La démonstration

- Par l'auteur HDS Pipistrele -
Récit érotique écrit par Pipistrele [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
  • • 27 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 6.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 7.7
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Récit libertin : La démonstration Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-04-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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La démonstration
Ce qui devait arriver arriva, Dominique, ma femme, a lu mon histoire ( voir 21/03/2014 plombier et chef de service)
Un peu lâche, il faut bien avouer que je l’avais écrite pour qu’elle soit lue par elle, je n’ai pas osé lui dire en face que je l’avais trompé et que c’était pour la bonne cause.
Depuis c’est l’hôtel du cul tourné, je la comprends mais maintenant ça fait un bon moment que ça dure. Nous sommes un couple libéré, je ne pensais pas que ça prendrait une telle tournure jusqu’à l’autre jour où revenant du marché elle dépose sur la table outre les courses, cinq œufs « Kinder surprise ».
Etonnement, scepticisme de ma part, qu’est ce que ça signifie.
« Tu comptes faire un cadeau à tes neveux, ils ont passé l’âge et tu le sais bien ( voir la leçon d’anatomie). Tu veux faire quoi avec ça, ce n’est même pas la période de Pâques ? »
« Je veux vérifier par moi-même si tu ne m’a pas menti avec l’histoire de ta petite pute de chef ».
« Je t’assure l’histoire est on ne peut plus vrai, elle était coincé de l’arrière train ».
« Ne te méprends pas sur mes intentions, je n’ai pas encore tout pardonné, je voudrais seulement faire une expérience. Ce soir tu me carres dans l’anus les cinq étuis jaunes des jouets Kinder, puisque tu dis que c’est le nombre que ta salope de supérieure avaient dans le rectum ».
Tiens, tiens ça devient intéressant, je retrouve ma Dominique. Elle fait la sévère mais il n’en est rien.
Le soir venu, je la retrouve debout devant le lavabo, le cul en arrière, les fesses bien écartées.
« Je me suis déjà enfoncé trois capsules mais ça devient pénible, soit ta pouffiasse n’en était pas à son coup d’essai, soit tu m’a menti avec ton histoire d’évacuation ».
« Combien de fois il va falloir que je te dise que tout est absolument vrai, tu veux que je finisse le boulot ? »
« Il en reste deux, essaie de les faire rentrer, j’ai déjà lubrifié ».
En m’approchant je vois du jaune à l’intérieur de son petit trou pas tout à fait refermé. Je pousse délicatement à l’intérieur un objet puis l’autre sans trop de difficulté, j’en profite pour explorer de mon doigt son intestin qui n’a pas l’air trop propre, je lui en fait la remarque .
« Bien sur, j’ai mangé les œufs en chocolat et j’ai une tendance à la constipation, c’est peu être pour cela que ça ne rentre pas si bien que je l’aurais cru. Dans le cas de ta chefaillon, son trou de balle était vide et elle a pu le remplir sans trop de problème, ses déjections sont venues se coller derrière le faux god. Et maintenant, c’est au tour du tube d’aspirine en plastique, t’arrêtes si ça se passe mal, j’ai des doutes qu’il puisse encore entrer ».
Dès que je commençais à introduire l’objet, ses fesses se couvrirent de chair de poule et par gestes elle me fit signe de continuer. Ca y est il est entré, son anus ne s’est pas refermé immédiatement mais c’était en bonne voie.
« Je ne pensais pas que ça aurait pu être possible, ça me fait comme quand je suis pas aller chier pendant un certain temps et cette chose n’a pas l’air de vouloir ressortir. Viens t’asseoir dans la cuisine ».
Elle avait toutes les peines du monde à marcher et pour s’asseoir ce fut le martyr, je sentais bien qu’elle avait mal.
« Tes descriptions des difficultés provoquées par le fait d’avoir quelque chose dans l’oignon ont l’air vraies, je commence à croire à ton histoire, mais pas question que je garde ça deux jours je ne pourrais pas aller travailler, viens on va essayer d’évacuer ça ».
Elle se couche sur le canapé les fesses sur l’accoudoir, exactement comme Elizabeth. Je prends le même angle de vue ( la vue n’étant pas tout à fait la même, ma femme ayant un popotin plus imposant et plus velu que celui de ma chef, si Elizabeth achète des culottes « petits bateaux » ma femme aurait plutôt tendance à acheter la taille « paquebot »)
« Sans que le tube se retourne s’est quand même difficile d’extraire tous ces objets, aide moi avec tes doigts » me dit elle.
Et je lui farfouille le p’tit trou, l’histoire se répète. Elle pousse et le tube ressort sans difficulté, le reste suit par à coup, les Kinders sont englués dans la merde qui s’est formée autour, le dernier est suivi d’un petit boudin qui tombe dans la cuvette et comme la dernière fois l’air se précipite à l’intérieur.
« Alors, tu vois que c’est en tout points conforme à ma description ».
« J’avoue que je suis bluffer, tout correspond » me dit elle en évacuant des pets éclaboussants. L’air ressortait. « il y a une chose qui n’est pas semblable, il me semble que tu ne bandes pas ».
« L’émotion, sans doute, la peur que tu ne me crois pas, et pourquoi bander puisque tu ne veux plus de moi ».
« Qui t’a dit ça. C’est vrai j’avais l’intention de te punir. Mais me mettre ces choses dans le troufignion ça m’a fait de l’effet, tu ne vois pas que je mouille, gros bêta »
L’effet fût immédiat, j’étais au garde à vous, pantalon baissé en moins de deux, j’avais sa fente humide à portée de queue et sans poser plus de question je m’introduis en elle, ce qui l’a fît râler de plaisir (il y avait si longtemps que nous attendions ça).
Dominique me dis alors « encule moi »
Je continuais mes aller retour dans son sexe de plus en plus humide, je pensais ne pas avoir bien entendu et je ne voulais pas rompre le charme.
« T’as entendu ce que je viens de te dire, encule moi. Tu n’auras aucune difficulté après ce que je viens d’extraire de mon cul ».
J’avais bien compris et d’un trou je passais à l’autre et sur la lancée ce fut une fois dans le cul une fois dans le con et ça ne pourrait pas durer bien longtemps.
« Tu veux que je t’arrose où »
« Sur le ventre mais fais vite, je suis prête à veniiir. Ah ça y est je viieens !!! »
En même temps je déchargeais sur son pubis poilu et m’affalait sur elle.
Ouf, je pense que j’étais pardonné.

Toujours enlacés l’un sur l’autre elle me dit :
« Ca m’étonnerais que ton Elizabeth ai pu tenir 2 jours avec ce qu’elle s’était fourrée dans le cul, elle aurait eu le réflexe incontrôlé d’évacuer. Elle te joue la comédie depuis qu’elle s’est saoulée, je pense qu’elle s’est introduit les kinder le matin même de votre aventure, je ne sais pas comment elle a appris que tu aimais ces choses qui sortent de l’anus. Elle s’est montée un plan cul et tu étais visé, pourquoi crois tu que c’est toi qu’elle a choisi comme plombier ».
« Ah, t’as peut être raison, je n’y avais pas pensé »
Oh si que j’y avais pensé et ce furent deux moments bien agréable, un avec ma chef, l’autre avec Dominique, mais il ne faut pas le lui dire, elle le saura bien assez tôt.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Tous les récits sont réels, certes ils sont un peu romancés mais partent tous de situations que nous avons vécues. Elisabeth, n'est pas son vrai prénom mais elle existe bel et bien.

Histoire Erotique
Bonsoir,
Très beaux récits, surtout ceux avec votre chef.... Pourriez-vous me dire si les récits avec Elizabeth sont réels ?

Histoire Erotique
Sacrée cochonne la madame, il est vrai que l'on trouve le plaisir des sens de différentes manières, j'aimerai bien que l'histoire retourne vers les deux neveux et leur découverte du sexe, qui sait, tata pourrait peut être se faire avoir à son propre jeu d'aguicher et faire découvrir les joies du sexe scrabreux aux deux chenapans.



Texte coquin : La démonstration
Histoire sexe : Une rose rouge
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