Ils n'avaient pas 18 ans ....

- Par l'auteur HDS Marcomolti -
Récit érotique écrit par Marcomolti [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ils n'avaient pas 18 ans .... Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-07-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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(9.0 / 10)

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Ils n'avaient pas 18 ans ....
Comme à son habitude, Mme Colette C attendait son fiston, notre pote, à la sortie de l'école.
Et comme d'habitude, au delà de n'avoir d'yeux que pour sa superbe Jaguar, c'était bien vers elle que se tournaient tous nos regards de jeune ados.
Superbe brune, cette femme, pourtant mariée, hélas aurions nous pu dire, de surcroit mère de notre meilleur pote de classe, aurait très bien pu avoir sa place dans les pages de papier glacé d'un magazine de mode, bien que nous l'aurons plutôt vue en centerfold, la double page centrale de la revue Playboy.

Vous l'aurez compris, nous étions une sacrée bande de lascars, tous fantasmant grave sur Mme C.
Grands ou petits tous auraient ne fus ce s'appeler Pierre, le fils de Colette.
Même certains pères, ne se souciant guère de leur état de mari, tout comme le fait qu'elle soit pourtant mariée, n'hésitaient pas à tenter leur chance en la draguant ouvertement.

Nous étions quatre privilégiés a pouvoir profiter du fait que Pierre était notre pote pour côtoyer Mme C de près et trois, d'encore plus près. a savoir qu'elle s'était proposée à nos parents de nous ramener après l'école, nos domiciles étant sur le chemin de sa maison. En fait de maison nous aurions pu dire propriété.
Son mari Michel S, était, comme on dit vulgairement, pété de tunes. Bref, la propriété, le parc, les voitures, etc... tout y était, manquait plus que l'hélicoptère sur le green.

Fatalement, Pierre était assis devant à côté de sa mère, et nous trois, assis derrière venions parfois nous pencher tout à tour entre les 2 sièges avant, soit disant pour mieux parler à Pierre, mais plus coquinement, venir mater le décolleté de Mme C. Décolleté qu'elle avait le plus souvent ample, large et aguichant. On en profitait également, quand l’opportunité se présentait pour user de nos smartphone pour prendre une photo ou une courte vidéo de ce fabuleux décolleté, de la poitrine partiellement cachée de Mme C se déformant quand elle tournait le volant ou autre manœuvre qui pouvait lui faire bouger les nénés.

Ca nous permettait de nous faire un petit peu de flouze en revendant les dites photos et vidéos à de nombreux potes et autres intéressés. C'était pas croyable le nombre de mecs qui avaient Mme C ou son décollé en fond d'écran de son smartphone, tablette ou ordi, voire la totale. Notre meilleurs coup, le jour ou nous avions pu la shooter en bikini dans le parc alors qu'elle s’apprêtait à prendre un bain de soleil.
Mais c'était d'un peu de loin et les zoom dégradaient la qualité de l'image. Mais nous restions toujours sur le qui vive, en embuscade au cas ou une occasion exceptionnelle se présenterait.
Le saint graal ayant été de pouvoir la shooter entièrement nue.

Nos envies allaient être comblée en partie par le biais de son fils.
Récemment, s'étant approché de la grande salle de bain dont la porte était entre -ouverte et où sa mère prenait une douche, profitant de l'épaisse vapeur qui régnait dans la pièce, il était arrivé à se glisser dans celle-ci sans se faire remarquer, assez proche pour la prendre en photo et vidéo de dos et de trois quart arrière.
Il nous était enfin permis de pouvoir contempler les formes parfaites de cette déesse, de cette sirène sortie des eaux, à peine parée par le voile des brumes éthérées flottant autour d'elle, laissant plus deviner ses galbes sensuels au travers des volutes diaphanes , que ne la révélant dans sa plus totale nudité.

Ceci étant, nous avions là de quoi faire exploser l'audimat s'il y en avait eu un, mais plus prosaïquement, nos revenus se virent monter en flèche, à l'instar de se qui se passait dans le caleçon de la plupart de ceux qui pouvaient mater Mme Colette C nue, de dos certes mais quand même nue. Laissant leurs, nos fantasmes se régaler de cette vision, l'enlaçant en rêve et la caressant dans un plaisir solitaire qui nous faisait découvrir de nouveaux plaisirs, intimes et exaltant au plus au point. Bref comme on dit, elle était bonne et nous faisait bander grave.

Un jour, comme souvent, nous étions quatre, en plus de Pierre, à jouer dans le grand salon de leur maison ou Mme C lisait un magazine, assise dans un immense canapé. Et comme à notre accoutumée nous n'hésitions pas par moment à aller la taquiner, lui tournant autour comme des mouches, et elle, de nous faire fuir ou d'en attraper un pour lui faire une friction de crâne avant de le relâcher tout en se moquant de nous en riant ou également nous taquiner. Il n'y avait pas à dire c'était une mère formidable, comme n'importe quel gosse aurait aimer avoir, dans tous les sens du terme. On s'amusait aussi à la shooter avec nos smartphone, ce qui ne la génait pas plus que ça, se prêtant même parfois à prendre une pose un peu glamour ou rigolote, convenable et convenue, appropriée à ce qu'elle pensait que nous étions toujours, à savoir de jeunes enfants, de petits garçons tout mimi et espiègles, sans aucunes arrière pensées. C'était bon enfant, mais c'était sans compter le fait que nous avions quelque peu quitté le nid douillet et ingénu de l'age innocent, pour celui plus exaltant et grisant des envies et désirs de la toute pré adolescence.

Aussi à ce petit jeu, n'hésitait elle pas à nous prendre et nous serrer contre elle et de part notre jeune age et notre encore petite taille cela nous mettait la tête au niveau de son bas ventre quand elle était debout ou contre sa poitrine quand elle était assise. Chose qui nous rendait fébriles et excités. Parfois notre visage se retrouvait en total contact avec la peau douce et de pêche du sillon de ses seins, nous enivrant de son odeur, de son parfum envoutant. Ce jour là, nous avions apprécié tout particulièrement ces contacts charnels, car, l'ayant remarqué dès notre arrivée, Mme C ne semblait porter aucun sous vêtements. tout du moins il apparaissait clairement qu'elle ne portait pas de soutien-gorge. Son petit bustier ultra fin et très moulant, lui faisait comme une seconde peau au motif floral, mettant en valeur toutes ses formes, dans leur moindre détail, dessinant parfaitement la moindre aspérité, le moindre relief, laissant voir si ce n'est par transparence, quoique le tissu tendu et si fin n'était pas en reste pour révéler de façon ténue ce qu'il était sensé cacher, le renflement délicat et régulier du rond de ses mamelons, l'excroissance écrasée mais bien visible de ses tétons souples et aplatis.

Elle semblait aussi avoir un problème récurant avec la boutonnière de son décolleté, celle-ci, sans doute un peu trop sollicitée, libérant à la volée plusieurs boutons, lui faisait s'ouvrir de temps en temps le bustier plus que de raison. Ceci nous permettait, quand cela arrivait, d'avoir le nez ou la joue carrément au contact de ses tétées, nous permettant de voir le galbe souple et le pli que faisaient le dessous de ses seins contre son torse.
Elle n'en était pas gênée pour autant, se reboutonnant nonchalamment sous nos yeux, car pour elle, nous n'étions encore que des enfants et donc, tout comme il n'est pas rare pour une maman de prendre son bain, nue avec son bambin, elle ne faisait montre que d'une pudeur toute relative.
Cela nous permettait aussi de prendre quelques photos et vidéos de façon discrète, faisant mine de jouer à des jeux en ligne avec nos smartphones, photos et vidéos qui venaient enrichir notre collection si convoitée par certains.

L'après midi se passait de la sorte quand, au fil de ces jeux pour elle innocents, pour nous exaltants, je me retrouva avec Pierre dans ses bras, mais cette fois ci elle ne semblait pas vouloir nous relâcher aussi vite qu'auparavant. Pierre se blotti alors contre elle et lui donna un câlin qu'elle prit le temps de lui rendre longuement. J'étais aux anges car ma tête dans son décolleté une nouvelle fois ouvert, l'était plus largement et me laissait voir de près, son sein nu.
Le tissu lâche baillait par dessus ce sein nu sans le toucher et son téton, maintenant libre de tout écrasement, se dressait timidement mais bien en évidence au milieu de son mamelon lui aussi bien apparent.
Nous dorlotant contre elle, nous ondulions au gré de ses balancements. Une de mes mains repliée sur son ventre se trouva à portée de sa boutonnière déjà largement déboutonnée.
J’eus alors l'idée folle de tenter de voir s'il m'était possible d'en libérer les derniers, ceux-ci semblant ne vouloir rester attachés, plus par habitude que réellement boutonnés.

Sans qu'elle ne s'en rende compte, j'allais arriver à mes fins, lui en ayant libéré la presque totalité, seul deux restaient encore à être relâchés, quand soudain, un balancement un peu plus ample fit bouger mon autre bras.
Ma main se retrouva enchâssée entre ses jambes qu'elle avait très légèrement disjointes. L'ondulation suivante fit que le dos de ma main alors suspendue, vint au contact de son entre-cuisse.
Elle ne sembla pas réagir bien que je doute qu'elle n’eut rien senti. Toujours est-il qu'elle continua à, en quelque sorte, nous bercer. A chaque balancement, le dos de ma main se faisait de plus en plus présent, la frôlant de plus en plus haut, chaque mouvement lâche lui faisant remonter peu à peu sa courte jupe trop serrante qui ne demandait à l'évidence qu'a se retrousser, à tel point qu'à un moment, le dos de ma main vint glisser sur ce qui était à n'en pas douter le sillon des lèvres de sa vulve. Pour avoir pu déjà en voir sur diverses photos, ce que je sentais au touché était bien une chatte de femme, et, pour en avoir vu des différentes, il m'apparaissait sans aucun doute que celle de la belle Mme C était rasée. Elle était lisse, douce et chaude et la sensation que j’éprouvai, était bien mieux et à des lieues de tout ce que j'avais pu imaginer. une chose était sure, elle ne portait pas non plus de petite culotte.

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