Sur la route de la perversion...

- Par l'auteur HDS Octave -
Récit érotique écrit par Octave [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Sur la route de la perversion... Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Sur la route de la perversion...
L'anxiété me paralysait intérieurement, pourtant j'avançais à pied dans les rues à la rencontre de celui qui allait me transformer...


Tout avait débuté sur Internet. Je suis un jeune homme mignon de 24 ans, plutôt peu grand et mince, le visage innocent conforté par des yeux bleus, de petites fesses rebondies souvent moulées dans mon jean. Je plaisais assurément aux filles, mais mon fantasme d'homme mur direct et directif persistait. J'avais donc vogué sur Internet à la recherche d'un tel amant. Après diverses conversations plus ou moins avouables, j'avais enfin trouvé un tel homme, capable de m'exciter de par ses mots, justifiant ainsi une rencontre tant fantasmée.


Je me retrouvais dans une ruelle sombre du centre-ville, devant une porte en bois massif au numéro indiqué lors de nos correspondances récentes. Jamais je n'avais imaginé rencontrer si vite un inconnu, d'autant plus dans ces circonstances. Après avoir vérifié que j'étais à l'heure, je sonnais. La porte s'ouvrit, il savait que je viendrai, il n'avait pas douté. Je montais les escaliers jusqu'au deuxième étage où m'attendait un homme dans l'ossature de la porte. Il était d'environ 1,80m pour 80 à 90 kilos. Son visage était rond, plutôt dur, et manifestement vicieux. Ses cheveux gris courts surplombaient des yeux marrons encerclés de lunettes. Son menton et ses joues étaient charnus. Il revêtait une chemise blanche laissant apparaître un peu de ventre et le haut de ses poils. Il portait un pantalon noir et des chaussures noires. Il me dit fermement de rentrer. Ressentant un mélange d'angoisse et d'excitation, je m'exécutais tandis qu'il fermait la porte à clé derrière moi.


Dès lors que la porte fût fermée, il posa une main sur mes fesses pour les palper généreusement. Il me dit « quel beau petit cul, allez viens boire un verre », et je le suivis dans son salon. Nous étions assis dans son canapé bordeaux, dans une pièce assez classique noire et blanche, avec divers meubles essentiellement en bois. J'acceptais un verre d'eau tandis qu'il buvait un alcool que je ne parvenais pas à déterminer. Au début, tout était très silencieux, il me scrutait. Il commença alors à rompre le silence en parlant de nos précédents échanges sur Internet. Il évoqua notamment mon fantasme d'être soumis à un homme mur cochon, et que cela se sache, que les gens me voient avec lui, que ma famille soit au courant et en ait honte. Cela l'amusait et l'excitait beaucoup. Il estimait que j'étais clairement une salope, et voulait en profiter. Je ne voulais pas ce rôle, mais cela m'excitait tellement que je commençais à croire qu'il avait raison...


Après avoir davantage dialogué, il se rapprocha de moi et posa sa main sur ma cuisse. Il commençait à me tripoter partout en me fixant avec un regard lubrique. Je me sentais m'abandonner, ne sachant que faire. Il se mit à m'embrasser, c'était une première pour moi d'embrasser un homme. J'aimais instantanément sa langue chaude et son haleine virile. Il s'approcha de mon oreille et me dit : « tu vois petite salope que tu aimes ça. Je vais faire de toi une petite pute, une traînée, une truie ». Je ne répondis pas pour tenter de masquer mon excitation. Il m'ordonna alors de me mettre nu et à genoux par terre. Je m'exécutais immédiatement. Il découvrit alors que j'avais mis un petit string de femme, ce qui lui décrocha un sourire et justifia une claque sur mes petites fesses.


Il ouvra alors sa ceinture et baissa son pantalon, laissant apparaître un slip blanc gonflé. Il me regarda et me demanda de m'occuper de lui. Je m'approchais et sentais son slip et son sexe déjà transpirant. Je baissais le slip et découvris un sexe gonflé, moyennement long mais large, plutôt poilu. Je frottais ce sexe sur mon visage dans un premier temps, j'aimais son odeur. Puis, je le mis en bouche le plus possible et commençais des va-et-vient, tout en le fixant. Il déclara aussitôt : « hum, je savais bien que tu étais une bonne salope. Tu suces bien, tu dois aimer ça. Et surtout tu as le regard d'une vraie truie, tu vas voir tout ce que je vais te faire... ».


Ensuite, il me demanda de venir à quatre pattes sur le canapé. Il sortit de sous son canapé des menottes avec de la fourrure, qu'il fixa à mes deux poignets. J'étais désormais sexuellement soumis à lui, jeune homme nu servant un homme mur cochon. Il commença alors à me doigter après avoir craché sur ses doigts, mais mon petit trou était serré et c'était douloureux. Il me conseilla de me détendre, mais m'avoua que ceci l'excitait. Il aimait savoir que son doigt forçait un peu cet orifice inexploré. Ses insultes redoublèrent donc, et le doigt finit par mieux rentrer et s'agiter en moi. Je commençais à geindre sous l'excitation. Il me saisit alors la nuque et m'obligea à le pomper à nouveau, tandis qu'il me doigtait désormais rapidement l'anus, donnant parfois de vives claques sur le cul afin de le faire rougir et m'arrachant ainsi un couinement.


Au bout d'un moment, il me stoppa. Il me dit : «suce ça ma petite pute, ça sort de ton cul de salope, tu aimes ?! », et il m'enfonça les doigts m'ayant doigter dans la bouche. Je me sentais humilié, mais comme transformé sexuellement cela m'excitait aussi de constater cette débauche nouvelle. Je le regardais alors dans les yeux et lui dit « oui » sur un ton aguicheur. Il m'imposa alors de me mettre allonger sur le canapé, ce que je fis, et se mit alors à califourchon devant mon visage tout en se branlant. Il me fixait avec un regard terriblement vicieux et cochon, tout en m'insultant copieusement, m'obligeant notamment à m'imaginer si les gens que je connaissais me voyaient ainsi. Je me surpris à moi-même employer un tel langage pour l'exciter et le voir jouir. Quelques minutes plus tard, il se mit alors à crier en m'insultant, et en déchargeant son sperme chaud et abondant sur mon visage innocent de petite salope.


Dès qu'il eut repris son souffle, il me dit : « ce n'était que le début », et je savais que commençait ici ma nouvelle route sur les chemins de la perversion...






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