Aventure rocambolesque - chapitre 3

- Par l'auteur HDS TITI ET GROS MINET -
Auteur homme.
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Récit libertin : Aventure rocambolesque - chapitre 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2014 dans la catégorie A dormir debout
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Aventure rocambolesque - chapitre 3
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Chapitre 3

Un samedi soir, Un garçon assez joli, m’a dragué en m’offrant à boire, je l’ai laissé faire, nous avons dansé, pas mal bu puis il m’a embrassé. C’était très agréable et l’alcool aidant, je me suis laissé faire. Il m’a caressée et faite jouir dans la boite au milieu de tout le monde, j’étais tellement saoule et excitée que j’aie accepté de sortir avec lui. Il m’a raccompagné jusqu'à mon appartement en me caressant et m’embrassant, c’étais si merveilleux qu’une fois chez moi, je l’ai laissé entrer et nous nous sommes mutuellement déshabillés, j’étais tellement excitée que je lui ai imposé de me prendre très vite. Quand est parti chercher une capote je lui ai demandé de revenir et de me faire l’amour tout de suite, j’en avais trop envie. Je n’en pouvais plus d’attendre, je l’ai forcé à venir sur moi pour qu’il plonge au plus profond de mon intimité et j’ai tout de suite jouis. Mon plaisir ne s’est pas arrêté, il n’a fait qu’augmenter pendant tout le temps ou il m’a fait l’amour c’étais fantastique, nous avons jouis très fort tous les deux en même temps et nous nous sommes endormis assommés par l’extase et aussi surement un peu par l’alcool que nous avions bu.
Quand je me suis réveillé le matin j’avais très mal a la tète, la bouche pâteuse, quand je l’ai vu dormir a coté de moi, il m’a fallu un moment pour me rappeler ma soirée, je me sentais toute mouillée entre les jambes, j’y aie porté la main, c’étais tout poisseux. Je l’ai secoué pour lui demander s’il avait mis un préservatif et la, il m’a soufflé en me répondant :
- Non, je n’ai pas eut le temps de le mettre, tu étais tellement pressé que tu n’as pas voulu que je l’enfile et tu as insisté pour que je te prenne tout de suite.
J’ai du devenir toute pale en pensant aux risques que je courrais, je ne prends rien pour me protéger. Il s’est inquiété :
- tu es malade ou quoi, tu es toute pale.
- Je suis pale parce que j’ai peur.
- Peur de quoi ?
- D’être enceinte à cause de hier soir.
- D’être enceinte ? ce n’est pas possible, tu ne prends rien ?
- Non, bien sur et je pensais que t’avais un préservatif.
- J’en avais mais tu n’as pas voulu attendre que je le mette, je pensais que tu prenais la pilule.
- Non, je ne prends rien et c’est sur, je vais me retrouver en cloque a cause de toi.
- Non, pas a cause de moi, c’est toi qui n’a pas voulu attendre.
- Je ne veux pas être enceinte, tu aurais du te retenir.
- Ah, non, ne t’en prends pas a moi, c’est toi qui a insisté pour que je te prenne tout de suite, si tu m’avais prévenu que tu ne prenais rien, je me serais méfié et j’aurais mis la capote ou je me serais retiré. Mai la, tu n’a rien dit et tu m’a tellement bloqué au moment de jouir que même si j’avais voulu, je n’aurais pas pu me retirer. Si t’es en cloque c’est de ta faute, moi, j’y suis pour rien.
- Si, si on en est arrivé la, c’est de ta faute, c’est toi qui m’a faite boire.
- Oui je t’ai offert des verres mai tu aurais du les refuser. Regarde, je savais que j’avais bu et on est rentré a pied, je n’ai pas pris ma voiture, boire ou conduire il faut choisir. Et pour toi, il faut plutôt dire boire ou baiser il faut choisir. Quand tu as un verre dans le nez, tu ne te contrôle plus. Bon il se fait tard, il faut que je rentre.
Sur ces mots il est sorti du lit, s’est rhabillé puis il est parti en me disant :
- A la prochaine, fait ce qu’il faut pour ne pas trop grossir et après tu pourras me retrouver, je suis tous les samedi soir a la boite. Et on pourra reprendre notre pied ensemble si tu veux, en se protégeant bien sur si tu le désire vraiment.
Après son départ, je suis partie me laver. Pendant ma toilette, je me suis mise à rire en pensant a Marie qui s’étais donné tan de mal pour que je me retrouve en cloque et que maintenant par accident, ça risquais d’arriver. Une bonne heure plus tard, quelqu’un a sonné a ma porte c’étais le garçon qui m’avais fait l’amour pendant la nuit. Il portait un sac avec des croissants. Il m’a dit :
- On ne peu pas se quitter comme ça, tu as du café ?
- Oui, je viens juste de le préparer.
- Tu m’invite à le boire ? on pourra discuter, voila les croissants.
- Si tu veux, entre.
J’ai apporté le café, nous avons mangé ses croissants tout en discutant puis il s’est levé et a fait mine de partir, je me suis approchée de lui pour lui faire la bise et le remercier pour ses croissants et la, je ne sais pas ce qui s’est passé, il m’a prise dans ses bras, et m’a embrassé goulument. C’était très bon. Ses mains se sont mises à me caresser et je me suis abandonnée au plaisir. Nous nous sommes rapidement retrouvés nue sur le lit et il m’a pénétrée. Je me suis un peu débattue pour le faire sortir et l’obliger à mettre un préservatif. Il m’a chuchoté à l’oreille :
- au point ou tu en es, c’est totalement inutile, profite du plaisir que je te donne.
Je me suis totalement abandonnée dans ses bras. J’ai jouis plusieurs fois avant de sentir sa jouissance me remplir puis il s’est retiré mais n’a pas arrêté de me caresser. Au bout d’un moment il bandait a nouveau et a replongé en moi pour me faire décoller une nouvelle fois.
Nous avons fait ça toute la journée, l’amour, un peu de repos et encore l’amour. Vers midi, j’étais tellement épuisé que malgré toute son attention, je n’arrivais plus à jouir, il s’est arrêté, a attrapé des pastilles dans sa veste, les a mis à fondre dans deux verres d’eau puis il m’en a donné un et a avalé l’autre. Après avoir fini son verre il m’a regardé et a dit :
- Avale vite ce truc puis vien me rejoindre, il reste des croissants.
Je me suis exécutée. Environ une demie heure après, c’est comme si j’avais le feu dans le ventre, je n’avais qu’une envie : faire l’amour. Et c’est ce que nous avons fait jusqu’au soir. Ça a été la journée la plus jouissive de toute ma vie.
Avant qu’il parte je lui ai demandé de me laisser quelques comprimés. Il n’en avait plus et m’a promis de m’en rapporter.
Le lendemain matin dans ma boite aux lettres j’avais une enveloppe à mon nom avec une dizaine de pastilles à l’intérieur et un petit mot me remerciant pour cette si merveilleuse journée en bas du mot son numéro de portable. Je les ai rangées dans mon tiroir à secrets.

Les jours suivants j’étais partagée entre l’angoisse d’être enceinte et la joie de l’annoncer à Marie, j’attendais mes règles. Je les ai enfin eut et me suis promis a moi-même de faire beaucoup plus attention la prochaine fois.

Je continuais à prendre et a donner du plaisir avec certaines de mes clientes dans mon institut mais j’ai remarqué que ce que j’aimais le plus c’était de sentir un homme se vider les burnes au fond de mon ventre. Je n’en revenais pas, Marie avait fait de moi une vraie salope.

Il y a une autre aventure que j’ai eut pendant que Marie était en clinique. La aussi, j’ai failli me retrouver en cloque mais ça n’a pas marché.
C’est en boite que j’ai rencontré ce garçon, il était très beau, sportif, sympa. Il m’a invité à passer le week-end a la montagne avec lui. J’ai acceptée.
Vers midi, après une matinée de marche assez fatigante, nous avons fait une étape pour manger au bord d’un lac, c’étais merveilleux. Il faisait très beau, Je me sentais bien dans ses bras, j’aimais beaucoup qu’il m’embrasse et me caresse, nous nous sommes endormis l’un contre l’autre sous le soleil. A notre réveil une bonne heure après le temps avait changé, de gros nuages noirs annonçaient un bel orage et la température avait bien baissée. Rapidement nous avons récupéré nos affaires pour reprendre la marche vers un refuge, nous venions juste de commencer a marcher que les premières gouttes sont tombées. En quelques minutes nous étions trempés. Au bout d’une demi-heure de marche sous une pluie battante, Éric mon copain a forcé la porte d’une vieille bergerie pour que nous puissions nous abriter. Je grelottais de froid avec mes vêtements tout mouillés. Pour nous réchauffer il a allumé un feu dans une espèce de cheminée avec de la paille et des buches qui étaient la. Après avoir allumé le feu il s’est déshabillé pour faire sécher ses vêtements et m’a demandé d’en faire autan j’ai un peu hésité puis comme il me proposait une couverture pour me couvrir, j’ai tout enlevé ne gardant sur moi que ma culotte. Il a étendu tout le linge autour du feu puis il est venu me prendre dans ses bras. Malgré la couverture j’avais très froid, il a pris une bouteille dans son sac et m’a fait boire, c’étais très fort, mai bon, je sentais comme une brulure dans mon estomac. Il a insisté pour que j’en boive un peu plus, pour me réchauffer, je me suis exécuté et c’est vrai je me sentais un peu mieux, j’avais moins froid mai ma tète tournait. Ensuite il a attrapé une sorte de tube de pommade et s’est mis a me masser les épaules avec, c’était surprenant, j’avais l’impression que ma peau prenait feu sous ses mains, petit a petit, je n’avais plus du tout froid bien au contraire, je ne savais pas si ça provenais de l’alcool qu’il m’avait fait boire ou de ses massages mais je me sentais toute bizarre, je sentais ma poitrine se gonfler et mon sexe s’humidifier, je ne voulais plus qu’il s’arrête de me masser en m’embrassant. Ses mains qui n’arrêtaient pas de me caresser sont descendues vers ma culotte bien humide et me l’ont retiré, je n’étais plus moi même, je n’avais qu’une envie c’est que ça ne s’arrête jamais. J’ai du jouir deux ou trois fois sous ses caresses avant qu’il me pénètre, c’étais fantastique, je n’avais jamais eut autant de plaisir. Au bout d’un moment il s’est retiré pour remplacer son sexe par sa bouche, c’étais presque meilleur j’ai été submergée par un orgasme fantastique. Après un moment il est revenu en moi et a nouveau le plaisir m’a envahie jusqu’au moment ou il s’est vidé entièrement dans mon ventre, j’ai adoré sentir son foutre brulant m’inonder. J’étais totalement soumise a cet homme qui m’avais donné autant de plaisir, je me suis baissée et me suis mise à lui nettoyer le sexe avec ma langue, rapidement il s’est remis à gonfler, il était devenu tellement gros que j’avais du mal à le prendre dans ma bouche, il a du s’en rendre compte car il s’est reculé pour m’embrasser et me pénétrer une nouvelle fois. C’étais merveilleux, à nouveau, le plaisir m’envahissait, je n’arrêtais pas de jouir sous ses coups de boutoirs au fond de mon vagin, je sentais le jus de sa précédente éjaculation gargouiller dans mon utérus, c’étais merveilleux l’orgasme m’envahissait totalement et il a explosé me remplissant une nouvelle fois de son jus brulant. Je me sentais prête à faire tout ce qu’il voulait pour avoir encore droit à un tel moment de jouissance. La pluie s’étais arrêté, il commençait à se faire tard, nous avons repris nos vêtements en partie séchés et nous avons repris notre marche vers la voiture.

Le lendemain il est venu voir si je ne m’étais pas enrhumée dans la montagne, a peine étais il dans ma chambre que je lui ai sauté au cou pour l’embrasser et le caresser, il m’a déshabillée, caressée, et m’a possédé comme un fou j’ai adoré ça mais j’ai eut beaucoup moins de plaisir que dans la montagne, après m’être remise, j’ai vu le préservatif usagé par terre a coté du lit. Je comprends mieux la différence de plaisir. Je n’ai pas eut ma dose de foutre au fond du ventre, il est resté dans la capote. Après m’avoir baisée il est reparti. Je ne l’ai plus revue.

Marie est sortie de la clinique, elle semble aller beaucoup mieux. Pour fêter son retours, nous avons fait l’amour toute les deux toute la soirée. Après avoir bien jouis elle m’a dit :
- Il faudrait que je te trouve d’autres hommes pour te féconder, j’aimerais tant avoir un enfant avec toi.
Rapidement elle a mis en place des rendez-vous et je jouissais presque tous les soirs. Mais pas de grossesses en prévision. Puis un soir alors que je commençais a décoller avec un grand bonhomme qui avait une allure de bucheron, j’ai attrapée Marie, je l’ai déshabillée et pendant que l’homme me butinais la moule je me suis mise a la chauffer un maximum. Quand il a voulu me prendre, j’ai poussé Marie et j’ai guidé son chibre en elle. Elle s’est un peu débattue puis petit a petit le plaisir l’a envahie, comme elle se débattais moins, je l’ai lâché et je me suis mise a la caresser a la fin elle a jouis très fort en même temps que l’homme tout au fond de son ventre.
Elle était comateuse, je l’ai poussée sur le coté et j’ai sucé le mec pour qu’il puisse me faire la même chose. Rapidement il s’est remis à bander et m’a prise, c’étais très agréable.
Après qu’il ait jouis, je l’ai aidé à se rhabiller et je l’ai raccompagné à la porte. Marie était toujours sur le canapé, elle n’était plus comateuse, elle se frottait le sexe et essayais de faire sortir d’elle le précieux jus que le bucheron avais injecté. Je me suis installée entre ses jambes et me suis mise à lui nettoyer le sexe avec ma langue. Rapidement elle s’est mise à jouir sous cette caresse. Quand elle a refait surface son sexe était tout propre et elle m’a dit
- Ne me refait jamais un truc comme ça.
- Mais tu as bien jouis non ?
- Oui, j’ai bien jouis, c’étais très bon, mais uniquement parce que tu étais la, j’ai horreur des hommes et de leur gros chibres tendus.
- Tu as tord c’est très agréable de se faire défoncer la moule par ces chibres monstrueux, et le meilleur c’est de les sentir se vider au fond de notre ventre. Tu ne me diras pas le contraire, tu as jouis très fort quand il t’a inondé a l’intérieur.
- Oui, c’est vraie, j’ai jouis très fort mais pour moi, c’est physique, je n’aime pas les hommes c’est tout.
- On va au lit ?
- Oui, j’arrive, je vais me laver et je te rejoins tout de suite, garde en toi sa semence c’est peut être ce coup ci que tu me feras un bébé.

Ça n’a pas marché, j’ai eut mes règles, par contre Marie, elle, elle a eut du retard, tellement de retard que nous sommes parties acheter un test de grossesse. Il était positif. C’est elle qui va porter notre enfant.

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