Retour gagnant.

- Par l'auteur HDS Polarix -
Récit érotique écrit par Polarix [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Retour gagnant. Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-02-2007 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Retour gagnant.
Notre situation a changée, Marie-Paule et moi avons divorcé depuis une dizaine d'années. Je vis conjointement avec une femme avec laquelle je passe d'agréables instants mais sur le plan sexe ce n'est pas top. Quand à mon ex elle vit seule. Un ami dont on fréquentait le couple lorsque nous étions ensemble vient plusieurs fois par semaine la satisfaire sexuellement, mais il vit malheureusement encore chez son épouse qui est au courant de la situation et bien sûr ne l'accepte pas. Je dis malheureusement, car elle n'a rien de bandante. De toutes manières cette relation entre mon ex et cet individu existait déjà quand nous étions encore en couple. Mais je l'acceptais, car de mon côté j'en faisais de même et ces événements pigmentaient nos relations sexuelles. Je crois que notre séparation est un échec et que nous n'avons pas réfléchis.

Un jour où je passais pour lui faire un petit coucou, elle était fringuée d'une façon hyper sexy, que je ne pu m'empêcher de résister. Cette femme, dont je connais tout, me fais toujours envie, je repensais à nos inoubliables parties de cul. Je me mis derrière elle, lui prit la taille, m'approcha ma joue contre la sienne, en lui laissant un bisou dans le cou, et avec ma main droite lui souleva la jupe. Sans aucune résistance elle se livra à moi, et depuis ce jour tout recommença. Mais maintenant j'étais devenu son amant et elle ma maîtresse, car bien sûr les personnes avec qui nous partageons notre vie sont loin de s'imaginer dont Marie-Paule et moi sont capables de faire, comme le montage des scénarios pour pouvoir nous rencontrer.

Nous sommes lundi matin, je suis seul au bureau, je sais que mon ex est de repos je lui passe un coup de fil et nous donnons rendez-vous sur les coups de 12h30 pour être sûr que le personnel soit partis. J'ai tout aménagé pour une formidable partie de jambes en l'air: champagne, godes, caméra, coussins...

Douze heures. trente cinq minutes là voici enfin, montée sur de superbes talons aiguilles et les jambes revêtues d'une magnifique paire de bas noirs, sous un long manteau noir grand ouvert une courte jupe en cuir noir et un chemisier transparent noir, sont une invitation au désir. Le contour de sa bouche est souligné d'un rouge à lèvres pétant assortit à son vernis à ongles. Ses cheveux sont ramassés par une agréable choupette en forme de queue de cheval, laissant ainsi apparaître de grosses boucles d'oreille. Une parfaite salope est devant moi prête à se faire défoncer par tous les trous. Elle me gratifie de quelques poses très HOT, histoire de se faire désirer d'avantage. Je lui verse une flûte de champagne et Marie-Paule commence alors à s'exhiber devant la caméra où j'ai démarrer l'enregistrement. L'appareil photos en mains je mémorise ces moments inoubliables. Avec délicatesse elle dépose son manteau sur le canapé, tout en remuant son popotin, son déhanchement provoque le frottement de ses deux bas au niveau de ses cuisses, un bruit dont elle sait déclenche chez moi et certainement chez beaucoup d'autres hommes, une irrésistible dureté de mon pénis. Elle s'approche de moi, me pose la main au niveau de la braguette de mon pantalon et me dit:
"Pas mal".

Je lui roule une première pelle tout en lui remontant la jupe, et atteints son string, le ton est donné.

Je lui dégrafe et descends son corsage, l'assieds sur le bureau, en string et soutien gorges rose et noir et la jupe retroussée . Je couvre son corps de baisers, lui remonte sa paire de miches au dessus de son soustif et lui broute les tétons de ses mamelles. A travers son string, munis d'un gode, je lui échauffe sa chatte déjà bien humide. Brûlants tout les deux d'un désir intense, elle me baisse le pantalon et porte mon sexe gonflé à sa bouche gourmande. Je m'assoie sur le fauteuil et mon ex accroupie devant moi, me taille goulûment une pipe d'une extrême ardeur. Ma queue est prisonnière de ses mains, la dextérité de son poigné, les pressions et les va et viens successifs de ses doigts sur mon membre offre à ses lèvres, à sa langue, à sa gorge un gland tendu prêt à exploser. Quand elle enfile ma queue entière au fin fond de sa bouche, j'ai l'impression de lui ramoner les amygdales. La salope me surprends et me surprendra toujours par la qualité de son service.

Elle libère mon sexe, se remet debout, descend la fermeture de sa jupe, à l'aide d'un léger déhanchement la laisse glisser le long de ses jambes et je l'installe sur le bureau. Je prends une de ses cheville, et commence au niveau de celle çi à lui délivrer des petites lèchottes à travers son bas. Je continue par son mollet, son genou, sa cuisse, avec mon autre main, je lui écarte son string et lui fourre ma langue dans son bonbon dépourvu de poil mais avec un appétissant et léger goût du large. Sa moule est fraîche et brûlante à la fois, une sorte d'invitation à passer à table, et j'ai grand appétit. Mes premiers attouchement sur sa vulve, déclenchent chez Marie-Paule des gémissements qui très vite s'intensifient. Quelques cunnilingus, suivit de bonnes séances de godes et la voici toute offerte. Je lui dégage une jambe de son string et le laisse libre le long de celle-ci. Cette fois les cuisses grandes écartées je lui lubrifie l'anus de ma salive et commence de petites pénétrations avec le gode mis en vibromasseur. Le passage est vite ouvert, et Marie-Paule me supplie de vite lui mettre ma queue. Très sadiquement et afin que je sois encore plus désirable, je retire lentement le gode en le tournant, sous l'effet de ses vibrations, elle m'ordonne de la bourrer de la défoncer par les deux trous. Le vibro sorti, je présente ma bite toute enflée à l'entrée de son cul, la salope s'en saisit et se la bourre profondément dans son abîme. Accompagné de:
"Vas y mon salaud ça te plais, hein? Ca te plais une salope comme moi, tu as vu ce que tu as perdu. Ouiii, ouiii bourre moi. Ta pétasse elle baise pas comme ça? Hein? Dit le, dit le au moins, le cul il y a que ça de vrai , toi et moi on est fait pour ça. OOh!!! Ooh! elle est bonne ta queue. Oh qu'elle est bonne elle est booonne!"
Je saisi le gode et sans aucune délicatesse lui enfourne dans son vagin affamé de sexe. Marie-Paule est prise par les deux trous et tous les deux jouissons intensément en intime complicité. Après lui avoir fourrée ma pine dans son pétard, je me retire, tout en laissant le gode profondément enfoncer dans son vagin. Bien allonger sur le bureau, un coussin sous sa tête, , les cuisses largement écartées, Marie-Paule se livre à tout mes désirs. Il me vient alors une idée, avec le bout de ma langue je lui excite les lèvres de son clitoris qui se referment sur le gode, lui enfile lentement un doigt, pour donner du passage, puis deux, trois et pour finir je réussis à lui bourrer ma queue dans son vagin. Je vois mon ex, grimaçante mais de plaisir et très vite me demande de la limer intensément. Au bout de quelques minutes et de plusieurs va et vient, le passage est lubrifier et les lèvres de sa moule adaptées au calibre de deux verges. Le spectacle est impressionnant, tout les deux sommes au summum de notre jouissance. Marie-Paule agite sa tête de droite à gauche aux prix de cris intenses à en perdre le souffle. Les deux queues superposées dans son vagin, représentent une ouverture d'au moins 10 cm de long, sa vulve est superbe, j'en ai jamais vu de si grosse, un garage à bites, un gouffre chaud et humide, où je me sens bien. En pleine baise, son portable sonne: c'est son mec. Peut-être veut il prendre de ses nouvelles? Avec humour je lui glisse ces mots: " Dis lui que tout va bien." Elle hésite et finalement ne décroche pas, elle le rappellera. Nous changeons de pose, et pour terminer, je vais la prendre en levrette, toujours avec les deux bites. C'est merveilleux, à genoux sur le canapé, mon ex se fait prendre par derrière. .Sans forcer, la première bite rentre donnant une impression de travail inachevé, ce gode parait même ridicule dans cet abîme, je suis à deux doigts de l'érection, je me ressaisis, c'est un gland tendu , une bite hyper raide qu'elle va recevoir, là je l'emmanche profondément, les deux pines sont au plus profonds de ses entrailles, les deux mains posées sur ses fesses, je remue dans tous les sens, afin de la remplir complètement. De derrière, avec son bon gros cul bien tendu et qu'elle remonte, la vue est encore plus impressionnante. Marie-Paule hurle, je ne peux l'arrêter car c'est trop bon. Les mots tombent:
"Oh mon salaud, oh qu'elles sont bonnes! Oh! Oh! Oooh! Qu'elles sont booonnnes!"
J'essaie encore un peu de me retenir, et elle rajoute:
"J'en veux encore, encore, eenncoore! laches moi tout, oui, oui oui ouuiiii! Donne moi tout ce que tu as! Vas y! Vas y! Oui, Oui! Oui! Oouiii! Vas'yyyy! BOURRE MOI! BOURRE MOI! Encore encore encore! Encooore!

Je la pilonne de toute part, lui ravage le vagin à grands coups de bites et après longtemps m'être retenu, lui décharge tout mon foutre. Une première et puissante trissée sur son gros cul puis une abondante éjaculation sur sa moule en feu. Elle prend sa main se caresse la vulve puis les seins, avec les doigts enduits de sperme, retourne sur sa moule y fourre un doigt puis le lèche. Avant de se lever elle lâche ses mots:
"Ca c'est du cul n'est ce pas? Tu m'as bien baisée."
Nous réorganisons le bureau, mon ex s'essuie puis remonte son string, réajuste son soutient gorge, quelques traces blanchâtres ont séchées sur sa peau dorée. Après avoir mis son chemisier, je lui remonte la fermeture de sa jupe, elle est prête à partir, mais avant passe un coup de fil à son mec, lui dit que tout va bien et peut être à ce soir. Le téléphone raccroché je lui dit:
"Alors tu vas remettre ça ce soir?

- S'il est en forme oui. Mais tu peux compter sur moi, je ferai tout pour qu'il soit en forme, je suis une salope une salope qui aime le cul, il n'y a pas de mal, non? Tout comme toi c'est pour ça que nous étions fait pour être ensemble...Tant pis!.... au faite tu repasse quand? Très vite... j'espère?"
Sur ce, avec un large sourire, elle prend son manteau et quitte le bureau.

Je peux lui faire confiance ce soir elle va remettre ça... et moi? Eh bien moi je bande déjà, mais ce ne sera certainement pas pour ce soir.

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