Titre de l'histoire érotique : MARC l'invité surprise (suite de LA PISCINE)

- Par l'auteur HDS Alnicabe -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : MARC l'invité surprise (suite de LA PISCINE) Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-05-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(8.0 / 10)

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Titre de l'histoire érotique : MARC l'invité surprise (suite de LA PISCINE)
C’est l’été, il fait beau et chaud, je rentre à la maison, et je retrouve ma femme Catherine toujours aussi jolie avec ses grand yeux verts, son mètre 60, son corps voluptueux et généreux. Elle est habillée de sa petite robe bleue, qui met ses formes en valeur.

Elle s’approche, s m’embrasse tendrement, je ne peux m’empêcher de la prendre dans mes bras, de laisser mes mains, se promener sur ses hanches, ses seins, s’égarer sous sa robe, le long de ses cuisses, jusqu’à son sexe que je caresse doucement à travers sa culotte .
Elle se laisse faire, elle s’abandonne, son tendre baiser, se transforme en baiser fougueux. Elle presse son cops contre le mien, elle avance son pubis pour appuyer son clitoris plus forts sur mes doigts qui sont passés sous la fine dentelle, et la masturbe fermement.

Elle mouille, de ma main libre je fais glisser, sa robe je défais le soutien gorge, et je descends doucement en la couvrant de bisous, jusqu’à sa chatte. Elle s’appuie au mure les cuisses légèrement écartées, pour que ma langues puisse accéder à son intimité. Je la lèche, m’insinue à travers ses lèvres, la pénètre, remonte titiller son petit bouton tout gonfler de plaisir. Elle gémit, me presse sur la tête, me guide par la parole en me disant ses désirs :

Vas y lèche moi, fort, mets ta langue dans ma chatte en feu, bois ma mouille, aspire mon clito. Donnes moi du plaisir ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, je jouis mon chéri, oh c’est bon, oui encore ta langue, oui comme ça, comme ça ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.

Et elle jouit dans un dernier sursaut et me plaquant avec ses mains la tête sur son entre jambes trempée

Je me relève, elle me fait un léger bisous, m’entraine dans le salon, se couche sur le canapé, en écartant les cuisses sans pudeur et en se caressant. Elle me dit : sautes moi. En un clin d’œil je suis nu,
je m’allonge sur son corps chaud et offert, je la pénètre , nos bouches se retrouvent et nous faisons l’amour, lentement en douceur, mes mouvements sont lents, puis rapides, puis de nouveau lents. Je la sens frémir, se donner, son pubis est coller au mien elle se frotte. De nouveau son plaisir monte, le mien aussi. J’accélère le rythme de mes coups de rein, elle me serre plus fort, respire plus fort, elle gémit, nos langues se frottent, nos salives se mélangent. Nous jouissons ensembles dans un même cri.

Après quelques instants de récupération, nous nous séparons. Elle se lève en disant : eh bien toi tu ne perds pas de temps, à peine arrivé, comme ça sans rien dire tu me sautes,

Moi : tu veux que je te dise, c’était super, et j’ai invité un nouveau collègue, qui est seul en ce moment car sa femme est partie chez ses parents, à diner mercredi prochain, il s’appelle Marc. Voilà je t’ai tout dit après t’avoir tout mis.

Le mercredi suivant , 19h30 tout est prêt, il fait toujours aussi chaud, Catherine est ravissante dans sa robe, très décolletée, moulante et courte. Marc est en retard, j’ai chaud j’ai soif, en l’attendant je bois une bouteille de rosé, quand il arrive, vers 20H15, je suis déjà à moitié pompette.

Il sonne, ma femme va lui ouvrir, avec un large sourire, qui disparait très vite, quand elle découvre, derrière le magnifique bouquet de fleurs des champs, Marc, l’homme qui l’a sauté cet hiver dans les douches de la piscine municipale. Lui aussi est très surpris,

Je fais les présentations, mais très vite je m’aperçois que Cathy n’est pas dans son état normal, et Marc n’est pas à la discussion, son regard n’arrête pas de se tourner vers Catherine. Qui je dois le dire est magnifique.

Je décide donc d’en avoir le cœur net.

D’abord je place Marc à coté de Cathy à table, je les observe, il me semble que parfois ma femme se raidie. C’est le moment ou la main de Marc est sous la table, il doit lui caresser les genoux.

Pour parfaire mon plan, j’ai continuer de boire (avec modération), ce qui fait qu’avant le dessert, je m’affale dans un fauteuil et fait s’emblant de m’endormir (je peux vous faire croire que je dors, mais je n’ai pas les paupières complètement fermées, 3 millimètres suffisent pour l’ouverture et la vision est excellente).

Dans cette position je vois tout.

Cathy reviens avec les desserts, Marc revient des toilettes, ils me voient dans cet état, Cathy me secoue, me dit que je ne suis pas sérieux devant notre invité, qui c’est assit à sa place et qui dit doucement : ce n’est pas grave, nous allons prendre le dessert tous les deux, viens t’asseoir .

Elle retourne à sa place en disant je suis désolé

Marc :moi je ne le suis pas trop, nous allons pouvoir discuter un peu tous les deux.

En disant cela, il se rapproche d’elle l’embrasse tendrement sous l’oreille, et sa main passes lentement sous la robe.

Elle se recule en disant : ça ne va pas, vous êtes mariés, je suis mariée et en plus mon mari est juste là

Marc : cet hiver à la piscine, tu n’as pas résisté longtemps, et dis moi que tu n’as pas pris ton pied dans les douches et j’arrête tout de suite de t’embêter

Cathy : cet hiver c’était cet hiver, maintenant c’est maintenant, et Alain est juste là, si il se réveille tu imagines la situation

Marc : en se levant pour venir vers moi et me secouer en criant mon prénom Alainnn, Alainnn.

Je ne bronche pas à part un léger grognement

Marc : tu vois même si la maison s’effondrait il ne se réveillerait pas, alors on peut faire, quelques galipette, il ne va rien voir. En plus ça m’exciterait de faire ça devant lui, pas toi ?

Il s’était de nouveau rapproché d’elle, il se pencha, lui pris la tête entre les mains et l’embrassa tendrement, en l’obligeant à se lever.
Tout en lui tenant la tête d’une main pour ne pas interrompre, le baiser, de l’autre main il fit descendre les bretelles de la robe, qui glissa au sol.
Cathy dans un dernier effort pour résister se recula, dit non je ne peux pas faire ça. Elle buta sur le canapé sur lequel, elle tomba à la renverse.

Marc sans précipitation mais avec une certaine fermeté, l’allongea sur le divan, l’embrassant dans le cou, lui caressant les seins, les épaules. Elle ne bougeait plus, se laissant faire, il avait gagné, il allait baiser ma femme et devant moi en plus. (mais il ne savait pas que je les regardais)

Ses baisers l’amenèrent jusqu’à son ventre, elle respirait fort, elle aimait ses caresses, sa bouche glissa sur la culotte, il lui écarta les jambes, et continua de l’embrasser sur les cuisses.
Il s’arrêta, sur le sexe qu’il embrassait à travers le fin tissu.
Il passa les mains sous ses reins, qu’elle leva pour faire glisser la dentelle, et de nouveau sa bouche pris possession de son antre en feu. Sa langue descendait remontait le long de ses lèvres, il suçait le clitoris gonflé de plaisir. Cathy les yeux fermé savourait en gémissant les caresses.
Tout à coup il s’arrêta, en disant : masturbes toi pendant que je me déshabille. L’air un peu déçue, elle s’exécuta, et commença à se frotter la chatte.
Une fois nue, il la regarda, en se caressant lui aussi. Son sexe était long et légèrement courbé. Il se rapprocha de sa bouche, qu’elle ouvrit pour le recevoir.
Il lui dit : continue de te masturber donne toi du plaisir,
Et il commença à se servir de sa gorge comme d’un sexe. Je voyais sa bite entrée et sortir, doucement, puis rapidement. Il lui tenait la tête fermement,
Elle se caressait de plus en plus fort
Marc : je vais jouir dans ta bouche
Cathy (la bouche pleine) : non sur mon visage
Mais il est trop tard, je le vois dans un dernier sursaut se raidir, lui maintenir la tête, et crier son plaisir.
Cathy n’a pas jouit, elle a cessé de se branler pour essayer de se dégager, mais n’a rien pu faire.
Elle se dégage en disant : tu es un salaud, je ne voulais pas. J’en ai plain la bouche
Marc avec le sourire : embrasses moi et donnes moi un peu de ma giclée.
Cathy en colère : non, tu peux partir maintenant, tu as eu ce que tu voulais, tu as jouis, c’est bon.
Elle se lève, en regardant dans ma direction pour voir si je dors encore.
Marc : tu n’as pas jouit toi ?
Cathy : ce n’est pas grave, tire toi.

Il s’habille, ils ne se parlent plus, elle le raccompagne à la porte , il essaie de l’embrasser, mais elle esquive, elle referme.

C’est le moment que je choisis, pour me réveiller.
Elle est surprise, et moi je feins la surprise, de ne plus voir Marc et surtout de la trouver entièrement nue.
Moi : il s’est passé quelque chose pendant que je dormais
Cathy embarrassée : il m’a fait des propositions, il m’a fait du chantage est elle me raconte tout, la piscine, la soirée…..

Je me suis rapproché d’elle, je bande comme un taureau, je l’a prends dans mes bras, l’embrasse tendrement
Cathy : tu ne m’en veux pas
Moi : non mais tu vas quand même devoir te faire pardonner
Cathy : fais de moi ce que tu veux mon amour

Elle se baisse défait mon pantalon et m’engloutit, après quelques instants, d’une pipe de rêve, je la relève, la retourne, en l’embrassant dans le cou et en lui caressant les seins à la peau si douce, je la force délicatement à se pencher en avant. Elle prend appui sur le dossier du canapé. Je lui demande de se cambrer un maximum. Elle a compris je vais la sodomiser.
Cathy : tu es vache de me faire ça, mais je ne peux pas te le refuser. Fais doucement.

J’humidifie son petit trou, avec de la salive. Je prends mon sexe en main et je commence à forcer l’étroit passage qui n’a pas beaucoup servit.
Cathy me guide par la parole : doucement, avance un peu, ton gland est rentré, ce n’est pas trop douloureux, va doucement, je sens tes couilles contre mes fesses, tu es au fond, tu es bien ?
Moi : oui c’est délicieux c’est serré, je vais jouir
Cathy : bouge mon chéri fais toi du bien, je vais me caresser
et je vois sa main droite se diriger vers son entre jambe

je commence par des coups de reins lent et régulier. Je regarde ma bite sortir et entrée. Elle se détend, je vais de plus en plus vite
Cathy qui va jouir sous ses caresses m’encourage : vas y défonces moi, c’est bonnnnnnnnnnnnnnn. Encules moi profond, défonces moi le cul, comme tu défoncera le cul de la femme de ce salaud de Marc
Moi en jouissant : oui mon amour, je te vengerai. J’enculerai sa femme
Et je jouis en même temps que Cathy en giclant au plus profond de son intimité.

Après une bonne douche, et une bonne nuit de sommeil, nous avons trouver une date pour inviter Marc et sa femme Christine.

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