Soumis et ramoné en silence

- Par l'auteur HDS Coquin de sort -
Auteur homme.
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Récit libertin : Soumis et ramoné en silence Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-08-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Soumis et ramoné en silence
En «état de manque car je n’ai pas baisé depuis un mois, je réponds à une annonce sur internet. Le gars disponible avait l’air un peu domi et dès le premier message a donné le ton « j’aime casser du cul de salopes comme toi ».

J’aime bien avoir quelques échanges avant la rencontre pour fantasmer un peu sur le mec. Je décris au gars comment je suis, je lui envoie quelques photos. De son côté il m’envoie des photos et me met au pli dans son langage très clair : « je te demande pas de parler, tu obéis, tu prendras ton pied comme je le décide ».
Je le fais patienter 2 jours et me décide d’aller chez lui comme convenu. Tenue bermuda sans rien dessous et marcel comme convenu. Je sonne ; cet instant est toujours à la fois excitant et me fait peur.
Le gars ouvre la porte, 1m90 et super baraqué. Je dis « bonjour », il ne me répond pas et m’indique la chambre. « Défroque toi ma belle et mets toi en levrette » me dit-il. Etonné, je lui demande s’il ne veut pas commencer par des câlins, caresses ou suces. « tais-toi, tu suceras après, t’inquiète » me rétorque-t-il.
Il a l’air suffisamment sévère pour que je m’exécute. Il se passe un gant en latex bien lubrifié et me fait une visite gynéco dès que je me suis mis en position. Mon petit cul bien lubrifié, il tombe son shorty, je vois mal sa bite dans ma position mais je ne tarde pas à bien la sentir dans mon cul. Ses coups de butoir partent fort, j’ai du mal à me tenir à quatre pattes et fais un bon en avant à chaque fois qu’il s’enfonce au fond de moi. Je sens ses grosses couilles taper sur les miennes, elles sont lourdes, pleines et bien fermes. Oh quelle résistance, il ramone fort et tient le coup un bon moment. Je bande au max mais ça commence à me faire mal au cul, je languis qu’il crache son jus mais pour le moment je continue d’encaisser ses coups de butoir. J’en voulais et je m’en prends plein le cul, je ne me souvenais pas d’un tel acharnement dans mon cul. Je le sens enfin pousser un gémissement puis me dire « je me vide, c’est bon, tu te fais engrosser grosse salope, allez chienne tu m’as bien soulagé » et là, il se retire et tombe sur le dos. Je m’affale à plat ventre, jambes ouvertes, je me demande d’ailleurs si je vais pouvoir un jour serrer mes cuisses avec ce que je viens de me prendre dans le cul. Je sens son jus chaud dégouliner de mon cul et réchauffer mes petites burnes au passage.
J’essaie d’engager la conversation, il me dit alors « ferme là, tu me saoules, t’es pas venu pour philosopher, d’ailleurs je vais te remplir la bouche et tu vas pouvoir te taire », je voudrais lui laver la bite qui sort de mon cul mais je n’ai pas le temps, il me prend la tête, me coince et me fait avaler son gourdin pas encore dur mais bien développé. « Suces, tais toi, c’est ta merde, tu crains pas ». Je n’avais jamais fait ça, un peu écœuré au début, la taille et la qualité de sa queue me font vite oublier. Je suce goulument et bande comme un cochon. Je suce et lèche une belle tige, redevenue dure, longue, gouteuse avec un magnifique gland. Je suis en admiration devant ce bel organe de plaisir.
Quand j’entends son râle monter, j’ai le temps de me retirer pour me prendre plusieurs giclées d’un sperme chaud et épais sur ma gueule, je me branle immédiatement et jouis très vite. Ma production et la taille de ma queue me rendent ridicule à côté de ce bel étalon. Un petit quart d’heure de repos lui permette de bander à nouveau. Là il m’indique de le chevaucher et de m’empaler, ce que je fais. Mon cul encore lubrifié par son jus et sa bite d’une bonne raideur ne pose pas de problème pour cette nouvelle pénétration. C’est à moi de bouger cette fois malgré mon épuisement. Ses coups de bite dans le cul me font à nouveau bander. Je me masturbe et là nous jouissons ensemble. Je cris tellement c’est bon. On reste épuisés sur le lit un moment puis il me dit « on se lève, tu peux te rhabiller et te casser, je t’ai régalé et je veux plus te voir, alors galope salope »Ses indications me frustrent et m’excitent à la fois. En tous cas, je me suis fait cassé le cul mais j’ai profité un après midi d’un bel étalon qui a bien assouvi mes désirs.

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Texte coquin : Soumis et ramoné en silence
Histoire sexe : Une rose rouge
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