Ma vie a changé (4)

- Par l'auteur HDS Daniellerhun -
Auteur femme.
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Récit libertin : Ma vie a changé (4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-09-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma vie a changé (4)
Rentrée chez moi, je me suis endormie comme une masse, le corps et la tête pleins de souvenirs. Après un dimanche de récupération, j’ai repris mon travail de secrétaire de direction. J’irradiais une impression de bonheur et mon entourage m’en fit le compliment. L’avocat ami de Guy pris rapidement contact et m’assura que j’avais toutes les chances d’obtenir une séparation rapide.

Carole me téléphona le lendemain en m’annonçant la présence samedi soir d’un autre couple de 35ans et d’un jeune homme de 22 ans. Je lui objectais que j’étais peut-être un peu trop âgée et qu’à son âge, il pourrait être mon fils. Elle me rassura aussitôt.
Elle me demanda de passer en début d’après midi car nous les femmes devions être les plus sexy possibles. Elle souhaitait m’aider à choisir ma tenue. Ma semaine passa très vite. J’étais un peu anxieuse. Allais-je être à la hauteur avec tous ces jeunes ? Mon physique était certes à la hauteur, j’avais en particulier des atouts comme mes jambes et mes fesses. Par contre j’aurais aimé avoir une poitrine comme celle de Carole.

J’arrivais vers 15 heures chez eux. Carole m’accueillit avec joie. Me prenant par la taille elle me conduisit dans la chambre où nous avions été si bien. Après un brin de toilette, nous prîmes sa voiture pour aller dans sa boutique. Accueillies par sa vendeuse nous nous sommes installées dans son bureau. Sur une table était posée de la lingerie. Elle me demanda de me déshabiller volant au passage une caresse. Ses mains étaient douces. Après quelques essais, elle choisit un corset noir. Le laçage très serré permettait de mettre en évidence mes seins et faisait ressortir mes fesses. Des bas rouges reliés par des jarretelles au corset complétaient ma tenue avec un tour de cou en soie noire. C’était très sexy. Avec mes hauts talons, je ressemblais beaucoup aux pensionnaires des maisons closes d’antan.

Nous rentrâmes à la maison. J’excitais visiblement beaucoup Carole qui m’avait demandé de ne pas mettre de culotte. Tout en conduisant, sa main droite avait tendance à s’égarer sur mes cuisses et mon sexe. Elle se rendait ainsi compte de l’effet que cela me faisait car j’étais trempée.

En arrivant chez eux, Guy nous attendait. Il m’embrassa longuement et se mis à me caresser les fesses. Décidément elles attiraient beaucoup les mains de mes amis. Je les aidais à préparer le buffet et le salon dans lequel nous devions nous retrouver.
Un peu inquiète de me trouver avec des inconnus, ils m’assurèrent qu’il y avait un contrat de confiance entre eux. Ils se connaissaient depuis longtemps et tous rapports hors du groupe devaient être protégés. Il est vrai qu’avant de les rencontrer, mon mari s’était assuré qu’ils avaient passés un contrôle VIH récent.

Nous sommes ensuite montés nous préparer : lavement, douche. Carole avait une petite surprise pour moi. Elle me demanda de me mettre à plat ventre et après m’avoir caressé les fesses, pris un lubrifiant et s’enduisit les doigts. Un puis deux, je sentais mon cul s’ouvrir. Un objet froid s’appuya sur ma rondelle et je me trouvais avec un rosebud entre les fesses. Nous avons mis nos tenues. Carole portait des bas noirs avec une guêpière rouge qui soulignait ses seins lourds. Ils pointaient comme des obus.
Elle portait comme moi un tour de cou rouge. Le contraste était saisissant. Nous étions comme deux images contraires. Elle aussi eut le droit à son rosebud. Nous étions toutes les deux cul nu. Guy était vêtu d’un pantalon sombre et d’une chemise ouverte. Carole accentua mon maquillage avec en particulier un rouge à lèvres rouge brillant. Mes lèvres devenaient une véritable invitation aux baisers et à la possession. Nous étions prêts.

En attendant nos partenaires, Guy nous servit une coupe de champagne. J’étais impatiente de les voir. Carole me caressait doucement les cuisses. Nous entendîmes une voiture arriver. Guy se leva pour les accueillir. Dans le salon Carole me tenait par la taille et nous formions un tableau charmant.

Marie rentra la première, grande, blonde sculpturale avec des seins superbes. Elle portait un ensemble rouge assorti avec des bas, un porte-jarretelles, un string qui séparait et mettait en valeur son fessier et un soutien gorge à bonnets ouverts qui soutenaient des seins imposants. Michel son mari la suivait, grand, avec un très joli sourire. Frédéric fermait la marche, un mètre quatre vingt cinq de muscles, lui aussi très séduisant et surtout très jeune. Ils étaient habillés comme Guy. Quel beau tableau ils formaient ! Comme si on se connaissait depuis longtemps ils m’embrassèrent. Carole me tenait toujours la taille sans doute pour me rassurer. Nous nous assîmes, Guy auprès de moi, Marie à côté de Frédéric et Carole près de Michel.
Très vite je me suis sentie à l’aise car ils étaient charmants et amusants. Carole se leva pour faire le service en commençant par Marie. Très vite, les caresses ont commencé. Son sexe était directement accessible et dès qu’elle passait à proximité des mains s’égaraient. Elle paraissait apprécier ce traitement. Guy m’embrassait, ses mains sur mes cuisses et mon sexe. Je sentais l’excitation monter. Dès notre coupe de champagne bue, Marie donna le signal et commença à caresser et à déshabiller Frédéric.
Carole fît de même avec Michel. Il ne me restait plus qu’à faire la même chose avec Guy. Très vite ils se retrouvèrent nus. Nous nous mîmes à genoux devant eux et les prirent en bouche. Des soupirs et des bruits de succion ponctuaient nos fellations.
J’avais aussi entre les mains les fesses de Guy et lui titillait l’anus. Il appréciait visiblement cette caresse. A un signal de Carole, nous changeâmes de partenaire.
Frédéric possédait lui aussi un très beau sexe, particulièrement long. Ses mains s’emparèrent de mes seins. J’étais toute excitée. Ma langue jouait avec son gland. A un nouveau signal de Carole, je fis connaissance avec le sexe de Michel plus épais.
Lui aussi s’étais mis à jouer avec mes tétons. Le tableau devait être saisissant: des femelles à genoux face à la puissance des mâles. Nos tenues étaient particulièrement bien assorties et mettaient bien en valeur nos atouts. Nous étions superbes.

Je sentis très vite que Michel allait exploser. J’accentuais ma caresse en serrant les lèvres et je reçu des giclées de sperme épais que j’avalais. Il était plus âpre que celui de Guy. Je me relevais. Il m’assît sur ses genoux et un long baiser nous unit.
Frédéric soupirait de plus en plus et un long râle conclut le travail de Marie qui elle aussi se retrouva sur ses genoux. Il ne restait que nos hôtes. Guy ne voulait pas céder et résistait encore mais Carole était la plus forte. Avec un grand cri, il se vida dans sa bouche. C’était touchant, nous sur les genoux de nos partenaires qui nous caressaient et nous embrassaient. Nous étions toutes excitées mais insatisfaites.

Carole me demanda de faire le service des canapés. Marie la première m’immobilisa. Ses doigts s’emparèrent de mon sexe. Peu après a bouche remplaça ses doigts. Je ne pouvais rien faire les mains bloquées par le plateau. Carole voyant cela, se plaça derrière moi pour caresser mes seins. Je sentais son sexe sur mes fesses. Guy vint à mon secours et pris le plat. Je pouvais ainsi prendre la tête de Marie et rythmer et accompagner ses jeux de langue. Les garçons nous regardaient et reprenaient de la vigueur. Je commençais à sentir la montée de mon plaisir et un orgasme d’une violence inouï me terrassa. Je m’écroulais sur le tapis, agitée de tremblements. Je n’avais pas souvent connu de jouissance si violente. Carole s’allongeât auprès de moi. Marie tout aussi excitée se mît sur elle tête bêche. Elles entamèrent un 69 qui se termina par une jouissance quasi simultanée de nos deux amies.

Les garçons nous regardaient. Ils n’avaient visiblement pas eu leur dû. Ils décidèrent qu’ils allaient s’occuper de moi. Guy me demanda de me lever. Il s’était assis dans un fauteuil. Il me présenta son sexe à sucer. Frédéric se plaça derrière moi et me pénétra. Ses coups de reins étaient si puissants que j’avais du mal à garder le sexe de Guy. Je ressentais au plus profond de moi ses coups de boutoir. Ce qui était particulièrement excitant c’est de penser que ce jeune homme, qui aurait pu être mon fils me baisait avec la vigueur de ses vingt deux ans. Peu importe mon âge j’étais sa femelle. Il me tenait par les hanches et c’était superbement bon. Très vite il se répandit en moi et j’eus un premier orgasme. Je n’eus pas beaucoup le temps de récupérer. Michel voyant la place disponible le remplaça et un nouveau sexe coulissait entre mes jambes. Lui s’accrochait à mes seins, les malaxant, étirant mes tétons. Le pauvre Guy ne profitait pas beaucoup de ma bouche car, en raison de la violence des coups de reins de Michel, j’avais du mal à le sucer correctement. Je sentis la jouissance de Michel monter car il s’accrochait de plus en plus violemment à moi. Un long soupir et il se répandit en moi mélangeant sa semence à celle de Frédéric. Les frémissements de son sexe, annonçaient la prochaine explosion de Guy qui se déversa dans ma bouche déclenchant un nouvel orgasme. J’étais repue et satisfaite. Je me sentais vraiment femme, femelle. Mon corps vivait, respirait.. Carole vint me prendre par la main et m’allongeât sur un canapé. J’étais poisseuse et du sperme coulait de mon sexe. Je sentis une main m’essuyer délicatement et je perdis conscience. J’étais repue, fatiguée mais comblée physiquement.

Je sentais autour de moi mes amis s’agiter. Quelqu’un m’ôta les bas car ils étaient couverts de sperme. Je repris conscience. Ils étaient tous autour de moi et me regardaient avec tendresse. Ils m’embrassèrent tous en me remerciant du plaisir que je leur avais donné. Carole et Marie étaient si belles et si touchantes et les garçons si attachants. Une pause et une douche s’imposaient.

Lorsque je suis redescendue, l’ambiance était joyeuse et détendue. Le buffet préparé par Carole était somptueux. Les hommes s’étaient engagés dans une conversation sur le golf pas très intéressante. Comme il fallait préparer le dessert, nous nous sommes retrouvées à la cuisine. J’interrogeais Marie sur Frédéric. C’était en fait un petit cousin à elle qu’ils avaient retrouvés par hasard au cours d’une fête de famille. La conversation s’est portée à un moment sur le naturisme, car ils étaient des adeptes de cette pratique. Cela excitait beaucoup Frédéric qui posait beaucoup de questions.
Visiblement il aurait bien aimé connaître cette pratique.

Ils apprirent qu’il passait ses vacances pas trop loin d’eux à Narbonne. Ils lui proposèrent, quand il serait là-bas, de les accompagner sur une plage où ils avaient leurs habitudes. Sur place, Marie se rendit vite compte qu’elle l’excitait. Il n’arrêtait pas de la regarder détaillant son corps plantureux. Il n’arrivait pas à se mettre sur le dos car, à chaque fois il devait masquer un début d’érection. Michel voyant cela décida de le mettre à l’aise et commença à caresser Marie sur les seins, sur les cuisses, sur le sexe montrant au jeune homme qu’il ne devait pas avoir honte de montrer qu’il appréciait le spectacle. Très excité, il prit Marie que cela ne gênait pas, par la main pour aller dans les dunes à l’abri des regards. Il invita Frédéric à les suivre Après avoir à nouveau caressé Marie, il se mît sur le dos. Marie s’empala sur lui et se mis à bouger cherchant le meilleur rythme pour déclencher son plaisir. Frédéric la verge dressée les regardait faire. A la demande de Marie il s’approcha du couple et elle se mit à le branler. Michel voyant Frédéric au dessus de sa poitrine se mit à lui caresser les fesses. Les attouchements de Marie eurent vite raison du jeune homme. Elle le sentit venir et alors qu’il allait jouir, ouvrit la bouche et l’embouchât. Elle recueillit ses longs jets de sperme dans la gorge.
L’éjaculation de Frédéric déclencha celle de Michel et l’orgasme de Marie. Ces trois là s’étaient trouvés. Le manque de réaction de Frédéric quand Michel lui avait touché les fesses était prometteur. Frédéric s’était mis sur le dos et récupérait. Marie plaça son sexe sur sa bouche. Il se mit immédiatement au travail. Elle sentait sa langue la pénétrer, le sperme de Michel coulant dans sa bouche. Ce dernier en profita pour prendre le sexe de Frédéric et recueillir les dernières gouttes de sperme.

Ils passèrent alors cinq jours ensemble. Frédéric perdit son pucelage anal avec Marie et son gode ceinture et Michel. A leur retour à Paris ils décidèrent désormais dans la mesure du possible de sortir ensemble. C’est ainsi qu’ils rallièrent le réseau de Guy et Carole.

Je demandais à Marie si elle n’avait pas été gênée par leur proximité familiale. Elle me répondit que c’est l’homme qu’elle avait vu d’abord et qu’à partir du moment où ils étaient heureux, elle n’allait pas se culpabiliser.

Guy vint nous chercher profitant au passage pour nous caresser les fesses. Après avoir pris le dessert, il nous invita à passer dans une autre pièce que je ne connaissais pas. Des matelas jonchaient le sol formant une impressionnante couche. Une table longue d’un mètre de haut était placée au centre. Elle était recouverte d’un tapis en mousse. Deux chevalets recouverts de fourrure complétaient le tableau. Carole sortit sa panoplie de sex-toys. Elle me dit que j’allais avoir droit à la séance spécial invitée. Elle me demanda de me placer sur un des chevalets. Elle m’enleva mon rosebud et après m’avoir lubrifié l’anus elle le remplaça par un plug vibrant. Elle me demanda ensuite de m’allonger sur la table. Des lanières pendaient aux quatre coins. Ils m’attachèrent. Mes cuisses étaient suffisamment écartées pour laisser mon sexe disponible. Carole enfonça un gros œuf vibrant télécommandé dans mon vagin. J’étais à leur merci. Carole déclencha alors les vibrations en variant les régimes. Guy m’embrassait, Michel et Frédéric s’occupaient de mes seins. Je sentais durcir mes mamelons sous leurs bouches. Marie s’était emparée d’un vibromasseur et titillait mon clitoris. J’étais complètement possédée. C’était énorme, je sentais mon corps vibrer d’une façon fantastique. J’essayais d’échapper à leurs caresses mais je ne le pouvais pas car j’étais attachée. Carole variait les réglages des vibrations. Je tirais sur les lanières en vain. Mon corps était tendu comme un arc. J’eus une succession d’orgasmes. Mes gémissements étaient de plus en plus forts, je perdais pied. J’eus beau les supplier d’arrêter, ils n’entendaient rien. Une vague encore plus forte, me submergea et je retombais inerte sur la table. Je n’étais que jouissance. Carole retira l’oeuf et le plug. Ils me détachèrent et m’allongèrent délicatement sur le sol.
J’étais complètement KO, incapable de réagir. Autour de moi mes amis s’agitaient et faisaient l’amour. De temps en temps une main s’égarait sur moi.

Ils jouirent les uns après les autres et un grand silence régna sur la pièce. Je sentis qu’on me soulevait, qu’on me déshabillait, et qu’on m’allongeait sur un lit.
Avant de m’endormir, un homme vint se placer derrière moi et me prendre dans ses bras.
J’étais bien, sereine et comblée.

En me réveillant, je sentis immédiatement l’homme contre moi. Il avait déjà une belle érection. Je me retournais et je vis Frédéric qui me souriait amoureusement. Il me pénétra doucement et me fit l’amour avec une tendresse et une délicatesse infinie car j’en avais besoin après la séance de la veille. Il se répandit en moi et nous terminèrent notre nuit dans les bras l’un de l’autre, nous caressants mutuellement.
Nous prîmes une douche où il me savonna, me sécha comme une petite fille et nous rejoignirent les autres pour le petit déjeuner. La nuit avait laissé des traces. A l’exception de nous deux, ils n’avaient pas beaucoup dormi. Moi aussi j’avais peu être un peu trop forcé la dose car j’avais des courbatures et mon sexe et mon cul étaient douloureux.

Imaginez ce que cela représentait pour moi. Ces trois semaines avaient changé ma vie.
Je m’adressais à eux pour leur dire que je ne voulais pas qu’ils pensent que j’étais une femme facile, une salope prête à ouvrir les cuisses au premier venu. Je voulais qu’ils comprennent que j‘aspirais à vivre une sexualité libre, complète avec des partenaires de choix. J’étais faite pour aimer. Mon corps et mon esprit le réclamaient. J’avais trop perdu de temps. Ils n’étaient pas des gens de passage. Ils étaient mes amants et mes amantes. Leur seule réponse fût de m’embrasser à tour de rôle. J’étais des leurs.

Avant de se quitter nous fîmes une promenade. Frédéric me tenait compagnie. Je me sentais flattée de susciter l’attention d’un aussi jeune et beau garçon. Nous nous quittâmes, nous promettant de nous revoir bientôt. Avant de partir Carole et Guy me proposèrent de venir les voir tous les week-ends dans la mesure de mes possibilités.
En les remerciant pour leur accueil et pour m’avoir présenté leurs amis, je leur confirmais qu’ils pouvaient compter sur moi. (à suivre)

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