Des vacances torrides (1ere partie) : L'arrivée en Vendée et la première nuit agitée

- Par l'auteur HDS Kevin451 -
Récit érotique écrit par Kevin451 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Des vacances torrides (1ere partie) : L'arrivée en Vendée et la première nuit agitée Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-11-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(9.0 / 10)

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Des vacances torrides (1ere partie) : L'arrivée en Vendée et la première nuit agitée
Cette histoire longue est la première d’une longue série (si vous y trouvez du plaisir) qui porte sur mes vacances. Je préfère ne pas faire que du sexe mais aussi la partie drague (avec aussi son lot de râteaux) pour une plus grande implication dans l’histoire.

Cette histoire se déroule durant l’été 2012. Après avoir passé mes partiels, je quitte Paris pour rejoindre des amis en Vendée, à Saint Jean de Monts pour 3 semaines. On comptait en profiter sans prise de tête et on avait fait un pari pour savoir qui arrivera à conclure avec le plus de filles durant ces vacances. Bref, un vieux fantasme d’étudiants célibataires dont on ne pensait pas qu’il aurait pu prendre la tournure qu’il a pris.

Le voyage commença à la perfection puisqu’en montant dans le bus, je trouve une place à côté d’une véritable déesse blonde qui semblait avoir 20-21 ans. Un physique parfait avec la jeunesse tout en ayant un certain « développement » qui montrait que ce n’était plus une ado. Elle était grande presque 1m70, menue, des cheveux tombant jusqu’aux épaules, mais surtout avait des yeux verts d’une beauté absolue.

Je m’assois à côté d’elle, essayant de ne pas la regarder et faisant semblant de consulter mon portable de peur qu’elle constate l’effet qu’elle me faisait. Néanmoins, je me disais que je n’avais rien à perdre sur ce coup. Elle avait un livre de licence de droit dans les mains et j’en profite pour lui dire :

« Vous révisez pour la session de rattrapage ? »
« Non, je prends de l’avance, je sors de prépa et je n’ai pas fait de droit donc je préfère réviser en amont ».
« Vous allez dans quelle université » ?
« A Paris II et vous ? » Là, je me rends compte qu’elle poursuit d’elle-même la conversation et que le plus gros est fait. On discute pendant tout le voyage. Elle est très studieuse et je profite de ma propre expérience de prépa pour me démarquer en essayant de montrer une certaine maturité. Comme, elle ne fait que sourire, je pense m’en être pas trop mal tiré. C’est vraiment une fille agréable à regarder qui sourit tout le temps. Avec le temps, je m’attarde sur ses lèvres qui me semblent de plus en plus pulpeuse. J’essaye de contenir l’idée d’y gouter, mais j’en frémis rien qu’en la regardant.

Le bus arrive à bon port et elle descend là aussi. Malheureusement, mais amis sont là et m’empêchent de poursuivre ma tentative de rapprochement. J’ai juste le temps de lui demander son prénom finalement. Elle me sourit en me faisant une bise et en chuchotant Kennedy. Ce geste me pousse à lui demander si elle comptait faire du volley. Dans notre discussion, elle m’avait annoncé en faire et je prétendis vouloir voir si son service était aussi bon qu’elle le prétendait d’un air moqueur. C’était le moment décisif et elle me fixa rendez vous le dimanche, c’était dans deux jours).

Je venais à peine d’arriver que j’avais déjà un rendez vous avec une déesse, ce qui semblait plus que prometteur. Vu la tête de mes camarades, il semblait bien que j’avais trouvé une perle rare. Mes potes me déposent à notre hôtel puis me proposent directement de me préparer pour une soirée. Je me pose tranquillement et je prends une bouteille d'alcool pour la soirée.

On arrive là-bas un peu plus tard, dés qu'on arrive tout le monde était déjà en train de faire la fête. Mes amis me servent à boire et viennent me parler alors que la soirée progresse.

Un de mes amis me présente une fille, à laquelle je mets 7.5/10 parce qu'elle était vraiment trop mignonne. Mais sur le coup, je n’y faisais pas très attention trop occupé à repenser à cette beauté du car. Sur le coup, Alice (c’était son prénom) ne me tiltait pas. Elle était assez petit 1m55, yeux marron, brune et avait une sorte de chignon qui masquait ses cheveux mi-long. Sa robe courte était très moulante mais sa couleur (noir avec des petits poids blancs de lui allait pas et surtout lui donnait l’impression d’avoir une poitrine toute plate.

Je lui sers un verre et me propose de boire avec elle, ce que j'accepte bien évidemment. Je me tourne et je cherche ma bouteille, mais elle est déjà vide ! Cette petite bourde la fait déjà rire et elle commence déjà à se tortiller les cheveux. On trouve une autre bouteille et on discute. J'en profite pour la taquiner sur sa petite taille et le fait qu’elle n’ait pas de talons. Elle le prend et me donne un petit coup d'épaule. Je l’emmène ensuite danser et en profiter pour lui caresser le dos. Je baisse ma main et m’arrête avant d’atteindre ses fesses par courtoisie. Elle me fait un clin d'œil, genre elle est pour toi. Instinctivement, je l’embrasse puis pendant que nos langues se rencontrent agrippe ses fesses pour m’accaparer ma proie.

On continue la soirée tranquille, puis je propose à Alice de venir prendre un verre dans ma chambre. Oui, ce n’est pas très subtil mais on voulait la même chose. Elle doit juste passer aux toilettes avant.
Je l’attends dehors, où je trouve et pote qui fume une clope. On discute :

Tu va la chopper ?
Je pensais qu’il parlair d’Alice. Tu me la présentais pour ça non.
Non, la bombe avec qui tu discutais en sortant du bus.
Ha Kennedy. Je ne sais pas, je ne pense pas que ce soit possible de coucher avec elle sans être en relation.
C’est un sacré morceau en tout cas.

Mais Alice viens m’être un terme à notre conversation et je l’emmène dans ma chambre. Une fois rentré, je lui prends les cheveux et les tirent vers le bas, elle laisse son visage orienté vers le haut, je lui mords le cou et commence à remonter lentement avec ma langue jusqu'à son oreille, puis je repars en direction de sa bouche. Même pas le temps de partir de l'oreille, elle m'attrape les cheveux et me fait la même chose, se jette sur moi et commence à m'embrasser fougueusement.

Alice commence déjà à me palper l’entrejambe et peut sentir l’effet qu’elle me fait. Je déboutonne mon pantalon puis l’enlève. On continue de s’embrasser pendant qu’Alice malaxe mon sexe à travers mon boxer.

Il est à toi, si tu en as envie.

Elle ne se fait alors pas attendre et ouvre mon boxer pour agripper mon sexe puis enfoncer sa bouche dessus directement au 2/3 pour commencer ses vas et viens. Je n’ai pas besoin de lui enfoncer la tête, elle se débrouille à la perfection.

Je ne peux m’empêcher de lui dire. Allez va y frotte moi ça. Ca ne la gène pas et accélère le mouvement. J’en profite pour lui détacher les cheveux et caresser sa magnifique chevelure li tombant jusqu’aux épaules. Alors qu’elle continue son œuvre, je commence à lui soulever sa robe pour découvrir un string ficelle orange et es fesses bien fermes à caresser. Je parviens à ôter s robe à Alice et me préparer à lui faire un cuni, mais elle demande d’attendre pour poursuivre sa gâterie.

Elle n’avait pas fini sa pipe et changea de position pour se mettre à genoux et reprendre des vas et viens rapides qui descendaient jusqu’aux couilles. Je profitai de ce bonheur de tomber sur une fana de la fellation, ce qui était pour moi assez rare. Je ne faisais rien et pourtant elle empalait littéralement sa bouche sur mon sexe.

Bien que cette sensation fût exquise, je fus contraint de l’arrêter pour ne pas éjaculer dès les préliminaires. Je la plaque d’un geste brusque sur le lit, lui bloquant les bras pour montrer ma volonté de reprendre des choses en main. Je me lance à la conquête de son corps par plusieurs bisous le long de son corps en commençant par le cou puis descendant jusqu’au vendre. Je m’approchais de son string et du trésor qu’elle cachait en dessous mais je fis durer le plaisir en embrassant ses cuisses. Alice me caressa les cheveux et commença à attirer ma tête vers son sexe.

Le moment était venu de me lancer à l’assaut. Je commence par embrasser son string avant de l’écarter pour laisser apparaître un minou rasée que j’écarte avec 2 doigts pour pouvoir lécher ses petites lèvres en remontant vers son clitoris puis faisant des vas et viens. Je me rends rapidement compte qu’Alice est clitorienne et me penche d’avantage dessous par de petits coups de langues répétés. Sa respiration devenant de plus en plus intense, je me rendais compte de l’effet que je lui faisais, ce qui m’encourageait à poursuivre. Commençant à sentir sa mouille, je m’arrêtais à mon tour.

Je voulais lui enlever son soutif mais elle profita de cette pose pour se placer à 4 pattes. Bien qu’elle ne disait rien, le geste était claire. Je lui enlève donc son string puis posant mes mains sur ses fesses et frotte son sexe sur sa fente. Malheureusement, il ne disait toujours rien et mon fantasme d’homme dominant volait absolument l’entendre demander de la pénétrer. Je l’a fit donc attendre en li refaisant un cuni en levrette. Malgré le plaisir, je voyais bien une frustration doublé d’excitation dans l’attitude d’Alice. Malgré ma folle envie, disons crument de la prendre sauvagement, je profitais de ce moment où une femme n’attendait que cet instant.

Alors que je poursuivais mon cuni, mon nez commençait à toucher son anus et il me vint alors l’envie de tenter une autre approche plus salace. Je remonte ma langue pour me rapprocher de son anus en écartant ses fesses. Malgré l’évidence de cette approche, Alice ne montra aucun signe de résistance et me laissa lécher son anus. Mon objectif final était alors clair, je devais jouir dans cet anus qui s’offrait à moi.

Cette idée me bouscula et me mit un terme aux préliminaires. Je fis relever Alice pour enfin lui ôter son soutif. Elle avait de petits seins avec peu d’auréoles mais qui pointaient bien. Je ne pus m’empêcher de croquer ses tétons, mais l’envie était trop forte d’enfin la pénétrer que je ne m’y attardai pas.

Je m’assois sur le lit et Alice vient placer son sexe au dessus du mien. Mon cunni lui permit de s’enfoncer totalement sans problème et sans un gémissement. Elle commença avec une grande dextérité les vas et viens sans mon aide. Cette facilité montrait qu’Alice était habituée à pratiquer dans cette position. Si les premiers mouvements ne semblaient pas lui faire de l’effet, elle commença à gémir des le 5-6èmme allers-retours. Elle continua d’accélérer au point de faire claquer ses fesses sur mes cuisses, le bruit sourd du contact supplantant ses gémissements.

Avec l’accélération, ses gémissements devinrent des cris, ce qui augmenter mon excitation. Je sentais mon sexe encore gonfler dans sa chatte. Elle était exquise sur cette position. Elle tournait la tête pour me regarder. Elle était malheureusement trop éloigné pour que nos langes se rencontrant. Cette frustration de ne pouvoir l’embrasser renforçait mon envie d’autant plus que je voyais son visage se perdre dans le plaisir qu’elle prenait en s’empalant sur mon sexe. Je me trouvais passif face à ce spectacle jouissif. Alice n’était pas vulgaire, jamais de remarques tirées de films pornos, comme « ton sexe est si bon, va y défonce moi comme une chienne… », mais le fait de la voir prendre autant de plaisir m’excitait autant que ces vulgarités, dont j’étais pourtant adepte.

Alice commença néanmoins enfin à « parler » poussant de petits « oui » ! Je profite de ce changement pour malaxer ses seins tout en la laissant poursuivre prendre son pied, lui pinçant les tétons à plusieurs reprises. Je ne peux pas dire le temps qu’elle prit sur moi dans cette position, mais on dépassa certainement les 15 minutes. Mon endurance menaçant de lâcher, je voulus changer de position.

Alice se plaça alors allongée sur le dos, les jambes en l’air. J’enfonçai à nouveau mon sexe dans sa chatte, callant mes mains sur ses jambes. Ma bite rentre comme du beurre et je me lance directement dans une pénétration profonde et rapide. Alice se remit immédiatement à gémir à chaque pénétration. Je l’avais cette fois ci face à moi et je voyais contempler avec bonheur le plaisir que je lui procurais. En dehors de ses cris qui devenaient stridents, son sourire était un pur plaisir à regarder. Cette fois ci pas de doute, c’est bien moins qui lui fait prendre son pied. Je n’osais pas faire claquer mes couilles sur ses fesses mais à ma surprise Alice me demanda d’aller plus fort. Enfin le signe qui relâcha mon côté bestial. J’entendis à nouveau mon corps claquer contre le sien et voyait Alice serrer les mains à chaque pénétration toujours avec le sourire. Elle était vraiment douée et montrant le plaisir que je lui donnais, elle ne faisait que renforcer ma volonté.

Je sentais le final arriver et je ne voulais pas oublier son anus. Alice se mit en levrette et me décida à tenter le tout pour le tout profitant de l’excitation. Je commence par lui refaire l’amour dans sa chatte mais après quelques secondes, lécha un doigt pour lui enfoncer dans l’anus. Alice ne proteste pas alors je poursuis la pénétration. Je ne sais pas si l’excitation favorisa la chose mais son anus se dilata rapidement au point de permettre de faire rentrer 2 doigts.

Je ne peux alors plus attendre, je sors mon sexe de sa chatte pour le présenter devant son anus. La pénétration est alors plus délicate. Sentir cette paroi serrée était un pur bonheur mais la progression était difficile. Je m’enfonce alors jusqu’à la moitié de mon sexe dans anus pour commencer les vas et viens. Les gisements d’Alice ne laissaient pas sous entendre une trop forte douleur et je parvins rapidement à trouver un rythme de pénétration rapide. Alice criait encore plus fort mais pour me rassure poussait aussi souvent des « oh oui », ce qu’elle faisait peu jusqu’alors. Sans m’en rendre compte, j’enfonce mon sexe entièrement en elle jusqu’à faire claquer mes couilles sur ses fesses. Je me lance alors dans le grand final dans des mouvements frénétiques. Pris par l’excitation et la volonté d’asseoir mes fantasmes de dominateur, je pris Alice par les cheveux tout en l’enculant. Ca y est, son corps étai tout à moi et m’offrait l’un de mes gros fantasmes. Je ne pus aussi m’empêcher de lui claquer ses fesses au point de les faire rougir. Malgré tous ces gestes, Alice restait à 4 pattes à gémir jusqu’à mon éjaculation.

Celle ci faite, je revins faire Alice en mode câlin pendant de longues minutes en revenant à de doux baisers, avant de nous endormir.

Cette histoire clôt cette première journée. Si elle vous a plu je poursuivrai le récit de ces vacances torrides avec la poursuite de mes approches sur Kennedy et d’autres filles…

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Trop mignon le garçon. Je dis ça à cause de la fin où il y a eu des calins et des baisers.

Histoire Erotique
Un parfum immuable de souvenirs de vacances. Je revis 1 peu les déjà lointaines ( pour moi ) années 80.
Malgré une certaine fanforonnade, dûe pour l'essentiel à votre âge, je crois percevoir malgré tout une certaine tendresse.
Je suis pourtant un peu frustré : pour plus de réalisme, je m'attendais à davantage de "rateaux".
Au plaisir de lire la suite



Texte coquin : Des vacances torrides (1ere partie) : L'arrivée en Vendée et la première nuit agitée
Histoire sexe : Une rose rouge
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