Intiation à la domination 4eme partie

- Par l'auteur HDS Pourtonbien -
Auteur homme.
  • • 6 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.5
  • • L'ensemble des récits érotiques de Pourtonbien ont reçu un total de 69 084 visites.
Récit libertin : Intiation à la domination 4eme partie Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-11-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 6 976 fois depuis sa publication.
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

Couleur du fond :
Intiation à la domination 4eme partie
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Les flashs crépitaient, obligeant Daphnée à papillonner des yeux rapidement, et malgré ceux-ci, elle s’efforçait de ne pas grimaçer. Elle n’avait pas l’habitude des sets pornos, mais depuis qu’elle avait rencontré Thierry (un mois déjà), elle avait réussi à dépasser ses préjugés. Le sperme giclait sur son visage, et malgré une bouche bien grande ouverte et sa langue sortie, l’africain savait qu’il devait surtout viser les joues et les yeux. Le gros sexe noir était à quelques centimètres du nez de Daphnée, qui, langue sortie et bouche ouverte, savait qu’en plus elle devait conserver les yeux ouvert afin de plonger ses beaux yeux bleus dans ceux du noir, augmentant le sentiment de soumission.
Garder le contact visuel et se soumettre au regard du male dominateur, c’était son but maintenant, et Thierry l’avait conduit à l’avilissement le plus total.
D’abord tatouée, marquée plutôt, sur l’omoplate gauche, le numéro d’inscription au registre des soumises mentionnait S62523. Un second tatouage était placé autour de son anus, il y était inscrit « crache » en lettres gothiques. Percée à la langue, au nombril et sur ses mamelons, elle était devenue la bimbo-pute de Thierry. Obéissant à son maître, elle était la star d’un gonzo où tous ses orifices étaient devenus des voies ouvertes, trous béants à combler par des acteurs shootés au viagra et à la coke.
Le sperme jaillissait au rythme des flashs aveuglants et couvraient le visage, amaigri mais toujours joli, de Daphnée. Les flots continus de liquide blanc sortaient du gros sexe noir veiné et elle sentait la chaleur du liquide séminal se répandre sur ses joues, son menton, ses lèvres rouges vifs et ses dents bien blanches. L’objectif de la caméra s’était approché de son doux visage et faisait un gros plan sur son sourire. « Coupez c’est dans la boite » dis Thierry qui savait, qu’une fois « online », le film allait lui rapporter de bon dividendes.
Daphnée avait les yeux dans le vague, le visage souillée, elle n’était plus qu’une esclave docile dont l’unique but était de servir son maître. La maquilleuse lui tendait une lingette afin qu’elle essuie son visage maculé de sperme. Une fois nettoyée, elle avait pour instruction de s’accoler à son maître, à genou, et lui tendis son cou afin qu’il lui pose son beau collier et fixe la laisse adéquate, ce n’est qu’à cet instant qu’elle se sentait « complète », aux pieds de son Maître.
Bombardée de clips hypnotiques, de films pornographiques foncièrement dégradants et d’un avilissement perpétuel depuis un mois, privée de sommeil notamment, elle était devenue « une bonne fille ». Obéissante et servile, elle servait Thierry avec dévotion et beaucoup d’amour pour lui. Bien sûr il la faisait fumer, boire et sniffer régulièrement, et elle avait pris goût à ce mode de vie. Les autres hommes qui la prenaient devant son maître ou qu’elle devait vider avec l’un de ses orifices n’étaient que des « défis » qu’elle avait pour obligation de remplir pour son homme. Bientôt il la marquerai définitivement, au fer rouge, comme dans le livre O, qu’elle avait dévoré quand elle n’était qu’une midinette à boys band.
Thierry avait programmé la vente de Daphnée pour le mois prochain. Le bénéficiaire de la vente était un riche prince saoudien, partouzeur et brutal. Il avait été ferme sur le prix, mais surtout les modalités. Elle devait être marquée au fer rouge, en caractère arabe, du prénom de son futur maître « Djalil ». Thierry avait programmé pour elle une cérémonie d’appartenance, faite de coups de fouets, possessions dégradantes, avec un final où sa chair sera brûlée en son honneur et lui appartiendrai « pour la vie ». Elle ignorait qu’après la cérémonie il allait la vendre, mais elle n’avait plus son mot à dire, elle connaissait les règles. Elle ne s’appartenait plus désormais et son maître avait droit de vie et de mort sur elle.
« Je peux parler s’il vous plait Monsieur ? » dit Daphnée à son maître, « -bien sûr ma chérie je t’écoute.
-Il y a quelques jours vous avez dit que j’allais être marquée, vous savez quand cela va arriver ?
- Tu es curieuse petite fille, lape ta gamelle chienne, je t’ai mis de la vodka-pomme, ma boisson préférée, ensuite nous rentrerons à la maison, je jouerai avec toi, et d’ici quelques jours tu auras ta marque ».
Il lui caressait le cul négligemment pendant qu’elle lapait le liquide, puis, une fois la gamelle supportant son prénom vide, elle tira sur le joint d’herbes que lui tendait le noir souriant.
Défoncée, elle s’écroula sur le lit, nue et sur le ventre, riant aux éclats, un peu excitée quand même. Son maître l’avait rejoint et jouait avec son anus. Il crachait dedans et le titillait avec sa langue. Il inséra deux doigts qui rentrèrent comme dans du beurre. Toujours porteuse de son collier et de sa laisse, elle gémissait de plaisir et se mordait les lèvres. « Allez au travail salope, applique toi comme tu sais si bien le faire. N’oublie pas, tu as appris à éplucher une banane avec ta langue et ta salive, tu fais pareil avec ma queue, tu continues à faire ta pute et je te récompenserai ».
S’appliquant comme une bonne élève, elle bavait et faisait parcourir sa langue devenue agile sur tout le long du membre de son homme, alternant succions savants et bouche salivante, elle était devenue une vraie ventouse maintenant. Aspirant, léchant et pompant tout ce qui désormais se présentait devant sa bouche. Elle pouvait, en plus, se regarder sur l’écran plat dont les images, sans équivoques, laissaient penser à un porno et où l’apparition ponctuelle et fugace des mots « suce, avale, obéis, soumets-toi, adore » étaient insistants. Les volutes de fumée associées à la musique techno et aux films porno dont elle était la star avaient fini par être habituels pour elle.
Elle avait appris à prendre du plaisir dans celui des hommes, le sien ne comptant pas, elle arrivait à se soulager dans la douleur, surtout quand elle se faisait enculer profondément et fessée sans respect. Maintenue fermement par la laisse, elle pouvait crier de douleur (plaisir ?) sous les coups de bite de son maître. Il lui avait même appris à serrer les dents quand elle était possédée par d’autres hommes.
Thierry avait sa queue au chaud, dans la bouche de Daphnée qui était devenue la meilleure des suceuses. « Les plus frustrées sont les plus appliquées, les plus consciencieuses … ». C’est tellement vrai se disait-il.
Ayant gagné en assurance il songeait, alors qu’elle le suçait goulument, à sa prochaine conquête dont il avait fait connaissance sur un site de rencontre. Elle avait 25 ans et se prénommait Gisèle. Fille de bonne famille, demeurant dans le riche département des Hauts de Seine, elle fantasmait sur la domination et les hommes murs. Une exhibe en web cam l’avait émoustillé suffisamment pour qu’il tire des plans sur la comète avec cette merdeuse.
Alors que Daphnée s’appliquait, il tira sur la laisse fermement « Ca suffit maintenant, va contre le mur, dépêche ».
Elle se colla au mur et, la suivant, poussa son gland, non pas dans son anus, mais dans la chatte trempée de son esclave. Il rentra d’un coup sec et Daphnée fut prise de spasmes violents. Plus les coups de boutoirs étaient forts, plus elle criait et gémissait. La maintenant par la base de la laisse, il la prenait violemment et rapidement. Elle sentait la queue de Thierry au fond d’elle et cela lui faisait un bien fou. Possédée et écartée, elle aimait être ramonée. Contractant sa gaine vaginale, elle savait quoi faire pour le faire gémir lui aussi.
La tête lui tournait, l’alcool, la drogue, la baise, tout cela combiné la faisait décoller, elle se sentait prête à de jouir. Devinant cela et la sentant sur le point de s’abandonner à ses coups de reins, il sorti sa queue et lui mis dans les fesses.
Hannnn, le plaisir fit place à la douleur et, malgré les kilomètres de bite qu’elle avait prise dans cul, elle ne put s’empêcher de crier sa douleur. Daphnée était écartelée du cul, joues contre le mur, debout et les mains à plat, sa tête cognait au rythme que lui imposait son homme. Accélérant la possession, il lui susurra dans l’oreille « amène ta gueule, grouille ».
Elle tortilla du cul et dans le même temps se mit à genou pour recevoir la semence de son maître. Il posa son gland sur sa langue sortie et cracha tout le sperme qu’il avait emmagasiné dessus.
« Merci maître de me féconder comme cela ». Elle avait bien appris sa leçon cette belle traînée.
---------------
Je remercie les lecteurs de leurs encouragements.

Les avis des lecteurs

la suite (et la fin) de cette histoire vient d'être envoyée. Merci pour vos encouragements ;-)

Histoire Libertine
Quand pourra t-on lire la suite, la cérémonie d'appartenance ?

Histoire Libertine
Tout ce que j'aime et qui me fait mouiller. Encore!



Texte coquin : Intiation à la domination 4eme partie
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Pourtonbien

La cérémonie - Récit érotique publié le 16-12-2014
Intiation à la domination 4eme partie - Récit érotique publié le 15-11-2014
Intiation 4ème partie - Récit érotique publié le 11-11-2014
Initation à la domination 3eme partie - Récit érotique publié le 05-11-2014
Initiation à la domination - 2ème partie - - Récit érotique publié le 03-11-2014
Initiation à la domination - Récit érotique publié le 01-11-2014