Mon histoire avec Patrick le sénégalais

- Par l'auteur HDS Amélie46 -
Récit érotique écrit par Amélie46 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Mon histoire avec Patrick le sénégalais Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-02-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Mon histoire avec Patrick le sénégalais
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Les premiers mois sont très intenses côté travail. Nous sommes, Marie et moi, à plein temps au bureau en ville jusqu’à fin janvier, puis de moins en moins par la suite. Les deux personnes sont des professionnels de la gestion immobilière et sont rapidement autonomes. Marie me forme à la partie intéressante du job, négocier les achats de nouveaux appartement, les contrats avec les intervenants pour l’entretien et les travaux, le suivi des travaux sur les constructions neuves. Nous reprenons rapidement nos marques dans le bureau du manoir. Nous ne sortons pas beaucoup, mais nous faisons souvent l’amour toutes les deux, ou avec Michel. Je vois toujours Greg de temps en temps. Parfois Marie se joint à moi avec lui, mais même à deux femmes, il nous épuise. Ce gars est un monstre sexuel. La vie s’écoule ainsi jusqu’à l’été, j’arrive à mettre en place un emploi du temps organisé entre le travail, mes rencontres tarifées et une vie sexuelle personnelle intense. Nous nous offrons même un week-end sur Paris pour faire une soirée au club antillais. La soirée est aussi merveilleuse que la première. Hélas nous apprenons que le club va être vendu. Nous n’y sommes jamais revenues depuis.

Nous arrivons fin juin, et je passe une nuit dans les bras de Greg chez moi. Le soir nous dînons avec Marie et Michel et au cours du repas Greg nous propose une soirée chez lui le week-end suivant. Quelques amis à lui doivent être là, et nous acceptons tous les trois. Malheureusement, le lendemain Michel se désiste à cause d’un déplacement professionnel qu’il avait oublié. Mais il nous encourage à y aller toutes les deux avec Marie, et nous acceptons volontiers.
Le jour de la soirée, je suis seule au manoir, car Marie est à Narbonne depuis la veille pour visiter des appartements en vente. Elle doit nous retrouver directement chez Greg en fin d’après-midi. Michel est en Italie en voyage d’affaires. Je rejoins Greg en début d’après-midi pour l’aider à préparer la soirée. Il a un grand appartement dans le centre de Toulouse dans un petit immeuble de standing.
Je l’aide à préparer une chambre, généralement réservée à recevoir des amis et juste meublée d’un lit et de deux chevets. Je dois l’aider à démonter le lit et à ranger les morceaux sur la terrasse couverte. Nous disposons 3 matelas à même le sol avec des coussins de couleur qu’il a achetés pour l’occasion. Puis nous mettons en place la salle à manger pour le dîner. J’apprends à ce moment-là que nous serons huit. Il a donc 4 copains qui viennent. Je lui pose quelques questions sur eux, il me dit juste que ce sont des blacks dans la même tranche d’âge que lui, sauf un qui est un peu plus jeune. J’aime les blacks et Marie aussi, je me dis que cinq gars pour nous deux ce sera parfait, à conditions qu’ils n’aient pas le même appétit que Greg. Plusieurs fois dans l’après-midi, Greg veut faire l’amour avec moi, mais je préfère garder mon énergie pour le soir. Je l’accompagne chez le traiteur pour récupérer la commande, car il ne cuisine pas ou très peu. Il n’y aura qu’à réchauffer le plat au micro-onde avant de servir. Vers 18h00, j’investis la salle de bain pour me préparer. Je traîne un peu dans la baignoire avant de m’habiller.
J’enfile une jupe colorée, ample et courte, un débardeur blanc à fines bretelles et des nu-pieds à talon. Je suis en train de me maquiller quand on sonne à la porte. Greg est déjà habillé et se charge de faire entrer. Quand je le rejoins, il me présente les deux premiers arrivés et j’en remarque d’entrée un des deux. C’est un grand métis 1m85, cheveux courts et je remarque de suite sa musculature impressionnante vu qu’il porte un tee-shirt très moulant. Il s’appelle Patrick, il a 27 ans et est ingénieur informatique. Son père est sénégalais et sa mère française et il vit en France depuis 6 ans seulement suite au divorce de ses parents. Il habite encore avec sa mère sur Toulouse et son père vit à Saint-Louis du Sénégal. Le second garçon est un black et ami de Greg de longue date. Je m’attarde sur tout sur Patrick, pour la suite de mes récits. Les autres arrivent tous peu après et sont tous des blacks, pure souche et de diverses origines. Je suis de suite séduite par Patrick que je trouve très beau. Comme il ne cesse de me regarder, je me dis que je dois lui plaire aussi et j’en suis ravie. Nous devisons tous les 7 en entamant une coupe de champagne pour certains dont moi, et du rhum pour certains. Marie n’est toujours pas là, et n’attendons plus qu’elle pour passer à table. Elle finit par téléphoner, elle a été retenue à Narbonne et prends juste la route à 20h00. Elle nous dit de commencer sans elle, et qu’elle nous rejoint directement dès que possible. Nous décidons de manger sans l’attendre. Le repas se passe dans la bonne humeur, sans aucune allusion sexuelle. J’apprends à faire connaissance avec les copains de Greg, surtout Patrick que je n’ai pas manqué d’installer à mes côtés. J’apprends qu’il s’occupe de concevoir et développer des logiciels dans une société de la Banlieue toulousaine. Il avait une copine au Sénégal, une noire, qui l’a suivie en France et dont il vient de se séparer peu de temps avant, celle-ci ayant préféré retourner dans son pays à la fin de ses études.
Il ‘a jamais fait l’amour avec une blanche, et n’a jamais participé à une soirée échangiste. Je me dis que je suis contente d’être la première blanche à qui il fera l’amour. Le repas se termine par un dessert que je n’aime pas, donc je n’en prends pas. J’aide Greg à débarrasser la table et à servir le café. Il met une musique de fond et allume une lumière tamisée, puis en retirant son pantalon et son caleçon il dit tout haut : « Bon, Amélie, tu n’as pas aimé le dessert, alors on va-t’en donner un autre ». Comprenant le message, je me mets à genoux devant lui et je commence à le sucer. Les autres font comme lui et après quelques minutes je passe au suivant… En arrivant au quatrième, je vois Patrick, toujours habillé. Tout en suçant celui devant qui je suis, je commence à caresser sa queue à travers son pantalon. Il finit par se déshabiller, j’en profite pour enlever ma jupe et mon chemisier, puis je le prends dans ma bouche pendant que les autres me tripotent. Son sexe est de taille respectable pour un black, mais beaucoup plus épais que la moyenne, plus que Greg même. Je ne parviens pas à prendre plus que quelques centimètres malgré que je force sur ma mâchoire pour ouvrir au maximum. Je ne me rappelle pas avoir eu aussi gros jusqu’à ce jour.
Rapidement je suis transportée dans la chambre et je me retrouve avec les cinq mâles sur moi. Je suis baisée, sodomisée copieusement, prise en double pénétration… Je joui plusieurs fois en criant. Greg, le seul à me prendre sans préservatif, éjacule dans mon cul. J’aperçois Patrick par moments, qui se caresse en regardant, mais il ne prend pas. Au bout de deux bonnes heures de ce traitement intensif, on sonne à la porte. L’arrivée de Marie est l’occasion d’une pause salutaire et bienvenue. Nous ouvrons une bouteille de champagne et très rapidement Marie se retrouve nue et entraînée dans la chambre. L’un des garçons essaie de me tirer par la main pour que je suive, mais je lui dis que j’arrive après.
Je me retrouve donc seule dans le salon avec Patrick. Je m’assois sur ses genoux, et je l’embrasse langoureusement. Je lui demande pourquoi il ne m’a pas fait l’amour, il me dit qu’il n’en avait pas eu l’occasion. Je le prends par la main pour aller vers la chambre, mais la place est bien occupée, Marie crie son plaisir. Greg me dit : « Allez dans la chambre d’amis ! » La proposition me convient plutôt car elle me permet d’être seule avec Patrick. Je prends soin de fermer la porte derrière nous et nous nous glissons sous la couette. Nous discutons tout en nous caressant et en nous embrassant souvent. Je le suce en me positionnant sur lui et en lui offrant mon sexe à lécher. J’essaye encore d’avaler son sexe, mais c’est impossible, il est trop épais. Puis au bout quelques minutes, je me tourne, en restant sur lui, je l’embrasse, il me serre dans ses bras. Entre deux baisers je lui demande si son ex lui faisait des choses aussi coquines. Il m’avoue que c’est la première fois qui est sucé sans préservatif. Devant mon étonnement, il m’explique qu’elle n’avait jamais accepté le moindre rapport, même buccal, sans préservatifs durant les presque 10 ans de leur relation surtout parce qu’elle ne voulait pas prendre la moindre contraception. De plus, il n’avait jamais eu de rapport avec une autre femme.
Il bande fort et j’ai envie qu’il me prenne, je lui demande s’il a envie de moi, mais je n’attends pas sa réponse, je saisi sa queue d’une main et la guide vers ma chatte. Je lui dis, rassurée par ce qu’il m’a appris, qu’avec moi il n’a pas besoin de capote. Il s’enfonce en moi, en me serrant dans ses bras. Je le fais aller et venir doucement en contractant mes cuisses allongées. Je me sens bien remplie par son sexe et je jouis très rapidement une première fois en criant. Il prend mes fesses à deux mains et ses coups de boutoir se font plus rapides, je sens plusieurs jets heurter le fond de mon vagin. Je me laisse tomber à côté de lui, puis je prends son sexe dans ma bouche, l’enfonçant de plus en plus profond au fur et à mesure qu’il ramollit. Je lui montre que j’avale les quelques gouttes de sperme que j’ai récupérées sur son sexe. Il continue à me caresser longuement, nous nous embrassons beaucoup.
Son sexe regonfle rapidement, et dès qu’il bande dur je suis à nouveau prête à m’offrir à lui. Je m’allonge sur le dos, cuisses largement ouvertes et je l’invite à se placer sur moi. Dès qu’il est en position, je prends sa queue dans ma main, je frotte son gland contre ma chate, puis je présente son gland devant mon anus. Je ne sais pas si ça va rentrer vu la taille et si je vais supporter, mais j’ai très envie de lui offrir ça. En comprenant ma demande, je lis dans ses yeux qu’il est content. Son gland rentre et j’ai mal, mais je serre les dents. Je tiens toujours sa queue dans ma main pour ne pas qu’il entre trop vite et trop fort. Chaque millimètre qui s’enfonce en moi me fait très mal, il le voit à mes grimaces et fais très attention. De longues minutes sont nécessaires pour qu’il entre de toute sa longueur. Puis quand il est bien au fond, je saisi ses fesses, d’abord pour le bloquer au fond sans qu’il bouge, puis pour limiter ses mouvements à de petits aller-retour. Lentement la douleur s’estompe jusqu’à devenir supportable. Je lâche ses fesses et lui dis d’y aller, que ça va. Quelques minutes suffisent à le faire venir dans mes reins. Il éjacule abondamment en longues giclées que je sens en moi. Lorsqu’il se retire j’ai mal à l’anus qui me brûle, mais je ne laisse rien paraître. Il me remercie en m’embrassant. Nous discutons encore un moment puis nous finissons par nous endormir enlacées.
Je me réveille le lendemain, il est assez tôt, à peine 10h00. En allant aux toilettes je vois que toutes les portes sont restées ouvertes. Marie et Greg sont enlacés dans sa chambre, les trois autres gars sont dans la chambre où nous avons fait des folies, tout le monde dort profondément, je ferme doucement les portes pour ne pas les réveiller. Je bois un café, puis je reviens dans la chambre ou Patrick dort encore. Je le regarde 2 mn tendrement, puis je prends une douche dans la salle d’eau.
En sortant je vois que Patrick se réveille doucement et je le rejoins. Nous nous embrassons tendrement, il me demande l’heure, il est presque 11h00. Il se lève précipitamment, il doit partir car sa mère l’attend pour déjeuner. Il prend une douche rapidement, se rhabille et s’en va après m’avoir longuement embrassée. Bien sûr nous échangeons nos numéros de portable bien décidés à nous revoir. Tout le monde dort encore et je décide d’aller à la boulangerie, juste en bas de l’immeuble, chercher des viennoiseries. Je dévalise la pauvre boulangère et je remonte chargée de croissants, de pains au chocolat et de deux grosses brioches. En entrant dans l’appartement, j’entends les cris de Marie et le lit qui bouge, elle doit subir les assauts de Greg, et je suis bien contente que ce soit elle plutôt que moi. Je mets la table et lance une cafetière. Je suis en train de déjeuner quand je vois arriver Greg et Marie, en peignoirs et transpirant abondamment.
Petit à petit tout le monde se lève et nous déjeunons en rigolant bien. Après le petit déjeuner, nous sommes prêts à remettre le couvert et nous voilà tous dans la chambre. A un moment, je suis prise en levrette, le gars se retire et vient jouir dans ma gorge, quand je sens Greg me saisir par les hanches, je veux refuser car j’ai encore très mal depuis la sodomie de Patrick, mais trop tard, il entre au fond de mon cul d’un coup. Je crie de douleur et j’essaie de le repousser, mais il me tient fermement par les hanches, je continue à crier « non » en commençant à pleurer, mais il commence à me pistonner. Marie se dégage de celui qui la baise et s’approche en criant : « Arrêtes Greg, tu lui as fait mal, elle saigne ! ». Greg se retire, il se confond en excuses et va chercher de quoi me soulager. Je pleure toujours et je vois une goutte de sang tomber sur le matelas. Greg arrête le saignement et m’applique une pommade. J’ai une légère entaille à l’anus, rien de grave mais c’est douloureux. Greg ne cesse de se confondre en excuses. Il me faudra plusieurs semaines pour que je me laisse à nouveau sodomiser. Cet incident met fin aux hostilités et nous rentrons, Marie et moi au manoir.
Les mois qui suivent Patrick et moi devenons de plus en plus proches, Il vient de temps en temps passer la nuit chez moi. Nous sortons souvent : restaurant, cinéma… Il a, cependant, du mal à accepter que je continue à avoir des rapports avec Marie, Michel et Greg. Lui ne veut pas participer aux soirées échangistes. Je comprends que ce ne soit pas son délire et je diminue ma participation aussi. Il n’est et ne sera jamais au courant de mes soirées d’escorte. Des déplacements professionnels justifient mes absences. Au bout de trois mois, je le présente à mes parents et nous devenons officiellement « un couple ». Un samedi soir de janvier 2012, je suis invité à aller diner chez sa mère, et je dois passer la nuit chez elle, où il habite toujours. La soirée se passe plutôt bien, je découvre d’ailleurs que sa mère à un ami qui est invité aussi ce soir-là. Après le diner qui finit assez tard, nous regardons un film alors que sa mère et son ami vont se coucher. Je prends une douche et vais me coucher dans son lit pendant que lui prend sa douche. A travers la cloison, j’entends sa mère et son ami discuter en comprenant certaines phrases. L’épaisseur de la cloison me fait penser que si nous faisons l’amour, comme je m’exprime assez bruyamment quand je jouis, la chambre d’à côté sera aux premières loges. Je refuse donc de faire l’amour, alors que j’en crève d’envie, il me fait un peu la gueule jusqu’au lendemain. En arrivant chez moi pour y passer l’après-midi, je lui saute littéralement dessus, ce qui met fin à sa bouderie. Avec lui j’apprends beaucoup en informatique et je sais aujourd’hui utiliser des logiciels de retouche d’image, de messageries…
En mai 2012, il m’invite à partir avec lui au Sénégal, passer trois semaines chez son père. Je prends donc des vacances pour le suivre. Nous arrivons à Saint- Louis en voiture (J’ai tenu à louer une voiture alors que lui ne voulait pas). Son père est général dans l’armée Sénégalaise. Ses parents se sont connus pendant que son père était à l’école d’officier de Saint-Cyr. Je suis accueillie très chaleureusement, et lui comme l’enfant béni. Sa grand-mère nous installe dans deux chambres séparées, j’en suis très surprise, mais il me dit que c’est la tradition chez eux. J’ai été frustrée qu’il soit contraint de me rejoindre en cachette vers minuit pour me faire l’amour, et de repartir deux heures après dans sa chambre. Mais ce qui m’a le plus dérangé, c’est l’omniprésence de son ex. En effet les parents sont voisins, elle est la fille d’un ancien ministre qui est maintenant le patron d’une grosse industrie locale. Elle travaille avec son père, mais comme par hasard elle est en vacances durant trois semaines aussi ! Du coup on l’a dans les pattes en permanence, elle ne cesse de se pendre à son cou devant moi… Tout pour gâcher mes vacances. Du coup j’ai l’impression que Patrick est plus à moi quand nous sommes à Toulouse et que nous nous voyons que deux soirs par semaine.
Mais le bouquet final à eu lieu au bout de 10 jours. Un soir, son père nous invite dans un restaurant de Saint-Louis, avec quelques cousins et autres membres de la famille, et bien sûr la demoiselle est du voyage aussi. Je suis un peu vexé que son père l’ai invitée et déçue que Patrick n’ait pas protesté. Je lui en parle durant le trajet en voiture, vu que nous sommes tous les deux seuls, il me dit que son père n’aurait pas apprécié et se serait mis en colère. Pendant le repas, bien évidemment, son père la fait asseoir à côté de lui et moi je suis en face de lui et à côté de son père. Pendant le repas, j’apprends qu’elle ne l’a pas quitté par désamour, mais parce que ses études étaient finis et qu’un super travail aux côtés de son père l’attendait. Le patriarche ne manque pas de me faire remarquer qu’ils vont bien ensembles, qu’elle est toujours amoureuse de lui …. En plus elle ne cesse de s’accrocher à lui, de l’embrasser sur la joue… Et je trouve qu’il ne met pas beaucoup de cœur à la repousser. Sur le chemin du retour, il voit bien que je ne suis pas de bonne humeur, mais il me dit de ne pas m’en faire, qu’il ne l’aime plus, qu’il ne veut que moi… J’en passe et des meilleures. Il ne veut pas, soi-disant, la repousser trop durement pour ne pas provoquer de brouille entre sa famille et celle de son ex.
Quand nous arrivons à la maison, je m’arrange pour garer la voiture sous la fenêtre de ma chambre, puis je lui dis qu’il est inutile qu’il me rejoigne dans la nuit car je ne veux pas le voir et je ferme la porte à clef. A ce moment-là, je viens de décider de partir très tôt le lendemain matin. S’il n’était pas dangereux de rouler la nuit pour rejoindre Dakar, surtout pour une femme seule, je serais partie immédiatement. Je passe une bonne heure à lui écrire une lettre pour lui expliquer mon geste, je ferme l’enveloppe. Sachant qu’il se lève plutôt tard le matin, je serais loin quand il verra la lettre. Le lendemain, je m’habille comme pour aller courir, je dépose mes bagages près de la voiture par la fenêtre, et je sors glisser l’enveloppe sous sa porte. Comme il est cinq heures du matin, personne n’est levé, sauf une bonne que je croise sans qu’elle s’alerte de quoi que ce soit. Le trajet jusqu’à Dakar est assez long, il n’y a que 200 km, mais les routes sont en piteux état. J’arrive aux abords de l’aéroport vers 11h00, quand mon portable sonne pour la première fois, mais je ne réponds pas. J’arrive à changer mon billet retour pour partir le soir. Il me rappelle et je décide de répondre. Il pleure au téléphone, me promet que son ex ne nous embêtera plus, qu’il veut que je revienne à Saint-Louis. Je ne cède pas, mais comme il veut venir me rejoindre, je lui dis que je vais visiter Dakar et que j’ai un vol le lendemain matin. Il me dit qu’il sera là avant le départ de mon avion. J’ai dû lui mentir pour ne pas qu’il vienne de suite. Le soir je le rappelle juste avant l’embarquement pour lui dire que finalement une place s’est libérée et que je pars le soir-même. Lui rentrera finalement deux jours plus tard, fâché avec son père. Après une bonne explication entre nous, je le pardonne et la vie reprend son cours. Les mois passent jusqu’en août 2012 où il refait encore des siennes.
Nous venons de passer l’après-midi au lit, chez lui car sa mère est en vacances, et nous commençons à discuter. D’un coup, il me dit qu’il veut que nous achetions un appartement et que nous nous nous installions ensemble, mais il y met des conditions. Je dois démissionner de mon boulot et arrêter mes rencontres échangistes qu’il ne supporte plus. Il me demande de l’épouser et de faire des enfants avec lui. Heureusement que je suis allongée sinon je crois que j’aurais fait un malaise à ce moment. Je lui dit que je suis bien avec lui, que vivre ensembles me plairait bien, que je pourrais arrêter de coucher avec d’autres hommes, mais que quitter mon boulot était hors de question. Accepter une demande en mariage est bien trop prématuré pour moi… enfin je suis prête à vivre avec lui, à faire des concessions, mais à condition qu’il en fasse aussi et qu’il ne me demande surtout pas de quitter mon boulot, et surtout de renoncer à ma relation avec Marie. Nous nous levons et nous rhabillons, puis comme je dois partir, il me dit que si je n’accepte pas sa demande il me quittera.
Je suis choquée, je me mets à pleurer car je ne veux pas qu’il me quitte, mais il m’en demande trop. Je pars, en larmes, en claquant la porte. En rentrant au manoir, Marie me voit arriver dans tous mes états, elle remarque que j’ai pleuré. Nous discutons pendant de longues heures. Elle aussi pleure avec moi, elle m’aime, elle ne veut pas me perdre. Elle me dit que je ne dois pas accepter qu’un homme me dicte sa volonté sans respecter les miennes… Je sais qu’elle a raison et que j’ai plus à perdre qu’à gagner en quittant tout pour lui. Les jours qui suivent sont assez pénibles, Marie m’aide à surmonter ma tristesse en étant aux petits soins pour moi. Quinze jours plus tard, Patrick me rappelle, il s’excuse, me demande de revenir. J’ai envie de le rejoindre, mais je sais que l’embellie serait provisoire entre nous et je lui dis que tout est fini entre nous. Il essaiera de me téléphoner plusieurs fois dans les jours, puis les semaines qui ont suivis, mais je ne lui réponds jamais. Une fois même, en sortant du manoir en voiture avec Michel et Marie, je vois sa voiture garée le long du mur. Je le fais remarquer à Michel qui s’arrête et va lui parler longuement. Je reste avec Marie dans la voiture, et d’un coup il démarre et s’en va sur les chapeaux de roues. Michel me dit juste qu’il ne m’embêterait plus.
Pendant quelques mois, j’ai multipliées les rencontres pour oublier ma peine. J’ai accepté jusqu’à 15 rendez-vous par mois en temps qu’escorte pour occuper mon temps libre, puis la douleur s’est estompée. Je n’ai jamais revu Patrick depuis. Depuis, je fuis comme la peste les rencontres en duo, à part avec Michel et Greg bien sûr. Aucun homme ne rentrera dans ma vie s’il ne peut accepter ma façon de vivre.
Certains d’entre vous, mes lecteurs, vont penser que je suis une salope, mais je l’assume pleinement. Quand c’est un homme on dit que c’est un tombeur, bizarre cette façon de penser ! Moi j’aime faire l’amour, avec des femmes, avec des blacks, en groupe aussi et ce n’est pas prêt de changer. D’autres, parmi mes lecteurs, diront que je suis une pute car je fais payer les hommes pour coucher avec moi. Ce côté-là aussi je l’assume totalement. Je considère que je rends un service à ceux qui n’ont comme moyen que de payer très cher pour ça. Je ne vole personne, et ils sont contents de ce que je leur donne, sinon ils ne demanderaient pas à me revoir. Toujours est-il que je vis aujourd’hui dans le monde qui me faisait rêver quand j’étais adolescente en lisant les revues people. Mes revenus sont supérieurs à certains PDG et me permettent d’envisager l’avenir avec sérénité.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Très belle histoire il faut poursuivre et nous raconté vos visites médicales chez votre gynécologue peut être une femme?



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