu'une humiliation. Je prends vraiment beaucoup de plaisir. Je crois que je ne vais pas tarder à jouir. Mon excitation est à son comble. Je me masturbe pour accélérer le processus ; je vais jouir certainement du clito, de la chatte et du cul simultanément. C'est trop trop bon ! Ouiiii ! Tu saisis que c'est le bon moment, tu enfonces tes doigts dans mes orifices de plus en plus vite, de plus en plus fort, et de plus en plus profond. Aah ! Aah ! Aah ! Tu accompagnes mes petits cris de mots d'encouragement... Je t'aime ma chérie, j'adore ce que tu me fais, je vais joui...r. Ouuuuh ! Mon vagin se contracte subitement ! Mon anus se referme sur ton doigt ! Désolé, mon corps t'expulse, mais je ne contrôle plus rien. Mes organes me brûlent, je tremble de l'intérieur, j'ai froid, je suis possédée, je suis morte !

Je t'aime ! Des larmes s'échappent de mes yeux ! J'ai joui jusqu'aux limites de mes forces ! Merci ma chérie ! C'est grâce à toi ! Je t'aime ! Je t'aime Marie ! Je t'aime à la folie !

Je n'ai qu'un seul regret ; c'est que toute cette scène ne soit que le fruit de mon imagination... Ce n'est qu'un rêve, un phantasme, né de mon désir de savoir ce qu'une femme ressent en faisant l'amour... Cela m'excitait de m'imaginer lesbienne. Malheureusement, avoir écrit un tel scénario ne m'a pas exorcisé, et si cela était réellement possible, je me dis encore que j'aimerais bien parfois... être une femme.



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