La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 333)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 333) Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-10-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 333)
Suite de l'épisode N°329 - L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré -

Walter laisse l'esclave-soumise Thaïs MDE dans sa cellule, sous la surveillance des caméras de la salle des gardes qu'il a prévenu grâce à un bouton spécial, situé à l'extérieur de la pièce, mettant en service la caméra intérieure en marche forcée. Après tant d'émotions vécues intensément, le Majordome ne veut pas laisser Thaïs MDE sans une surveillance permanente, bien qu'il pense qu'elle va s'endormir dans les minutes qui suivent. Walter ferme la porte après lui avoir dit qu'il doit maintenant se dépêcher pour rejoindre la salle à manger du personnel où le premier service va bientôt être servi par les esclaves sous les ordres de Marie la cuisinière et à qui Thaïs MDE sera confiée une fois tout le monde rassasié. La soumise s'est affalée sous sa couche complètement exténuée par toutes les émotions qu'elle vient de vivre dans la matinée et plus particulièrement dernièrement dans la chambre froide, expérience qui lui a paru sur le moment totalement éprouvante et si inattendue. Elle a du mal à chasser l'image de la tête du sanglier abattu par le garde-chasse qu'elle avait juste en face des yeux et l'ambiance qui régnait dans cette pièce entre les odeurs de viande crue et de gibier, mais aussi le froid et le sentiment d'impuissance qui l'avait gagné se sentant totalement contrainte et attachée dans cet espace hermétiquement clos, sans parler du dégout qui l'avait envahi avec la vue de tous ces amas de chairs animales dépecées. Elle se rend compte qu'elle n'avait même plus réussi à ressentir le plaisir qui lui dévorait le bas-ventre puisqu'elle portait une ceinture de chasteté qui maintenait en place son plug anal, mais aussi un long gode rabbit en marche à puissance maximale qui lui secouait le clitoris et tout le vagin, mais maintenant l'onde de plaisir se fait plus diffuse la laissant à postériori dans un état de bien-être presque inconscient qu'elle-même arrive d’autant moins à comprendre qu’elle n’a plus aucun stimuli physique.

Reprenant peu à peu ses esprits, Thaïs MDE se rend compte que finalement, elle qui se croyait, sur le plan des affaires tout du moins forte de caractère et se laissant peu impressionner par quiconque malgré les « crabes affairistes » qu’elle devait parfois affronter, s'est laissé déstabilisée assez facilement dans un contexte auquel elle n'était ni habituée, ni préparée. Elle en était même arrivée à douter totalement de Walter, le Majordome, pensant qu'elle n'allait pas en sortir vivante, oubliant complètement pendant quelques secondes ou minutes, tout ce que son Maître Vénéré n'avait cessé de lui répéter, à savoir qu'elle n'avait rien à craindre pour sa vie et pour sa santé en acceptant de devenir Son esclave-soumise, que cela n'excluait pas le fait que son dressage et la vie aux pieds du Maître Vénéré ne serait pas de tout repos, mais que pour autant elle serait aussi bien protégée et choyée que Dominée. Elle s'en veut presque finalement d'avoir cédé à la panique, par faiblesse et fragilité certes, car cela dénote une méfiance envers celui qui a été chargé par le Maître de veiller à son éducation durant son séjour au Château et donc indirectement un manque de confiance absolue dans le Dominant entre les mains de qui elle s'est remise. Elle se dit qu'il faudra qu'elle puisse, quand il lui sera permis de le faire, demander Pardon à Monsieur le Marquis Edouard d'Evans pour les pensées négatives qui lui ont traversées l'esprit. Soulagée de cette bonne résolution, elle s'endort apaisée et fatiguée sans plus attendre dans les bras de Morphée.

Walter remonte au rez-de-chaussée et passant devant l'escalier central du Château, il tombe sur Firmin qui est en train de descendre pour rejoindre la salle à manger du personnel. Ledit Firmin tient dans sa main les laisses des deux chiennes-soumises Holly MDE et émeline MDE qui viennent de passer un petit moment dehors dans le froid, les pieds dans la neige, pour commencer à laver les carreaux extérieurs de la chambre nuptiale. Malgré la froidure de ce matin d’hiver qu'elles ont dû endurer nues pendant cinq minutes, durée fixée par Walter pour la punition qui était assortie de coups de martinet sur les deux fessiers pour les réchauffer, elles semblent avoir conservé de bonnes couleurs, n'arborant qu'une légère chair de poule sur les cuisses et les bras, mais le Majordome se demande s'il s'agit d'une réaction à la température glaciale ou tout autant une vraie excitation qui les a gagné, car elles avaient toutes les deux entre les cuisses de quoi les maintenir suffisamment chaudes et totalement excitées. Le Majordome de haute stature et de grande carrure se plante au bas de l'escalier, se tenant imposant et bien droit avec les épaules largement ouvertes, attendant que Firmin le rejoigne.

- Firmin, alors ! N'avez-vous pas pris froid dehors ? … à cause de ces deux chiennes mal dressées qu'il a fallu corriger !
- Monsieur Walter, je vous remercie de vous en préoccuper. Cela ira, je m'étais bien couvert avant de sortir et puis cela m'a un peu réchauffé de pouvoir faire de l'exercice avec le martinet que j'ai dispensé sans compter, car malheureusement, ces deux femelles ne sont pas très douées pour le ménage, disons le lavage de vitres.

Holly MDE et émeline MDE gardent toutes les deux la tête baissée, craignant l'exaspération de Walter, car le compte-rendu de Firmin n'est pas des plus élogieux. Sans le moindre regard complice et compatissant, car ni l'une, ni l'autre, ne songe en cet instant à regarder sa sœur de soumission au lieu de leurs pieds et de la partie de sol entre, toutes les deux. Elles sont un peu attristées de voir que le Majordome se préoccupe de savoir si Firmin n'a pas eu trop froid, alors même qu'il était chaudement habillé ayant enfilé une grande veste polaire pour se couvrir, pardessus qu'il avait préféré aller chercher juste avant de sortir, et que Walter ne se préoccupe pas le moins du monde de savoir si les deux soumises totalement nues n'ont pas eu le temps de prendre froid, tant elles ont trouvé la neige et le sol glacé sous leurs pieds, passant tout le temps à en lever un puis l'autre pour essayer de moins ressentir la morsure de la température qui avoisinait le zéro degré. Mais les deux esclaves-soumises savaient qu'il s'agissait d'une juste punition décidée par le Majordome et, ni l'une, ni l'autre, ne songerait à cet instant à contester ce qui leur a été imposé, au risque de se voir encore plus sévèrement punies en retour, et de devoir aussi affronter après coup le courroux du Maître Vénéré, qui n'aime pas du tout qu'on Lui désobéisse car c’est Lui faire affront, et encore moins que Ses esclaves puissent oser contester une punition qu'IL décrète ou que son Majordome ordonne en Son absence en Ses lieux et place. Walter attrape dans les mains les deux laisses que tenait encore Firmin et ajoute en le regardant d'en haut car il le dépasse de bien plus d'une tête :

- Ce n'est pas très bon ce que vous me précisez là. Dois-je considérer que le travail a été mal fait et que donc la punition ne peut pas être levée, et même pire qu'elle devra être doublée, puisque c'est la règle en la matière ?
- Je n'irai pas jusque-là, Monsieur Walter. Ces deux chiennes ne sont pas les seules fautives car avec le froid, le produit à vitres ne marchait pas et il y avait beaucoup de buée, de condensation et de givre sur les carreaux, ce qui ne leur permettait pas de faire grand chose. Je pense que le soleil qui s'est levé va faire fondre la neige et tout cela va pouvoir sécher dans l'après-midi, ce qui rendra la tâche plus aisée demain. Le pire, cela a été quand nous sommes rentrés à l'intérieur, elles avaient toutes les deux les pieds plein de neige. Comme je ne pouvais pas prendre le risque qu'elles mettent des tâches d'eau partout en voulant s'essuyer, ce qui aurait laissé des auréoles, je leur ai demandé de se lécher les pieds l'une l'autre et de manger la bonne neige qui était restée collée dessus leur corps. Cela leur a donc fait un bon dessert, pour midi, une glace succulente aromatisée naturellement à l'eau du ciel. Je pense que je n'aurai pas dû autant les gâter vu leurs prestations ménagères plutôt médiocres, mais j'ai pensé avant tout à préserver le magnifique parquet de chêne séculaire.
- Peu m'importe à moi de savoir s'il y avait du givre et de la condensation, je veux que les carreaux soient propres avant le retour de Monsieur le Marquis d’Evans. C’est très clair ! Mais, Firmin, vous faîtes bien de me préciser que ces deux incompétentes ont déjà eu droit à un dessert supplémentaire givré. Cela a dû leur rafraîchir la bouche, la langue et le palais. Ce serait dommage de ne pas en profiter, car j'en connais quelques uns parmi nous qui aiment bien les sensations fraîches sur leurs attributs virils, d'autres préférant laisser leur queue pénétrer des endroits plus onctueusement chauds. ….. Mais, nous devrions y aller sans tarder, car Madame Marie va se mettre en colère si vous êtes en retard et il y a déjà pas mal de minutes qu'elle a sonné la cloche des cuisines. Passez devant, Firmin.

Walter lui emboite le pas, suivi des deux chiennes-soumises qui marchent à quatre pattes, toujours difficilement, car godées et pluguées, elles portent encore la ceinture de chasteté qui leur passe entre les cuisses pour se fermer par un cerclage rigide au niveau de la taille, les obligeant à maintenir un espace suffisant entre les jambes pour ne pas se blesser à l'aine avec la partie courbe dure qui les enserre et retient à la fois plug et gode bien enfoncés dans leurs orifices. Firmin rejoint à la bourre la salle à manger du personnel où tout le monde est déjà attablé, craignant de tomber sur Madame Marie la cuisinière qui pourrait bien en profiter pour lui brailler dessus à sa manière, c'est-à-dire sans faire de manières et sans prendre des gants, histoire de montrer à tous que dans les cuisines, les offices, les salles à manger du personnel ou du cheptel d'esclaves, celle qui commande tout ce petit monde qu'elle rassasie largement, chacun suivant sa condition, c'est elle et qu'elle entend bien que tout marche à la baguette et que tous la respecte. Walter qui a dans l'intention de manger un peu plus tard, commence à se débarrasser des deux fardeaux qu'il traîne en laisse. Il les dépose à l'entrée de la salle à manger du personnel, leur enjoignant de se mettre à genoux, de part et d'autre de la porte d'accès et de garder la bouche ouverte et la langue tendue, pour tous ceux qui voudraient profiter en sortant de leur orifice buccal béant et si délicatement rafraichi, histoire de terminer le repas avec une petite douceur glacée de plus .

Holly MDE et émeline MDE s'installe comme le Majordome vient de l'exiger. Ce dernier rectifie la position du bout de sa cravache, obligeant l'une à redresser plus la tête pour qu'elle soit plus offerte et l'autre à ouvrir encore plus grand la bouche bien en rond. Il fait signe à l'un des esclaves-males, qui se charge de faire le service du repas, pour se faire porter un bac à glaçons. Ce dernier s’incline respectueusement et part en cuisine chercher ce que Walter vient d’exiger qu’il apporte sans tarder au Majordome. A son arrivée, l’esclave s’incline à nouveau et tend le bac à glaçons plein, geste immédiatement suivi d’une gifle d’une puissance mémorable qu’il reçoit.

- Espèce de stupide cabot ! Que veux-tu que je fasse de ce que tu me rapportes ainsi ? Ne pouvais-tu pas songer à défaire les glaçons en cuisine et les mettre dans un bol à me porter avec une pince à glace de surcroit, pour que je ne me gèle pas les doigts en les touchant.

Le chien-esclave se redresse, porte la main à sa joue qui est devenue rouge sur l’instant, et d’un air plus excédé que simplement désappointé, il s’empresse d’ajouter en regardant droit dans les yeux le Majordome.

- Mais ?.. Monsieur Walter, c’est vous-même qui avez demandé que je vous ramène un bac à glaçons et non pas un bol de glaçons, si je peux me permettre de vous le faire remarquer.

Walter de sa grosse voix tonitruante lui rétorque, accompagné d’une nouvelle gifle aussi forte que la première :

- Insolent ! Justement, tu ne peux absolument pas te permettre de me répondre sur ce ton, de me regarder fixement ainsi sans baisser les yeux et de commencer ta phrase par « Mais ». Tu seras puni pour ton odieuse outrecuidance de chien bâtard impoli et stupide. Pour le bac à glaçons, je veux bien reconnaître que je n’ai pas été assez précis dans mes directives. Pour cela donc, tu ne seras pas plus réprimandé, mais pour cela seulement. Pour le reste, tu n’avais nullement la possibilité de me le faire remarquer de cette manière impudente, juste la capacité de pouvoir t’excuser d’avoir exécuté les ordres à la lettre sans les avoir interprétés. Ma clémence est assurée quand elle est de mise, ce qui n’est pas le cas puisque ta réaction n’est pas celle qui convient à un esclave-mâle du cheptel qui se doit en toute occasion de rester respectueux envers le Maître et tous ceux à qui il doit obéissance. Tout à l’heure, tu me rejoindras dans la salle à manger, à la fin du service du déjeuner après le départ de tout le monde pour recevoir ta punition. Cela me fera l’occasion de siroter un petit café « gourmand » agrémenté de quelques petits délices, hummmmm ….. que je vais pouvoir me procurer …. hummm …... qui ne seront pas nécessairement à ton goût, mais c’est justement fait pour. Cela te laisse le temps d’ici là de regretter amèrement ta répartie et aussi le fait inadmissible d’avoir osé me dévisager. Pour l’instant, tend tes pattes avant, paume jointes tournées vers le haut et ne bouge pas, ouvre ta grande gueule de chien celle qui a cru pouvoir l’ouvrir quand il ne fallait pas et tend la langue bien sortie.

Le chien-esclave a baissé la tête dans une position humble regrettant d’avoir réagi et inquiet de savoir ce qui va lui arriver maintenant. Le Majordome démoule le bac à glaçons directement dans les mains de l’esclave qui est saisi par le froid qui envahi ses paumes d’un seul coup. Walter attrape plusieurs glaçons qu’il dépose dans la bouche largement ouverte du chien-mâle pour la remplir.

- Au moins comme cela, tu vas apprendre à te taire. Pas question de fermer complètement la bouche tant que tout n’est pas fondu, ni d’écarter tes mains que tu vas poser sur ton bas-ventre. Dès que j’en aurai fini avec toi, tu retourneras en cuisine, car tu vas tout salir en gouttant de partout pendant plusieurs minutes, mais c’est ce qu’il te faut, un peu d’eau bien fraîche qui puisse couler sur ton corps et ta petite nouille encagée. Je vais prévenir Marie que tu as été mis au coin dans la cuisine à rafraîchir et à réfléchir aussi, …. à réfléchir, à rafraichir …. ah, ah, ah …

Walter rigole tout seul de son jeu de mots et de sa plaisanterie qu’il trouve plus divertissante que glaçante, puis il se retourne maintenant vers chaque soumise qui se font face et leur glisse dans la bouche trois glaçons à chacune en ajoutant :

- C'est bon, vous pouvez maintenant fermer la bouche en attendant que les glaçons fondent. Au moins, cela gardera votre palais au frais jusqu'à ce que quelqu'un vienne le visiter. Dès que les glaçons seront entièrement fondus et l'eau avalée, vous devrez vous remettre en position comme à présent, bouche ouverte et tête légèrement relevée vers l'arrière. Ai-je besoin de préciser que vous devrez veiller à ne rien laisser tomber au sol si vous avez la chance que l'un des employés du Château daigne vous honorer de sa précieuse semence de mâle en venant soulager sa grosse bite gonflée et se vider les couilles dans vos bouches de chienne ?

(A suivre…)

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Texte coquin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 333)
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