Natali, mon guide
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 281 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.4 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.9
- • L'ensemble des récits érotiques de Jpj ont reçu un total de 1 693 159 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-11-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 4 528 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Natali, mon guide
Il avait des cheveux blonds, mon guide...
La chanson tournait dans ma tête et je n'en revenais pas de cette histoire qui m'arrivait à moi, maintenant.
Ce n'était pas Place Rouge
Enfin presque...
Gilbert Bécaud chantait dans ma mémoire des cafés pouchkine et la neige en lourds flocons et son guide à lui, théorie du genre de l'époque, était une blonde slave avec chapka de fourrure et chemisier blanc craquant boutons tendus de nibars USSR.
On était dans le même coin, pas Moscou mais presque, Europe Centrale, Baltique
Saint-Petersbourg, l'ancienne Leningrad
Gelée en ce Noël touristique, blanche et sombre et multicolore de milliers de lumières de ville.
Mon guide à moi, n'était pas jolie blonde babouchka, non...
Natali, c'était un garçon, rien qu'un garçon.
Moi j'étais un peu chagrin
J'eusse préféré, à visiter Radio Nostalgie, les classiques russes, une Nikita façon Elton John mâtinée Luc Besson, une petite sauvageonne parillaude aux petits tétés acérés.
Natali m'avait accueilli, descente du Tupolev qui m'amenait de Tachkent, grand sourire, presque tendre sourire de bienvenue.
L'était grand et dégingandé, dansant quand il marchait. Sa voix était chaude, rauque comme jamais un garçon aurait pu avoir une voix comme ça. Je pensais Marlène Dietrich, l'Ange et mon ventre en était tout chaviré.
Natali a pris mon sac Vuitton et m'a dit, viens je t'emmène.
Moi, quand on me dit des choses comme ça, j'en tremble
Bite haute et couilles serrées.
Ses yeux de porcelaine encadrés de sa chevelure mi-longue ambiguë blonde de garçon manqué disaient l'intérêt porté au Français, auditeur de circonstance en informatique de réseau.
Manifestement Natali avait été missionnée pour me surveiller dans mon job ici. Dans cette Join-Venture soviético-française.
Moi, j'ai songé, avec émoi dans le coeur, à tous ces stages en province qui m'avaient ces dernières années valu tant de douces rencontres amoureuses. Il n'y a rien de meilleur que d'arriver stagiaire dans une structure établie et d'un coup, d'un seul, strike, d'enfiler les trois ou quatre filles du groupe un soir d'été en envoyant valdinguer aux quatre coins les matous statutaires dépités et penauds.
Faut savoir immédiatement rompre et filer dès matin, lendemain, vers des horizons nouveaux. Quick. Speedy Gonzales.
Saint-Petersbourg, les locaux KGB connaissaient la chanson et moi je savais leur compétence. Aussi ai-je accueilli Natali avec amitié, comme complicité, connivence. Comme pour leur dire, je vous ai compris, Natali et moi allons faire bout de route ensemble.
Natali s'est retournée et m'a souri. Moi j'étais chamboulé tourneboulé. Ma main le cherchait et remontait sous le manteau dans le pull de grosse laine rêche et touchait sa poitrine et parcourait son thorax et trouvait ses pointus pointés. On avait compris que nos vies allaient, pour quelques jours, se mêler. On était bien, Natali et moi, tous deux.
Il a fallu aller à l'hôtel. Immense hôtel, construction début siècle dernier face à la Baltique, de béton rose sale. Ma chambre était tout en haut et l'horizon brumeux suggérait les côtes de Suède, Oeland, au delà des eaux gelées.
Natali s'est assise sur le lit bas et m'a regardé vider la valise et ranger mes chemises sur les étagères.
Il m'a dit, mets cette bleue elle ira bien, ce soir, avec mes yeux.
Nous irons dîner chez Zacoun's. Tu verras, tu lui plairas.
Il a dit, vous les Françouses vous allez bien dans nos délires...
On sait pas pourquoi mais c'est comme ça.
Allez, viens-t-en avec moi.
Les yeux de Natali étaient bleus.
Chez nous on aurait dit turquoise...
Mais ici, au nord du cercle arctique, on dit Tuben
Ce qui signifie couleur pure comme pucelle inuit.
Les iris de Natali étaient de cette teinte Dune qui montre appartenance à race rare capable de prouesses inouïes en conduite de leur vie. Soutenue, la couleur, de drogue épicée flamboyante.
Quand sa main s'est saisie de mon paquet j'étais déjà alangui.
Sa bouche a cherché dans mon cou puis est revenue devant moi et a saisi mes lèvres.
Mes lèvres l'attendaient.
Je ne savais plus et mes mains à ses hanches disaient, lui disaient mon accord, ma bienvoulance.
On s'est levés pour sortir et rejoindre le groupe. Son bras était à ma taille, le mien à son épaule.
Natali, mon guide.
La neige faisait un tapis, il avait des cheveux blonds...
La chanson tournait dans ma tête et je n'en revenais pas de cette histoire qui m'arrivait à moi, maintenant.
Ce n'était pas Place Rouge
Enfin presque...
Gilbert Bécaud chantait dans ma mémoire des cafés pouchkine et la neige en lourds flocons et son guide à lui, théorie du genre de l'époque, était une blonde slave avec chapka de fourrure et chemisier blanc craquant boutons tendus de nibars USSR.
On était dans le même coin, pas Moscou mais presque, Europe Centrale, Baltique
Saint-Petersbourg, l'ancienne Leningrad
Gelée en ce Noël touristique, blanche et sombre et multicolore de milliers de lumières de ville.
Mon guide à moi, n'était pas jolie blonde babouchka, non...
Natali, c'était un garçon, rien qu'un garçon.
Moi j'étais un peu chagrin
J'eusse préféré, à visiter Radio Nostalgie, les classiques russes, une Nikita façon Elton John mâtinée Luc Besson, une petite sauvageonne parillaude aux petits tétés acérés.
Natali m'avait accueilli, descente du Tupolev qui m'amenait de Tachkent, grand sourire, presque tendre sourire de bienvenue.
L'était grand et dégingandé, dansant quand il marchait. Sa voix était chaude, rauque comme jamais un garçon aurait pu avoir une voix comme ça. Je pensais Marlène Dietrich, l'Ange et mon ventre en était tout chaviré.
Natali a pris mon sac Vuitton et m'a dit, viens je t'emmène.
Moi, quand on me dit des choses comme ça, j'en tremble
Bite haute et couilles serrées.
Ses yeux de porcelaine encadrés de sa chevelure mi-longue ambiguë blonde de garçon manqué disaient l'intérêt porté au Français, auditeur de circonstance en informatique de réseau.
Manifestement Natali avait été missionnée pour me surveiller dans mon job ici. Dans cette Join-Venture soviético-française.
Moi, j'ai songé, avec émoi dans le coeur, à tous ces stages en province qui m'avaient ces dernières années valu tant de douces rencontres amoureuses. Il n'y a rien de meilleur que d'arriver stagiaire dans une structure établie et d'un coup, d'un seul, strike, d'enfiler les trois ou quatre filles du groupe un soir d'été en envoyant valdinguer aux quatre coins les matous statutaires dépités et penauds.
Faut savoir immédiatement rompre et filer dès matin, lendemain, vers des horizons nouveaux. Quick. Speedy Gonzales.
Saint-Petersbourg, les locaux KGB connaissaient la chanson et moi je savais leur compétence. Aussi ai-je accueilli Natali avec amitié, comme complicité, connivence. Comme pour leur dire, je vous ai compris, Natali et moi allons faire bout de route ensemble.
Natali s'est retournée et m'a souri. Moi j'étais chamboulé tourneboulé. Ma main le cherchait et remontait sous le manteau dans le pull de grosse laine rêche et touchait sa poitrine et parcourait son thorax et trouvait ses pointus pointés. On avait compris que nos vies allaient, pour quelques jours, se mêler. On était bien, Natali et moi, tous deux.
Il a fallu aller à l'hôtel. Immense hôtel, construction début siècle dernier face à la Baltique, de béton rose sale. Ma chambre était tout en haut et l'horizon brumeux suggérait les côtes de Suède, Oeland, au delà des eaux gelées.
Natali s'est assise sur le lit bas et m'a regardé vider la valise et ranger mes chemises sur les étagères.
Il m'a dit, mets cette bleue elle ira bien, ce soir, avec mes yeux.
Nous irons dîner chez Zacoun's. Tu verras, tu lui plairas.
Il a dit, vous les Françouses vous allez bien dans nos délires...
On sait pas pourquoi mais c'est comme ça.
Allez, viens-t-en avec moi.
Les yeux de Natali étaient bleus.
Chez nous on aurait dit turquoise...
Mais ici, au nord du cercle arctique, on dit Tuben
Ce qui signifie couleur pure comme pucelle inuit.
Les iris de Natali étaient de cette teinte Dune qui montre appartenance à race rare capable de prouesses inouïes en conduite de leur vie. Soutenue, la couleur, de drogue épicée flamboyante.
Quand sa main s'est saisie de mon paquet j'étais déjà alangui.
Sa bouche a cherché dans mon cou puis est revenue devant moi et a saisi mes lèvres.
Mes lèvres l'attendaient.
Je ne savais plus et mes mains à ses hanches disaient, lui disaient mon accord, ma bienvoulance.
On s'est levés pour sortir et rejoindre le groupe. Son bras était à ma taille, le mien à son épaule.
Natali, mon guide.
La neige faisait un tapis, il avait des cheveux blonds...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Jpj
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...
