Déplacement à Biarritz

- Par l'auteur HDS Amélie46 -
Récit érotique écrit par Amélie46 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Déplacement à Biarritz Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-02-2014 dans la catégorie Plus on est
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(7.0 / 10)

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Déplacement à Biarritz
Fin septembre 2012, nous devons aller une semaine à Biarritz pour visiter une vingtaine d’appartements en vente. Marie nous a réservé une chambre dans un bel hôtel en bord de mer. Nous avons 4 à 5 visites à faire par jour, mais ça nous laisse pas mal de temps libre pour visiter la ville.

Nous avons décidé de profiter du séjour pour draguer un peu, bien décidées à faire quelques rencontres sympa. Le mardi soir, nous sommes au bar de l’hôtel, habillées sexy, et nous repérons les hommes en commentant leurs charmes et en rigolant pas mal devant une coupe de champagne. Nous sommes un peu en retrait du bar et nous pouvons voir tous ceux qui rentrent sans trop nous faire remarquer. Marie me propose que chacune de nous choisisse un homme à draguer pour l’autre. Le jeu m’amuse et j’accepte volontiers le pari.

Il y a pas mal d’hommes seuls qui défilent au bar, mais peu qui s’attardent. Ils boivent un verre et passent rapidement au restaurant pour dîner. J’en vois un assis au coin du bar, une cinquantaine d’années, un peu enveloppé mais une tête sympathique. Je le désigne à Marie, qui hésite un peu, et qui finit par dire : « Ok, un pari est un pari, mais tu restes là, et je te fais signe quand j’en aurais choisi un pour toi ».

Elle se lève et va directement s’asseoir sur le tabouret à côté de lui. Rapidement elle engage la conversation avec lui et ils commencent à rire ensembles en se faisant face. L’homme est maintenant de dos par rapport à moi et je vois Marie, qui est face à moi, laisser sa jupe remonter légèrement sur ses cuisses. Aux mouvements de sa tête, je comprends que le gars se rince l’œil, surtout qu’en riant, Marie se penche en avant et dévoile son décolleté. La scène dure une vingtaine de minutes, puis Marie se lève et me fait discrètement signe de la suivre aux toilettes. Lorsque je la rejoins, elle me dit qu’elle va dîner avec lui et que je dois donc dîner seule. Comme il n’y a plus grand monde au bar, elle me désignera une cible dans la salle de restaurant ou au bar après dîner.

Elle retrouve le gars au bar et ils passent tous deux dans la salle de restaurant. Je m’installe à une table à quelques mètres d’eux, un peu déçue de devoir manger seule. Pendant tout le repas, je les vois beaucoup plaisanter, et je trouve le temps long. En plus comme il se fait assez tard, la salle se vide petit à petit et pas le moindre homme seul en vue. Marie et son chevalier servant se lèvent et se dirigent vers le bar. Je fais de même une dizaine de minutes plus tard. La salle est quasiment vide, à part un ou deux couples installés sur les larges fauteuils.

J’entrevoie Marie et le gars, installés tout au fond et en train de s’embrasser … Je décide donc de m’installer au bar et de discuter un peu avec la serveuse. C’est ainsi que j’apprends qu’il y a un match à la télé et que c’est pour cela que le bar est quasi vide. A un moment je vois Marie se diriger vers les toilettes, je la rejoins.
Elle me dit qu’elle va suivre Jean-Pierre dans sa chambre et que j’ai la chambre pour moi seule si je trouve un amant pour la nuit.
Après leur départ je reste un moment au bar, mais je finis par me résigner à passer la nuit seule.

Marie me réveille en rentrant dans la chambre, il est 7h00 du matin. Elle se déshabille et me rejoins sous les draps. Elle me dit avoir passé une très bonne nuit, Jean-Pierre s’est révélé bon amant. Elle prévoit d’ailleurs de passer la soirée et la nuit prochaine avec lui. Je dois bien reconnaître que je l’envie un peu. Nous commençons à nous caresser et rapidement je sens l’excitation me gagner, surtout qu’elle me raconte sa nuit en détails. Mais sentant que je suis proche d’un orgasme, elle cesse de me toucher à mon grand désarroi. Elle rit en voyant mes yeux de chien battu, et me dit :

- « Tu ne jouira pas ce matin, il faut que tu restes excitée toute la journée et ce soir on va te trouver un homme »

Je suis surprise de ses certitudes, et elle me dit avoir quelqu’un sous la main qui devrait être un « bon coup » pour moi. Ma curiosité est éveillée et je la prie de m’en dire plus. Elle rit encore une fois, et me dit :

- « On se prépare et je t’expliques après ».

Il est vrai que nous avons une journée chargée, je dois de mon côté visiter deux appartements avec une agence immobilière et Marie a rendez-vous sur un chantier avec des entrepreneurs pour suivre l’avancée des travaux sur une villa du bord de mer à quelques kilomètres de Biarritz.

Comme il a plu toute la nuit et qu’il fait un peu frais, je m’habille en jeans et sweet-shirt. Marie garde la voiture et me déposes à l’agence immobilière, je dois la rejoindre en taxi à l’hôtel quand j’aurais terminé les visites. La patronne de l’agence m’attends et me conduis à pied vers l’immeuble où se trouvent les appartements. La visite ne s’avère pas convaincante, les appartements sont très largement surestimés et malgré une courte négociation je décide de mettre un terme à l’entretien.

Je rentre à l’hôtel bien avant Marie et j’attends son retour en traînant un peu sur internet. Elle me rejoint vers 10h30, apparemment satisfaite de son inspection de chantier. Elle me raconte qu’elle était avec un électricien qui la draguait ouvertement depuis des mois, et qu’elle n’avait encore jamais cédé à ses avances. Mais elle était persuadée qu’elle finirait un jour dans son lit, et qu’en attendant elle s’amusait à le rendre fou. Elle avait apparemment mis au point un petit scénario pour que j’en profite le soir même ! La coquine ! Elle me détaille son idée :

- « Je l’ai invité à déjeuner ce midi avec ses trois ouvriers dans un restaurant pas loin d’ici. Comme ça je te présente comme ma collaboratrice et ça m’étonnerais qu’il ne te drague pas.

- Par contre ma chérie, il ne faut pas que tu restes en jeans, ce n’est pas assez sexy »

- « Je veux bien mais il fait pas très chaud !

- Ok, bon on a le temps avant d’aller au restaurant, on va aller faire un peu de shopping, moi aussi je vais acheter des bas pour ce soir ! »


Nous achetons finalement des bas auto-fixant et chacune une robe pour le soir, j’achète en plus une robe mi- saison pour le midi et un petit gilet pour aller avec. Après un bref passage à l’hôtel pour me changer, nous partons au restaurant à pied. Marie me présente donc à Djamel et à ses trois ouvriers, tous maghrébins

Pendant le déjeuner je vois rapidement que je ne les laisse pas indifférents, mais aucune remarque ni aucun geste déplacé de leur part. La discussion tourne autour du chantier avec Marie qui se dit déçue du retard pris par le chantier. A un moment, elle explique à Djamel qu’elle est prise le soir, mais que c’est moi qui passerai en fin de journée pour vérifier que les livraisons de matériel auront bien eu lieu. Je suis un peu étonnée car elle ne m’avait rien dit avant, mais je laisse la conversation se poursuivre.

Nous finissons de déjeuner vers 14h00, et Djamel et ses ouvriers repartent sur leur chantier. Marie discute avec lui en aparté pendant quelques minutes et me rejoins. Je m’empresse d’interroger Marie sur cette visite de chantier que je dois faire le soir. Elle me dit qu’il faut s’assurer que le fournisseur livre bien en début d’après-midi comme prévu et surtout que tous les sanitaires sont bien conformes au choix qu’elle a fait quelques semaines plus tôt. Je ne suis malgré tout pas sûre que ce soit la seule raison de ma visite sur le chantier, et lui pose ouvertement la question :

- « Et c’est tout ? je dois juste y aller pour ça ? on ne peut pas y passer demain matin .

- Ma chérie, tu te doutes bien que tu y vas aussi pour te faire sauter par Djamel !

- Comme ça sur le chantier ?

- Mais non, t’inquiètes pas, Djamel et son équipe sont dans un camping pendant le chantier, il va te proposer de te ramener après le contrôle, puis il va sûrement t’inviter à dîner et te draguer ouvertement. Tu l’inviteras dans notre chambre et tu passeras la nuit avec lui. Moi je dors dans la chambre à Jean-Pierre cette nuit.

- Ah, ok ! »

Je n’étais pas très convaincue mais apparemment elle avait tout prévu. Me connaissant bien elle s’aperçoit que je n’ai pas l’air très chaude, elle me prend dans ses bras dès que nous sommes dans la chambre pour me rassurer :

- « Si vraiment tu ne veux pas, je l’appelle et je trouve une excuse pour annuler. Mais je t’assure que je le connais depuis 3 ans qu’il travaille pour la société et c’est un gars correct.
-
- Bon, je te fais confiance, je vais y aller. »

Marie ayant accepté de coucher avec celui que j’avais choisi pour elle la veille, je ne peux pas refuser, et puis je commence à avoir l’habitude de coucher avec des gens que je ne connais pas.

Nous avons un rendez-vous pour visiter un appartement à 16h00 qui est assez vite expédié et ne donne rien, puis nous rentrons à l’hôtel nous préparer. Marie à rendez-vous avec Jean-Pierre à 19h00 au bar, et moi je dois être à 18h30 sur le chantier. A 18h00, je prends un taxi et j’arrive une demi heure plus tard sur le chantier. Djamel m’attend et ses ouvriers sont déjà partis. La livraison à bien eu lieu comme prévu, et il m’aide à vérifier si les éléments correspondent bien aux commandes passées par Marie.
En vingt minutes je valide tous les éléments, ce qui semble rassurer l’artisan qui pourra dès le lendemain installer les radiateurs et les chauffes-eau. Djamel ne s’est pas gêné pour plonger son regard dans mon décollette ou sous ma robe lorsque j’ai dû me baisser. Je le trouve d’ailleurs plutôt beau gosse lui aussi, il est grand et surtout très musclé. J’aime bien sa barbe de deux jours qui donne un air un peu voyou et ses yeux noirs.
Une fois les vérifications terminées il me dit :

- « Bon, on y va ? je passe vite fait prendre une douche au camping et me changer si ça ne te gêne pas et je te dépose à ton hôtel après ?

- Oui pas de problème »

Il est bien au camping comme m’a dit Marie, mais pas sous une tente comme je l’imaginais, en fait il est installé dans un mobil-home avec l’un de ses ouvriers. Il m’explique qu’ils sont de Mont de Marsan et qu’ils sont là pour deux semaines, le temps de finir le chantier. Il se douche et se change rapidement puis nous partons vers le centre de Biarritz, avec son colocataire qui est son cousin Farouk.
Au bout de cinq minutes de route, il me demande si je préfère qu’il me dépose directement à l’hôtel ou si je veux bien aller manger avec eux, j’accepte l’invitation et nous allons dans une brasserie proche de mon hôtel. Pendant le repas nous discutons tous les trois de choses et d’autres. J’apprends que c’est le cinquième chantier qu’il fait pour Marie depuis trois ans. Après manger ils m’emmènent dans un petit bar où ils semblent avoir leurs habitudes. Djamel commande une carafe de sangria et nous nous installons à une table.
La première carafe vidée, il commande une seconde et moi qui suis peu habituée à boire, je commence rapidement à avoir la tête qui tourne. La conversation commence de plus en plus à devenir grivoise et je sens les deux garçons commencer à me faire du pied sous la table. Je sais bien à ce moment-là que c’est avec les deux que je vais coucher et pas seulement avec Djamel

Comme il essaie de me servir un nouveau verre je lui dis :

- « Non, merci, pas besoin de me saouler pour ça.

- « Pour ça quoi ?

- « Bon vous me ramenez à l’hôtel ?

- « Ah, ok, on y va »

Je vois qu’ils ont compris le message à leur air satisfait, et nous quittons le bar. Arrivés dans la chambre les deux hommes me coincent entre eux et commencent à me trousser tout en me caressant. Ils m’embrassent à tour de rôle, le désir me brûle le ventre. Dès que je suis nue ils m’allongent sur le lit et se déshabillent. Ils sont bien battis tous les deux et leur peau est douce comme j’aime. Farouk me suce la chatte pendant que je suce Djamel, qui s’extasie que je prenne son sexe en entier au fond de ma gorge. Puis Farouk me pénètre après avoir enfilé une capote et il me pistonne violemment, en m’arrachant des cris de bonheur. Il est très endurant, et il continue à me pilonner après mon premier orgasme.
Il s’arrête avant de jouir et Djamel prend sa place en me baisant en levrette. Au bout de quelques minutes, je sens son gland pousser contre mon anus, je me cambre le plus possible pour lui faciliter le passage. Il parvient rapidement à me faire crier, et un second orgasme me secoue le corps.
Il reste planté au fond de mon ventre sans bouger un long moment, puis Farouk se glisse en dessous de moi pour me prendre la chatte. Il a quelques difficultés à me pénétrer car ils sont assez bien dotés tous les deux. Ils me bourrent très fort alternativement et je jouis à nouveau assez vite. Djamel vient jouir à son tour dans ma bouche, pendant que Farouk vide sa capote sur mes seins et il étale sa semence avec une main.

Je subis encore leurs assauts pendant une bonne heure avant qu’ils s’effondrent, vidés à mes côtés. Je me lève pour aller aux toilettes, et lorsque je reviens dix minutes plus tard, ils dorment tous les deux.
Je me fais une place entre eux et je ne tarde pas à m’endormir à mon tour. Le lendemain matin je suis réveillée très tôt par des caresses de mes deux amants. Je leur demande l’heure et Djamel me répond 6h30. J’ai le temps de dormir encore vu que ce matin nous n’avons aucun rendez-vous avec Marie. Mais Djamel me dit :

- « Nous on va pas tarder, on doit être sur le chantier à 8h00. Mais tu vas bien nous satisfaire une dernière fois avant ?

- Si vous voulez, servez-vous.

J’aime qu’on me fasse l’amour au réveil et je ne vais pas leur refuser ce petit plaisir. Farouk qui bande déjà très fort me tourne dos à lui et me pénètre la chatte délicatement. Je mouille abondamment et dès qu’il se sent bien lubrifié il prend mon cul d’un coup sec. Je pousse un cri, plus de surprise que de douleur, et je tends mes fesses vers lui pour bien m’ouvrir.

Djamel m’embrasse pendant que je triture son sexe qui prend rapidement du volume. Puis il remonte en haut du lit pour me prendre la bouche. Lorsqu’il est bien dur, il se retire et enfile un préservatif, Farouk sort de mon anus et me retourne face à lui. Djamel prend mon cul à son tour et j’ai un orgasme instantanément lorsqu’il vient buter au fond de mes entrailles.

Il reste planté en moi un long moment avant de commencer ses va et vient. Farouk se masturbe devant ma bouche, puis il m’ordonne d’ouvrir la bouche, et il s’enfonce d’un coup dans ma gorge et éjacule. Je dois le repousser d’un coup sec car je manque de m’étouffer. Djamel se retire de mon anus et vient jouir sur mon visage en m’arrosant généreusement.

Puis ils prennent une douche rapide avant de se rhabiller, et ils partent vers 7h30. Je suis toujours au lit et avant de m’endormir je passe un texto à Marie, comme convenu, pour lui dire que la voie est libre si elle veut rentrer. Comme je sais que son amant quitte l’hôtel très tôt ce matin, elle doit être réveillée. A peine cinq minutes après elle rentre dans la chambre et vient s’allonger près de moi en s’écriant :

- « Bah, les draps sont trempés de foutre, il t’a baisée ce matin ? » puis elle remarque les emballages de préservatifs sur le chevet et rajoute :

- « Ouah ! Ça doit être un bon coup vu le nombre de capotes !

- Ils étaient deux en fait, il est venu avec Farouk, et oui ils m’ont sautée avant de partir il y a à peine 10 minutes »

- Veinarde ! »

Puis elle s’allonge tout contre moi, en me demandant de lui raconter ma nuit.
Elle me raconte aussi la sienne et nous nous caressons mutuellement en mélangeant nos odeurs. Elle me dit que quand elle viendra dans un mois pour la réception du chantier, elle cédera aux avances de Djamel puisqu’il est bon amant. Nous discutons longuement et à un moment elle me demande :

- « C’est quelle soirée que tu as préférée parmi toutes celles que nous avons faites ?

- Ben, je ne sais pas, en fait je les ai toutes aimées
.
- Oui, mais si tu devais en sortir une ?

- Celles de Paris dans le club antillais, mais aussi celle avec Greg chez Laure

- Je n’étais pas là pour celle-là. Pourquoi tu as aimée ?

- Parce qu’il y avait beaucoup de blacks, et aussi parce que j’ai pu baiser sans capote.

- Tu es comme moi, j’aime aussi pouvoir baiser sans capote, mais bon il faut quand même faire gaffe. On est des vrais BAB toutes les deux.

- Des quoi ?

- Des BAB, blanches à black !

- C’est sûr qu’une partie de cul avec eux c’est le pied.

- Je vais voir avec Michel et Greg si on peut s’organiser un week-end chez Laure un de ces jours?

- Quand tu veux, je suis accro à ce genre de vacances.


- Tu verrais ça comment dans ton fantasme le plus fou ?

- Moi je passerais bien une semaine entière avec plein de blacks en étant à leur disposition, être leur vide-couille permanent et finir complètement épuisée.

- J’aimerais bien aussi, mais pas facile d’organiser ça sur une semaine, mais je verrais ce qu’on peut faire. »

Au bout d’un moment je finis par m’endormir, et Marie me réveille à 11h00.

Nous quittons Biarritz le vendredi matin sans avoir acheté le moindre appartement, mais satisfaites de notre séjour.

A notre retour, Marie raconte notre séjour à Michel, qui est heureux que nous ayons bien profité de notre séjour. Nous passons le week-end tous les trois, et après une après-midi dans leur lit à faire l’amour, Marie parle à son mari de notre envie de passer quelques jours chez Laure. Michel dit qu’il va voir avec Greg pour essayer de nous préparer ça.

Les mois passent jusqu’en juin 2013 sans grandes nouveautés. Un mois après notre séjour à Biarritz, Marie y retourne seule pour la réception du chantier et la signature des baux de location.
Comme elle le souhaitait elle passe plusieurs nuits avec Djamel, et elle a même droit à une partouze avec lui, Farouk et deux autres amis à eux. Pendant son séjour, je passe toutes mes nuits avec Michel. Il faut dire que nous faisons pratiquement ménage à trois, et parfois à quatre quand Greg est dans les parages. Nous participons à quelques soirées également, mais rien d’exceptionnel. Pendant quelques mois je multiplie les rencontres d’escorte afin d’accumuler assez de gains pour acheter un nouvel appartement à Toulouse.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Jolie prose, mais en tant que nana je n'accepterai jamais de me faire tripoter et pénétrer simultanément par plusieurs mâles fussent ils très virils et les mieux "équipés" de la terre.

Histoire Libertine
Joli texte, libertine comme toi Amélie, j'aime me retrouver dans les bras de plusieurs hommes aimant s'éclater ensemble avec une seule fille.

Histoire Libertine
Très beau texte, moi aussi j'aimerai être calinée par de 2 hommes bien membrés sans oublier bien sûr de leur faire profiter de "mon délicieux savoir faire"

Histoire Erotique
Bjr Amélie, un vrai talent de rédaction. Réalité ou fantasme... peu importe... Suis moi même du sud toulousain et j'ai donc lu vos texte avec beaucoup d'attention. J'avoue même avoir été très excité... et même + ... ;-). Je reste attentif a vos publications et me classe parois vos fan.



Texte coquin : Déplacement à Biarritz
Histoire sexe : Une rose rouge
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