La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 312)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 312) Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-08-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 312)
Suite de l'épisode précédent 311 - L'histoire de Thaïs et son Maître Vénéré –

La soumise suit difficilement les pas à grandes enjambées du Majordome, grand de taille, mais elle apprécie grandement de pouvoir marcher normalement sur ses deux pieds, faisant attention à caler sa vitesse sur celle de Walter, qui semble ne plus se soucier d'elle. Walter entre dans une pièce qui est attenante aux cuisines et offices, et qui se trouve être la salle à manger du personnel. Plusieurs personnes sont déjà attablées autour d'une longue table commune garnies de bancs de chaque côté et de deux larges chaises avec accoudoirs dans les deux bouts, places réservées pour les deux domestiques privilégiés du Châtelain, Walter le Majordome et Marie la cuisinière, tant par leur ancienneté, leur loyauté que par les fonctions qu'ils ont fini par assumer au sein du personnel, bénéficiant d'une très grande confiance de la part de leur patron, Monsieur le Marquis d'Evans. Sur les bancs sont assis plusieurs gardes qui assistent le Majordome au quotidien et sont en charge de la surveillance des esclaves du cheptel, les deux agents de surveillance qui se relayent régulièrement et gardent un œil sur tout ce qui se passe dans la propriété, les dépendances et les terres du domaine. S'y trouvent aussi Félix le garde-chasse du domaine qui s'occupe de surveiller les différentes espèces de gibier naturel dont le domaine regorge, veillant à maintenir un bon équilibre naturel entre le gibier à poils et le gibier à plumes mais également s'occupant de l'entretien des forêts appartenant au Noble, bénéficiant quand cela est utile de la main-d'œuvre des esclaves qui sont mobilisés à cet effet, et également Moïse le jardinier en chef qui s'occupe quant à lui de l'ensemble du potager mais également des espaces verts et aussi des vergers avec l'aide également de toutes les petites mains dévouées, mâles et femelles, que compte le cheptel du domaine. Sur la table, on trouve à profusion des confitures colorées aux fruits du verger, des viennoiseries encore toute chaudes qui sortent des fours de la cuisine allumés de bon matin, des boissons et jus de fruits frais à profusion, du beurre en baratte qui est produit dans la ferme attenante à la propriété et des pains de toute nature, aux céréales ou briochés. Le service du petit-déjeuner est assuré par plusieurs esclaves mâles nus et encagés qui s'empressent d'offrir à profusion thé, café, lait, etc… se préoccupant à tout moment de savoir si chacun autour de la table a suffisamment de quoi se restaurer. Walter en entrant dans la pièce salue tout un chacun d'un regard qui balaye l'ensemble de la table.

- Bonjour tout le monde et Bon appétit. Quelqu'un a-t-il déjà vu Marie ? Elle n'est pas assise à sa place.

C'est Moïse le jardinier qui le premier se retourne et répond.

- Bonjour Monsieur Walter. Madame Marie a déjà pris son petit déjeuner et elle est repartie à ses fourneaux nous disant qu'elle avait fort à faire.

Walter s'assoit à sa place, au fond de la salle, trônant ainsi un peu sur la tablée et se préoccupant fort peu de celle qu'il traine dans son dos, qui s'est donc positionnée juste derrière la chaise et qui n'a pas osé bouger d'un pouce depuis que le Majordome s'est assis. Se tournant en direction du premier esclave mâle autour de la table, Walter le siffle pour l'appeler. Ce dernier qui tient dans ses mains deux grandes bouilloires, l'une remplie de café, l'autre de lait chaud, s'approche et s'incline respectueusement, veillant toutefois à ne pas renverser les récipients qu'il a dans les mains et surtout leur contenu brûlant.

- Bonjour, Monsieur Walter. Puis-je vous servir votre café habituel ? avec du lait ce matin ou non ?
- Espèce de sale cabot. Puisque tu sais très bien ce que je prends tous les matins, car cela fait plus de 15 jours que tu es affecté au service du petit-déjeuner du personnel, peux-tu m'expliquer pourquoi tu me poses encore la question ? Tu mériterais que je te donne sans tarder ma réponse à grands coups de cravache pour avoir enfreint la règle du silence inutilement. Est-ce par excès de zèle pour te faire remarquer ? Ce qui est le cas, mais cela risque fort de l'être à tes dépens tout à l'heure, ou dans la journée, car je ne laisserai pas passer la punition que tu mérites pour ton insolence.

L'esclave baisse la tête sans tarder, et verse un grand bol de café au lait. Bien sûr qu'il sait très bien ce que le Majordome boit, car il prend tous les matins la même chose, mais il pensait qu'il était plus poli de lui demander avant de le servir, pour une fois que c'est lui qui avait en charge de remplir le bol de Walter. A peine a-t-il terminé de servir que la Majordome l'écarte sans ménagement, le forçant à se retourner et lui cinglant les fesses d'un magistral coup de cravache, de ceux qui laisse une belle trainée rouge qui risque de lui cuire pendant quelques bonnes heures, un coup donné si fort que l'esclave a eu du mal à garder l'équilibre sans renverser les deux bouilloires pleines qu'il est en train de porter. Puis Walter tournant la tête sur le côté siffle à nouveau.

- Approche le chien, (dit-il à e6942 qui attendait agenouillé et patiemment sur le côté droit de la pièce, contre le mur) sert moi mon petit-déjeuner habituel. Le larbin qui vient de remplir mon bol n'est bon à rien, je l'ai renvoyé à sa place.

Docilement, e6942 s'approche et s'incline à son tour presque à l'horizontal. Puis il s'éloigne pour garnir une assiette d'un pain au chocolat encore tout chaud, de pain brioché, d'un morceau de beurre, et d'une petite coupelle remplie de confiture de pêche faite maison par Marie la cuisinière grâce aux fruits du verger du Château. Il revient ramenant au Majordome l'assiette garnie, mais au moment où il s'approche, Walter tend la jambe comme pour faire un croche-pied à e6942 qui vient s'étaler sur la table de salle à manger, manquant de tomber et renversant sur le plateau de la table tout ce qui était sur l'assiette. Thaïs qui a vu la scène, et le geste délibérément pervers du Majordome qui a tout fait pour faire tomber celui qui n'avait d'autre envie que le servir avec plaisir n'a pu s'empêcher de pousser un cri presque machinal au moment même où l'esclave était en train de tomber, cri à la fois d'indignation sur cet acte volontairement malveillant mais aussi de compassion sur celui qui en a été la victime. Mais à peine a-t-elle réagi qu'elle comprend qu'elle aurait mieux fait de se taire car Walter s'est aussi sec levé de sa chaise, et il la fixe d'un regard si percutant qu'elle ne peut avoir qu'envie de baisser la tête et de la rentrer dans les épaules, sauf qu'elle a mis trop de temps à réagir et qu'elle vient de se recevoir deux gifles magistrales, une sur chaque joue.

- Tu as quelque chose à dire toi ? (lui dit-il en lui attrapant l'oreille pour la forcer à lever la tête, comme un enfant puni)

Thaïs secoue la tête pour faire signe que non tout en gardant les yeux baissés. Pour la marquer un peu plus et la toiser d'encore plus haut, Walter lui appuie sur la tête pour la forcer à s'agenouiller. L'esclave e6942 n'a pas encore osé bouger attendant de savoir le sort que le Majordome lui réserve, il est à moitié couché sur la table et devant lui se trouvent tous les ingrédients du petit-déjeuner préparé pour Walter qui se sont éparpillés sur la table, ayant laissé de nombreuses miettes sur leur passage. Il n'a pas à attendre bien longtemps, car Walter abat sa cravache au moins une vingtaine de fois sur la croupe nue et offerte de l'esclave qui ne bronche pas d'un pouce.

- Tu vas nettoyer toutes tes saletés, imbécile de chien qui ne tient même pas sur ses pattes. Tu donneras après notre départ toute cette nourriture gâchée aux chiens qui se sont occupés de préparer ce petit-déjeuner. Je pense qu'ils vont se régaler. Mais toi, et l'autre espèce de cabot qui ne vaut pas mieux que toi avec ses questions stupides, vous êtes bien évidemment punis, vous n'avez pas le droit d'en manger.

Délicatement, l'esclave ramasse les morceaux qu'il a fait tomber, les entrepose sur l'assiette qui par chance n'a pas été cassée et entreprends de nettoyer les miettes qui sont sur la table. Le Majordome attrape alors e6942 qui vient de terminer de tout nettoyer et le force à venir à ses pieds.

- Maintenant, lèche aussi mes chaussures, elles sont remplies des miettes que tu as répandues partout.

Thaïs regarde la scène sans en perdre un seul instant, presque indignée une fois de plus car il lui semble qu'il n'y a pas la moindre miette sur les chaussures du Majordome. Elle commence à regretter l'absence de son Maître au Château pensant que si ce dernier était là, les choses ne se passeraient pas ainsi, même si elle comprend bien que pas un seul des esclaves n'oserait lui lire ouvertement ce qui se passe dans Ses murs en l'absence du Maître, ne sachant pas si cela est conforme ou non aux attentes du Châtelain et aux consignes qu'il aurait laissées à son domestique. Elle se rend compte toutefois que cet incident ne l'a pas laissé indifférente, de voir cet esclave aussi rabroué alors qu’il n’avait pas fauté de lui-même, l'a remué de l'intérieur presque comme si cela avait été elle qui avait été à sa place. Son cerveau est en ébullition, son bas-ventre la titille et elle sent une onde de chaleur qui irradie de l'intérieur dans tout son corps, une autre qui la glace sur l'ensemble de sa peau, et aussi cette force intérieure qui la pousse presque à espérer pouvoir se trouver elle à la place de cet esclave malmené et puni. Ce sentiment est d'autant plus intense qu'elle aperçoit le visage radieux de l'esclave qui loin d'être triste de son sort et de s'être fait maltraité baise les pieds du Majordome avec un plaisir manifeste, qu'il a accompagné d'un large sourire avec presque un clin d'œil pour Thaïs lorsqu'il s'est agenouillé, comme pour lui faire comprendre qu'elle ne doit surtout pas réagir. Walter écarte l'esclave d'un geste brusque du pied, en ajoutant :

- Dépêche-toi maintenant de me servir une autre assiette sans la faire tomber cette fois. Ce soir, tu te présenteras à ma chambre pour recevoir ton châtiment et pour m'en remercier. Tu resteras en punition toute la nuit dans ma chambre sous ma surveillance.

Avec un large sourire encore plus radieux, l'esclave s'empresse de garnir une autre assiette qu'il dépose précautionneusement devant le Majordome. Il s'agenouille et dépose un baiser sur la main droite tendue de Walter et se courbe à plat ventre pour en déposer un autre sur chaque pied. Thaïs comprend avec un peu de recul, la mise en scène qui s'est joué devant elle. C'est donc visiblement e6942 qui passera la nuit dans le panier à chien à côté du lit de Walter, sous une apparence manifeste de fausse punition pour une faute qui n'en était pas une, mais bien savamment orchestrée, se rappelant tout d'un coup, que la veille au soir, Walter avait congédié e6942 en lui disant qu'il avait déjà reçu toutes les consignes pour le lendemain matin. Elle se demande vraiment si tout cela a un sens, si cela avait bien été programmé à l'avance et si oui quel en était le but poursuivi pour elle qui reste pour la journée spectatrice et pour les autres personnes présentes au Château, car il suffisait simplement au Majordome d'imposer et d'exiger, ce que personne n'aurait contesté. Mais la perversité du jeu consistait justement à ce qu'il y ait faute sanctionnable et sanctionnée par une punition administrée en bonne et due forme. Il y aurait tant de questions que Thaïs aimerait pouvoir poser à son Maître pour comprendre ce que Lui attend d'elle et ce qu'elle doit faire dans chaque circonstance surtout en son absence, mais en même temps, elle sait que ce n'est pas ainsi que son séjour au Château va se dérouler, et que pour l'heure le plus simple pour elle est de se limiter à exécuter les ordres qu'on lui impose, en attendant le retour de son Maître Vénéré…

Sur ces entrefaites, avec un tohubohu manifeste, Marie la cuisinière de sa grosse voix entre dans la pièce.

- Et bien, pas encore fini, vous tous. Vous croyez que vous êtes là juste pour vous remplir la panse au lieu de bosser et que moi je devrais me taper tout le boulot pour engraisser des fainéants, en me levant à pas d'heure le matin pour que vous puissiez avoir du pain frais et des croissants chauds juste sortis du four. Allez ! oups au travail ! C'est largement l'heure ! Le petit déjeuner au Château, ce n'est pas service permanent jusqu'à 11h00 du matin comme dans les hôtels.

Marie s'approche de Walter qui est assis à l'autre bout de la grande table, tandis que chacun se lève rapidement de son siège, car personne n'a envie de se faire botter les fesses par Marie qui en impose tant dans son royaume que sont ses cuisines, et qui en serait bien capable, ne craignant même pas les grands gaillards costauds qui sont en poste au Château comme garde ou agent de surveillance... Tous sortent et Marie et Walter, les deux complices de longue date se retrouvent rapidement seuls dans la pièce, avec juste Thaïs qui est toujours agenouillée et attachée par la laisse à la ceinture du Majordome. Marie attrape la chaise située à droite de Walter et prend le temps de se poser quelques instants, déjà en nage car elle s'active devant ses fourneaux depuis plus de deux heures déjà.

- Bonjour Walter. Tu n'étais pas à l'heure ce matin. Cela ne te ressemble pas. Mais, c'est peut-être le boulet que tu traînes qui t'a mis en retard …. Laisse-moi voir, il me semble que je reconnais cette petite chienne mal dressée qui a osé se faufiler hier matin sous mes jupes. Raconte-moi un peu, tu lui as fait goûter le cadeau que je t'avais préparé imbibé de ma liqueur intime. Et dit-moi si elle a aimé et dit-moi surtout si elle a mouillé en repensant à cet instant de jouissance. J'aurai aimé voir cela de visu pendant que tu lui mettais sous le nez et dans la bouche, mais tu vas me raconter, n'est-ce pas ? D'ailleurs, je suis sûre que cette chienne en chaleur en redemande encore. Il va aussi falloir que je prenne le temps d'aller inspecter de plus près ce qu'il en est, je suis sûre que sa moule reste humide à longueur de journée…

Thaïs est écarlate de les entendre parler d'elle et de son intimité dans des termes aussi peu élogieux. Mais elle ne peut pas s'empêcher de repenser à ce qu'elle a ressenti quand effectivement Walter l'avait attachée sur la croix de Saint-André pour la punir, lui enfonçant dans l'anus et la chatte un double gode végétal de gingembre frais, après l'avoir bâillonné avec un morceau de tissu imprégné des odeurs corporelles mélangées de la jouissance de Marie et de sa propre mouille. Au départ, elle avait cru qu'elle se sentirait plus dégoûté de se voir ainsi imprégnée des odeurs lourdes et reconnaissable de la cuisinière qui transpire à longueur de journée avec les vapeurs de cuisson, surtout sous ses longues jupes, mais l'excitation sexuelle avait fini par prendre le dessus sur toutes ses autres pensées, renforcée par l'action très mordante du gingembre qui irradiait dans tout son bas-ventre. Et donc, une fois encore même si elle reste assez humiliée et choquée des propos crus et primaires qu'elle est obligée d'entendre par la force des choses et de supporter, elle sent qu'effectivement son bas-ventre s'est mis à mouiller malgré elle, même si elle aurait bien aimé pouvoir ne pas donner raison à Marie, ne serait-ce que pour contrecarrer la manière rustre de celle-ci. La cuisinière attrape Thaïs au menton, et l'oblige à se relever et à lever un peu la tête.

- Et bien, qu'est-ce que je vois … Ce n'est pas sous la douche que tu as attrapé ce que tu as sur le visage qui te colle à la peau…. il y en a qui s'octroie des petits privilèges matinaux … Le blanc te va à ravir, la chienne, surtout avec tes joues qui sont rouges comme jamais …. Et puis, écarte les cuisses. Ne sais-tu pas que tu ne dois jamais garder les cuisses et les genoux serrés ! On a encore du boulot à faire avec toi.

Marie la cuisinière, enfile sa grosse main dans l'entrecuisse de Thaïs, prenant un malin plaisir à la faire remonter jusque dans la raie des fesses pour s'attarder autour de la rondelle étroite. D'un geste précis, en ramenant sa main sur le devant, elle attrape de deux doigts le clitoris turgescent de la chienne docile qui se laisse faire mais qui a fermé les yeux pour ne pas bouger et ne pas trop gémir. Marie pince très fortement le bouton d'amour qu'elle a bien en main provoquant un petit couinement difficilement retenu par Thaïs et elle le fait rouler entre ses doigts longuement, faisant monter l'excitation une fois de plus dans le corps de celle qui aimerait bien pouvoir jouir sous un tel traitement, d'autant plus excitant que la main de Walter est venu à son tour se glisser dans l'entrecuisse de la soumise qui est là debout les jambes écartées se laissant triturer de tous les côtés. Walter a rentré un doigt, puis deux, puis trois, dans l'anus de Thaïs qu'il force à s'ouvrir encore plus en écartant les doigts en prisme, et de son autre main, il pince fortement tour à tour ses deux tétons sensibles. La respiration de Thaïs s'est accélérée et elle a laissé retomber sa tête en arrière se laissant porter par le désir qui l'envahit et l'entraîne vers l'extase. Mais Marie reprend la parole alors qu'elle sent bien le plaisir qui se fait plus présent dans le corps de la belle.

- Bon, cela suffit pour aujourd'hui. J'ai du travail et je pense que toi aussi, mon cher Walter. Il me semble que tu dois être attendu. Tu me la laisseras un peu après le repas, j'ai prévu d'aller faire une petite sieste et tu en as déjà bien profité ce matin à ce que j'ai vu. Pour l'instant, je pense qu'il est bon de la laisser un peu mijoter dans son jus et de maintenir son excitation avec un plaisir totalement inassouvi. C'est très formateur pour une soumise… Allez, Walter, lève-toi d'ici. Je ne veux plus te voir dans mes cuisines, ni dans la salle à manger avant midi, lui dit-elle d’un air complice.

(A suivre…..)

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