Eau de rose sur fleur en âge.

- Par l'auteur HDS Eromurs -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Eau de rose sur fleur en âge. Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-03-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Eau de rose sur fleur en âge.
Depuis l’âge de raison, j’ai toujours été attiré par des hommes qui avaient le double de mon âge. Leurs côtés matures, responsables, expérimenté de la vie me séduisait au travers de leurs styles vestimentaires qui était pour la plus part du temps décontracté. Découvrant ce corps maturé dénudé dans le pavillon sanitaire d’un terrain de camping, il a rapidement coloré mes rêves mouillés. Depuis ce temps, quand les femmes de ce groupe d’âge parlaient de leurs hommes, moi je prêtais attention aux détails croustillants!

Agençant mes rêves à mes fantasmes, je me suis lié d’amitié avec ces ‘’grand-pères'’ où l’un d’entre eux à bien voulu sexualisé notre relation. L’importante différence d’âge que nous cumulions dissimulait l’aspect intime de notre relation. Passant tout nos temps libres ensemble, les gens croyaient que nous entretenions des liens familiers très serré alors que nous copulions à chaque moment où nous nous retrouvions seul.

Jouissances partagés, ont se complétait dans la liberté que nous avions établis. Ainsi, ces soixante cinq années d’expérience de vie et son ouverture d’esprit m’ont permit de rencontrer d’autres hommes plus âgé que lui où le sexe partagé était que pur jouissance. Lui qui croyait qu’en prenant de l’âge il freinerait mes ardeurs, il réalisait avec les expériences concluantes que j’avais fait qu’il avait une bonne vingtaine d’année de marge de jeux avant que ma passion s’estompe.

Partageant différentes activités avec les personnes du troisième âge, j’ai développé des affinités particulière malgré la différence d’âge que nous avions. Ainsi, les activités de plein air, les jeux de quilles, la pétanque, les voyages et autres activités du genre prenaient place dans ma vie sans que le sexe en face nécessairement partie.

Franchissant le cap de mes 35 ans, je suis redevenu célibataire. Mon appétit sexuelle fleurissant, ma libido réclamait un homme ouvert aux relations sexuelles à trois. Comme mon idéal masculin prenait sérieusement de l’âge, cette relation offrait l’opportunité à un jeune retraité qui possédait une bonne érection d’entrer dans notre cercle pour me dépuceler et assurait nos vieux jours de cette dureté en conservant cette porte ouverte.

Ainsi, réunir les conditions gagnantes pour ce faire n’étais pas évidentes compte tenu du groupe d’âge dans lequel je faisais ma recherche mais je ne désespérais pas de rencontrer ces hommes qui serait capable de se faire l’amour comme de me partager leurs plaisirs.

Les poils blanc devançant mon centre d’intérêt, j’ai découvert que c’était pas un facteur qui venait nécessairement avec l’âge hors que pour moi, ces poils blanc gagnaient toute leur importance lorsqu’ils étaient implantés sur un corps bien mûr.

Plaçant quelques annonces sur internet, je me décourageais à voir le ridicule que cela prenait devenant ainsi une bête de foire pour certains et pour d’autres un prostitué.

Les gars dans la cinquantaine croyaient assurément qu’ils avaient une chance avec moi puisque je fantasmais des hommes beaucoup plus âgé que eux. Précisant que je cherchais un corps bien mûrie avec une verge aussi mûr et dur pour me pénétrer, certains ne me prenait pas au sérieux pendant que d’autres croyaient que j’étais dépravé.

En dissuadant plus d’un, je me réjouissais de découvrir à nu les hommes qui n’avait pas peur de parler de leur dysfonction érectile pour vanter la blancheur de leur fourrure polaire jonché au pied de leur verge.

Cette verge faisant partie de mes rêves les plus osés, je préservais mon arrière train pour cette verge rarissime qui serait suffisamment dur pour me pénétrer. Ainsi j’insistais sur la pureté de leurs désirs afin que cet homme soit en mesure de prendre ma virginité pendant que ses poils blanchis aguicheraient mes fesses.

N’écartant pas le mariage pour parvenir à cette acte de pureté, les hommes qui était ouvert au trip à trois que je recherchais mon encouragé à passer une petite annonce dans une rubrique d’annonces classés d’une revue pour personne âgé dans l’espoir que je puisse trouver l’introuvable.

Vibrant au rythme de mes ambitions, même si j’étais excité, je restais intimidé par le fait de me mettre à nu dans cette revue. Souhaitant trouver l’absolu, je me suis mouillé par défaut de n’avoir pu trouver.

Recevant plusieurs réponses, j’étais fière de me faire courtiser de la sorte. Prenant un sens plus sérieux, j’ai été très excité en découvrant qu’il y avait beaucoup d’hommes qui cherchaient du sexe même s’il n’avait plus les capacités de bander. Leurs conditions physique ne me refroidissant pas, j’appréciais grandement leurs authenticités!

Ainsi je fus fort impressionné par la déclaration d’amour qu’un veuf de soixante dix neuf ans m’avait fait. Affirmant ne plus avoir la capacité de pénétrer, sa joie de vivre m’entraînait dans le plaisir sexuelle que je recherchais au centre du triolisme.

Amoureux de nature, il disait avoir refoulé son attirance homosexuelle depuis sa tendre enfance puisqu’il provenait d’une époque où l’homosexualité était prohibé. Cherchant à briser ce refoulement avec moi, son désir si puissant m’aguichait au travers des atouts qu’il présentait. Sur la photo qu’il m’avait envoyé, sa longue barbe blanche me séduisait devant un sourire chaleureux qui m’a fait craqué. Mes jambes fléchissant devant sa beauté, je gagnais une érection en détaillant ses yeux pétillant de vie, ses rides ainsi que son dos courbé. Argumentant le parfum d’amour qui m’envahissait, il détaillait bien les traits de caractères que me charmait.

Mesurant cinq pieds huit pouces, sa minceur se démarquait parmi les 120 livres qu’il me présentait. Décrivant le cinq pouces décapé qu’il possédait entre ses deux jambes, j’appréciais son emmanchure tout comme les quelques tâches de vieillissements qu’il laissait paraître sur sa photo en espérant dans retrouver quelques unes sur sa verge maturé.

Blanche comme neige, sa peau m’a donné envie de le découvrir à nu derrière l’invitation qu’il m’avait fait à prendre un café chez lui. Prenant en note son numéro de téléphone, je rêvassais au timbre de sa voix.

Au téléphone, son timbre de voix mature à caresser mon oreille ce qui m’a tout de suite séduit. Jovial et enjoué, Léopold de son prénom se montrait très ouvert à la différence d’âge que nous avions mais il cherchait tout de même à comprendre d’où provenait mon attirance pour les hommes de son âge.

Affirmant qu’il n’avait pas d’âge pour aimer, j’affirmais qu’il était plus simple d’essayer que de comparer puisque la majorité des gens cherchait des personnes plus jeune que elle.

Affirmant que je ne prenais aucun additif tel que la drogue pour embellir ma vison de l’homme mûr, j’affirmais que ces têtes blanches me faisait littéralement craquer. Détaillant ces traits de caractères dans un brin de rigolade, Léopold n’avait plus peur de dire qu’il était très âgé. Ainsi il devenait ma fierté. Conscient que je voulais me faire déviergé, Léopold vantait les mérites de son doigté tout en m’invitant à venir l’essayer.

Me laissant tenté, Léopold se montrait conciliant sur le plaisir intime qu’il pouvait m’offrir analement parlant. Ainsi dans le meilleur de ses intentions, il ouvrait la porte à une troisième personne qui posséderait une érection à la hauteur de mes intentions en affirmant qu’il serait fière de m’assister dans ce dépucelage.

Engageant un vif intérêt chez moi, j’étais heureux de pouvoir m’épanouir en sa compagnie. L’imaginant m’ouvrir les fesses devant cette troisième personne, j’insistais pour que cette homme soit amoureux que nous et ne face pas la différence entre moi et Léopold.

Ravi que je pense à lui également, Léopold croyait se montrer réaliste en croyant qu’il serait plutôt difficile de trouver un homme qui aurait autant d’affinité avec moi que avec lui. Cherchant à me conquérir, il était prêt a concéder sur ce point mais pour moi, c’était vraiment important que Léopold puisse jouir autant que moi!

Jouissant d’un retraite bien mérité, Léopold vantait les mérites de son petit coin de paradis où il vivait à la campagne. Appuyant la quiétude de son petit coin de paradis, Léopold disait que je pourrais me faire bronzé nu sur son gazon sans jamais me faire déranger par personne. Affirmant ne pas être fort sur le bronzage, j’affirmais préférer lui faire l’amour dans l’herbe alors que nous aurions toute la quiétude pour ce faire.

Affirmant que j’étais un romantique, Léopold disait qu’il serait fière de sortir de sa solitude avec moi et que je ne serait pas déçu puisqu’il avait beaucoup d’amour et d’affection à m’offrir. Admettant qu’il me plaisait énormément et que je cherchais cette amour comme cette affection, Léopold à réitéré l’offre qu’il m’avait fait en m’invitant à prendre un café. Affection, tendresse et mamours au programme, je me suis laissé convaincre facilement au travers du charme qu’il dégageait.

Après avoir raccroché le combiné de téléphone, je me suis douché, rasé, habillé proprement puis parfumé légèrement afin de séduire mon homme. Mon excitation placardant mes intentions, je me suis arrêté en chemin dans un boutique érotique histoire de trouver des petits chocolats de fantaisies pour faire mousser notre soirée. Décorer d’une gerbe de fleur, je mettais en valeur mes intentions de cœur aux travers des différentes positions sexuelles que ces petits chocolats représentaient.

Quand j’ai franchis le seuil de sa porte, Léopold ma séduit au premier regard. Heureux de nous retrouver, Nous nous sommes embrassés. Son sourire et son accueil si chaleureux ont sut rivé mes lèvres sur les siennes. Fermant la porte à double tour, nos langues ont commencés a tournoyer ensemble alors qu’ont avaient eus à peine le temps de placer trois mots.

Sa salive affluant dans ma bouche ne me donnait pas l’envie d’arrêter ce moment. Gagnant une érection digne de se nom, Léopold a posé sa main sur la bosse de mon pantalon pour tâtonné mon plaisir en me le signalant.

Lui retirant les brettelles de son pantalon tout en l’embrassant, j’ai palpé sa chaire après avoir déboutonné sa chemise pour la laisser tomber par terre. Raffolant de notre avancé, Léopold m’a invité à le suivre dans sa chambre à coucher histoire d’être plus à l’aise sur le lit.

Lui offrant la boite de petits chocolats avant de quitter le hall d’entrer, Léopold m’a remercié en m’embrassant à nouveau. Ne déballant pas la boite de chocolat, Léopold remettait à plus tard cette cette dégustation de chocolat. Lui souriant, il m’a embrassé à nouveau en déposant son bras autour de ma taille afin de me conduire vers son nid douillet.

Sourire tout inclus, mon emmanchure me donnait de la difficulté à marcher. M’accrochant à son bras, je fus fort excité en découvrant son lit recouvert d’une fourrure polaire. Fantasmant à l’avance de le voir se reposé nu dessus, Léopold en a profité pour laisser tomber mon pantalon tout en me bécotant alors que ma verge à bondit fièrement à l’extérieur de mon pantalon pour démontrer ses intentions qui pointait fièrement devant elle.

Le dénudant à mon tour, je me réjouissais de le découvrir à nu. S’assoyant sur le lit, je me suis agenouillé à ses pieds le temps de lui retiré ces longs bas ¾ arlequin pour le sucer. Fière que son corps me stimule autant, il a ouvert ses jambes grandement afin de me faire profiter de tous ses poils blanc.

Glissant ma langue sur ses testicules, même si Léopold ne possédait pas la dureté nécessaire pour me déviergé, je me régalais de sa verge décapé et de ses lourdes testicules qui pendouillaient devant mon nez. Ainsi ses poils pubiens blanchis confirmaient l’excitation qui m’habitait. Foudroyé par sa beauté, je m’en suis mit plein la bouche en ne manquant pas d’embrasser ses poils blancs.

Le regard amoureux, il s’est décanté sur le lit pour s’abandonner. Admirant son corps mûr qui reposait sur cette fourrure polaire, je me suis masturbé tout en le regardant. Me faisant signe de me rapprocher, Léopold s’est étendu sur le ventre pour me laisser le tâtonné. Me régalant de sa chaire blanche, de ses courbes, de ses muscles affaiblis, j’ai passé un long moment à le masser pour mieux détaillé son corps. Se réjouissant du bien être que je lui apportait, Léopold exprimait clairement son amour.

Heureux de voir qu’il aimait se faire désirer, j’ai pourléché son corps des pieds à la tête tout en m’attardant sur ses fesses où ma langue longeait les plis de celles-ci que le temps avait apporté. Lentement, j’ai glissé ma langue entre ses fesses où j’ai littéralement dévoré sa raie.

Jouissant à voix haute, j’ai inséré ma langue entre ses fesses pour chatouiller son anus tout en me régalant des poils blancs que je découvrais autour de sa rondelle. Ainsi, je n’ai pas manqué de je les embrassés en lui disant que j’appréciais vraiment ces 79 années.

Se régalant de mon euphorie, Léopold à étiré ses fesses avec l’aide de ses mains pour m’offrir un meilleur accès. Perçant sa rondelle avec l’aide de ma langue, je me régalais de son anus alors que ma verge avait envie d’emprunter le même chemin.

Me masturbant tout en délectant son cul, quelque minutes de ce traitement ont suffit pour que je cesse la friction que ma main exerçait sur ma verge avant que j’éjacule trop rapidement. Ainsi, Léopold s’est retourné sur le dos d’où j’ai pu admirer ses lourdes testicules ainsi que sa verge qui pendouillaient devant mon nez.

Appréciant les trois petites taches de vieillissement jonché sur son gland , j’ai fait glissé ma langue dessus pour mieux les bécotés tout en les appréciant ouvertement. Ainsi j’ai engloutis sa verge dans ma bouche tout en enfonçant mon nez dans ses poils blanchis. Son souffle me faisant part de son bien être, j’étais fière de sentir sa mains qui retenait ma tête dans ses poils pubiens tout en m’encourageant à continuer de le sucer.

Appréciant grandement la chaleur de ma bouche, je me régalais doublement du plaisir que l’ont partageais également. Décelant mon excitation, Léopold à ouvert ses jambes en me demandant de le pénétrer sans plus tarder. Insistant pour que je ne porte pas de condom, j’étais fière de pouvoir frotter ma verge contre sa parois anale. Ainsi je me suis enfoncé en lui tout en affirmant que maintenant nous étions réunis nous avions 114 années. Me souriant tout en trouvant que je n’avais pas froid au yeux, je me réjouissais de la chaleur de son anus qui démarquait ma verge en l’englobant.

Placardant ses jambes autour de mon cou, je lui ai léché les jambes alors que ma verge arrivait au fond de ses entrailles. Surexcité, Léopold venait glissé son gros orteil sur mes lèvres. Ouvrant la bouche pour l’engloutir, notre intimité fleurissante me laissait désiré son corps tout entier.

Atteignant à nouveau le point culminant de mon éjaculation, Léopold a serré ses jambes sur moi afin que je laisse partir mon jus en lui. Fière de mon homme, c’est en l’appelant par son prénom que mon sperme a afflué dans ses entrailles pour la première fois. Savourant cet instant, j’ai étiré ce moment en restant en lui aussi longuement que possible après m’avoir vidé les couilles.

Lorsque j’ai fini par débandé, je me suis retiré pour mieux l’embrasser sur le ventre tout en le remerciant. Reposant ma tête sur son épaule, j’en ai profité pour me coller sur lui pour apprécier les caresses et baisés qu’il cherchait à me faire.

Son bras me retenant contre lui, j’étais un homme comblé. Léopold disait qu’il n’avait jamais imaginé qu’ont puissent se retrouver aussi rapidement dans le lit. Affirmant qu’il m’avait rapidement séduit, j’étais fière que nous n’avions pas tourné autour du pot. Léopold m’a embrasser à nouveau en disant qu’il avait toujours faim de moi. Affirmant que ce sentiment était réciproque, Léopold s’est replié sur ma verge pour l’engloutir. Le laissant goûter à mon sperme qui reposait sur ma verge, j’étais fière qu’il est envie de le consommer.

Ma verge reprenant du service, mes mains se sont agrippé à sa chevelure blanchi au même moment où je lui ait dit qu’il suçait merveilleusement bien. Ne cessant pas sa caresse buccal, Léopold à longer son doigt le long de la raie pour venir caresser ma rondelle. Fébrile à son doigté, j’ouvrais mes jambes grandement pour m’abandonner entre ses mains. Trouvant que mon anus disposait d’un espace rétrécit, Léopold s’est servit d’un lubrifiant aromatisé pour me doigté.

Raffolant de cette caresse anale, Léopold regrettait le temps où il bandait durement. Placardant ses lèvres contre mon anus, j’ai vivement jouit lorsque j’ai senti sa barbe se glisser entre mes deux fesses. Décelant mon plaisir, Léopold à étiré ce moment pour mit faire goûter pleinement. Avant de se retourné pour m’offrir sa verge en faisant un 69, Léopold à embrasser mon anus à plusieurs reprise stipulant qu’il devenait amoureux.

Ainsi je me suis régalé à nouveau de ses couilles qui pendouillaient au dessus de ma bouche alors que Léopold me doigtait toujours l’anus en me suçant. Engloutissant sa verge dans ma bouche, j’appréciais son corps qui pendouillait au dessus du mien. Lui demandant de jouir dans ma bouche, j’étais fière de voir que cela l’excitait.

Affirmant qu’a son âge il n’avait plus de grande quantité à m’offrir, je le rassurais en affirmant que la plus petite goutte de sperme provenant de lui me satisferait. Retirant son dentier, Léopold s’est abandonné tout en s’agrippant à ma verge avec l’aide de sa bouche alors que son doigt me travaillait jouissivement l’anus. Ce contractant de plus en plus, il à fini par m’envoyer sa sauce dans ma bouche alors que j’éjaculais au même moment dans sa bouche. Fière de lui, de sa semence, je soulignais ce moment merveilleux que l’ont venait de partager.

Observant le bon goût de sperme qui me laissait en bouche, nous nous sommes embrasser tout en mélangeant ces saveurs de sperme. Pour moi c’était un honneur de l’avoir reçu en moi d’où il ne freinait pas mes ardeurs.

S’étendant sur mon corps, il était fière de moi tout comme j’étais fière de lui. Je ne cachais pas ma joie de vivre en le caressant sensuellement tout comme le bien être que l’ont partageaient dans cette nudité.

Affirmant qu’il m’aimait bien, nous avons continué a discuter dans cette proximité. Se câlinant de temps à autre tout en souhaitant faire durer ce plaisir, j’affirmais être heureux de l’avoir rencontré.

Le temps défilant, Léopold m’a offert de passer au salon histoire de prendre un café. M’offrant sa robe de chambre pour me couvrir, ce fut un grand honneur pour moi que de porter son odeur. Ainsi, je le serrais une dernière fois dans mes bras en le remerciant de toute ces petites attentions.

Ne se délaissant pas, Léopold s’est assis dans son fauteuil où il m’a invité à m’asseoir entre ses deux jambes. Heureux de pouvoir me reposé dans ses bras, je me suis régalé de cette proximité que l’ont entretenaient. Ainsi nous avons longuement discuter de tout et de rien comme de son passer qui me passionnait. Faisant le plein d’admiration, la soirée à défilé sans que je m’aperçoives du temps qu’on avait prit à siroté notre café.

Me demandant d’aller chercher la boite de chocolat que je lui avait acheté, Léopold fut fort impressionné en découvrant le type de chocolat que j’avais choisi par sa forme érotique dans lesquelles ils avaient été moulés. Reconnaissant le plaisir que nous aurions pu partager s’il aurait été en mesure de me pénétrer, Léopold reconnaissait les autres postures comme des positions intéressantes à essayer. Vantant le plaisir que je lui avait offert en le pénétrant, Léopold me souhaitait d’en découvrir tout autant.

M’embrassant dans le cou, Léopold m’a demandé si je souhaitais vraiment qu’il assiste à mon dépucelage. Reposant ma tête contre la sienne, j’affirmais qu’il me ferait plaisir de partager ce moment avec lui. Pour moi ça représentait l’une des plus belles choses qui pouvait m’arrivé où l’ont pouvait partagé contrer cette dysfonctions érectile tout en restant très intime.

M’embrassant dans le cou à nouveau, Léopold me faisait frissonné de plaisir. Ainsi j’ai eu envie de lui plus que jamais. Me dénudant, Léopold me couvrait de compliments tout en précisant qu’il nous restait quelques petits chocolats pour explorer ces avenues. Faisant travaillé notre imagination, Léopold m’a donné l’embarra du choix en me demandant de choisir le chocolat qui interprétait le mieux la position que j’avais envie d’exercer avec lui. Précisant que sa longue barbe m’avait fait chaviré, j’ai choisi le chocolat où le personnage mangeait l’anus de l’autre.

M’entraînant sur le lit pour être plus confortable, je ne cachais pas ma joie de le retrouver sur cette fourrure polaire. Elle qui me caressait les genoux alors que sa barbe me caressait les fesses, je me régalais de sa bouche me dévorait l’anus.

Ma verge reprenant du service, Léopold m’a fait étendre sur le dos pour regarder ma verge qui fixait droitement le plafond. Se rapprochant de moi, Léopold s’est assit sur ma verge. En lui, je palpais son corps avec toute l’admiration que j’avais pour lui. Ainsi, je caressais, son ventre, ses seins, ses bras tout en salivant.

S’agrippant à ma verge, il ancrait son anus encore plus profondément sur ma verge alors que je prenais par les hanches pour m’enfoncer profondément en lui. Passant de longue minutes à fusionner ainsi, j’ai jouis fièrement en lui pour une deuxième fois d’affiler.

Le regard amoureux, Léopold trouvais que j’avais un bon appétit alors que j’admettais être gourmand lorsqu’il m’ouvrait l’appétit ainsi. Me regardant savourer ce moment, Léopold m’a demandé pour rester à coucher. Affirmant que j’apprécierais qu’il passe la nuit coller sur moi, Léopold ma répondu qu’il ne se ferait pas prier pour se coller!

Léopold à continué à me minoucher en s’étendant à mes côtés. Détendu j’appréciais grandement ce traitement. Dans ses bras, je me suis endormit amoureusement.

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Histoire Erotique
j'aime car à 80 ans j'aime toujours les hommes, les déguster puis me faire enculer est toujours un grand bohneur



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