Un après midi pour Elle

- Par l'auteur HDS JF et AS -
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Récit libertin : Un après midi pour Elle Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-02-2007 dans la catégorie Dominants et dominés
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Un après midi pour Elle
C’était fait pour notre plaisir , pour réaliser un de nos phantasmes.
J’avais passé une annonce sur un site de rencontre avec 2 ou 3 photos d’elle. Le texte était simple, direct , je cherchais 5 , 6 hommes, de préférence bien membrés, pour un après midi à plusieurs pour abuser d’elle. « Abuser d’elle » car elle adorait ça. C’est une vraie salope qui adore le cul, très soumise mais très bcbg. Impossible d’imaginer, sans la connaître, qu’elle ne porte jamais de culotte, qu’elle est d’une vulgarité sans nom quand elle se fait défoncer la chatte ou le cul (elle adore !!), qu’elle aime avaler profond n’importe quelle bite. Dès qu’elle voit un homme, elle imagine sa bite. Elle l’a veut, elle la rêve dans un de ses trous, peu importe lequel, elle aime tout.
Elle savait pour l’annonce, pas dans le détail, mais elle savait qu’elle pourrait servir à plusieurs mecs en même temps. Ca lui plaisait, ca la faisait même franchement saliver. Chaque fois qu’elle y pensait, elle était trempée. Elle n’avait jamais osée franchir le pas seule pourtant l’envie ne lui avait pas manqué , un ou deux soirs , au sortir de boite, il ne s’en était fallu de peu pour qu’elle ne s’offre aux 2 ou 3 types avec qui elle était venue. Trop saouls ou trop idiots , ils n’en avaient pas profité. Quand on sait comment elle suce, je peux vous dire qu’ils ont eu tord.
En plus de s’en prendre plein les trous, elle espérait bien se faire lécher la chatte et le petit trou. Elle adorait ça et je ne le lui faisait pas souvent , il est vrai que ce n’était pas trop mon truc. « A bien sucer, pensait-elle , j’en trouverai bien un qui me léchera, qui m’enfoncera sa langue dans ma chatte ou dans mon cul, profond comme j’aime ».
Le scénario était simple : j’avais loué le temps d’un week-end un gîte, un peu à l’écart. Nous avions rendez vous l’après midi mais nous sommes partis tous les deux le samedi matin. J’avais emmené quelques jouets et une ou deux bouteilles de champagne, « sa boisson aphrodisiaque ».
Elle savait ce qui l’attendait , rien qu’avoir la façon dont elle s’était habillé : jupe courte, bas porte jarretelle talons hauts , décolleté et push up. Elle se penchait, on voyait sa chatte épilée. Mais ni elle ni moi n’avions parlé de l’après midi, une manière de me faire comprendre que je disposais d’elle, qu’elle était complètement soumise. D’ailleurs , comme pour me le confirmer, elle m’avait sucé avec délice pendant le trajet, m’avalant littéralement la bite, pourtant grosse et longue. Je lui avais demandé de relever sa jupe et d’ouvrir ses jambes si bien que chaque fois que je doublais un poids lourd , appel de phare et klaxon. Désolé, nous étions pressés car aujourd’hui ses trous étaient pour d’autres. J’ai mis fin à sa fellation pour mieux l’exhiber : fente en avant, les seins sortis de son décolleté , je lui ai demandé de se caresser avec 2, 3 puis 4 doigts. Elle était tellement excitée qu’elle s’est enfoncée les 5 doigts dans la chatte en me demandant de nous arrêter pour que je la baise ou si je n’en avait pas envie , que je la fasse baiser par un des routiers que je doublais.
Je n’avais pas envie de la baiser donc je fis signe au routier que je doublais de me suivre à l’ aire de repos tout proche. A peine dans la cabine , sans attendre et sans un mot, elle se jette sur la bite du routier, en la sortant sans ménagement du pantalon, pour la sucer comme une folle tout en cherchant avec sa main ma queue pour me branler en même temps. Nos 2 bites bien dures, celle du routier étant aussi de belle taille, le gland bien violet, passent l’une après l’autre dans sa bouche. Je demande au type de mettre une capote pour qu’il la baise ou qu’il l’encule, comme il veut, pendant qu’elle continue à me sucer. Sans dire un mot, elle se tourne son cul vers le routier en se mettant à 4 pattes et recommence à me sucer la queue en l’avalant jusqu’aux couilles. Elle bougeait son cul comme la salope qu’elle était, en essayant d’attraper avec sa main la queue du mec pour la guider vers sa chatte trempée . Il l’a défoncé d’un coup, il lui a pilonné la chatte comme un taré en lui caressant sans ménagement ses tétons dressés. Elle hurlait de plaisir en criant qu’elle était une salope, qu’elle adorait ça, qu’elle voulait sa queue plus fort, plus loin. Ce qu’il a fait, en lui déchirant le cul et c’est là qu’elle a commencé à jouir, 2 ou 3 orgasmes en essayant de garder ma bite dans sa bouche. Elle m’abandonna seulement pour aller avaler complètement le jus du routier qui ne pouvait plus se retenir. Je lui ai demandé de lui lécher longuement la queue pour le remercier du plaisir qu’elle avait eu.
Nous remontâmes dans la voiture et sans que j’ai besoin de le lui demander, elle remonta sa jupe, écarta ses jambes et sortit ses seins. En agissant comme ça, elle me faisait comprendre que son envie était toujours là, que ce qui s’était passé n’était qu’un début. Je recommençais à bander et sans attendre, elle m’a pris dans sa bouche en écartant les cuisses le plus qu’elle pouvait. J’ai compris qu’aujourd’hui elle avait décidé d’être une vraie salope, mieux une vraie chienne, et qu’il lui faudrait plus d’une queue pour la rassasier. Et ça tombait bien, il y en avait 6 rien que pour elle.
En attendant nos invités, je lui demandais de s’allonger sur le canapé. Après avoir bu un ou deux verres de champagne avec elle, je sortis un Plug de mon attirail sexuel. Sans être exceptionnel, il était de belle taille. Je lui demandais de se retourner , elle obéit sans un mot, comme la chienne soumise qu’elle avait décidé d’être pour l’occasion. Je lui glissais un doigt, puis deux dans son petit trou sans ménagement mais chacun de mes va et vient lui tirait des gémissements. Quand je lui ai enfoncé le Plug dans le cul , elle a eu un râle de plaisir , s’est retournée , a cherché ma queue avec sa main pendant qu’elle se fouillait la chatte sans ménagement avec les doigts des son autre main. Plusieurs orgasmes, puis quelques verres de champagne tout en me léchant les couilles et le trou du cul, en me suçant goulument pour attendre nos invités. Je me retirais pour ne pas jouir. De toute façon , il était l’heure de les accueillir . Je lui mis un bandeau sur les yeux pour l’occasion , lui demandant de s’assoir sur la canapé, tout en lui laissant le cul rempli du Plug : le fait de s’assoir la fit gémir et sans réfléchir, elle ouvrit les cuisses comme pour m’ inviter à remplir aussi sa chatte. Je me penchais vers elle en l’embrassant et lui murmurant d’être encore un peu patiente.
Je fis rentrer dans le vestibule mes cinq invités et nous nous sommes déshabillés avant d’aller la rejoindre au salon. Je leur dis que je filmerai sans doute les ébats, ce qui m’exciterait plus tard de la revoir se faire mettre par tous ces mâles.
Je n’étais pas déçu de mes compagnons : entre 35 et 50 ans, ils avaient tous une bite large , épaisse comme elle les aimait, et pour 2 d’entre eux, d’une belle longueur . A voir les débuts d’érection de tous, je savais que l’après midi serait bien rempli. Je leur donnais le tempo : avant d’abuser d’elle sans restriction, par tous ses trous, à un , à deux , à trois ou tous en même temps, pour commencer , ils se présenteront un par un devant sa bouche pour être sucé et léché copieusement.
Elle attendait, assise droite, les jambes ouvertes ce qui permit au premier de venir se mettre debout devant sa bouche, la bite à porter de lèvres. Nous autres restions sur le coté . Quand elle sentit une queue proche de sa bouche, elle se pencha en avant pour avaler le gland, large , humide , elle poussa un gémissement de plaisir sans que je puisse savoir si c’était parce qu’elle avait enfin une queue dans la bouche ou si c’était le Plug qui lui déchirait le cul. Dans tous, elle gémissait de plus en plus en avalant cette queue raide pendant que ses mains caressait les fesses du N°1 en s’attardant doucement sa rondelle. Cela se voyait, elle était de plus en plus chaude mais il lui restait encore 5 queues à sucer avant de se faire baiser même si elle en mourrait d’envie. Je demandais à l’homme de se retourner et de lui présenter son cul. Aussitôt, elle lui lécha avidement les couilles puis remonta jusqu’à son trou du cul que sa langue visita longuement pendant que ses mains lui branlait vigoureusement la queue. Je remarquai qu’elle bougeait son cul de plus en plus vite, de plus en plus fort en s’écrasant la chatte et le clitoris sur le bord du canapé tout en s’enfonçant de plus en plus le Plug dans le cul.
Elle suça les 5 bites , elle les avala à fond, à s’étouffer, elle leur a léché les couilles, sa langue a visité chaque trou du cul , et plusieurs fois , elle a cherché à y enfoncer un ou deux de ses doigts. Elle leur a léché les fesses , le ventre, le nombril , elle léchait avec avidité toutes les parties qui lui était présentées. Elle a aspiré les tétons, elle réclamait pour lécher les aisselles, le dos, les cuisses , les pieds tout en gémissant sans cesse pour lécher leur bite et de plus en plus souvent, leur trou du cul . Elle leur disait qu’elle était leur salope, leur chienne qu’ils pouvaient faire ce qu’ils voulaient d’elle, elle avait envie de tout. Elle buvait un verre de champagne, avalait une bite, en cherchait d’autres à branler avec ses mains . Je filmais, j’avais la queue raide à la voir soumise à ces mâles. Avant de passer à autre chose, avant de les laisser s’occuper d’elle , je la forçais à me lécher le trou du cul , à y enfoncer sa langue pendant que dans chacune de ses mains , elle branlait une queue raide.
Un verre de champagne plus tard, je la fis mette à quatre pattes sur la table du salon et je lui enlevait le Plug. Son cul, sa chatte étaient ouverts prêts à accueillir n’importe quoi, n’importe qui. Je sentais que plusieurs voulait la défoncer mais avant, je voulais qu’ils la sucent, qu’ils lui lèchent tous la chatte et le cul . Après, ils la défonceraient.
Pendant qu’un d’entre eux s’occupait de la faire jouir le la suçant, en lui enfonçant la langue dans ses deux trous ouverts, elle avait toujours une queue dans la bouche qu’elle ne laissait que pour gémir ou hurler. Tous lui enfonçaient leurs queues raides jusqu’au fond de la gorge et quand ce n’était pas eux qui la forçait , c’est elle qui s’empalait sur chaque queue jusqu’à s’étouffer. Elle criait de plaisir, bougeait son cul comme une folle dès qu’une langue l’approchait, sa chatte remplie de cramouille dégoulinait de plaisir, .
Elle n’en pouvait plus d’attendre. Elle criait pour être baisée, pour être enculée, elle suppliait. Elle n’avait pas fermée les jambes depuis des heures, elle ne s’était arrêtée de sucer que pour boire, elle était à demi ivre. Elle suppliait pour une queue dans sa chatte.
Je la mis nue et fixais les règles du jeu : les trois trous remplis en même temps. Elle frémit de plaisir quand je glissais ma main entière dans sa chatte pour vérifier si elle mouillait , elle était trempée, une vraie fontaine . Je lui mis trois doigts dans le cul , elle fit des va et vient sur mes doigts, s’empalant et s’écartant le cul avec les mains, dans des gémissements de plaisir. Elle eut un orgasme et pendant qu’elle me léchait les doigts, je lui enfonçai ma bite dans le cul. Elle hurla de plaisir mais je me retirai aussitôt. Je lui donnais ma queue à lécher et à sucer avant de la laisser à mes invités. Elle me lécha et m’avala comme jamais elle ne l’avait fait , me lécha les couilles et glissa sa langue dans mon trou du cul. Je l’embrassai avant de lui dire que je la filmerai pendant qu’elle se ferait défoncer. Elle me dit « redonnes moi ta bite » . Elle me lécha amoureusement et me susurra « merci ».
Ils l’ont défoncé pendant des heures. J’ai compté, en m’excitant, qu’elle avait été baisée une douzaine de fois dans chacun de ses trous. Elle léchait goulument chaque bite qui sortait de sa chatte, de son cul, elle hurlait de plaisir quand les coups de butoir s’accéléraient, réclamait toujours plus, voulait avoir toujours la fente et le cul remplis. Nos invités fatiguaient, elle pas. Ses orgasmes se succédaient de plus en plus souvent, de plus en plus violents. Elle hurlait. Se traitait de salope, de chienne, en se caressant le clito, en se pinçant les tétons. Plusieurs fois, elle s’est ouvert la chatte ou le cul avec ses doigts pour inviter une queue à s’y enfoncer et chaque fois, elle obtenait victoire. Chaque fois que l’un d’entre eux laissait exploser la purée dans sa bouche, elle le suçait et le léchait avidement pour lui nettoyer la bite tout en le branlait vigoureusement pour ne pas qu’il débande.
Et elle reprenait une autre bite dans le cul, en s’empalant sur celui qui était allongé sur le dos pendant que le deuxième s’allongeait sur elle et lui enfonçait sa queue dans la chatte. Les deux en place, elle cherchait un troisième pour sa bouche, parfois moi, et souvent un autre dans une main ou encore, un dans chaque main. Ou l’inverse : c’est elle qui chevauchait, un autre l’enculait et toujours un dans sa bouche. La soirée était maintenant avancée, nous avions tous joui une ou deux fois dans sa bouche et nous commencions à nous reposer des ébats . Pour finir cette délicieuse partie, je lui ai demandé de nous lécher, un par un , en commençant par les fesses, le trou du cul , les couilles, la queue, puis en remontant du nombril jusqu’au cou , pour finir sa langue dans la bouche de chacun, nos bouches contre sa bouche pleine de nos goûts et nos odeurs.
Pendant qu’elle nous caressait, nous finissions le champagne.
Elle se jeta sur le premier d’entre nous et nous tous lécha comme une folle, en ayant encore un ou deux orgasmes quand des doigts se glissaient dans sa chatte ou dans son cul. Nos invités partirent un à un. Une fois seuls, nous primes un verre et je l’embrassais goulument. Je lui dis que j’allais lui remettre le Plug et des boules japonaises qu’elle devrait les conserver toute la nuit. Elle tourna son cul vers moi en écartant des fesses avec les deux mains pour montrer son obéissance. Une fois remplie, nous montâmes dans la chambre pour une nuit méritée. Avant , je lui demandais de lécher chaque partie de mon corps et de me faire jouir dans sa bouche. Elle s’exécuta en gémissant, et nous eûmes un dernier orgasme ensemble, moi par sa langue, elle par ses jouets qui la remplissaient et qui bougeait avec ses reins.

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