Salle des fêtes

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
  • • 973 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 7.3 • Cote moyenne attribuée par HDS : 7.7
  • • L'ensemble des récits érotiques de Baiserjouir ont reçu un total de 8 393 994 visites.
Récit libertin : Salle des fêtes Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-10-2014 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 10 759 fois depuis sa publication.
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(7.0 / 10)

Couleur du fond :
Salle des fêtes
La salle des fêtes du village, louée pour l'occasion permet de réunir les pires personnes des environs : j'en fais partie. Je me suis fais connaître grâce à mon incroyable résistance à l'orgasme : je peux facilement baiser, faire jouir plusieurs filles d’affilé. Il y a là des personnes dont je ne soupçonnais pas l'endurance : surtout des femmes, comme celle du notaire, du boulanger ou du maire.
Si les relations sont encore froides, la musique, le fait de voir des femmes presque nues, offertes à qui veut d'elle, monte vite l'ambiance. Je suis surpris de voir des femmes à priori sage, se précipiter pour prendre une bite dans la bouche, la lécher selon les règle de l'art pour la faire jouir, continuer jusqu’à la faire encore bander pour recommencer cette fois en donnant son sexe.
Une de celles qui m'étonne le plus est la femme du médecin : elle commençait avec la femme du maire, se faisait lécher le sexe, puis l'anus avant de faire un 69 devant les autres ; Je ne pensais jamais qu'elle soit si sensuelle.Puis toujours chaude, elle demandait à un autre, un homme cette fois de la sodomiser:elle était à peine penchée en avant, tenant la bite dans sa main pour la diriger, se faire empaler profondément en jouissant assez vite.
J'étais tellement pris devant ces spectacles que je ne pouvais me décider pour la partenaire. J'étais appuyé le dos au mur quand je sentais ma bite prise dans une bouche : c'était agréable de sentir une langue lécher ma bite.
J'étais sucé par un homme ; je trouvais qu'il me donnait du plaisir, je ne l'ai pas repoussé, surtout qu'il passait un main dans la raie des fesses pour chercher mon petit trou. C'était la première fois qu'un homme me faisait ce telles choses, que je ne refusais pas.
Je trouvais du plaisir, je le laissais faire.
Juste devant moi deux femmes s'aimaient comme il est décrit dans les histoires de lesbiennes. Elles étaient en 69, couchées sur le coté, les jambes relevées, les bouches collées sur les sexes. Je crois même qu'une d'elle passait des doigts sur l'anus de l'autre.
J'aurais tant aimé participer à ces jeux de femmes, et je me trouvais avec ma bite dans la bouche d'un homme, moi qui aime tant les filles.
Je pouvais me dégager juste avant de jouir pour avoir ma queue libre de ses mouvements. Ma bite avait des mouvements de bas vers le haut. Il semblait que le gland devenait encore plus violet. Mes couilles ballottaient moins sous ma queue.
Une autre bouche est venu me croquer le sexe. Cette fois je voyais une fille qui avait de l'habileté qui me léchait dans l'espoir de boire ma liqueur.Je ne faisais que lui caresser les chevaux, passer ma main sur son visage en signe de soumission. J'étais à elle.
Elle oubliait un instant ma pine pour lécher mes couilles, c'était excitant. Je le relevais pour l'embrasser. Sa langue allait et venait dans ma bouche. Ma queue était collée à son ventre qui donnait des mouvements excitants.
Je voulais lui faire l'amour, pas comme ça, vite fait devant les autres qui m'auraient peut être regardé, mais dans un endroit confortable, surtout pour elle.
Je le trouvais à eux pas, dans un petit hôtel qui n'avait jamais du avoir tant de clients. Nous étions toujours nus quand nous sommes entrés dans l'établissement sans que la réceptionniste, presque nue qui visiblement se donnait du plaisir ne trouve à redire, même si je bandais encore.
Notre chambre était ce qu'il y a de plus rustique. Pourtant nous nous sommes aimés comme des amants depuis longtemps ; je me souviens encore du plaisir que j'ai eu à la pénétrer, la baiser, la sodomiser, sur sa demande, et de son goût de cyprine affolant.
Lorsque au petit matin nous devions cesser nos étreintes, elle a tenu à lécher ma queue toujours enduit de sa cyprine, même de son jus de cul. Mais quel goût quand sa langue est venue dans ma bouche.Puis quand je finissait de la lécher, elle me donnait tout ce qu'elle avait dans le vagin : un régal matinal.
Chaque année, la même salle des fêtes est retenue. J'y vais pour trouver une bonne baise.

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : Salle des fêtes
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Baiserjouir

La maîtresse de mon, mari - Récit érotique publié le 27-08-2016
Nos turpitudes - Récit érotique publié le 25-08-2016
Quatuor improvisé - Récit érotique publié le 23-08-2016
Amour à quatre - Récit érotique publié le 21-08-2016
La nymphomane guérie - Récit érotique publié le 19-08-2016
Trio improvisé - Récit érotique publié le 17-08-2016
Nouvelles amies - Récit érotique publié le 14-08-2016
Ma nouvelle voisine (suite) - Récit érotique publié le 11-08-2016
Mon anniversaire - Récit érotique publié le 05-08-2016
Avec mes amantes, je suis heureuse. - Récit érotique publié le 02-08-2016