Délires 2

- Par l'auteur HDS Maiega -
Récit érotique écrit par Maiega [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Délires 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-03-2007 dans la catégorie A dormir debout
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Délires 2
<p>Maïa ondule sur moi, seul mouvement qu’elle est capable d’effectuer avec les liens qui nous unissent. Mon excitation est telle que je suis bandé à l’extrême. Mon sexe est totalement englouti dans celui de Maïa qui s’agite sur moi. Son sexe est étroit et comprime le mien… ses muscles internes frémissent, se contractent sur ma verge agissant comme une main qui me masturberait de l’intérieur de son vagin. Nos visages se sont unis, sa bouche est colée à la mienne, sa langue me pénètre cherchant la mienne. Je la sens à bout, prête à jouir, ses mouvement s’accélèrent je sens aussi que je ne pourrai pas me retenir longtemps.

Une voiture entre dans le parking, nous éclaire et s’arrête. Cela amplifie encore notre excitation et l’on est à bout tous les deux… Maïa à toujours sa bouche sur la mienne, dans la mienne… elle me suce, me dévore la langue en me regardant dans les yeux.

Un appel de phares, la voiture s’arrête à quelques mètres de nous… nous sommes éclairés de plein fouet comme sur une scène de théâtre… mais nous sommes arrivés au point de non-retour et cela nous excite encore plus, nous devons achever, là en pleine lumière, on s’en moque ! Maïa gémit, ses yeux se révulsent, je la sens partir en plein délire, elle tente malgré nos liens, de s’écarteler encore plus pour me pénètre encore plus profondément. En s’écartelant ainsi elle m’oblige en raison de nos liens, à m’ouvrir encore plus… Mais je suis à bout, je sens que je vais exploser ! Je gémis aussi et si Maïa n’avait pas sa bouche plaquée, vissée sur la mienne, je crois bien que nous serions en train de crier tous les deux !

Quelqu’un sort de la voiture et vient vers nous. A cause de l’éclairage, je suis totalement ébloui et ne vois qu’une forme, mais on dirait une femme… et puis je m’en moque maintenant, je suis en plein délire… je suis si excité de me montrer ainsi que même s’il y avait 100 personnes je n’en serai que plus excité !

C’est une femme… c’est Créssy… elle ne dit rien, se positionne derrière Maïa, se baisse un peu et me saisit les testicules d’une main et l’autre se glisse entre nos corps, saisit un sein de Maïa et commence un doux malaxage … Cette nouvelle sensation provoque mon explosion ! Maïa m’accompagne ! C’est inhumain, elle lâche ma bouche et nos cris surgissent en même temps ! Cressy me masse, me serre les testicules, les pressant pour en extraire tout leur contenu… je me déverse en Maïa, d’un flot ininterrompu. Elle a renversé sa tête en arrière, ses cris sont mêlés de soupirs, halètements… Elle est comme moi en plein délire, nous avons décollés tous les deux ! Et l'on plane, on plane, en ayant l’impression que çà ne finira pas…

La main de Cressy poursuit son malaxage jusqu’au bout. Puis son étau se dé serre, devient caresse. Maïa atterrit, halète moins fort, une larme coule sur sa joue, elle m’embrasse à nouveau fougueusement, amoureusement… Je sens une partie de mon sperme couler sur nos jambes… Cressy se redresse :
- Eh bien vous deux !!! On ne peu pas vous laisser sans surveillance 2 minutes sans que vous ne fassiez des bêtises, dit-elle en riant !
Elle nous détache, sort une boîte de Kleenex de la voiture et nous propose de nous essuyer et de monter dans l’auto. Je suis toujours nu et frisonne maintenant que Maïa ne me réchauffe plus de son corps. Je m’essuie également avec des lingettes humides que Cressy a mis à disposition et retrouve Maïa qui en fait de même sur son sexe et ses jambes. Nous montons vite à l’arrière de la voiture et Maïa se love contre moi, vient de blottir dans mes bras, me réchauffant de sa chaleur et partageant l’abri offert par son poncho. Nos mains se rejoignent sous la fourrure, nos lèvres se retrouvent, puis nos corps… Cressy après avoir chargé la chaise dans le coffre, nous voyant ainsi enlacés a un mouvement de jalousie puis se penche vers nous, nous caressent à tour de rôle, nous embrasse, nous cajole…
- Vous vous aimez bien, dirait-on ? Cela vous a plu ?
Nos yeux seuls répondent, mais j’attire Cressy vers nous et l’embrasse à son tour.
- Je n’oublierai jamais tout ce qui arrive cette nuit, lui dis-je. Vous êtes les deux merveilleuses !
- Alors on continue ! Répond Cressy qui s’installe au volant et manœuvre la voiture pour sortir du parking.
Il est environ trois heures du matin, et nous ne croisons que de rares voitures. Les rues sont heureusement désertes car le spectacle que nous offrons doit être très pittoresque… Maïa s’est débarrassée de son poncho pour nous recouvrir avec ; mais elle s’empresse tellement sur moi que nous sommes à nouveau enlacés et la fourrure ne cache guère nos ébats… Cressy a mis un CD dans le lecteur de la radio et une musique très douce rempli la voiture en plus de nos gémissements. Nuit divine…

Après une vingtaine de minutes de trajet sans encombres, Cressy gare la voiture en bord de route, devant un ensemble de petites maisons d’habitations. L’endroit est calme, on se croirait à la campagne. Je dois avouer que trop occupé avec Maïa, je n’ai absolument pas fait attention à la route et j’ignore totalement où nous pouvons être… Cressy, nous propose de sortir de la voiture et de la suivre. Nous nous recouvrons le mieux possible avec le poncho et en courrant presque, nous arrivons devant la porte de l’immeuble. Celle-ci est fermée par un dispositif de télécommande. Cressy appuie sur l’un des boutons des sonnettes disposées à l’extérieur et une voix féminine, sensuelle, résonne dans le haut-parleur. :
- Oui ? C’est vous ? Je vous ai vu arriver… Montez vite !
Le verrou se débloque, nous poussons la porte et entrons. La lumière se fait dans le hall grâce à un système de détecteurs. Il n’y a pas d’ascenseurs, ici. Nous empruntons un escalier large. Cressy me retiens par le bras, me retourne vers elle et m’embrasse en pleine bouche tout en me libérant de la couverture offerte par le poncho de Maïa. Cette dernière s’en recouvre de suite me laissant à nouveau nu entre les 2 femmes. Cressy m’enlace, m’embrasse à m’étouffer, me caresse mon sexe d’une main. Maïa n’est pas en reste, se plaque contre mon dos et me malaxe les fesses…
- Maintenant tu dois retrouver la forme, dit Cressy de sa voix suave.
Elle se baisse, me prends les testicules de ses 2 mains et enfourne mon sexe dans sa bouche. Bien qu’épuisé par tout ce qui est déjà arrivé, je réagis vite à ces appels… je me sens durcir à nouveau. Cressy se relève, et me tirant par le sexe, m’entraîne en haut de l’escalier. Arrivés au second étage, une porte s’ouvre devant nous. Cressy me tirant toujours par le sexe, entre sans hésiter. Devant nous une femme d’environ 35 ans, blonde, pas très grande, assez ronde mais sans excès, un très beau visage encore poupin, de belles lèvres charnues. Elle a de très beaux yeux presque verts, très très clair qui lui donne un regard complètement fou, de longs sourcils lui donnent un regard grandiose, espiègle, rieur ! Elle a des cheveux droits et longs, attachés avec un chouchou en velours noir, comme sa robe… elle est très belle aussi… Elle m’accueille en m’enlaçant comme si on se connaissait depuis toujours, me tend ses lèvres et m’embrasse tendrement, me regardant dans les yeux, ses yeux qui me font fonde…Elle me caresse le corps, sans me toucher le sexe, que Cressy n’a pas lâché…Vraiment… Je suis flatté par ces 3 femmes maintenant qui me cajolent, s’empressent autour de moi pour me réchauffer… Maïa quitte son poncho dès qu’elle entre, me prend par la main et me guide à l’intérieur du logement. Ici tout est clair, teintes blanches, velours blanc pour les canapé, carrelage blanc recouvert de quelques peaux de moutons soyeuses, blanches elles aussi. Maïa est heureuse, me sourit tout en me tirant vers une grande salle de bain. A nouveau les jeux de la douche… Maïa est à nouveau sur moi, en moi… Elle est trop belle, trop folle de nos corps… elle s’emporte, m’emporte à nouveau dans son brasier qui ne s’éteint pas, bien au contraire…

Nous ne sommes plus seuls dans la salle de bain. Cressy est revenue avec le caméscope, ainsi que Dévy qui voudrait bien faire ma connaissance. Alors nous sortons de la douche, à demi enlacés, nous nous séchons sous les gentils quolibets de notre hôtesse et sa copine.
- Ils font un beau couple, tu ne trouves pas ? demande Dévy
- Oui, mais maintenant ils ne se quittent plus, Armand n’en a plus que pour elle, je suis jalouse, c’est quand même moi qui l’ai rencontré !
- Attend, on va arranger tout çà, mais tu devras aussi m’en laisser un morceau répond Dévy en venant se frotter contre moi.
Elle entoure mes épaules avec un peignoir en soie jaune vif, très beau, très court qui m’arrive juste au bas des cuisses, dévoilant mon sexe à nouveau en érection et qui pointe largement dans l’échancrure du peignoir. Dévy me prend par la main et me dirige vers le salon. Une musique douce a envahi la pièce, les lumières sont éteintes et la pièce est juste éclairée par quelques bougies. L’ambiance est feutrée, adaptée à ce qui va se passer… Dévy est vraiment belle… Elle m’enlace et m’entraîne dans un slow très lent, se laisse totalement aller contre moi, sa tête sur mon épaule, ses lèvres contre mon cou. Je caresse son dos, ses hanches couvertes de velours. J’ai repris toute ma vigueur et Dévy se plaque encore plus contre moi pour profiter de l’envie qu’elle a fait naître chez moi. Elle libère une main, défait la ceinture du peignoir, le tire en arrière et je me retrouve nu contre elle… Cressy et Maïa sont enlacées aussi, dansant l’une contre l’autre tendrement. Dévy me repousse doucement, libère ses cheveux et prend le chouchou dans ses mains :
- Regarde, ce que on peut aussi faire avec un chouchou…
Elle se saisit de mes testicules, les enserre du chouchou avec lequel elle fait deux tours. Le chouchou m’enserre ainsi le bas de mon sexe, augmentant la compression du sang à l’intérieur, augmentant le volume de mon pénis en même temps.
- Tu aimes, demande t’elle ?
- C’est trop bon, j’ai envie de toi aussi !
Elle ne répond pas, mais reprend le slow interrompu, multipliant alors ses caresses sur moi. Puis elle glisse mon sexe entre ses jambes, remontant sa robe courte par la même occasion. Je la sens totalement nue, disponible sous sa robe. Je fais un geste pour la déshabiller mais elle m’arrête :
- Attends, pas encore… profite de cette danse…
Cressy et Maïa se sont approchées de nous, nous frôlant, puis elles cessent leur danse et collent contre nous commençant alors de lentes caresses sur nos corps pour y attiser un nouveau feu d’enfer. Maïa s’occupe de moi, elle me masturbe après avoir passé sa main entre mes jambes et me caressant sous la robe de Dévy, qui elle est devenue la proie de Cressy qui lui a entouré ses seins de ses mains et les pétris tout en me regardant dans les yeux :
-Elle te plaît aussi ? Tu as envie d’elle aussi ? Tu n’arrêtes plus, cette nuit ! Je te l’avais dit !
Avant de pouvoir répondre, la bouche de Dévy s’est emparée de la mienne et me happe, me suce, me mange la langue avec passion, presque folie. Son bassin ondule de plaisir, et tout à coup je sens une main qui saisit mon sexe, celle de Maïa, m’enfourner d’un coup dans la chatte de Dévy qui gémit, s’accroche à mon cou et s’empale totalement sur moi !
- Couches-toi par terre ! Commande t’elle entre 2 soupirs…
La portant tant bien que mal, aidé et soutenu par Maïa, je m’étends sur 2 magnifiques peaux de mouton que Cressy a rapidement disposées au sol. Cressy écarte mes jambes en me tenant par les chevilles alors que Maïa me retiens les par les poignets qu’elle a joints derrière ma tête. Je suis totalement offert aux caprices de Dévy qui empalée sur moi, s’est redressée, s’agite, danse embrochée sur mon sexe… Elle est encore parée de sa robe, roulée sur ses hanches, elle se caresse frénétiquement les seins pardessus sa robe. Le chouchou qui comprime mon sexe, caresse aussi le sien et elle s’agite encore plus pour profiter de cette caresse supplémentaire. Maïa, se retourne toujours en retenant mes mains au-dessus de ma tête, se place au-dessus de ma bouche et se baisse lentement jusqu’à ce que son sexe frôle mes lèvres… Je commence à la lécher doucement, avec amour, avec tendresse. Mais je suis tellement occupé par les sensations que me donne Dévy que je ne fais que peu cas de Maïa et je peine à me concentrer sur mon travail. Elle commence alors à onduler sur moi, se masturbant elle-même sur ma langue offerte. Cressy elle aussi encore habillé de sa robe, se caresse tout en maintenant mes jambes écartées. Il y a avait la position 88 qui est celle par laquelle 2 femme s’offrent du plaisir sur un homme, mais 3 femmes, je ne connais pas !
Le rythme de Dévy accélère, le mien aussi… La danse accentue les mouvements des 3 femmes et des miens… je suis submergé par de nouvelles sensations de bonheur, d’envie, de désir, mon sexe tendu à l’extrême, comprimé par le chouchou me fait presque mal, mais cela augmente encore mes pulsions, mes envies. Cressy à demi empalée sur mes orteils, se baisse et me saisit les bourses au-dessous de Dévy, me malaxe à nouveau conne elle avait fait toute à l’heure alors que Maïa était sur moi. Elle sait maintenant la sensation que ce geste me procure, encore accentué par la présence du lien qui me serre étroitement. Je ne vais pas tenir longtemps à ce régime… Cressy avec son autre main, me caresse l’anus, y pénètre doucement un doigt et commence un doux va et vient. La sensation cumulée à celle procurée par le doux fourreau du vagin de Dévy, est délicieuse, sublime ! Je suis à nouveau au paradis, je plane complètement dans un océan de plaisir, de sensations extrêmes, j’en veux encore…encore !

Maïa se retourne, cherchant en même temps à garder le contact de son sexe sur ma langue. Elle fait ainsi face à Dévy, la prend dans ses bras, l’embrasse goulûment… Dévy commence à gémir, de plus en plus fort. Maïa l’accompagne bientôt dans ses gémissements et moi je n’en peux plus… je les suis dans ce concert de cris, halètements, d’extase… Et soudain je sens s’amplifier en moi toutes ces sensations, naître une petite douleur tout au fond de ma prostate et un flot de sperme remonter dans mes testicules dans un bouillonnement orgasmique. Je perds quasiment conscience, tant je suis submergé par ce flot tempétueux qui saisit tout mon sexe, s’étend à tout mon bas ventre. C’est inouï ! Ce flot émerge brutalement, est propulsé tout au fond de Dévy qui crie en même temps que moi sous cette avalanche qui se déverse en elle !

Le temps s’est arrêté… Dévy est affaissée contre Maïa, puis les deux roulent au sol, se blotissent contre moi, me recouvrant presque totalement de leur corps. Cressy se relève, contemple la scène avec bonheur, avec envie aussi :
- Venez dans la chambre, vous serez mieux pour vous remettre de vos exploits.
Ceci dit, elle se dirige vers une porte au fond de la pièce, allume une petite lampe et je l’entends qui se soulage de sa robe, un drap qui se froisse…
Maïa et Dévy me libèrent et m’attirent avec elles vers la chambre. Nous n’avons plus la force de nous laver...
Le lit est grand, tout blanc comme le reste. Nous arrivons à tous nous allonger, les uns serrés contre les autres, unis par les mêmes envies, par tout ce qui s’est produit cette nuit. Je suis allongé entre Cressy et Dévy . Les 2 se lovent contre moi, Dévy la main sur mon sexe.
- Merci pour ce que tu m’as si bien fait, me chuchote t’elle à l’oreille avant de fermer les yeux et s’endormir.


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