Nuit de baise à Saigon (HCMV)

- Par l'auteur HDS Alan -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Nuit de baise à Saigon (HCMV) Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-10-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Nuit de baise à Saigon (HCMV)
En 1982, je fus affecté comme Directeur de Projet au Viet-Nam. La guerre était finie depuis sept ans mais cela n'avait pas affecté le Comité central du Parti qui voyait des ennemis partout et des espions dans chaque étranger résident ou visiteur....Les relations avec les autochtones étaient strictement limitées à celle concernant les activités professionnelles de l'interlocuteur étranger...Pas question de conversations futiles, de participation à des activités sans autorisation de l'autorité de tutelle !...Un déplacement privé nécessitait en plus l'escorte d'un chauffeur et d'un interprète !...Les étrangers sans distinction de race ou de situation se trouvaient en " résidence surveillée " même quand ils bénéficiaient comme moi d'un statut diplomatique et d'un appartement type HLM T 2 dans une cité dite diplomatique. La présence à Hanoï des ambassades et autres organisations internationales avec leur personnel étranger, rendait les can-bo, autrement dit les policiers viets, extrêmement soupçonneux. Nos mouvements, très limités du fait de l'absence de transport, de restaurants ouverts aux étrangers sans escorte et d'autres distractions que la marche ou le jogging, faisait de la capitale une introduction à l'enfer !...
Hô-Chi-Minh-Ville, l'ex Saïgon, passait pour un petit paradis. On ne pouvait s'y rendre que pour des motifs de travail et encore !...Bien que ma compétence officielle s'étende à l'ensemble du Viet-Nam, j'ai du patienter quatre mois avant d'être autorisé à m'y rendre en mission pour inspecter un chantier financé par l'Organisation qui m'employait !...Effectivement, tout y était différent depuis la météo jusqu'au comportement des autochtones ! Ce n'était pas Bangkok certes mais on avait le sentiment d'une certaine liberté bien que relativement contrôlée !...On pouvait se déplacer seul, sans escorte, en cyclo-pousse...Comme je louais toujours les services du même cycliste, Khong, que je rémunérais plus que correctement, je m'en fis assez rapidement un complice pour découvrir les charmes très softs de la ville...C'est grâce à lui que je découvris au bas de la rue Dong Khoi, ex rue Catinat, un petit restaurant tranquille fréquenté par des Vietnamiens. Quand Khong m'introduisis auprès du responsable, sans doute un ancien can-bô, Monsieur Hô, qui me salua plusieurs fois d'une inclinaison du buste avant de me conduire à une table qui devint par la suite, ma table réservée, un peu à l'écart..Au cours de ce premier séjour dans le Sud, je fis connaissance avec quelques clients assidus baragouinant un peu d' anglais voire parfois de français. En particulier, de trois filles qui se partageaient la table voisine. L'une d'entre elle qui se nommait Binh, parlait un français scolaire. J'appris très vite qu'elle était saigonaise et avait été élève au Lycée Marie Curie d'où sa connaissance de notre langue. Grâce à elle, je fis la connaissance de Choï, visiblement porteuse de chromosomes chinois et Tuyet assurément originaire du Nord-Vietnam...Peu à peu, nos relations devinrent plus détendues. J'appris ainsi que Tuyet était bien tonkinoise, de Phat Diem que sa famille avait quitté en 1954, lors de l'exode des catholiques du Nord- Vietnam. Quant à Choï, elle était bien une Hoa de Cholon, le Chinatown de Saigon. Elle était plus grande, plus fine et plus claire de teint que ses deux compatriotes. Elle me regardait avec un sourire un peu moqueur mais ne parlait pas un mot de français qu'elle semblait cependant comprendre correctement.
Ma présence à Saîgon s'étant avérée très vite indispensable étant donné les difficultés que rencontrait le constructeur de l'usine à riz du delta du Mekong, je revoyais fréquemment les trois inséparables d'autant plus que Choï avait une boutique de pacotille à deux pas de mon hôtel, rue Dong Khoi . Chaque fois que je passais devant son échoppe, elle me saluait d'un clin d' œil et de son sourire. Lorsque je déjeunait chez Monsieur Ho, Binh prenait d'autorité, place à coté de moi,
soi-disant parce qu’elle était la seule à parler français...en réalité pour me faire du pied, voire coller sa cuisse contre la mienne...Malheureusement pour elle, je me sentais plus attiré par Choï qui observait impassible le jeux de Binh... Ntuyet était totalement indifférente à tout cela, concentrée sur son assiette de riz !...Puis Choï se rendit compte de mon peu d'attirance pour sa copine. Attablée, en face de moi, elle envoya son pied nu en exploration....Après quelques tâtonnements, il vint finalement se loger sur mon entrejambe, provoquant une réaction sensible de ma verge...dont Binh n'eut pas conscience...Lorsqu'elle retira son pied, le mien se glissa a son tour sous son ao daï, jusqu'à son sexe caché sous son pantalon noir...Elle sembla apprécier en souriant avec un clin d’œil...J'avais cependant, une trouille bleu de voir débarquer les cam-bô ( les flics en français), les relations privées avec des vietnamiens étant strictement interdites, a fortiori avec des vietnamiennes !..Mes dollars aidaient beaucoup ce cher Monsieur Hô à fermer les yeux sur nos agissements.... Malheureusement, je repartais à Hanoï le lendemain, par le vol de 9 heures.
Un mois et demi plus tard, j'étais de retour à Hô-Chi-Minh-Ville pour deux semaines et mon chauffeur me déposa à mon hôtel vers 16 heures...Choî qui était sur le seuil de sa boutique, m’aperçut instantanément. Je lui fis un discret salut de la tête...Je déposais mes bagages dans ma chambre – j'avais quartier libre cette fin d'après midi – et, sans marquer d'empressement, le nez au vent, j'arrivais à l'échoppe. Choï, rentrée à l'intérieur, me fit signe d'approcher... Un coup d’œil sur les environs apparemment clairs et je vins m'accouder à la banque qui limitait l'entrée. Après les salutations d'usage, elle me regarda dans les yeux un moment avant de me déclarer tout de go :
You want to fuck with me ?
J'eus un hoquet de stupéfaction : c'était direct...Oui, je voulais la baiser !...J'en rêvais !... Mais cela ne résolvait pas le problème fondamental: Où ? Sûrement pas à mon hôtel ! Quand ?Comment ?...Je le lui dis dans le pidgin que j'avais pratiqué... au Cameroun !...Elle comprenait !...un vrai miracle !...Elle me répondit dans un anglais qui ressemblait vaguement à mon pidgin.
Je m'occupe de rechercher un lieu sûr, sans risque mais ça ne sera sûrement pas gratuit...Je pense qu'avec une centaine de dollars US, je résoudrais correctement ce problème...On ira avec mon scooter...La bonne heure, ça serait entre 19 et 20 heures...Reste à fixer le jour !...
Je devais partir dès le lendemain matin dans le delta du Mekong pour quarante huit heures pour voir l'état d'avancement des travaux de construction de l'usine de Dong Van...Je lui glissais trois billets de cinquante dollars et lui proposais donc de retenir le vendredi soir....
Habillez vous en kaki ou en bleu de façon à ressembler à un can-bo. Si vous pouvez, teinter un peu votre visage avec de l'argile ...Tout devrait bien se passer . ..N'ayez pas peut !...Je ne suis pas une fourbe...J'ai juste très envie de faire l'amour avec un Français !
Son baratin me rassurait à peine...A part nos jeux de pied sous la table, il n'y avait guère de signes encourageants... Alea jacta est !...Mon envie était peut-être une folie mais cette grande chinoise dont je ne pouvais que deviner les formes sous son ao-daî et son pantalon noir, était trop attirante pour que je ne cède pas à cette superbe tentation.
Les deux jours suivants et surtout la nuit que je passais dans un hôtel de Long Xuyen à me battre contre d'énormes blattes à grands coups d'insecticide !...J'avais corrompu, avec un billet de cinq dollars, la réceptionniste de l'hôtel qui m'avait remis en grand secret, un petit récipient qui contenait une poudre qu'elle me donna pour du fond de teint...Dans la Toyota qui nous ramenaient à Ho-Chi- Minh ville, j'écoutais à peine le discours de Giao, mon homologue sudiste qui discutait avec notre consultant, un ingénieur anglais à la retraite...Moi, dès que je fermais les yeux, un barrage de police stoppait le scooter...Nous étions conduit au poste de police...Le chef des can-bo nous faisait mettre séparément en cellule séparée !...Il voulait contacter les Nations Unies !... Je rouvrais les yeux...ce n'était qu'un cauchemar...Ouf !...Du coup, j'hésitais : " j'y vas ti ?...j'y vas ti pas ?..." comme disent les Normands !... A l'arrivée à HCMV, vers cinq heures et demi, la balance penchait vers " j'y va ". Je regagnais ma chambre, cherchait frénétiquement dans mon pilot-case mes préservatifs, mon spermicide et mon tube de lubrifiant...Tout était là !...Après une longue douche, je m'habillais d'un safari-suit en coton vert-kaki que j'avais acheté lors d'un congé au Kenya et chaussais une paire de vieille pair de tong qui était de tous mes déplacements en brousse. Je défis mon lit de façon à faire croire que j'avais dormi là...Il me restait encore à foncer le teint de mon visage...La poudre de Long-Xuyen brunit ma peau suffisamment pour dissimuler, tant bien que mal, mon type européen...Le résultat devait être satisfaisant vu l'hésitation que marqua Choï quand je me présentais à son échoppe à sept heures moins cinq....Elle sourit puis m'essaya un casque en latanier d'un vert un peu défraîchi. Le résultat sembla lui convenir car elle me fit signe de la suivre...Son scooter était dans une petite rue déserte, attaché à un lampadaire éteint par un solide cadenas...L'engin démarra à la première sollicitation...;Je m'installais rapidement derrière elle, étreignant sa taille de mes bras.
Le trajet dura une trentaine de minutes sans aucun incident jusqu'à l’arrêt du scooter devant une porte cochère ouverte entre deux magasins aux rideaux de fer baissé...A l'étage, une faible lumière indiquait une présence. Choï gara son scooter dans un couloir obscur et s'engagea dans un escalier en me faisant signe de la suivre. Elle ouvrit une lourde porte de bois et me fit entrer avant de refermer soigneusement les nombreux verrous qui garantissaient la sécurité des lieux...Elle me conduisit dans la pièce assez faiblement éclairée, meulée dans le style américain années 60, où se trouvait une chinoise à laquelle je donnais environ quarante cinq ans...Elle était habillé d'une robe très ajustée en soie grège. Elle se leva et se dirigeant vers moi, elle m'apparut en pleine lumière... Elle était très grande et vraiment, encore très belle, avec des formes sublimes que j'admirais quand elle me salua en français :
Bonjour Monsieur. Mon nom est Mùa hè sen, Lotus d'été dans votre langue...Je suis la tante de Choï...Au temps de la guerre américaine, j'ai été colonel du Viet cong...Vous ne risquez rien dans ma maison. Je vous souhaite une agréable soirée...A plus tard, peut-être !
Elle échangea encore avec Choï quelques phrases auxquelles je ne compris rien avant de se retirer...Une paroi de la pièce était constituée d'une glace...Les autres étaient décorées de plusieurs tableaux érotiques inspirés visiblement du Kamasutra,...Je découvris un matelas recouvert d'un drap installé à même le plancher ciré, dans un angle plus éclairé de la pièce ..Cela ressemblait bigrement à l'image que je me faisais d'un bordel... sans son personnel... Choï s'absenta quelques minutes...Quand elle revint, elle était visiblement nue sous un légère veste de kimono qui laissait transparaître ses formes...ses seins menus, le triangle de son sexe, la rondeur de ses fesses !...Elle entreprit aussitôt de me déshabiller. Elle caressa mes mamelons tout en enlevant la veste de mon safari suit puis s'attaqua à la ceinture de mon pantalon qui retomba bientôt sur mes talons...Je ne portais plus qu'un slip qui rejoignit aussitôt mes autres vêtements sur le sol. Mes attributs sexuels étaient libres de tout entrave...Ma verge que contemplait Choï, dressait vers elle, ses 20 centimètres  couronnés par un gland rouge, turgescent... Avant qu'elle ne se ressaisisse, je tirais sur le nœud de la ceinture de son kimono et découvrit subitement la merveille qui se cachait dessous. De longues jambes fuselées dominées par un sexe totalement épilé a l'exception d'une mince bande de poils soyeux dans le prolongement de sa fente. Deux seins plutôt petits ornés de leurs aréoles brunes dressaient leurs mamelons turgescents qui semblaient appeler mes lèvres. Un visage de vénus asiatique encadré de longs cheveux noirs couronnait cet ensemble qui me faisait baver !...J'écartais sa main qui visait mon sexe et m’agenouillais devant elle, ma bouche à la hauteur de son mont de Vénus . J'écartais ses grandes lèvres et ma langue se mit à l’œuvre sur son clitoris. Il gonflait sous ma caresse. On aurait dit un mini pénis !...
Choï me repoussa et s'allongea sur le matelas, les jambes largement écartées. ..Ses mains trouvèrent rapidement mon jonc durci d'une excitation énorme...Elle mit une fin que j'estimais trop précoce à mes " travaux préalables " en découvrant mon gland encore sous son prépuce avant de le présenter à l'entrée de son vagin d'où s'écoulait un flot de cyprine....Je m'allongeais sur elle dans la position du missionnaire...Mon engin entra sans effort dans son vestibule vulvaire parfaitement lubrifié...et continua avec une douce lenteur, son chemin dans son vagin...Bientôt, ma bite fut totalement engloutie, mes testicules au contact de son abricot....Ses mains étreignaient mes fesses...Je commençais de lents mouvements de va-et-vient dans son intimité...Son souffle devenait plus rapide … le mien aussi et mon vit enflait encore...Je sentais venir le moment divin...Elle se cambra sèchement en me repoussant ...Ma bite toute raide et gonflée, bien qu'un peu dépitée, fut éjectée de sa vulve ...Elle poursuivit son mouvement...et je me retrouvais allongé sur le dos...Je n'eus pas le temps de comprendre qu'elle me chevauchait et ajustait sa chatte, avec l'aide de ses mains, juste sur mon gland...qui fut immédiatement avalé par sa vulve...L'instant d'après ma bite était engloutie et le bassin de Choï donnait la cadence...Son buste, perpendiculaire à mon corps, mettait ses seins hors de portée...Elle en prit conscience et se pencha vers moi...puis rejeta la tête en arrière en gémissant de plus en plus fort...Je pinçais ses mamelons que j'avais à portée maintenant... Les muscles de son sexe se contactaient puis se relâchaient au rythme de son va-et-vient sur ma bite... je sentais l'éjaculation venir à toute vitesse...Elle eut deux ou trois violents mouvements du bassin, se cambra violemment en poussant un cri quand mon phallus cracha son sperme...Elle retomba sur moi, épuisée, sans que mon membre encore turgescent ne sorte de sa chatte...
C'est à ce moment-là que je me rendis compte que nous n'étions pas seuls dans cette pièce : Mùa la tante de Choî, était assise, totalement nue, sur un gros pouf de cuir, à deux pas de notre matelas !...Elle n'avait rien perdu de notre manège qu'elle avait suivi en jouant avec un gode de jade vert pâle...Elle se leva et s'approcha de nous...Elle claqua légèrement les fesses de Choî qui se releva libérant de ce fait, mon chibre un peu ramolli et gluant de foutre.
Je vous prie de m'excuser de vous avoir tendu ce piège avec la complicité de ma nièce...J'ai toujours rêvé de faire l'amour avec un français...mais ça ne c'est jamais passé... Durant mes études dans votre pays, j'étais plus préoccupée par les événements d'ici , la guerre des sectes en particulier . Je suis rentrée au pays en 1957, à la mort de mon père. J'avais 24 ans... Mon frère me trouva un mari chinois qui eut le bon goût de mourir deux ans après sans m'avoir fait d'enfant. Peu après les funérailles, je rejoignis la résistance, du coté de Ban Tre, dans le delta du Mékong.... Je sus revenu ici en 75, à la fin de la guerre américaine. De ma famille, il ne me restait qu'un frère, le père de Choï et cette ancienne maison de rendez-vous.... Quand Choï m'a parlé de vous et de l’intérêt que vous paraissiez éprouver l'un pour l'autre, je commençais à élaborer un plan... visant, avec sa complicité à vous mettre dans mon lit...
Je la regardais totalement ébahi...Me faire cette encore très belle chinoise ...avec l'assistance de Choî...une partie triangulaire !... Mon silence leur sembla un assentiment. Car Muà reprit la parole :
Je vous ai regardé baiser ma nièce...Je mouillais comme une fille...J'ai admiré la technique de Choï quand elle s'est fait prendre ou plutôt vous a baisé en position...d'Andromaque, je crois ! ...Moi, je souhaiterais que vous me preniez en levrette...J'ai toujours aimé cette position..
Pendant qu'elle parlait en me regardant dans les yeux, sa main avait fait route sur mon sexe qu'elle avait empoigné et qu'elle branlait. ..Il commençait à durcir et serait bientôt à point pour une nouvelle fantasia !...Je me levais pour mieux l'admirer. Elle était aussi grande que Choî ;..même longues jambes ...Son mont de Vénus était totalement épilé..ses grandes lèvres entrouvertes laissaient apparaître outre ses petite lèvres, le bourgeon de son clitoris Sa poitrine était plus épanouie que celle de sa nièce : ses seins plus développés, dressaient leurs mamelons bruns au centre de larges aréoles brun foncé....Je l'embrassais...sa bouche s’entrouvrit et nos langues se caressaient...Une de mes mains étreignit son sein et en titillait le bout...Elle arrêta de me masturber... et posa ses mains sur mes fesses...Bizarre, je sentais quatre mains s'activer dans ma raie...Choï, qui s'était éclipsée pendant que Muà me parlait, nous avait rejoints !...Son majeur s'introduisit avec douceur dans mon petit trou ...Je stoppais mes caresses sur le sein de Muà...Elle en profita pour s'agenouiller devant moi et emboucha mon sexe...Un deuxième doigt s'introduisit alors dans mon anus, m'arrachant un cri de surprise et de contentement....La langue de Muà s'activait sur mon gland,....C'était trop !...J'étais dominé par ces deux femmes...Moi, un mâle !...J'aimais beaucoup mais il fallait, pour mon orgueil d'homme, que je reprenne la direction des opérations....Je retirais mon sexe de la bouche ébahie de Muà...ce qui entraîna le retrait des doigts de Choï !...Je demandais à Muà de s'installer à quatre pattes sur le matelas...J'écartais ses jambes pour ouvrir le chemin de son sexe...Je me couchais sur le dos ma tête juste sous son sexe....Ma langue remonta le sillon formé par ses grandes lèvres, effleura l'entrée de son intimité et ma bouche pris possession de son clito... Choï profita de ma position scabreuse pour prendre le contrôle total de mon sexe...Sa langue courait de mon gland au trou de mon cul en passant par ma verge et mes testicules...Je ne sentais pas les mains de Choï sur mon corps...Elle devait se masturber avec le gode de jade !...Je sentais une vague de plaisir montée dans mon chibre...Muà gémissait de plus en plus fort et essayait par des mouvements désordonnés du bassin de faire progresser ma langue dans son vagin...Un flot de cyprine et de foutre s'écoulait jusque dans ma bouche...Je décidai de passer au dernier acte avant d'éjaculer à vide... Bousculant Choï, je reculais me dégageant de l'entrejambe de Muà puis je me retournais, me retrouvant à mon tour, à quatre pattes,..Les fesses de Muà semblaient d'autant plus attirer ma bite que ses mains, écartant les deux lobes de son cul, m'ouvraient la route....Faisant l'impasse sur son petit trou, je guidais mon engin entre ses lèvres vers son vestibule. Un instant de pause pour reprendre mon souffle et je poussais pour la pénétrer...ce qui fut largement facilité par l'abondante lubrification du site et les contractions des muscles du vagin....Mon vit fût littéralement aspirer puis branler par ses sphincters....Depuis que j'avais entrepris de prendre Muà en levrette, Choï ne se masturbait plus. Je ne vis pas ce qu'elle faisait dans mon dos mais je sentis d'abord ses doigts reprendre place dans mon petit trou puis, alors que j'étais sur le point d'envoyer ma purée dans le vagin de Muà, une pression inconnue s'exerça sur l’œillet de mon cul, lequel bien assoupli par le travail des doigts de Choï, céda rapidement le passage au gode de jade....J'éjaculais dans un sursaut mi jouissif mi douloureux, quand Muà poussa un long cri de plaisir et se laissa tomber sur le matelas, mon zob planté dans sa chatte et le godemiché de Choï dans mon cul !... Elle abandonna son jouet après quelques vains mouvements de va-et-vient dans mon anus...Je m'allongeais à coté de Muà, mon jonc mollement alangui et ma main sur ses fesses....Choï échangea quelques mots avec sa tante avant de sortir de la pièce.
Je ne suis pas une putain...Choï non plus !...Les relations sexuelles dans notre pays sont interdites avec les étrangers...et hors union légale !...La sexualité de la femme reste un tabou. Celle des hommes est primaire:ils baisent comme des lapins, sans préliminaires et sans se préoccuper du plaisir de leur partenaire...Choï drague pour moi !.. Quand elle trouve un possible candidat, elle l'amène ici...Moi, je m'occupe de suborner les bo-doï à coup de dollar US...Après, je reçois l'élu...Si notre entretien est satisfaisant, il baise avec Choï...Si je suis satisfaite de ces travaux pratiques dont j'ai suivi la progression de ma chambre – la pièce à vivre privée de l'ancienne tenancière de ce bordel, je me joins à leurs ébats !..
Choî, toujours en tenue d’Ève, réapparut porteuse d'un plateau et trois verres pleins d'une boisson brunâtre. Elle présenta le plateau à sa tante puis à moi . Muà but une gorgée de ce liquide épais et reprit en me souriant :
C'est à base de gingembre, de ginkgo, de noix muscade et de cardamone... Tu vas voir, dans une demi-heure, tu vas bander comme un...daim car il nous faut maintenant remercier Choï en honorant son cul : elle a organisé cette rencontre...qui m'a comblé..
Elle et Choï vidèrent leur verre...Je les imitais....puis nous nous allongeâmes cote à cote sur le matelas en attendant le retour du désir...J'étais entre les deux filles...La main de Choï emprisonnait ma verge...molle ; La mienne jouait distraitement avec le clitoris de Muà !...Petit à petit, la vigueur revenait dans ma queue...Choï le sentit aussi  et se redressa pour encourager avec sa bouche cette résurrection!..;Quand elle retrouva toute sa vigueur, je demandais à Choï de quitter notre couche et j'installais Muà au milieu du lit.
Je voudrai, dis-je, que Choï te fasse un cunnilingus. Installez-vous en position de soixante neuf, au milieu du lit !
Muà expliqua en quelques mots ce que je voulais tout en s'installant allongée sur le dos. Choî l'enfourcha , sa tête sur le sexe de sa tante et son cul sur son visage...Elles avaient l'habitude de cette position...et entrèrent en action sans hésiter....Je m’installais, à genoux derrière la nièce...Ma langue entreprit une visite approfondie de sa raie puis de son petit trou...Elle pénétra jusqu'à sa rondelle qu'elle caressa ….J'enduisis mon majeur de baume lubrifiant et remplaçait ma langue par ce doigt qui franchit son œillet et lubrifia à souhait, son anus..;qui devenait de plus en plus souple et accueillant...J'introduisis ensuite deux autres doigts dans son trou élargi...Le cul de Choï se tendit pour les accueillir....Le passage était maintenant suffisamment distendu pour la suite d'autant que ma bite avait retrouvé consistance et rigidité...Je présentais mon gland décapuchonné à sa rondelle . Elle lui céda le passage mais Choï contracta son sphincter...Je dus pousser fortement dans son conduit devenu étroit...puis son cul se détendit et ma queue la pénétra jusqu'à de que mes roustons viennent se bloquer contre ses fesses....Après une courte pause qui semblait déplaire à ma partenaire si j'en jugeais par les contractions de son conduit, j'entrepris de la limer de toutes mes forces...Elle abandonna ses caresses sur le sexe de sa tante, laquelle se glissa promptement hors de l'étau des jambes et du corps de sa nièce...Elle entreprit aussitôt libérée, de masturber le clitoris de Choï. Celle- ci se cambra violemment et haletante, laissa échapper quelques mots en vietnamien :
Fuck tôi tốt ... nhanh hơn ... nhanh hơn ... Tuy nhiên ... Tôi thích ... Đó là quá tốt!
que Muà s'empressa de traduire : " encule moi bien !..Plus vite !...encore plus vite !...je jouis...c'est trop bon ! "...ce qui déclencha un violent orgasme de Choï et. une longue éjaculation de ma part ..Je m'écroulais sur elle et laissais ma queue se retirer lentement de son anus d'où s'écoulait du sperme....
Je m'endormis comme une masse entre les deux femmes avec lesquelles je venais de baiser ...Je fus réveillé brutalement par Muà, totalement nue, qui me secouait :
Réveillez-vous, Alan et prenez une douche...Il est cinq heures et demi...Il est temps de rentrer à votre hôtel, avant que les cam-bô ne soient complètement réveillés !...
Sans me laisser le temps de faire un geste vers ses seins, elle m’entraîna vers une salle de bains qui datait des années soixante...Choï dormait encore, une main sur son sexe brillant de foutre séché... Quand je revins dans le salon après une douche froide (tout est relatif!), les deux femmes étaient
coiffées et habillées...Je me rhabillais en vitesse pendant qu'elles servaient le thé...A six heures, le scooter démarrait et un vingt minutes plus tard, Choï me déposait rue Dong Khoï, un peu au dessus de l’hôtel Continental. Je lui rendis son casque de latanier et partis à pied à mon hôtel, noyé dans la foule des employés se rendant à leur boulot...Je me glissais furtivement et sans encombre jusqu'à ma chambre et me jetais sans même me déshabiller sur mon lit....
Je revis plusieurs fois Muà et Choï, lors de mes séjours suivants à Hô-Chi-Minh-Ville,toujours avec le même plaisir, honorant les sexes et les culs de mes deux amies. Ce sont elles qui m'apprirent qu'un français avait été interpellé à Cholon, en flagrant délit de " copulation" et ramené à pied et manu militari, entre deux bo-doï en armes jusqu'au Consulat de France. L'information me fit frissonner rétrospectivement.

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un petit tour au REX sur sa terrasse !!!



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