La femme de ménage à mon boulot (2)

- Par l'auteur HDS Pourquoi pas -
Auteur homme.
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Récit libertin : La femme de ménage à mon boulot (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-12-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(9.0 / 10)

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La femme de ménage à mon boulot (2)
La veille j'ai fait l'amour avec la femme qui vient faire le ménage sur mon lieu de travail...


Le lendemain je ne sais plus quelle attitude adopter avec Valérie et j’appréhende de la voir. Je l’évite tant que je peux mais nous finissons par nous croiser.
« Tu es parti bien vite hier soir. »
« Euh… et bien en fait je suis mal à l’aise. »
« Tu as honte de ce qu’on a fait ? »
« Non pas du tout. J’ai trouvé ça génial. Mais… c’est moi qui n’ait pas été génial. »
« C’est vrai que je m’attendais à autre chose mais tu m’as permis une chose : me rendre compte que je pouvais encore attirer les hommes. Et ça c’est génial. »
« Ouf je me sens mieux. J’avais peur que tu le prennes mal. »
« Ne t’inquiète pas ; tu as un joli petit oiseau dans ton caleçon et j’ai très envie de le revoir. »
« D’accord, quand tu veux. »
« Maintenant ! »
« Comment ça ‘maintenant’ ?
Elle pose sa main sur mon pantalon et ouvre ma braguette pour sortir mon sexe déjà au garde-à-vous.
« Eh ! Pas ici, la porte est ouverte, on pourrait nous surprendre. »
« Et alors ? Tu n’aimes l’excitation que procure le risque d’être vu ? Fais moi un peu de place, je vais me cacher sous ton bureau. »
Elle se glisse sous mon bureau et branle ma verge toujours bien dure. Je m’avance sur le bord de la chaise car il n’y a pas beaucoup de place et je sens la langue de Valérie s’activer sur mes boules. Ca m’excite de la voir passer sa langue sur mon sexe. J’entends des bruits de pas dans le couloir, je m’avance bien sous le bureau, j’attrape un stylo et je décroche le téléphone pour faire semblant d’être occupé. C’est un collègue qui passe la tête par la porte de mon bureau, il voit que je suis au téléphone et me dit qu’on se verra plus tard. C’est le moment que choisit Valérie pour engouffrer mon sexe dans sa bouche. Aaaaahhhhh. Ne pas bouger, continuer de respirer et vite trouver quelque chose à dire dans le téléphone pour ne pas paraître suspect. Mon collègue s’éloigne, pourvu qu’il n’ait pas entendu les bruits de la pipe que me fait Valérie. Elle continue d’avaler ma queue et ne s’arrête qu’au moment où je vais éjaculer. Il s’en fallait de quelques secondes pour que je déverse mon sperme dans sa bouche. Elle sort de sous mon bureau avec un grand sourire, elle m’embrasse et elle s’en va. Je me remets doucement de mes émotions et je me mets à travailler pour de vrai mais j’ai l’esprit ailleurs. Je ne revois pas Valérie ce soir là mais je n’ai aucun doute sur la suite des évènements : elle aime le sexe alors je vais en profiter au maximum.
Quelques jours passent avec toujours de bonnes conversations entre nous qui dévient souvent sur le sexe. Il y a aussi quelques baisers volés, des caresses furtives et un peu d’exhibition quand elle me montre un sein ou que je sors mon sexe. Mais rien de plus. Ce n’est pas grave, je sais qu’elle a envie de sexe alors je m’adapte à son rythme et tous ces petits gestes m’excitent beaucoup. Viens une journée où je me rends dans les vestiaires pour faire pipi. Pas de chance Valérie a mis son chariot de ménage devant l’entrée pour en barrer l’accès. Elle lave le sol alors elle ne veut pas que les gens marchent sur le sol mouillé. J’allais faire demi-tour quand elle m’aperçoit et me fait signe de la rejoindre.
« Viens, n’aies pas peur. »
« Je ne voulais pas te déranger pendant que tu travailles. »
« Mais toi tu ne me déranges jamais. »
Je me place devant un urinoir pour faire pipi quand je sens une main se poser sur ma braguette.
« Attends, je vais t’aider. » Et Valérie ouvre ma braguette puis sors mon sexe. Elle se met à genoux devant moi et engouffre mon sexe dans sa bouche. En une demi-seconde je suis en érection. Ce n’est pas romantique de se faire sucer devant un urinoir mais elle est très efficace. En trois minutes j’ai envie d’éjaculer. Je la préviens alors elle se relève et elle me tire vers l’urinoir en me tenant par la bite. Je suis dans la position pour faire pipi et Valérie se met à me branler énergiquement. Je me laisse faire et j’éjacule dans l’urinoir.
« Allez, remballe ce petit oiseau » me dit-elle avec un grand sourire.
C’est ainsi vidé que je reprends mes activités professionnelles.
On se croise ainsi 2 ou 3 fois par semaine dans les vestiaires. Je guette le moment où elle positionne son chariot en travers du passage pour aller la rejoindre. Je sais qu’on ne sera pas dérangés mais en même temps il y a l’excitation d’être découverts par quelqu’un qui forcerait le passage.
Aujourd’hui elle nettoie la douche se trouvant dans le vestiaire. Elle m’a entendu arriver mais elle continue de frotter le bac de douche. Elle est penchée en avant et j’ai une imprenable sur ses fesses. Je lui saute presque dessus, je fais descendre son legging sur ses chevilles découvrant un joli string noir. String qui tombe lui aussi sur ses chevilles. Elle se laisse faire et elle ne bouge plus. J’embrasse ses fesses puis je joue avec ma langue dans sa raie. J’essaye d’atteindre son sexe mais ce n’est pas facile dans cette position alors je lèche son anus.
« J’adore le sexe oral. Continue avec ta langue. » dit-elle dans un souffle.
Je m’active donc à passer ma langue sur son petit trou et à la rentrer dedans pendant que mes doigts se frayent un chemin dans sa chatte humide. Elle bouge le bassin et elle appuie contre ma langue. Je mets deux doigts dans sa chatte et je joue avec son clitoris. Elle halète quand…nous entendons quelqu’un qui déplace le chariot. Je relève son legging à toute allure et je saute derrière le rideau de douche. Valérie repositionne sa blouse et se dirige vers l’entrée du vestiaire. C’est un gars qui veut accéder à son casier mais elle le repousse fermement en lui expliquant que le sol est mouillé et qu’il va laisser des traces partout. Elle revient me chercher une fois que l’importun est hors de vue. Nous éclatons de rire dans la douche. On a eu chaud.
« Viens chez moi ce soir, on sera plus tranquille. Allez, retourne à ton bureau. »
20h30, je sonne chez Valérie. Elle m’accueille avec son legging moulant, elle a à peine le temps de fermer la porte derrière moi que mes mains sont déjà sur ses fesses. Elle recule jusqu’à son canapé où elle se couche sur le dos. J’enlève son legging et son string pour découvrir sa chatte aux poils sombres. J’effleure ses cuisses avec mes lèvres en descendant lentement vers sa chatte. Je plonge ma langue au milieu de cette jungle et je cherche le clitoris. Je ne sais pas combien de temps ça dure mais elle aime ça et moi aussi alors je ne m’arrête pas. Elle fait reposer ses pieds sur mon dos pendant que je suis à genoux devant le canapé. Elle relève les fesses et pousse ma tête vers le bas. Je comprends qu’elle veut que je m’occupe de son anus. Ma langue vient pousser cet anneau fripé et le titiller. Valérie me tient la tête et appuie dessus pour que je m’enfonce en elle. Ce petit jeu dure un moment que je ne sais pas mesurer. Mon sexe me fait mal. Je le sors de mon caleçon tout en léchant cette belle chatte. Je me redresse et je place ma bite devant son petit trou bien lubrifié par ma salive. Je l’interroge du regard et elle me fait signe que je peux y aller. J’appuie de plus en plus fort jusqu’à sentir son anus céder sous la pression. J’entre petit à petit, je laisse son corps s’habituer à cette intrusion puis je fais des vas-et-vients. Très rapidement Valérie pousse de petits cris. Cela m’encourage à continuer, j’essaye de tenir le rythme et Valérie se caresse pendant que je la sodomise. Il n’en faut pas plus pour que nous ayons tous les deux un orgasme. J’éjacule dans ses entrailles et elle s’effondre sur le canapé. J’attrape un mouchoir en papier sur la table basse pour éponger le sperme qui commence à couler de son anus (je sais, ce n’est pas très glamour mais on fait comme on peut). Nous sommes couchés l’un contre l’autre sur ce canapé et je suis à deux doigts de m’endormir tellement la vague de plaisir m’a fait du bien. Je regarde Valérie filer sous la douche, je l’observe quelques instants pendant qu’elle se savonne puis je l’embrasse pour lui dire aurevoir.
Les jours suivants sont encore agrémentés de caresses, de mains baladeuses et de petits baisers. Il y a une vraie complicité entre nous et nous nous excitons en inventant des scénarios coquins. Elle m’a branlé dans mon bureau à travers mes vêtements jusqu’à ce que j’éjacule dans mon caleçon. Elle a relevé sa jupe en vidant ma poubelle pour que je puisse voir sa culotte. Culotte que je lui ai confisquée l’obligeant à finir la journée les fesses et le sexe à l’air libre.
Tiens, elle nettoie le vestiaire des femmes. Personne en vue ; je me faufile à l’intérieur. Elle me voit arriver et me fait les gros yeux.
« Tu es fou. Et si quelqu’un te voit ? »
« Mais non personne ne viendra. Au pire j’inventerais une excuse bidon. »
Nous allons au fond du vestiaire et elle ouvre la porte de son casier pour nous cacher un peu. C’est dérisoire vu la taille de la porte mais c’est sans doute ce qui nous sauva alors qu’elle était en train de me faire une pipe dont elle a le secret. Je suis debout devant son casier ouvert, le sexe bien dur et Valérie faisant coulisser sa bouche dessus quand deux filles entrent dans le vestiaire. Elles s’arrêtent dans la partie ‘toilettes’ mais elles voient Valérie devant son casier et elles entament la conversation. Je me planque comme je peux, je suis presque à l’intérieur du casier. Pourvu que les deux filles n’approchent pas sinon nous sommes grillés. Ouf, la conversation tourne court et je peux enfin respirer. Mon érection n’a pas perdu de sa vigueur et Valérie reprend sa fellation comme si nous n’avions pas été interrompus. Je la fais se mettre à quatre-pattes sur le banc du vestiaire avec l’idée de la prendre en levrette. Ses fesses ont beau ne plus être très fermes j’ai quand même une envie folle de les pétrir. Mes mains font des massages appuyés sur son postérieur et j’approche ma langue de son sexe. Je viens titiller son anus avec une petite idée derrière la tête. Elle est offerte devant moi et je voudrais bien la sodomiser. Je me relève et place mon sexe sur sa rondelle mais elle me tape sur la cuisse en me disant qu’elle va crier si je la prends par là. Elle passe sa main entre ses cuisses, elle saisit ma verge et la fait descendre vers l’entrée de sa chatte. Il me suffit d’appuyer légèrement pour coulisser dans son intimité humide. Elle laisse ses doigts à l’entrée de sa chatte enserrant mon sexe. J’ai l’impression d’être encore plus serré que lors d’une sodomie. La forte pression de ses doigts suivie par le contact chaud et humide de son vagin est une véritable extase. Je finis par éjaculer en elle assez rapidement. Je me rhabille très vite pour ne pas rester trop longtemps dans ce vestiaire et je me rends compte plus tard dans la journée que j’ai une tâche de sperme sur un pan de ma chemise.
En nous revoyant quelques heures après nous décidons de ne plus faire l’amour au boulot. C’est trop risqué, on va finir par se faire remarquer par contre nous continuons nos caresses coquines et je vais souvent chez elle profiter de son lit ou de son canapé.
Cela a duré plusieurs mois pendant lesquels j’ai appris beaucoup de choses sur le sexe. J’ai adoré faire l’amour avec cette femme mûre, elle savait ce qu’elle voulait et elle prenait les choses en main. Avec le recul je me rends compte que je lui ai servi de jouet sexuel mais cette situation me plaisait. Peut-être qu’elle voulait aussi se rassurer sur sa capacité à plaire.
Malheureusement je me suis fait licencier et j’ai changé de région pour trouver du boulot. Cet éloignement forcé à mis un terme à notre relation mais j’en garde de merveilleux souvenirs. Valérie, si tu te reconnais dans cette histoire, fais moi signe.

Seulement dans tes rêves.

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