La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 355)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 355) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-12-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 355)
Suite de l'épisode N°352 - La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans –

Le Marquis Edouard d’Evans est en compagnie de Dame Vanadis, Domina reconnue, flanquée de trois esclaves-singes qu’elle a dénommée « voir », « entendre », « dire », par antonymie avec le symbole des trois petits singes sages et la maxime picturale « ne rien voir, ne rien entendre, ne rien dire » qui représente chacun des trois animaux se couvrant une partie différente du visage avec les mains : le premier les yeux, le deuxième la bouche et le troisième les oreilles.

L’ordre implacable de la Maîtresse qui vient de faire claquer ses grandes bottes de cuir noir est tombé avec juste une injonction sèche et laconique « Les primates ! Aux pieds ! ». A la suite de ces quelques mots prononcés si fermement et n’attendant en réponse aucune seconde d’hésitation, les trois esclaves-mâles s’avancent vers leur Dominante, marchant courbés en prenant appui seulement sur leurs mains et leurs pieds, ce qui leur donne vraiment une allure de primates, ces animaux qui peuvent parfois se déplacer debout, mais qui habituellement le font penchés en s’aidant de leurs mains, soit de la paume, soit du dessus de la main, suivant les races animales. Cette démarche se démarque des fréquentes déambulations de soumis(es) à quatre pattes, dites plus canines, que l’on trouve régulièrement dans les jeux D/s bien qu’elles n’aient rien de totalement canines ou animales lorsque la partie inférieure des jambes trainent, glissant posées sur le sol parce que les dominés restent avant tout des humains avec leur morphologie humaine, qui est constituée de longues jambes qui ne sont pas des pattes et de genoux qui ne sont pas conçus pour une marche prolongée en appui dessus).

- Voilà, Cher Monsieur le Marquis, mes trois « espèces de macaques » comme il me plait de leur dire.

Arrivés aux pieds de la Domina, les trois mâles s’assoient « sur leur cul » comme le feraient de vulgaires singes, les jambes repliées presque en tailleur mais non croisées et la tête respectueusement baissée. Ils ont pris soin en s’asseyant de relever leur très longue queue dont ils sont affublés tous les trois. Il s’agit d’un plug anal que Dame Vanadis a fait fabriquer spécialement en plusieurs exemplaires qui se termine par une longue queue en fausse fourrure de plus de deux mètres de long, un vrai serpent de poils souple et soyeux qui vient parfaire leur transformation pour les jeux de « monkey play » que la Domina a l’air d’apprécier, tout autant que ces trois cobayes qui se prêtent bien volontiers par pure dévotion et par amour aux jeux pervers de la Maîtresse qui a pris le pouvoir sur ce trio de dominés asservis de longue date. Les faux singes sont entièrement nus, leur sexe est muni d’un triple anneau pénien qui enserre à la fois les deux testicules mais aussi le pénis qui est laissé à l’air libre, qu’il soit en érection ou au repos totalement exposé aux yeux de la Maîtresse qui peut ainsi mesurer l’excitation de Ses petits singes sages ou pas très sages. Derrière les trois verges, on distingue un piercing de type Guiche, qui est fait dans la zone centrale du périnée, entre le scrotum et l’anus, qui se compose d’un gros anneau de métal chirurgical fermé, duquel pend entre les cuisses bien visible une large médaille plate gravée, sur laquelle on peut lire de chaque côté « Propriété de Dame Vanadis ». Cette Domina s’est toujours refusé à faire percer les sexes de Ses trois mâles dont elle entend profiter de la queue dans leur état naturel sans craindre que le bijou imposé ne vienne perturber ses ébats et les pénétrations dont elle jouit le plus souvent possible, ayant pour la contenter et la faire chavirer trois queues à son entière disposition sur lesquelles sa domination est totale.

Pour parfaire la ressemblance avec ce qu’ils sont censés représenter mais aussi pour agrémenter ses désirs d’avoir la faculté de les priver de diverses capacités sensorielles suivant ses volontés de chaque instant, les trois faux-singes portent un genre de cagoule qui cache en grande partie leur visage et leur cou. Une vraie tête recouverte de poils pour les anthropoïdes qu’ils deviennent dans le cadre de séances D/s, munies de larges orifices pour la bouche, le nez, les oreilles et les yeux. Mais par-dessus ce masque, un harnais de visage en cuir noir qui fait le tour complet du crâne en passant sous le menton avec une partie arrière aussi qui permet de le maintenir en place ainsi qu’une sangle qui encercle le front pour assurer la rigidité de l’ensemble. Cet équipement est à triple fonction, avec des parties amovibles, pouvant être utilisées simultanément ou séparément, ou même simplement mises à l’écart sur le côté, se composant de trois sangles de cuir munies de nombreux trous et garnies l’une d’un bâillon-boule pour obturer la bouche, l’autre de deux cache-œil en cuir molletonné, et le troisième de deux écouteurs qui englobent lorsqu’ils sont en position toute l’oreille et empêche tout son. Ces trois lanières de cuir peuvent lorsqu’elles sont mises en place venir se clipper fermement sur l’une des deux sangles principales qui est sur le côté de la tête, l’autre partie restant en général fixée de manière permanente. Dame Vanadis, peut donc suivant son gré priver totalement Ses trois singes de leurs capacités sensorielles, ou choisir de n’en limiter qu’une, voire pas nécessairement la même pour chacun, tous les cas de figure étant possible grâce à ce petit système qu’elle a fait mettre au point pour ses séances D/s et jeux de « monkey play », qu’elle se plait à utiliser en particulier lors de sorties BDSM, de par la particularité de l’accoutrement de Ses trois singes-esclaves. La ressemblance est d’autant plus flagrante en complément de leurs masques recouvert de longs poils que naturellement, les trois mâles sont relativement velus au niveau des jambes et du torse. Cette pilosité dense du corps apparaît d’autant plus en contraste dans l’apparence corporelle que toute la zone des attributs phalliques a été totalement épilée, suivant une exigence de la Domina qui ne tenait pas spécialement à leur faire en plus des culs de babouins tout rouges, mais qui sait que si elle apprécie de pouvoir glisser ses mains dans des torses poilus qu’elle peut agripper à pleines mains pour des sensations plus intenses et une prise en mains plus envoûtante, ne supporte pas du tout pour des raisons d’hygiène personnelle et de confort féminin d’imaginer que des touffes de poils, ou même un seul, pourraient venir s’immiscer dans son intimité onctueuse, qu’elle préserve avec une vigilance et une préciosité adaptées à ce qu’elle considère être son petit joyau humide et intime pour lequel les trois esclaves-mâles seraient prêts à faire n’importe quoi.

Monsieur le Marquis fait le tour du trio d’esclaves-singes assis par terre qui attendent bien sagement les ordres de leur Domina. IL examine de près l’équipement et le harnais de tête que chacun porte. Dame Vanadis pour compléter l’inspection s’approche à son tour, fier de son petit zoo personnel bien dressé, et sangle tour à tour chaque singe, pour faire en sorte de ne laisser à chacun qu’une seule possibilité, le premier pourra voir (s’il a le droit de lever la tête), le deuxième pourra entendre et le troisième pourra parler (s’il y est autorisé bien sûr). Chacun sera privé des deux autres capacités sensorielles tant qu’il plaira à la Domina qu’il en soit ainsi. Les trois mâles qui se sentent examinés sous toutes les coutures, sont terriblement excités par la présence si proche de leur Maîtresse dont ils pourraient reconnaître entre mille le parfum et les odeurs corporelles. Ils sont aussi très impressionnés et honorés par la proche présence du célèbre Monsieur le Marquis d’Evans lequel ils ont tant entendu parler et ils savent qu’ils sont en présence d’un des plus Maîtres actuels. Deux d’entre eux présentent un sexe déjà terriblement gonflé qui s’est redressé entre leurs cuisses et qui bien loin d’offenser la Domina fait la fierté de celle qui reste la propriété de ces attributs phalliques qui sont dressés pour son plaisir. Malgré tout cela, Dame Vanadis semble ne pas apprécier du tout de ne pas les trouver tous les trois au garde à Vous en présence du Châtelain et sous son regard perçant. Elle ressent comme une offense personnelle cette troisième queue qui n’a pas voulu exprimer le désir qu’elle pourrait éprouver pour celle qui est censée être leur seul désir et plaisir. Furieuse, la Domina se penche à l’oreille du mâle défaillant, soulève l’écouteur qui est posé sur l’oreille et articule lentement pour que le message s’imprime bien dans la tête de son esclave défaillant, suffisamment fort pour être entendu également par le Noble.

- Tu vas me le payer, sale macaque qui ne daigne même pas bander lorsque tu as la chance de te trouver à Mes pieds. Ton asticot qui perd son qualificatif de queue risque fort de le regretter pendant un long moment avant que j’oublie cet affront fait à mon inestimable personne, et ceci qui plus est devant un Grand Maître, le fameux Monsieur le Marquis d’Evans, qui va bien penser que le dressage de mes trois pets primates, et également ma beauté naturelle est loin de produire un effet excitant sur mes bêtes curieuses, bien peu enclin à ressentir un simple désir charnel et sexuel…

Ledit esclave « macaque » baisse la tête encore plus et se met à rougir (réaction non visible sous le déguisement, mais qui ne l’empêche pas de ressentir l’échauffement de ses joues sous son masque). Il regrette amèrement de ne savoir commander son attribut phallique aussi facilement que son bras, se sentant encore plus honteux d’avoir entendu sa maîtresse lui faire part de son courroux en présence même du Maître des Lieux. Dame Vanadis attrape le menton de l’esclave qui se trouve être celui qui a conservé la capacité sensorielle de voir et plonge son regard acéré dans les yeux du misérable qui lui est en train de lui faire honte. Elle ajoute, bien qu’elle sait pertinemment qu’il ne peut plus l’entendre puisqu’elle a remis en place l’écouteur, mais totalement persuadée qu’il comprendra sûrement ce qu’elle exprime et attend, accompagnant ses mots des gestes nécessaires en inclinant la tête vers le haut et en lui ouvrant largement les paupières :

- Regarde-moi sans baisser les yeux. C’est un ordre. Que je puisse essayer de lire dans ton regard ce que ta nouille de macaque refuse de me dire !

Dame Vanadis relâche la tête du ‘’singe’’ qui se révèle à cet instant presque impuissant, ne réagissant toujours pas dans son bas-ventre, de plus en plus bloqué par la situation, la peur et la honte qui l’ont envahi. Elle appuie fortement sur la nuque du singe-esclave pour le contraindre à se courber encore plus, lui mettant presque la tête entre les jambes physiquement, lui qui a déjà « la queue entre les jambes » (cette expression née au XVI° siècle, à l’origine n’a rien de grivois, ni d’érotique en soi. Elle exprime la honte ressentie après un échec en référence au chien qui a l’habitude de revenir la queue basse, voire entre les pattes, lorsqu’il s’est ‘fritté’ avec un congénère et qu’il est dépité d’avoir essuyé une défaite cuisante). La Domina se redresse le corps bien droit, et apparaît dans toute la symbolique de sa tenue adaptée à sa position, qu’elle a fait fabriquer sur mesure en s’inspirant des costumes de scène portée par son artiste favorite, Mylène Farmer, qui l’a inspirée dans sa démarche actuelle D/s de petplay avec sa chanson « monkey me ».

Sous ses grandes bottes de cuir noir qui montent jusqu’à mi-cuisses, évasées sur les derniers dix centimètres comme de véritables bottes cavalières, on aperçoit la dentelle qui borde des bas noirs, retenus par un porte-jarretelle en latex qu’elle porte à même la peau sans autre sous-vêtements. En haut, une chemise blanche presque transparente à fin jabot de dentelle largement entrouverte laisse apparaître par transparence la poitrine et par l’échancrure la pointe formée par les deux tétons de ses deux seins fermes. Par-dessus, elle porte une veste courte cintrée de forme redingote en cuir souple noir qui est retenue par un lien fermé sur une taille affinée et qui se croise peu venant juste au droit des mamelons aux auréoles rosacées qui en fonction des mouvements du buste apparaissent sous le chemisier transparent, tendant le tissu de leurs masses turgescentes. Par-dessus le porte-jarretelles et sous les pans de la veste en cuir, se trouve un jupon de dentelle noire à multiples couches qui masque l’intimité de la Domina mais ne l’empêche pas d’être accessible à tout moment et de ressentir en permanence la sensualité qui parcoure son intimité. Cette jupe de voiles ondulées très courte à l’avant, juste ce qu’il faut pour concilier décence et indécence, se prolonge à l’arrière. Elle est retenue par les pans évasés de la veste redingote. Plusieurs voiles sont dans le dos beaucoup plus longs, descendant jusqu’en bas et trainant même un peu sur le sol comme une robe longue de mariée ou comme une queue de paon au repos, suivant ce que l’on veut y voir.

(A suivre…..)

Les avis des lecteurs

Belle histoire, j'adorerais que ma femme soit l'unique femme objet sexuel entourée de plusieurs bites d'une soirée dans les caves d'un chateau lugubre qui la marquera de plaisir et lui fera passer toutes les situations perverses et sadique de ses baiseurs.



Texte coquin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 355)
Histoire sexe : Une rose rouge
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