La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 320)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 320) Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-09-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 320)
Suite de l'épisode N°314 - La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans

Le Marquis d'Evans vient de faire descendre du berceau de Judas sa fidèle esclave-soumise Thaïs MDE qui est terriblement excitée de l’expérience qu’elle vient de vivre aux côtés de la petite chatte-esclave KittyA sous le double regard des deux Dominants, le Châtelain d’une part et Maîtresse ADoma. Thaïs MDE a pu découvrir des sensations nouvelles exaltantes, perchée sur cet équipement adapté pour des jeux D/s intenses lorsque son corps devait reposer de tout son poids sur ses parties intimes, et ceci d’autant plus qu’elle était aussi empalée sur un gode de longueur et de taille moyenne qui lui a laissé un anus bien dilaté, un petit trou si agréablement sensible qui, resté béant, est un vrai appel à la sodomie. Sa chatte est largement onctueuse et ses lèvres gonflées ont pris une belle couleur virant du rose au rouge. La belle chienne a le sentiment que sa mouille qui avait déjà bien imprégné et tâché la mousse sur laquelle ses grandes lèvres venaient s’aplatir coule maintenant sur ses cuisses et sur le sol tandis qu’elle se déplace à quatre pattes pour suivre son Maître Vénéré qui vient de s’installer sur un canapé, après avoir défait son pantalon et ses chaussures pour se sentir plus à l’aise pour se faire sucer.

Thaïs MDE est d’autant plus excitée que son Maître vient de lui préciser que Sa Divine Queue était pour elle maintenant. L’esclave est consciente de l’immense honneur qui lui est octroyé en cette soirée anniversaire où le Maître des Lieux a à sa disposition tous les esclaves du cheptel pour des plaisirs de toutes natures, tout aussi pervers et jouissifs les uns que les autres. Elle espère qu’elle saura contenter suffisamment son Maître en cet instant qu’IL daigne lui accorder et n’être pour Lui que l’objet de plaisir qu’IL attend de celle qui lui appartient dorénavant corps et âme. Elle avance lascive avec une démarche animale la plus gracieuse possible, excitée certes mais se voulant aussi excitante et désirable, baissant la tête en signe de profonde soumission, se rapprochant du Noble qui tire doucement sur sa laisse pour l’attirer vers Lui. Arrivée tout contre le canapé, elle s’incline profondément pour déposer un baiser sur chaque pied de son Maître et tout en se cabrant au maximum pour relever sa croupe, elle colle son front sur le sol en attendant de recevoir les ordres de son Dominant, n’osant pas bouger avant d’y avoir été invitée et prendre quelques initiatives que ce soit.

Le Marquis ne dit pas un mot regardant sa soumise à ses pieds, immobile mais qui frissonne tant de désirs charnels qu’elle a du mal à dissimuler, et ceci d’autant plus que sa respiration s’est accélérée et s’est fait plus audible. Ce long silence imposé par le Maître fait encore plus monter la pression dans le corps en feu de la chienne en chaleur et elle tressaute quand le Maître se décide enfin à poser Sa main droite sur sa croupe pour remonter ensuite le long de la colonne vertébrale faisant glisser un à un le bout de ses ongles, ce qui la fait se cambrer encore plus, creusant aussi le dos et les épaules tant une onde de plaisir bouleversante la traverse de part en part et vient se propager jusque vers les extrémités de ses membres et aussi se concentrer sur son bas-ventre et ses tétons qui deviennent turgescents. Le Noble lui attrape le menton et lui relève la tête d’une main, tandis que de l’autre main, IL tire fermement sur la laisse l’obligeant à se redresser et à s’approcher encore plus près, tout contre lui et entre ses cuisses. Au passage Thaïs aperçoit la boule qui s’est formée dans le boxer de son Maître qui laisse présager que Sa Divine Queue est déjà bien gonflée et qu’elle ne demande qu’à sortir de sa cachette. Thaïs a des yeux pétillants de bonheur et le sourire aux coins des lèvres, goûtant le plaisir de se trouver aux pieds de son Maître Vénéré qui la regarde fixement et à la fois si tendrement. Elle lui sourit, entrouvre la bouche laissant entrevoir sa petite langue qui effleure et humidifie ses lèvres. De ses yeux coulent quelques perles de cristal tant elle est émotive et si heureuse d’avoir eu la chance d’être devenue l’esclave-soumise de Monsieur le Marquis Edouard d’Evans.

- Je t’ai promis ma Divine Queue, et je vais tenir ma promesse, mais il va falloir mériter ce sublime cadeau que ton Maître t’offre, surtout ce soir si particulier (lui dit-IL d’un air grivois tout en lui maintenant le menton pour fixer son regard et ses yeux bleus brillants et pétillants).

Les yeux de Thaïs MDE s’ouvrent et s’illuminent encore plus. A tout instant et chaque jour, elle ferait n’importe quoi pour son Maître s’IL l’exigeait car elle lui a voué une allégeance totale en choisissant de devenir son esclave librement asservie, mais là en cet instant précis, elle se sent encore plus prête que jamais à se dépasser pour satisfaire les moindres désirs de celui à qui elle a donné sa vie, son corps et son âme, et l’excitation de l’ambiance érotique et perverses dans laquelle la Noble demeure a été plongée la pousserait à toutes les folies les plus luxurieuses possibles, si cela lui était permis. Le Châtelain tape dans ses mains et fait signe à l’un de ses esclaves mâles qui se trouvait en position d’attente juste à côté, portant pour la soirée le numéro 24 qui n’avait pas été tiré au sort lors de l’affectation et mise à la disposition de l’un des invités en particulier.

- 24 ! Approche !

Le chien mâle immédiatement se met à quatre pattes et s’approche près du canapé, s’inclinant dès qu’il est arrivé à côté de son Maître, le Marquis Edouard d’Evans.

- Oui, Maître ! Pour Vous servir.
- Va me chercher tout de suite un crochet anal, un morceau de chaîne, deux cadenas …. Et puis aussi une corbeille avec un petit choix d’instruments cinglants. Regarde la belle croupe encore toute claire et si blanche de Thaïs, je pense qu’il est temps de lui donner un peu de couleur à la cravache ou au paddle. Tu es autorisé à te lever pour pouvoir me porter tout ce que j’ai exigé. Tâche de ne rien oublié et de faire vite, car je n’ai pas que cela à faire ce soir.
- Oui, Maître ! (répond aussi sec l’esclave qui immédiatement se lève et s’exécute)

Le Marquis d’Evans se retourne à nouveau vers sa chienne Thaïs MDE.

- Voilà mes consignes, tu n’auras pas droit de te servir de tes mains et tu ne pourras me toucher nulle part avec. Alors fais attention à ne pas laisser trainer tes doigts, si tu ne veux pas craindre mon courroux ! Je ne t’attache pas les mains volontairement pour te contraindre à les garder loin de mon corps et de ma peau par le seul fait de ta volonté de m’obéir. Seuls mes attributs virils te sont accessibles et tu n’auras le droit de te servir que de ta langue de chienne en chaleur qui semble n’attendre que cela depuis que je la vois tourner sur tes lèvres ou entre tes dents, impatiente de sortir prendre l’air, et puis aussi de ta bouche si suave qui sera un écrin merveilleux et profond pour mon sexe qui s’impatiente.

Le Châtelain pendant ce temps-là, passe les doigts sur les lèvres de sa belle chienne et lui enfonce le pouce dans la bouche qu’elle s’empresse de sucer avec suavité plusieurs fois avant de lui fourrer plus profondément et très sensuellement trois doigts qu’IL rentre et sort tout en fixant intensément du regard sa chienne docile qui se laisse faire avec un plaisir suave qu’IL peut facilement lire dans ses yeux.

- Petite précision qui n’aurait pas lieu d’être, puisque que je ne t’ai donné aucune autorisation particulière pour jouir. Pour l’instant, et pendant toute cette fellation, je veux que tu apprennes à rester concentrée sur le plaisir sexuel et sensuel que Sa soumise peut donner à son Maître. Je ne veux donc pas voir couler ton eau de jouissance pour l’instant, retiens-toi, tu auras tout le temps, le reste de la soirée d’ouvrir le robinet de ta fontaine, car je viens de penser à une petite surprise divertissante pour que tu puisses terminer la nuit à la place qui te conviendra très bien.

L’esclave 24 vient de revenir avec l’ensemble des objets et instruments exigés par le Marquis d’Evans. Il s’incline respectueusement devant son Maître attend les ordres en tendant les mains pour Lui présenter ce qu’il a rapporté. Le Marquis d’Evans attrape le crochet anal qui se compose d’une partie droite avec un trou au bout pour pouvoir y passer un cadenas ou un mousqueton et d’une partie courbe qui viendra se loger entre les fesses, qui se termine par une grosse boule que le Maître glisse dans le fondement de Thaïs très facilement car elle a encore l’anus largement dilaté et élastique, étant restée empalée assez longtemps sur le berceau de Judas agrémenté d’un gode.

- Cela aurait été dommage de laisser ton trou à l’air prendre froid (ajoute t-il avec un petit sourire malicieux). Et puis si tu dois contracter les fesses quand je vais te les chauffer un peu au moins tu auras le plaisir de te sentir à nouveau pleine.

Grâce à la chaîne et aux deux cadenas, le Châtelain accroche l’autre bout droit du crochet anal le reliant à l’anneau arrière du collier permanent en métal que porte la soumise autour du cou. IL a tendu la chaîne au maximum, obligeant Thaïs MDE à se cambrer encore plus, ce qui lui fait à la fois remonter la tête presque en arrière et aussi surtout creuser les reins et redresser sa croupe, offrant ses deux belles fesses plantureuses à la vue du Noble. Thaïs a compris d’un geste de la main qui a guidé sa tête, qu’elle doit commencer avec ses lèvres et ses dents à défaire le boxer que porte encore le Marquis d’Evans afin de pouvoir libérer la Divine Queue de son Maître. Elle se rend vite compte que sans l’aide de ses mains, il va falloir qu’elle attrape le tissu entre ses lèvres et ses dents pour pouvoir tirer dessus et l’écarter. Elle avance délicatement de peur de mal s’y prendre, d’autant plus qu’elle entend son Maître qui rigole devant sa maladresse et ses premières tentatives qui n’ont pas abouti à pouvoir attraper et retirer le boxer.

- Je commence à me demander si tu veux vraiment goûter à mon précieux nectar, car tu es toujours à la case départ, ma petite chienne. Est-il donc si difficile que cela de n’avoir que tes lèvres pour libérer ma Queue. Tu as trois secondes pour y arriver, sinon, j’appelle quelqu’un d’autre qui se fera un plaisir de te remplacer avec plus de dextérité.

Thaïs prenant sur elle, en se rendant compte qu’elle a mécontenté son Maître par peur de lui faire mal, attrape fermement entre ses lèvres le tissu du boxer, le serrant très fort pour qu’il ne lui échappe pas, elle tire dessus pour l’élargir et en faire sortir un phallus gonflée de sang qui se redresse immédiatement.

- Enfin !!! … Et puisque tu sembles si bien partie, tu continues à tirer dessus jusqu’à le descendre complètement.

Le Marquis s’est légèrement allongé sur le canapé de manière à ce que ses fesses soient juste en bout de l’assise et il se soulève légèrement pour pouvoir faire glisser le boxer derrière ses fesses. Thaïs se contorsionne pour amener le boxer jusqu’au sol, essayant de ne toucher que le tissu et pas les jambes et les pieds de son Maître qui a été assez précis dans ses consignes et dans le petit jeu qu’IL lui a imposé. Elle se remet ensuite bien en position entre ses cuisses commençant à sortir la langue qu’elle passe sous les fesses, autour de l’anus, derrière et entre les couilles de son Maître à plusieurs reprises, avant de revenir lécher la hampe de tous côtés. Le Maître a pris dans ses mains une cravache et du bout de l’aplat, IL la guide, rectifiant la position au fur et à mesure pour lui indiquer ce qu’IL attend d’elle, mais surtout jouant également à frôler le corps de sa soumise qui frémis à chaque fois et se demande bien comment elle va faire pour résister à son envie si forte de jouir, dû à son excitation maintenue à fleur de peau depuis le début de la soirée.

-24 ! tu vas aller t’allonger sur le dos, à même le sol, entre les jambes de Thaïs de manière à ce que ta tête soit glissée dessous et positionnée juste à la hauteur de sa chatte qui a mon avis doit plus ressembler à une grotte humide suintante de cyprine qu’à un désert sec et aride. Tu pourras profiter du spectacle, mais interdit de la lécher ou de la toucher tant que je ne t’en donne pas l’ordre. Tu écarteras les jambes de manière à maintenir aussi les jambes de ma chienne écartées, car je veux voir et profiter de sa large croupe saillante…

(A suivre …)

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