Kang découvre les hommes mûrs - histoire érotique

Après première fois avec son camarade de classe, Marc, Kang a entrepris avec lui de découvrir les joies du sexe.

Ils ont batifolé, explorant leurs corps novices sous toutes leurs formes. Ils savaient qu’ils ne resteraient pas toute leur vie ensemble, mais les 4 mois avant la fin de l’année leur paraissaient suffisant pour décider d’un commun accord de tenter un maximum de positions.

Il y eu les cunnilingus avec Kang assise dans le fauteuil du bureau du père, Marc à genoux lui écartant les cuisses sur les accoudoirs pour voir sa fente en grand, apercevoir l’anatomie de cette fille délurée et lui insérer sa langue aussi loin que possible.

Kang les bras posés sur le même bureau (ah, le fantasme de baiser dans un endroit représentant l’autorité paternelle), le cul tendu et Marc lui lapant la raie, s’attardant sur son petit trou vierge.
Marc assis sur le canapé, et Kang venant s’empaler sur lui, ses seins ballotant sous son nez, lui éperdu de joie à cette danse sensuelle.

Bref, ils se sont bien amusés et à la fin de l’année scolaire, on peut dire qu’ils connaissaient le corps de l’autre sexe sous toutes les coutures. Mais ils n’avaient pas encore tout tenté.

Le dernier jour de classe, Kang était restée un peu après les autres élèves pour dire un dernier mot à son professeur d’histoire qu’elle trouvait attirant malgré ses cinquante ans et qui ne serait plus là à la rentrée.

- Monsieur Lutz, je voulais vous remercier pour tout ce que j’ai appris avec vous cette année. Et surtout, vous m’avez fait aimer cette matière, ce qui est le plus important.
- Mademoiselle Kang, j’en suis ravi, et moi aussi j’ai beaucoup apprécié de vous avoir comme élève.
- Et puis, Monsieur, je m’excuse si je suis un peu impertinente, mais j’aime beaucoup votre voix et la façon dont vous racontez les histoires dans l’Histoire.
- Ah oui ? cela me touche tu sais.

Kang se rapproche de lui sur l’estrade, il est debout, les fesses appuyées au bureau.

- J’espère, vous voulez me raconter une dernière histoire ?
- Quel genre d’histoire ?
- Euhh, par exemple, l’histoire du prof attiré par son élève. J’ai vu tous vos regards vers mes chemisiers quand j’étais au premier rang.
- Enfin, Mademoiselle, que dites-vous ?
- Mais oui, je faisais exprès de laisser deux ou trois boutons ouverts pour que vous puissiez me mater. Et j’ai remarqué que parfois, vous étiez obligé de vous cacher derrière votre bureau…
- Et pourquoi me cacher ?
- Pour que l’on ne voie pas cela! Et joignant le geste à la parole, Kang pose la main sur le pantalon de Monsieur Lutz ou une légère tension apparaît.
- Je vois, tu es observatrice ! Bien sûr que je te matais, tu as une paire de seins magnifique et un sourire d’ange, pourquoi me serai-je privé ? Et puisque tu veux une histoire, je vais t’en raconter une, ou plutôt te la faire vivre. Toutefois, comme je te trouve un peu bavarde, je vais t’empêcher de parler.

Et d’un coup, le prof ouvre sa braguette et sort sa queue à moitié en érection.

- A genoux, et suce-moi, petite salope, et tais-toi.

Kang est ravie. Elle attrape le bout du membre dans sa bouche, suçote ce gland, découvrant une taille bien supérieure à celle de Marc.
Monsieur Lutz lui prend l’arrière de la tête et s’enfonce d’un coup au fond de la gorge.

- Ah, ça te change de la queue de ton jeunot hein, une bonne queue d’adulte !
- Mmou...
- Tais-toi, suce, je me régale. Et il continue à se branler dans sa bouche.

Kang ne s’attendait pas à cette rudesse, à être traitée de salope mais elle sent en elle un plaisir inconnu.

- Ahhh, ta bouche de petite pute me plait vraiment tu sais, je crois que tu seras une excellente pipeuse. Mais attends, je ne veux pas jouir maintenant. Attends-là!

Et le prof va fermer la porte de la classe à clé.

- Ainsi, on sera tranquille pour faire les présentations. Fous-toi à poil, montre-moi tes nichons, ta chatte, ton cul, je vais tout te lécher dit-il d’un ton dur. Mets-toi à quatre pattes sur le bureau.

Kang est à peine effrayée, elle en rêvait de ce moment. Peut-être plus romantique, mais elle ressent du plaisir à être soumise à son bon vouloir. Elle se hisse sur le bureau du maître, son maître.
Il fait le tour de sa proie, pelotant ses seins, pinçant un téton, puis posant sa main sur sa chatte.

- Petite chienne, tu es excitée comme une chienne. Tu mouilles, tu veux du bon gros chibre dans ta jeune chatte, je le vois. Ca va venir!

Il se met derrière elle et se met à lui lécher la raie du cul, savourant ses odeurs de la journée.

- Tu sens comme une femelle en rut tu sais !
- Je vous veux, maître
- Tais-toi, je me concentre sur ton cul.

Et il le lèche, dardant sa langue dans l’œillet pour l’ouvrir.

- Tu as le cul vierge on dirait, je crois que cela ne va pas durer ! Mais d’abord, je vais te baiser la chatte en levrette.
Il monte sur le bureau à son tour, après s’être déshabillé, se met debout, fléchis les jambes et pose son membre raide au bord du sexe de Kang qui attend la saillie. Il s’enfonce d’un coup, lui prenant les hanches pour mieux s’agripper et ne pas tomber.

- Ahhhhh, maître, c’est bon, baisez-moi
- J’aime te mettre ma queue au fond, jeune salope, tu sens mon gros chibre ?
- Ouiii, ouiii, encore
- T’es vraiment une belle petite salope. Et il ahane, la pilonnant de toutes ses forces.
- OOOOhhhh, je jouis, lâche Kang, effarée de ressentir aussi profondément la pénétration, la force du mâle qui la prend fortement.

- Encore un coup pour toi, ma belle, ton cul m’attire, je vais t’enculer.
- C’est la première fois, maître, j’ai peur
- C’est le risque de venir provoquer son prof en fin d’année après l’avoir excité tant et plus. Il plonge ses doigts dans la chatte trempée de Kang pour enduire son anus, y passe un doigt, puis deux pour élargir l’orifice.

Kang ressent une petite brûlure mais elle s’estompe. Par contre, quand il passe son gland pour la première fois, elle gémit de douleur.

Le prof s’arrête, laissant le temps à son corps d’accepter le membre. Quand il sent qu’elle se détend, il s’enfonce peu à peu, sans s’arrêter, jusqu’aux couilles.
Kang est saisie, la sensation de douleur s’en va, et elle essaye de s’imaginer cette queue en elle, qu’elle ressent…profondément !!

- Alors petite salope, on rigole moins avec la queue de Monsieur Lutz dans le fion, hein ?
Je vais te déflorer la rondelle et tu t’en souviendras toute ta vie.
Allez, je vais, je viens, doucement pour que tu t’habitues.
Tu sens ma queue qui te remplit ?

- Oh oui, je vous sens bien, c’est gros, un peu douloureux mais c’est bon
- J’en étais sûr, tu as un cul pour être enculée. Tu sais que je me suis branlé en pensant à ton cul plusieurs fois cette année ? Et quand j’enculais ma femme, parfois je voyais ton cul de jeune lubrique à gros seins

- Ahhh, Monsieur, c’est bon, encore
- Tu vois, tu t’y fais à la bonne queue de Monsieur Lutz, elle sait ramoner les conduits vierges.
- AAAnnnn, ahh, mmmmm, continuez, j’ai l’impression que je vais jouir
- Jouir du cul, quel beau cadeau tu me fais. Allez, je vais te lubrifier un peu tout ça. Mets-toi sur le dos maintenant et écarte les cuisses.

Et il enlève sa queue, descend du bureau, crache plusieurs fois sur l’anus endolori et sa queue, et remet l’engin dans le trou offert.

- Maintenant, je ne m’arrête plus. Jouis et ensuite je te remplirai le cul.

Le membre rentre, sort, s’arrête, repart, va, vient, tant et si bien que Kang sent monter du fond de son cul une jouissance inconnue, un frisson qui la traverse pour venir exploser au centre de son conduit.

- Aaaahhh, oooooooo, c’est bonnnnnnn !
- Cochonne, je te gicle dans le cul, tu es trop bonne ! Dit-il en lâchant de gros jets.
Il s’agenouille, recueille avec ses doigts le sperme qui ressort du cul ouvert.

- Lèche mon jus maintenant.
- Mais…
- Lèche, tu seras une bonne salope quand tu n’auras plus peur ni dégoût de rien.

Kang avale le sperme, puis se voit obligée de nettoyer la queue du prof.

- C’est bien, tu as de l’avenir pour donner du plaisir. N’oublie jamais, tu as été enculée ta première fois par Monsieur Lutz. Tu penseras à moi à chaque fois.

- Oh, mon maître, merci de m’avoir fait découvrir ce plaisir.
- Bon, maintenant tu te rhabilles et tu disparais.

- Au revoir, Monsieur Lutz, bonnes vacances
- Au revoir Mademoiselle KANG, bonnes vacances aussi.

C’est ainsi que Kang découvrit le charme des hommes plus âgés. Depuis, dès qu’elle le peut…..