La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°286)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°286) Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-05-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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(9.0 / 10)

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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°286)
Suite de l'épisode précédent N°285 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré –

Au bout de seulement cinq minutes qui ont dû paraître une éternité pour celle trop impatiente et qui est privée de ses sens, une main empoigne rapidement les deux bracelets de la soumise pour les cadenasser. L’effet de surprise a fait que Thaïs a sursauté, même si elle est restée dans la même position, n’opposant aucune résistance à celui ou celle qui l’a menottée. Mais elle n’a pas pu s’empêcher de pousser un cri, réaction presque instinctive et elle sait que ce dernier va être la cause d’une première punition méritée. Celle-ci ne se fait pas attendre, deux tapes sur chaque mamelle bien pesées et puis immédiatement une main lui pince le nez pour la forcer à ouvrir la bouche dans laquelle elle sent qu’on insère sans préambule un bâillon-boule qui est aussi sec attaché fermement derrière sa tête. Juste après un autre objet, qu’elle imagine comme pouvant être une bande de cuir est serré également au niveau de ses yeux, plaquant le bandeau opaque de manière à ce qu’il ne puisse plus, ni bouger, ni glisser. Elle imagine comme un autre lien qui est posé à la hauteur de ses oreilles pour maintenir cette fois les écouteurs bien plaqués de manière à ne laisser filtrer aucun autre son que ceux qui seront diffusés par le mobile qui pend à son cou et qui est en marche en continu, ce que Thaïs ignore encore, pensant juste que son Dominant a voulu la priver de l’ouïe et de la vue.

Puis plus rien ne se passe sauf les écouteurs qui commencent à diffuser de manière de plus en plus audible, presque trop forte en peu de temps, le boléro de Ravel, qu’elle reconnaît immédiatement grâce à la musique au rythme et au tempo invariable, à la mélodie uniforme et répétitive, dont les seuls éléments qui changent sont les effets d’orchestration avec un crescendo progressif. Un air qui a la faculté de pouvoir toutefois être arrangé pour être joué en continu et en boucle à l’infini de manière totalement uniforme, car le Marquis tient à conserver pendant quelques temps encore la notion de la perte du temps, en sus de la perte des sens qu’IL a imposé à sa soumise. Thaïs bercée et presque saoulée par la musique lancinante, n’a aucun moyen de s’apercevoir de ce qui se passe autour d’elle, ni même de se soustraire aux contraintes qui l’entravent puisqu’elle a maintenant les deux mains liées dans le dos, mais surtout parce qu’elle n’a nullement l’intention de se dégager. Elle est ici de son plein gré pour remettre sa vie et son avenir entre les mains de son Maître Vénéré et n’entend pas le moins du monde se dérober à ce qui reste son vœu le plus cher, satisfaire le moindre de Ses désirs, même les plus pervers… Elle sent que l’on tire sur la laisse pendant à son cou pour l’obliger à se mettre debout et à faire quelques pas. Puis la personne qui la conduit, dont elle ignore totalement qui elle est, la fait tourner plusieurs fois sur place assez rapidement, pour lui faire perdre aussi le sens de l’orientation. Thaïs est ainsi totalement déboussolée, de plus en plus sonnée de ne plus avoir le moindre repère spatiotemporel. Elle a l’impression qu’elle est devenue un vrai pantin avec lequel quelqu’un s’amuse, car une main ou sûrement plusieurs mains baladeuses et perverses la touchent, la pincent, la palpent, la tâtent, la triturent, la caressent, et ce de manière rapide et irrégulière à différents endroits de son corps nu et livré, pour la faire chaque fois sursauter dans la plus grande confusion sensorielle.

Elle tressaille encore lorsque qu’une main plus entreprenante se glisse enfin dans son entrecuisse trempé, prenant le temps de s’infiltrer aussi dans la raie des fesses. Thaïs est dans tous ces états d’être ainsi touchée et stimulée de tous les côtés et elle imagine très bien que la main est ressortie poisseuse de sa chatte car elle sent que la personne qui n’a pu lui faire lécher ses doigts remplis de cyprine dans sa bouche obstruée. Alors les doigts se promènent sur sa poitrine pour les essuyer comme on le ferait avec un torchon. Thaïs essaye de reconnaître la main qui est partie à l’assaut de son intimité si brièvement, qui lui semble trop grande pour être celle de son Maître. Elle ne peut s’empêcher de penser qu’il pourrait s’agir du pervers Walter, le majordome, qui semblait avoir sensiblement la même taille lorsqu’il lui avait asséné deux gifles majestueuses lorsqu’il était arrivé au château de M…., mais elle sait aussi que ses sens sont perturbés par les restrictions imposées et qu’elle n’en saura pas plus pour l’instant car son Maître l’a ainsi décidé. Et de tout manière, les mains inquisitrices semblent s’être pour l’heure évaporées et Thaïs reste ainsi immobile, droite, incapable de voir, d’entendre, de parler, de toucher, n’ayant conservé que l’odorat, mais qui est perturbé aussi, car elle a le sentiment qu’elle ne peut encore sentir et distinguer que l’odeur presque pestilentielle du chenil qui a imprégné ses narines et sûrement sa peau de ces senteurs lourdes d’urine et de bave de chien.

Soudain, la musique s’arrête et les écouteurs posés sur les oreilles de Thaïs lui permettent d’entendre la voix de son Maître. Thaïs tremble de joie en reconnaissant Sa voix posée, calme certes mais autoritaire et froide, qu’elle reconnaît si bien, de Celui à qui elle voue une Vénération sans bornes.

- Bonsoir ma belle Chienne !

Thaïs voudrait pouvoir répondre comme si souvent « Bonsoir, mon Maître Vénéré », mais c’est au silence et à la passivité qu’elle est condamnée.

- Te voilà enfin chez Moi, dans mon fief, dans le Château de Mes Ancêtres. Ne t’attends pas à y être reçu comme dans ce magnifique château-hôtel où tu es venue me rejoindre le week-end dernier… Ici, il te faudra gravir marche après marche, le chemin qui te conduira jusqu’à Moi. Comme je te l’ai déjà dit, J’exige de toi une obéissance sans bornes et une dévotion infinie. La moindre défaillance sera punie pour te permettre de progresser, mais aussi parce que Je ne peux tolérer le moindre affront fait à Ma personne. Alors tâche de ne pas trop accumuler les erreurs, car tu risquerais de les sentir passer … A ce propos, n’as-tu pas crié tout à l’heure ! Cela n’arrivera plus pour l’instant car tu es bâillonnée, mais tâche que cela ne se reproduise plus désormais. Tu dois apprendre à contrôler toutes tes émotions pour ne laisser s’exprimer que celles qui me conviennent. Demain, tu recevras au lever ta punition, Je n’ai pas de temps à perdre avec cela, mon majordome est chargé de ses tâches subalternes, ou à défaut cela incombe à l’un de Mes acolytes. Tu recevras aussi rapidement l’enseignement dont tu auras besoin pour connaître les règles strictes en vigueur dans cette demeure, car Je suis ici plus qu’ailleurs intransigeant sur le comportement de tous Mes esclaves qui se doivent de Me faire honneur en plus de Me servir.

La voix du Marquis d’Evans s’est interrompu subrepticement et la musique a repris son cours, toujours le même air lancinant qui revient dans les oreilles de la soumise qui se sent de plus en plus vulnérable, et qui prend conscience comme jamais du poids du joug qui pèse sur ses épaules, car le ton très dominant et autoritaire de son Maître n’a laissé aucune place à la moindre tendresse, ce à quoi pourtant IL l’avait habitué lors de leurs premières et précédentes rencontres. Les attentes immobiles de Thaïs sont entrecoupées de stimulation des plus diverses, jouant chaque fois sur la surprise et la variété des délices sensuels. La soumise ressent un objet dur qui lui appuie sur l’épaule gauche, l’obligeant d’une geste ferme à se remettre à genou. C’est un pied posé sur son dos qui la fait se courber et sans ménagement presque tomber sous le poids de la pression. Une nouvelle main se faufile entre ses fesses, visiblement gantée de latex car elle semble reconnaître la texture, et lui ôte le petit rosebud que Thaïs avait toujours dans son fondement mais dont elle avait fini par oublier la présence, tant l’excitation qui la submerge la dépasse de toutes parts. La main semble plus petite, disons avec des doigts plus courts bien qu’épais, sûrement celle d’une femme qui commence à glisser un doigt dans sa rondelle accueillante et un autre dans sa chatte humide. Les deux doigts se mettent à vouloir se caresser en se frottant l’un contre l’autre, se touchant presque car seulement séparés par la fine paroi qui sépare le vagin du rectum. C’est un vrai délice sensoriel qui attise la montée du plaisir de la soumise qui ne pouvant haleter tout à son gré bave de plus en plus à travers le bâillon-boule. Thaïs sent l’orgasme qui approche et elle sait qu’elle doit résister malgré les attouchements savants qui lui sont prodigués et presque infligés tant ils se poursuivent avec ardeur. Elle tente de se concentrer sur sa respiration difficile à cause de sa bouche entravée et elle mort à pleine dents ce qu’elle a entre les lèvres pour résister et ne pas céder à la jouissance par la main qui la ‘’tyrannise’’ de plaisirs avec une subtilité très perverse et fort expérimentée.

Thaïs se rend compte seulement au moment où la musique reprend qu’elle avait cessé depuis plusieurs minutes, mais elle était vraiment trop focalisée par ce qui se passait dans et entre ses orifices, par ces sensations nouvelles qu’elle découvrait, ayant rarement été caressée d’une manière aussi sensuelle et si vicieusement délicieuse. La main s’est retiré au moment où la musique a repris et Thaïs est plus qu’étonnée de voir comme son Maître Vénéré a pris le temps d’organiser son arrivée, et comme IL joue comme un véritable chef d’orchestre avec son corps et son esprit. Mais son anus ne reste pas longtemps au repos. Ses deux fesses sont écartées au maximum par deux doigts, et Thaïs sent qu’on lui glisse à travers sa rondelle ce qu’elle prend au départ pour un gode tellement il lui semble long par une pénétration qui n’en finit pas, mais qui se révèle être un plug à base conique évasée qui lui arrache des cris larvés par le bâillon quand la partie la plus large de l’objet dilate au passage son petit trou qui se referme aussi sec sur la courte partie étroite qui précède l’embout qui restera à l’extérieur et qui est équipé d’un crochet, sur lequel est aussi sec attaché une chaîne qui remonte pour être reliée à l’anneau qui pend au collier en métal, lui traversant la chatte au passage et venant se plaquer sur son clitoris turgescent. Thaïs se sent emplie du cul comme rarement elle l’a été, et elle se demande combien de temps elle va devoir supporter cet intrus qui lui remonte presque jusqu’aux entrailles, qui lui donne la sensation d’avoir été enculée par une star du porno à la trop longue queue. La douleur de la pénétration se calmant peu à peu, c’est à nouveau un sentiment de plaisir qui lui fait face, d’autant plus difficile à supporter qu’elle avait été conduite jusqu’au bord de la jouissance pour se trouver juste après privé de l’extase finale qui aurait permis d’éteindre le feu qui lui dévore le bas-ventre. La musique s’éteint d’un seul coup et Thaïs frissonne en entendant à nouveau la voix laconique de son Maître.

- Tu avances de dix pas en avant à grandes enjambées à chaque fois …

Marchant maladroitement avec ce qui lui pourfend le derrière, la belle chienne avance néanmoins des dix pas imposés.

- Quart de tour à droite, trois pas en avant ….

Thaïs s’exécute une fois de plus, avançant sans rien voir, mais évoluant dans une totale confiance envers son Maître.

- Quart de tour à gauche, cinq pas en avant… Quart de tour à droite, quinze pas en avant… trois pas en arrière… Quart de tour à droite, sept pas en avant… Quart de tour à gauche, dix pas en avant… Etc… (le manège dure ainsi plusieurs minutes)… Ne bouge plus !

Les ordres fusent à la vitesse Grand V, Thaïs craint de se tromper à chaque fois, et du coup de risquer de se heurter à quelque obstacle avançant à l’aveugle sur les seules indications fournies par le Châtelain. Elle ignore même si son Maître peut la voir en ce moment, s’IL est dans la pièce, si elle a changé de lieu, car elle n’a pas eu le temps de mémoriser les pas et les virages successifs, surtout qu’IL a même imposé des pas en arrière, et qu’elle ne sait pas si c’était pour le plaisir d’un jeu pervers de la voir se déplacer dans un labyrinthe éteint et irréel ou si c’est parce qu’elle avait été trop loin en se déplaçant réellement d’un point à un autre. La même musique reprend mais beaucoup moins fort qu’avant. Thaïs ressent de plus en plus la fatigue et l’épuisement après tant de sollicitations plus intenses les unes que les autres. Elle commence à se demander si elle arrivera à résister à tout ce que son Maître va exiger d’elle au fil des jours. Et c’est au moment où elle est presque en train de basculer, prête à tomber par terre car ses jambes ne la portent plus, que des bras puissants la retienne. Elle se rend compte que l’on détache les liens qui lui enserrent la tête, le dernier est celui du bâillon-boule qui est enlevé et en même temps qu’un doigt se pose sur sa bouche pour lui faire comprendre qu’elle ne doit pas prononcer un seul mot. La musique s’est éteinte et les écouteurs lui sont aussi retirés. Elle a l’impression de reprendre un peu l’usage de ses sens. Une personne qu’elle ne peut toujours pas identifier lui défait les mains qu’elle avait toujours liées dans le dos et surtout lui retire, après avoir défait la chaîne, le plug qui martyrisait son anus. Elle entend encore un bruit de chaîne qui visiblement est cadenassée sur son cou qu’elle a été forcée de relever pendant quelques secondes. Il lui semble reconnaître maintenant le parfum de son Maître Vénéré, elle aimerait tant que ce soit Lui qui soit là auprès d’elle, à ce moment là.

D’un geste tendre, l’inconnu l’aide à se baisser et s’asseoir sur ce qui semble être une couche matelassée à même le sol. Et juste avant de l’allonger, le Marquis Edouard d’Evans, lui murmure à l’oreille :

- Dors bien ma belle petite chienne, ici à l’intérieur de Mon Château… Repose-toi maintenant, tu l’as bien mérité. Je suis très fier de toi. Tu pourras dans cinq minutes mais surtout pas avant retirer ton bandeau, et aussi te désaltérer, te rassasier à ton aise et te soulager aussi si tu en as besoin. Tu ne me verras pas pour ce soir, Je l’ai voulu ainsi. Qui sait ? Peut-être demain, pourras-tu te jeter à Mes pieds ! Je sais que tu n’attends que cela, mais c’est à Moi de décider et à Moi seul de l’instant qui Me conviendra. Toi, tu n’es là que pour Me satisfaire et répondre à toutes Mes exigences. Pour ce soir, tu es arrivée dans ce qui sera ton lieu de résidence pendant ton séjour ici, l’un de Mes cachots dans lequel tu seras enfermée tous les soirs, sauf si Je décide qu’il en sera autrement suivant mon bon vouloir. En effet Je ne t’ai pas fait entrer par le perron et l’entrée principale volontairement afin que tu puisses arriver ici dans ce cachot qui devient, de fait, ta chambre... Bonne nuit Ma belle chienne…

Le Maître Vénéré lui dépose un baiser tendre sur la bouche que Thaïs a gardé close depuis que le bâillon-boule a été retiré. Le Noble se retire sans un mot de plus, fermant derrière lui la porte de la cellule à clef. Thaïs entend aussi la fermeture des lourds verrous grinçants et attend cinq bonnes minutes et retire son bandeau comme l’a exigé son Maître. Elle découvre un réduit faiblement éclairé par une simple loupiote, aux murs de pierres nus mais équipés de divers gros anneaux scellés. Devant elle, une porte en bois munie d’une petite ouverture à abattant qui permet sûrement de regarder ce qui se passe à l’intérieur comme dans une prison. Elle est attachée à un des anneaux au mur par une longue et épaisse chaîne qui est reliée à son cou et qui lui permet de se déplacer dans cet espace clos, sans toutefois pouvoir atteindre la porte d’entrée, mais lui permettant d’aller jusqu’à des WC à la turque qui équipe le coin opposé de la petite pièce toute en longueur. Sa couche est composée d’un sommier de lattes posé à même le sol, recouvert d’un fin matelas et au pied du lit, elle aperçoit une couverture. La soumise est heureuse de se trouver dans ce local qui lui paraît presque être un palace eu égard à sa condition et elle remercie par la pensée son Dominant des égards qu’IL lui manifeste. Juste à côté du lit, se trouve une carafe d’eau, un verre et un morceau de pain garni d’un peu de jambon. Thaïs se précipite d’abord sur l’eau, car elle a la bouche très sèche, bien que n’ayant pas arrêté de baver à cause du bâillon. Elle s’empresse aussi de vider sa vessie se demandant même comment elle a pu se retenir aussi longtemps, même s’il est vrai qu’elle n’avait pas bu depuis son départ d’Orléans. Elle est épuisée et voudrait pouvoir dormir sans tarder, car elle n’a pas faim, mais elle craint de déplaire à son Maître, si elle ne mange pas ce qu’IL a eu la gentillesse de faire préparer pour elle. Sa tête est remplie de chaque seconde de cette intense journée et soirée qu’elle vient de vivre. C’est sans avoir besoin de la moindre berceuse, qu’elle s’endort en quelques secondes à peine, ayant pris soin de se couvrir de la couverture, honorée par les multiples attentions que son Maître a eu la bonté de lui manifester et le cœur empli de dévotion et de gratitude pour celui qu’elle Vénère et à qui elle a voué son humble vie. Elle se heureuse et surtout à sa place quand les yeux se ferment de fatigue pour sombrer dans les bras de Morphée …

(A suivre…..)

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Texte coquin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°286)
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