Paris perdu 2

- Par l'auteur HDS Map39 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Paris perdu 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-11-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Paris perdu 2
« Monte les escaliers, petite salope, on va te préparer »
Je me suis empressé de monter les escaliers à 4 pattes, imaginant le spectacle que je devais leur donner. Arrivé au dessus, je marquai un temps d’arrêt et je reçu une violente claque sur les fesses.
« Prends la porte à droite et installe toi le nez au sol » l’entendis-je de sa voix grave.
Une fois installé, je senti une main parcourir mes fesses.
« Tu as raison, il a vraiment un petit cul de salope, une raie du cul ouverte avec quelques poils ».
Mathilde reprit aussitôt :
« tu sais pourquoi tu es là. Tu as perdu ton pari et Virginie et Caroline nous ont demandé de te préparer pour la soirée. Tu vas être un gentil toutou et obéir à tout ce qui te sera demandé. Ce soir, tu devras faire le service et elles ont demandé que tu n’ouvres pas ta petite gueule. Tu as compris »
« Oui, Mathilde »
« Bon, Serge, va chercher le nécessaire pour le faire le plus beau possible ».
Quelques minutes passées, un aller retour de Serge et je sens un liquide froid couler entre mes fesses, puis 2 mains les écarter.
« Regarde son petit trou de pucelle » dit Mathilde à Serge, « regarde comme il va aimer être honoré ».
Je sentis un objet froid se poser sur ma rondelle et forcer mon anus vierge. Je voulus faire un effort pour résister, mais ma résistance fut veine, l’objet eut raison de ma rondelle et s’enfonça.
Il fut retiré et réenfoncé de nombreuses fois jusqu’à être enfoncé jusqu’à la garde.
« Te voilà avec une jolie queue de chienne ; relève-toi et regarde toi dans la glace ».
Je me relevai et me tourner fesse à la glace. J’étais affublé d’une jolie queue de pouliche.
« Mets ce tablier, il te sera utile pour faire le service ».
Mathilde me fit enfiler un petit tablier qui m’arrivait au dessus du nombril, laissant voir mon sexe.
« Tu es superbe, ainsi, mais je crois qu’il manque encore quelque chose, je préfèrerais te voir avec le cul bien rouge. Serge, veux-tu lui rougir les fesses ? »
Je me suis retrouvé illico presto en travers de ses genoux à me faire fesser comme un vulgaire gamin puni. Je n’imaginais pas que des claques sur le cul puissent faire aussi mal. J’avais le cul en feu lorsque je me suis relevé.
« Garde les yeux baissés, et tu resteras ainsi toute la soirée. Personne ne veut voir ton regard de salope. Compris ? »
« Oui, Mathilde »
Et, nous sommes repartis. Ils m’ont fait monter dans le coffre de la voiture. Le trajet n’a pas été très long même si la notion de temps dans cet endroit n’était pas facile à réaliser. Le moteur s’est arrêté et le coffre s’est ouvert.
« Dehors, petite salope »
J’étais sur le parking d’un immeuble et je n’osais sortir. Je reçu alors une grande claque de Serge.
« Dépêche toi, conasse, on n’a pas que ça à faire »
Je suis donc descendu du coffre les mains devant le sexe et je les ai suivis. Arrivé devant la porte de l’immeuble, Mathilde a appuyé sur l’interphone et quand elle a pu parler :
‘C’est Mathilde et Serge, avec la petite salope ».
Dring. La porte s’est ouverte. Mais plutôt que de prendre l’ascenseur, nous avons monté les 2 étages à pieds. J’avis peur de rencontrer quelqu’un. Heureusement, vu l’heure, il n’en fut rien. La porte du deuxième était entrouverte et nous sommes rentrés. Je fus emmené par Mathilde jusqu’à la cuisine.
« Voilà, tu es arrivé. Tu prendras le plateau sur la table, tu y prendras les 5 verres ainsi que les bouteilles. Tu attendras qu’on t’appelle et tu viendras nous servir l’apéro. Au fait, branle toi un petit coup pour donner un peu de taille a ta petite bite ».
Et elle me quitta, me laissant préparer le plateau, penaud. Je sentais mes genoux trembler. Comment pourrais-je me présenter devant Virginie et Caroline ainsi ? Et soudain :
« Petite salope, viens nous servir l’apéro ».
Je me dépêchai de me branler pour donner un peu de vigueur à ma bite et pris le plateau pour me diriger vers le salon.
La porte passée, stupeur, il n’y avait pas 4 personnes comme je l’attendais mais 5.
« Baisse les yeux, salope, tu n’es pas autorisé à regarder ».
Virginie, Caroline, Mathilde, Serge et,…. Ma femme Sylvie. Mon entrée fut accueillie par des éclats de rire et des commentaires.
« Salut, petite bite, nous avons soif, fais le service »
Je reconnus la voix de Virginie. L’un après l’autre, je leur demandai ce qu’il voulait et fis attention de ne rien renverser. Une fois le service terminé, j’entendis Caroline me dire :
« Pose le plateau sur la table et viens te mettre à 4 pattes, le cul en l’air devant nous. Nous préférons ton petit cul à ta petite bite de gamin ».
Je me perdis rapidement dans mes pensées, comment se faisait-il que ma femme soit là ? Que devait-elle penser de moi ? Je fus réveillé de mes pensées par la voix de Caroline :
« Ta femme nous a avoué que tu lui avais proposé plusieurs fois que tu désirais l’enculer et elle te l’a toujours refusé. Aujourd’hui, c’est elle qui en éprouve le désir. Demande de lui de te dépuceler ton petit cul de lopette »
« Euh ! »
« Allez, écarte tes fesses avec tes 2 mains et dépêche toi de demander si tu ne veux pas être puni. De toute façon, tu n’as pas le choix, tu te rappelles que tu dois faire tout ce qu’on veut »
« Prends mon pucelage, ma chérie, si cela te fait plaisir » répondis-je en écartant les fesses.
J’ai senti ma femme se lever, a retiré de mon cul la queue qui pendait dans un bruit de succion, puis j’ai senti un objet se poser sur mon petit trou. Jai tourné la tête et j’ai vu ma femme avec un gode de bonne taille, derrière mon dos. J’ai crié de douleur quand elle a commencé à s’enfoncer.
« Tu vois, mon chéri, ce n’est pas la mer à boire. Tu te rappelles quand tu m’expliquais que j’y trouverais mon plaisir. Alors goûte au plaisir que tu voulais m’offrir ».
Après m’avoir enfilé le gode à fond, elle entreprit des allers retours de plus en plus rapide. Et c’est là que je me suis rendu compte que je commençais à prendre du plaisir, ma petite bite reprit de la consistance ce qui aussitôt fut l’objet de commentaires.
« Regardez, la petite salope est aussi pédé, sa petite bite se tend . Allez Sylvie, un peu plus de rythme, je suis sûre qu’il va bientôt gicler ».
Effectivement, je ne sus pas me retenir et une bonne giclée s’échappa de ma bite. Et ce fut au tour de Virginie de reprendre la parole :
« Dis Serge, donne lui ta bite à sucer à ce petit pédé, je suis sûre qu’il va adorer »
Aussitôt dit que Serge place sa bite devant moi, me prend par les cheveux pour approcher ma bouche. Comme je ne l’ouvre pas assez vite à son goût, il gifle violemment ce qui me fait ouvrir la bouche, où il s’enfourne brutalement. Je ressens un gros haut le cœur lorsqu’il s’enfonce au fond de ma gorge. Pendant 10 minutes, il fit des va et vient dans ma bouche avant de s’enfoncer à fond et d’éjaculer dans ma gorge.
« Avale salope, goûte mon jus avant que je ne baise ta femme »
Malgré le dégoût, j’avalai tout. En même temps ma femme s’est retiré laissant mon trou béant ; à la vue de tous les spectatrices.
« On sait maintenant comment tu as réussi à obtenir ta promo » dit Virginie. « Et maintenant, tu vas pouvoir regarder ta femme se faire mettre par une vrai bite. Mets toi à genoux, les mains dans le dos et regarde comment un mec s’y prend ».
Je me mis à genoux, les mains derrière le dos. Ma femme était maintenant nue et Serge l’embrassait à pleine bouche. Puis il lui demanda de le sucer ce qu’elle fit sans se faire prier. Elle l’embouchait goulument comme j’avais l’impression qu’elle ne l’avait jamais fait avec moi.
Puis, il lui a demandé de prendre appui sur la table basse et j’ai eu pendant quelques instants une vue superbe, sa chatte et son cul offert. Serge s’est approché et a enfoncer sa bite d’un seul coup et j’ai entendu Sylvie râler de plaisir. Il l’a besogné pendant un bon moment et l’a achevée dans un formidable orgasme.
« Voilà comment on fait l’amour à une femme, lopette. Rhabille toi, prends tes affaires et casse-toi, tu n’es qu’un misérable petit pédé non assumé » dirent en chœur Virginie et Caroline.
Je me suis levé, sans un regard, suis allé cherché mes affaires qui traînaient au sol dans la cuisine, me suis rhabillé et suis parti, la queue entre les jambes en pensant déjà à ma vengeance. Je n’avais pas envie de rentrer à la maison et suis allé m’installé quelques jours à l’hôtel, histoire de faire le point et réfléchir à ce qui m’était arrivé.

Les avis des lecteurs

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Je file voir le chapitre 3

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oui la suite!!

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ton épouse a bien fait, moi aussi je fais de meme avec ma lopette de mari, lui aussi a une petite bite!!

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Une suite s'impose!



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