Il se gode le cul
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-10-2014 dans la catégorie A dormir debout
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Couleur du fond :
Il se gode le cul
Il est parti bien tôt ce matin.
Je reste couchée pour flemmarder un peu. Pour être bien je pose mes mains entre mes jambes. Je suis bien ainsi, moitié endormie.
Je pense à tout ce que nous avons fait hier. Je sortait nue, de la salle de bain quand il y entrait, aussi nu que moi, sauf qu'il bandait : je le soupçonnais de s'être livré à un plaisir solitaire comme ça nous arrive à l'un ou l'autre assez souvent. Sauf que j'aime le voir se donner du plaisir en connaissance de cause.
J'entrais dans la chambre pour m'habiller. Je me regardais dans la glace : je me trouve excitante. Ma main passe là où elle ne devrait pas. Je me touche, juste un peu le sexe. Je me touche beaucoup la chatte. Du coup je me recouche, je prend le gode et me satisfais comme les autres fois.
Je n'espère plus qu'une chose : qu'il me voit, qu'il se caresse aussi. J'aime voir sa main aller et venir sur la hampe, qu'il se caresses aussi les couilles, j'aime le voir chercher son petit trou pour y enfiler un doigt profondément.
Il est long à sortir de la salle de bain.
Tant pis pour lui, je me masturbe lentement.
Quand il revient, je jouis. Il tient dans sa main un autre gode. mon Dieu, il ne s’est pas branlé avec ça. Il se recouche à mes coté, il bande toujours. Il me parle
- Regarde comment je fais.
Il prend sa belle queue dans la main gauche, rareté chez lui. Il tint bien la queue, il commence les aller et venues. Je sais qu'il va se donner du plaisir, et j'aime ça. Je regarde sa queue réagit bien, son prépuce qu découvre le gland. L'autre main tient toujours le gode. Elle passe entre ses jambes pour aller sur son anus.
La vache, devant moi il va se sodomiser, comme il me fait.
Je regarde curieuse de voir comment ça fait quand le gode, comme sa pine entre dans un cul. Il sefat comme quand il sodomise.
Je trouve particulièrement exilant de voir le gode dans son anus ; surtout que sa queue lui sert aussi. Pour ne rien perdre de ce s’il montre si obligeamment, je me retourne en position de 69. Je vois mieux la queue artificielle rentrer en lui. Je vois ses couilles ramassées sous sa bite dure.
J’ai sorti le gode de mon con, je le passe sur mon cul. Je le fait entrer (au début de mes auto-sodomies je devais forcer, maintenant ça entre seul) le plus profond possible : c'est bon. Si je pouvais je fermerais les yeux : je suis obnubilé par ce qu’il fait.
Qu'elle autre femme peut voir son mari se goder les cul ?
Je suis plus rapide que lui, je jouis une bonne fois d'un seul coup.
Je vois qu'il arête : il lâche un jet qui me parait énorme de sperme. Pourtant il garde le gode au chaud dans son cul.
Je me décide à le lui pendre dans la main. Je vais lui branler l'anus. Il me regarde étonné, ravi que je participe à sa nouvelle façon de pende son pied.
Je le pistonne comme il me fait.
Je vais sur lui, la sexe sur sa bouche, il me lèche comme j'aime, depuis la cul jusqu’au clitoris. C'est moi qui le sodomise, il jouit encore une fois. Je lâche ma cyprine à gros flot sur sa bouche.
Je reste couchée pour flemmarder un peu. Pour être bien je pose mes mains entre mes jambes. Je suis bien ainsi, moitié endormie.
Je pense à tout ce que nous avons fait hier. Je sortait nue, de la salle de bain quand il y entrait, aussi nu que moi, sauf qu'il bandait : je le soupçonnais de s'être livré à un plaisir solitaire comme ça nous arrive à l'un ou l'autre assez souvent. Sauf que j'aime le voir se donner du plaisir en connaissance de cause.
J'entrais dans la chambre pour m'habiller. Je me regardais dans la glace : je me trouve excitante. Ma main passe là où elle ne devrait pas. Je me touche, juste un peu le sexe. Je me touche beaucoup la chatte. Du coup je me recouche, je prend le gode et me satisfais comme les autres fois.
Je n'espère plus qu'une chose : qu'il me voit, qu'il se caresse aussi. J'aime voir sa main aller et venir sur la hampe, qu'il se caresses aussi les couilles, j'aime le voir chercher son petit trou pour y enfiler un doigt profondément.
Il est long à sortir de la salle de bain.
Tant pis pour lui, je me masturbe lentement.
Quand il revient, je jouis. Il tient dans sa main un autre gode. mon Dieu, il ne s’est pas branlé avec ça. Il se recouche à mes coté, il bande toujours. Il me parle
- Regarde comment je fais.
Il prend sa belle queue dans la main gauche, rareté chez lui. Il tint bien la queue, il commence les aller et venues. Je sais qu'il va se donner du plaisir, et j'aime ça. Je regarde sa queue réagit bien, son prépuce qu découvre le gland. L'autre main tient toujours le gode. Elle passe entre ses jambes pour aller sur son anus.
La vache, devant moi il va se sodomiser, comme il me fait.
Je regarde curieuse de voir comment ça fait quand le gode, comme sa pine entre dans un cul. Il sefat comme quand il sodomise.
Je trouve particulièrement exilant de voir le gode dans son anus ; surtout que sa queue lui sert aussi. Pour ne rien perdre de ce s’il montre si obligeamment, je me retourne en position de 69. Je vois mieux la queue artificielle rentrer en lui. Je vois ses couilles ramassées sous sa bite dure.
J’ai sorti le gode de mon con, je le passe sur mon cul. Je le fait entrer (au début de mes auto-sodomies je devais forcer, maintenant ça entre seul) le plus profond possible : c'est bon. Si je pouvais je fermerais les yeux : je suis obnubilé par ce qu’il fait.
Qu'elle autre femme peut voir son mari se goder les cul ?
Je suis plus rapide que lui, je jouis une bonne fois d'un seul coup.
Je vois qu'il arête : il lâche un jet qui me parait énorme de sperme. Pourtant il garde le gode au chaud dans son cul.
Je me décide à le lui pendre dans la main. Je vais lui branler l'anus. Il me regarde étonné, ravi que je participe à sa nouvelle façon de pende son pied.
Je le pistonne comme il me fait.
Je vais sur lui, la sexe sur sa bouche, il me lèche comme j'aime, depuis la cul jusqu’au clitoris. C'est moi qui le sodomise, il jouit encore une fois. Je lâche ma cyprine à gros flot sur sa bouche.
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