LA VERGE DU MOTARD - Éloge de la candeur (08)

- Par l'auteur HDS VIEULOU -
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LA VERGE DU MOTARD - Éloge de la candeur (08) Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-09-2014 dans la catégorie Plus on est
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LA VERGE DU MOTARD - Éloge de la candeur (08)
LA VERGE DU MOTARD - Éloge de la candeur (08)

Résumé des chapitres précédents : Sandy, une jeune femme, mariée à un rustre est déniaisée par Paul qui a presque le double de son âge. Entrainée chez un couple de quadras, Jacques et Corinne, qui, avec Maud, leur soubrette de dix-huit ans, elle assiste à leur débauche débridée et se retrouve à son grand étonnement à participer à cette orgie. Initiée à la sodomie par Paul, elle accepte de se faire prendre en double par les deux hommes.

Sandy, une fois rentrée à l’hôtel s’est endormie comme une masse sans se réveiller une seule fois de la nuit. C'est un peu inquiet que Paul attend son réveil alors qu'il est déjà huit heures et qu'il y a facilement plus de dix heures de route pour rentrer sur Paris. Enfin la jeune femme s'étire et ouvre les yeux d'un seul coup, laissant un grand sourire s'épanouir sur son visage en reconnaissant son amant qui est penché sur elle.

Bonjour, vous ! Tu as bien dormi mon chéri après toutes les cochonneries que tu m'as fait faire hier ?

Paul est éberlué. Sa compagne a bien une réaction féminine, attaquant directement pour ne pas être prise en faute. Il réagit tout de même avec humour.

Mais ma chérie, tu sais que c'est toi qui me l'as demandé, tu m'as même signé un papier, reconnaissant que c'est toi qui voulais être sodomisé et même subir une double pénétration. Tu ne te souviens plus ?

Sandy, interloquée, le regarde en plissant les yeux. Que lui raconte-t-il, aurait-elle signé un tel papier, et elle ne s'en souviendrait pas ? Mais quand elle voit Paul sourire malicieusement elle éclate d'une fausse fureur.

Salaud ! Tu es un menteur. Comment vais-je expliquer à mon mari que j'ai le derrière en chou-fleur et que je marche maintenant en canard, alors que vous avez abusé de moi par tous mes orifices ? Hein ! Comment crois-tu que tu vas t'en sortir ?

Mais ne pouvant plus retenir son sérieux, elle lance ses bras autour du cou de Paul qu'elle l'embrasse goulûment sur la bouche, se faisant chatte entre ses bras, tout en se collant à lui, essayant d'emprisonner sa verge qu'elle sent ballotter entre ses cuisses. Paul essaie bien de la raisonner.

Mon amour, nous devrions déjà être sur la route, je dois te ramener chez toi ce soir, et nous n'y serons plus maintenant avant cette nuit, certainement très tard.

Mais je m'en fiche-moi d'être chez moi ce soir, tu trouveras bien une bonne excuse à dire à mon mari, une panne ou je ne sais quoi. Pour l'instant, c'est toi que je veux et je sens que ta verge est déjà toute dure, tu vois bien que nous ne pouvons pas partir comme cela.

Paul sent en effet, que son sexe a pris un angle presque droit, et qu'il balance entre les cuisses de Sandy qui s'ouvrent sous la tige devenue rigide. Celle-ci n'a aucun mal à se retrouver emprisonnée dans la chatte béante et brûlante de la jeune femme. La queue raidie de Paul glisse agréablement dans la gaine qui s'ajuste parfaitement à son membre. Ils font l'amour longuement, s'embrassant, se caressant, se murmurant des mots d'amour jusqu'à ce qu'une douce jouissance les saisisse et que Paul éjacule à jets saccadés, emplissant le vagin de sa belle et insatiable maîtresse. Vers dix heures trente enfin, après avoir fait leur toilette et préparé leurs bagages, ils se restaurent devant un solide petit-déjeuner.

Puis, les deux amants descendent à la réception de l'hôtel. Paul téléphone à Rachid pour lui annoncer qu'il est retardé par un rendez-vous de dernière minute et qu'il ne prendra la route que dans l'après-midi. Il n'est pas sûr que ce soit bien prudent de rouler trop longtemps la nuit, aussi, il s'arrêtera certainement dans un hôtel à mi-chemin. Il lui demande de prendre son épouse au téléphone, car son client ne va pas tarder et il ne peut le manquer. Sandy après avoir repris le téléphone des mains de Paul rassure son mari, prétendant qu'elle aurait bien emprunté le train, mais qu'elle a peur de voyager seule, préférant tout de même avoir l'assistance de leur ami. Elle téléphonera lorsqu'elle sera sur la route pour lui dire où ils en sont, mais avec dix ou onze heures de route, il ne serait pas prudent de vouloir arriver en pleine nuit, aussi elle se résout avec regret à retarder d'une nuit son retour. Hypocrite, elle lui dit qu'elle a hâte d'être rentrée. Paul, ne peut s’empêcher d’avoir un petit sourire sarcastique lorsqu'elle raccroche, celle-ci maussade lui lance.

Tu me fais mentir vilain. Bien, maintenant nous ne sommes plus pressés, si nous allions voir Jacques et Corinne ?

Ah ! Non ! Pas question. Je te vois venir, encore une journée de jambes en l'air en perspective, tu est vraiment devenue insatiable. Allons en route, nous prenons la direction de Paris immédiatement.

Dans la voiture puissante qui roule sur l'autoroute, Sandy boude, tandis que des larmes apparaissent bientôt aux coins de ses yeux. Paul tout de même ennuyé lui demande ce qu'elle a et ce qu'il peut faire ? Elle lui répond d'une voix d'outre-tombe.

Tu ne comprends pas que je n'ai plus envie de retrouver cette vie terne et triste. Tu m'as fait découvrir un autre sens à la vie mon chéri, Oh ! Je sais bien que c'est impossible, mais je ne voudrais plus te quitter. Je t'aime, je t'aime, tu ne peux t'imaginer combien je t'aime. Qui vais-je rejoindre à Paris ? Un mari inculte et brutal qui ne m'a jamais fait jouir et qui en plus me trompe avec des putains. Une vie sans attrait et sans amour. Jamais, jamais, je n'aurais dû me confier à toi. Pourtant, tu m'intriguais depuis si longtemps. En fait, je ne m'étais pas trompé, sous tes dehors calmes et plein d'indifférence, tu cachais bien ton jeu. Tu es un fieffé démon tentateur. Promets-moi au moins que je te verrais lorsque tu le pourras et que nous ferons encore l'amour ensemble ?

Ma chérie, je sais que je suis coupable et inconséquent de t'avoir entraîné sur cette voie hasardeuse et sans de solution envisageable. Je ne pensais pas franchement que tout cela pourrait aller si loin. À aucun moment, je ne me suis douté que tu fusses si ignorante des plaisirs charnels. Je ne pouvais non plus soupçonner que tu réagirais avec cette impétuosité torride en découvrant ta sensualité latente et que tu accepterais de participer à des amours multiples. Je t'aime, moi aussi et je ne veux pas te perdre. Mais notre situation ne va pas être facile. Pour Marie-Ange, il n'y aura aucun problème, au contraire, tu seras certainement acceptée avec joie. Mais pour toi, comment vas-tu te débrouiller avec ton mari ?

Je m'arrangerai, mais crois-moi, je trouverai un moyen de me libérer et de passer des nuits avec toi, si tu le veux bien.

Assurément que je le veux et j'ai bien l'intention de te faire l'amour de toutes les manières. Dis donc, pour parler d'autre chose, que portes-tu en dessous de ta jupe ?

Ah ! Je me disais aussi. Il y avait trop longtemps que nous parlions sérieusement. Eh ! Bien, vérifie par toi-même mon amour.

Paul ne se fait pas prier. Tout en conduisant d'une main, ralentissant tout de même pour éviter un accident, il lance sa main droite sous la jupe de sa compagne, frôle les bas, puis plongeant sa main dans l'entrecuisse, il rencontre avec surprise le barrage d'un tissu soyeux. Il ne peut s'empêcher de remarquer.

Je croyais qu'il était entendu, que tu ne porterais plus de culottes lorsque nous serions ensemble ?

Mais mon amour, je rentre voir mon mari, et il ne comprendrait certainement pas de me voir arriver cul nu. Mais pour toi, je vais l'enlever mon chéri.

Ce faisant, Sandy fait glisser son slip en dentelle le long de ses jambes gainées de nylon fin et le retire de ses chevilles. Puis, écartant ses cuisses, elle retrousse sa jupe jusqu'à sa taille afin que son amant puisse accéder à son entrejambe ; celle-ci suinte déjà de l'excitation permanente qui est la sienne depuis l'éclosion de sa sensualité. Paul la caresse lentement et titille son clitoris, entrant deux doigts dans son vagin en massant doucement son point G. Il commande électriquement la bascule du siège de sa voisine qui se retrouve allongée, tandis qu’elle s'aide aussi de ses doigts pour accélérer sa jouissance.

La voiture a ralenti, car ils arrivent près du péage, où, un motard chevauchant une grosse cylindrée se porte à la hauteur de la vitre droite de la voiture. Il découvre avec stupéfaction le tableau qu'offre la femme allongée à demi-nue dans la voiture qui se caresse et qui se fait masturber par le conducteur. Sandy est emporté bientôt dans une jouissance où elle laisse ses sens se libérer, ondulant de tout son ventre qu'elle projette en avant, déployant ses cuisses pour que la main de son compagnon et les siennes puissent lui procurer le plaisir qu'elle recherche. Lorsqu'elle s'aperçoit qu'un homme casqué la regarde attentivement par la vitre, elle lui sourit dans une invite muette. L'homme est obligé de changer de file à l'arrivée au péage.

Sandy se rajuste rapidement pour ne pas se faire interpeller par les gendarmes qui effectuent un contrôle devant les caisses. Paul n’a pas été sans remarquer le motocycliste qui "matait" sa compagne, ainsi que le sourire complice de celle-ci. Il lui vient soudain une idée qu'il ne divulgue pas à Sandy. Il double rapidement le motard qui roule maintenant lentement devant lui, puis, après quelques kilomètres, il s'engage sur une aire de repos où il emprunte une petite route forestière, s’enfonçant dans le coin le plus reculé du parking boisé tout en vérifiant que le motocycliste le suit de loin. Il s’arrête derrière un bosquet touffu, puis descendant de son véhicule, il invite sa compagne à le rejoindre, lui enlevant rapidement son corsage et son soutien-gorge. S’asseyant sur le capot de sa voiture et sortant sa verge de son pantalon, il demande à Sandy de lui tourner le dos et de retrousser sa jupe, puis, il la fait monter sur lui tout en lui soufflant dans l'oreille qu'il a envie qu'elle vienne s'enculer elle-même sur sa bite. Échauffée par l'épisode de la voiture, celle-ci ne se fait pas prier. S'appuyant contre le torse de son amant, elle pousse son œillet contre le vit qui s'enfonce lentement dans son anus qui s'ouvre à présent sans peine. À ce moment, le motard apparaît au détour du petit chemin. Mettant sa moto sur sa béquille, il se dirige lentement vers le couple qui copule devant lui. Sandy voit très bien l'homme qui s'approche, mais elle persiste à s'agiter sur la verge de son amant qui s'enfonce au plus profond de son fondement, surtout que Paul lui intime d'une voix forte.

Appelle-le et demande-lui de venir te baiser, toi qui aimes être prise par tes deux trous, tu vas être servie.

Elle regarde le colosse casqué qui s'approche. Provocante, elle lui dit avec une vulgarité voulue.

Viens, sors ta queue et baise-moi. J'en ai déjà une dans le cul, alors tu te décides beau mec.

Le motard ne se fait pas prier, sortant de son pantalon de cuir un bâton noueux encore plus gros que celui de Jacques, il prend Sandy à bras le corps et il enfourne sa trique dans le vagin qui bave de mouille. La jeune femme suffoque sous l'intromission de la gigantesque verge qui repousse presque celle de Paul hors de son derrière. Puis, l'homme qui n'a pas retiré son casque lui malaxe les seins, triturant ses mamelons avec cruauté et la faisant s'écrier.

Oh ! Mon salaud, tu me fais mal. Mais continue, tu me fais jouir. Ce que tu baises bien. Oh ! Oui, baisez-moi, enculez-moi tous les deux. Oh ! Mon Dieu, je jouis, continuez, je vous en prie n'arrêtez pas. Oui remplissez-moi bien. C'est extraordinaire, je sens vos sexes palpiter en moi, quel bonheur. Ah ! Je jouis. Oh ! Salaud, mes pauvres seins, tu me fais mal, mais continue, j'aime ça. Oh ! C'est tellement bon. Oh ! Mon Dieu, je jouis, continuez, je vous en prie. Oh ! Que c'est bon, deux queues à la fois, vous êtes des monstres, mais je jouis. Je vous veux dans moi tous les deux. Oh ! Mes salauds faites-moi mal ! Je veux avoir mal ! Oui, encore, encore, je n'en peux plus. Ah !.. Ah !... Ah !..... Ah ! Oui ! Comme ça, Ah ! Ah ! Ahrrrrrrrr ! Ahrrrrrrrr ! Ahrrrrrrrr !

Sandy, torturée par l'homme qui lui tiraille les seins avec ses doigts puissants tout en lui défonçant sa chatte exacerbée, et en même temps enculée par son amant éructe des mots sans suite. Exténuée par la jouissance et la souffrance qu’elle éprouve successivement, elle s'évanouit, devenant un pantin inerte entre leur bras. L'homme retire sa verge du vagin qu'il occupe, affolé et ne sachant quoi faire. Paul le rassure.

Merci mon cher, je vais m'en occuper, elle a trop joui et il va lui falloir un peu de temps pour récupérer. Tenez, prenez ma carte et à l'occasion téléphonez-moi, je suis sûr que ma compagne serait d'accord pour vous inviter à nouveau. Cette fois, vous aurez peut-être l'occasion de l'enculer.

Le motard enfourche sa bécane et reprend l'autoroute, ne se retournant pas sur le couple lubrique dont la femme s'est offerte à lui avec une telle impudeur. Il est tout de même fier de son énorme pine qui bien souvent a du mal à trouver des ouvertures daignant accueillir sa grosseur anormale, aussi il se promet de téléphoner comme le lui a conseillé le mari. Mais il doute que la femme accepte de se laisser introduire dans son anus un vit disproportionné, car il n'a jamais pu s'adonner au plaisir de la sodomisation de toute sa vie.

A suivre…

Les avis des lecteurs

Pour cette série, écrite il y a plus de quinze ans, il y a des chances que « la descente aux enfers » aille beaucoup plus loin en effet - tant que la charte d'HDS pourra le permettre tout du moins. Alors l'histoire s'arrêtera sur ce site. Mes histoires sont très diversifiées, cela dépend des fantasmes qui ne sont pas toujours les mêmes dans le temps. Il faut les prendre pour ce qu'ils sont :ce ne sont que des écrits, bien loin souvent de la réalité.

Où va s'arrêter la descente aux enfers dans la dépravation :-)

Histoire Libertine
Entre un mari "rustre" et des bites qui le sont tout autant, il faudrait nous expliquer la différence ? Peut-être les "ma chère" ? Mais difficile d'y croire avec des baises à l'abattage !

Vivement la suite, joli récit.



Texte coquin : LA VERGE DU MOTARD - Éloge de la candeur (08)
Histoire sexe : Une rose rouge
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