Vengeances féminines

- Par l'auteur HDS Micky -
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Auteur femme.
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Récit libertin : Vengeances féminines Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-12-2014 dans la catégorie Plus on est
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Vengeances féminines
Chantal Durand travaillait à son bureau de la mairie quand sa collègue Corinne Martin vint la trouver pour lui chuchoter à l'oreille :
- Je viens d'entendre des ragots sur nos maris. Il parait qu'ils ont fait une java du diable après le match de dimanche dernier et il parait même que les joueuses du club de volley étaient avec eux. Tu as entendu parler de quelque chose ?
- Euh, non, j'ai bien vu que Jérôme est rentré au petit matin mais ce n'est pas la première fois et il n'avait pas bu, pour une fois. Qu'est-ce que c'est que ce bruit de chiottes ?
- C'est la fille de l'Etat civil qui raconte ça. Sa soeur joue au volley et elle lui a dit qu'elle s'était fait sauter par trois mecs de l'équipe de rugby et qu'elle n'était pas la seule et que ça s'est passé chez Fernandez et qu'il y avait cinq mecs et cinq nanas.
- Qu'est-ce que c'est que cette histoire de fous ? Et Jérôme était dedans ?
- Ben oui et Kevin aussi et c'est bien ça qui me fait chier !
- Il va y avoir explication de gravure ce soir. Et si c'est vrai, j'en connais un qui va passer un mauvais quart d'heure.
- Moi aussi. Au fait, est-ce qu'on prévient Lydie et Christine ? Parce que leurs mecs en étaient aussi, d'après ce que j'ai compris.
- Dis donc, elle est drôlement renseignée, la fille de l'Etat civil, à se demander si elle n'en était pas elle aussi.
- Oui, c'est ce que je me suis demandée moi aussi, le coup de la soeur, mouais. Surtout qu'elle aussi joue au volley.
- Tu les connais, ces nanas au fait ?
- J'ai été les voir jouer deux ou trois fois, oui. Ce sont des gamines sauf deux ou trois qui ont du métier, elles ont dû entrainer les autres. La fille de l'Etat civil doit jouer en réserve, je ne l'avais pas vue.
- Et si on allait l'interviewer, celle-là ?
- Ok mais discrètement, hein, j'ai pas envie que toute la mairie sache que mon mec partouze avec des joueuses de filet.
- D'accord, on la chope tout à l'heure à la sortie.

Arrêtons là ce dialogue pour nous pencher d'un peu plus près sur cette étrange affaire. Chantal, 35 ans, cadre territoriale genre bcbg et Corinne, même âge, même fonction mais plus décontractée dans l'habillement et surtout plus grande (1,78m pieds nus) ont bien été interroger la "fille de l'Etat civil" qui se prénomme Elodie, petite boule nerveuse à queue de cheval. Celle-ci, après avoir nié, a fini par avouer que, oui, une partie de l'équipe de rugby (une partie seulement, a-t-elle insisté) a passé la soirée dans un appartement avec une faction conséquente (parce qu'elles sont moins nombreuses sur le terrain) de l'équipe féminine de volley ball. Et que ce n'était pas pour jouer à la belote, vous pensez. Elodie a nié farouchement "en avoir été" mais s'est refusée à dire qui parmi les volleyeuses "en étaient". Parce qu'elle n'est pas une donneuse, ah non alors.

Seulement voilà : nous sommes dans une petite ville de province où tout finit par se savoir, surtout dans le petit monde du sport. L'équipe de rugby n'a rien d'une grosse écurie professionnelle. Les gars qui portent le maillot du club sont de purs amateurs qui jouent en "division inférieure" pour le seul plaisir de tâter de la balle ovale et de se retrouver dans des troisièmes mi-temps interminables, bien plus importantes à leurs yeux que les deux premières. Parfois, ça dérape un peu et là, il semble bien que le dérapage ait été totalement incontrôlé. Le malheur a voulu que le dîner d'après match se déroulât dans un restaurant où l'équipe féminine de volley ball fêtait sa première victoire de la saison. Après avoir débuté le dîner à des tables séparées, les deux équipes ont fini par fusionner autour des mêmes plats. Et vous savez ce que c'est : quand des types en pleine santé, allant de 20 ans à 35 ans, rencontrent des filles de la même tranche d'âge et picolent un peu trop, faut pas s'étonner si des idées coquines leur viennent à l'esprit. Bref, après le dîner, la moitié des rugbymen a entraîné la plupart des volleyeuses en boite puis dans l'appartement de Jacky Fernandez, le seul célibataire du groupe, pour un "dernier verre".

Ce que Chantal Durand et Corinne Martin ne savaient pas, heureusement, c'est que leurs maris avaient été les plus entreprenants avec les volleyeuses alors qu'elles croyaient qu'ils s'étaient laissés entrainer "par les jeunes". Il faut dire que ces deux gars ont plus de dix ans de mariage, et que les cuisses fuselées des joueuses les excitent particulièrement. Il s'avère aussi que Martine Gomez, la capitaine de l'équipe, âgée de 36 ans, venait de divorcer et se trouvait "en recherche". Comme Myriam Lafond, 32 ans, toujours célibataire, n'est pas du genre à laisser passer les occasions de s'envoyer en l'air, ce duo de choc n'a pas eu trop de mal à entrainer dans leur sulfureux sillage Coralie Michon, 22 ans et sa soeur Elodie, 27 ans (oui, elle "en était") ainsi que Vanessa Michelet, 20 ans, qui a toujours eu un faible pour les rugbymen. Outre Jacky Fernandez, Jérôme Durand et Kevin Martin, vieux chevaux de retour, deux gaillards de 25 ans, Ludovic Michaud et l'Anglais de l'équipe Nigel Smith étaient de la chambrée. Cinq contre cinq, un joli match "à toucher" comme on dit en rugby... mais pas seulement à toucher. Tous les dix ont baisé comme des dingues jusqu'au petit matin sur des matelas étendus sur le sol. Ces détails, Lydie, secrétaire médicale, et Christine, institutrice, les compagnes de Michaud et Smith et âgées respectivement de 24 et 25 ans, ont fini par l'apprendre de la bouche même de Chantal et Corinne qui elles-mêmes ont fini par faire cracher Elodie en la menaçant de dénoncer une faute professionnelle dont la même Chantal s'était aperçue quelques jours plus tôt. Et l'Etat civil, hein, faut pas rigoler avec ça. Que voulez-vous, dans une petite ville, tout finit par se savoir...
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Bien entendu, les couples concernés vécurent quelques moments difficiles. Lydie largua Michaud pendant quelques jours, Christine et Smith firent chambre à part, Chantal et Corinne décrétèrent que "la boutique était fermée jusqu'à nouvel ordre". Mais un surcroit de gentillesse des maris ou compagnons, quelques cadeaux bien ciblés mais aussi des coups de bite à haute fréquence finirent par réunir les couples, tant il est vrai qu'une femme qui se sent délaissée a besoin qu'on lui montre qu'elle est toujours désirable et désirée. Néanmoins, la plaie n'était pas totalement refermée. Chantal et Corinne confiaient l'une à l'autre leurs tourments et leur rancoeur. Elles décidèrent de faire de l'aquagym ensemble pour améliorer leur ligne, reconnaissant qu'elles s'étaient un peu laissées aller ces derniers temps et que leurs bourrelets devenaient un peu voyants.
- J'avoue que je ne comprends pas. Avec Jérôme, on s'entend bien dans tous les domaines et rien ne me laissait supposer qu'il pouvait déraper comme ça, avoua Chantal.
- C'est comme moi, abonda Corinne. Au lit, c'est génial avec Kevin et je ne vois pas pourquoi il serait allé chercher autre chose ailleurs.
- C'est vrai qu'à côté des volleyeuses, on fait un peu boudin, lâcha Chantal.
- Peut-être, mais Lydie et Christine sont plus minces que nous et elles ont été cocufiées pareil, répondit Corinne. C'est plutôt une histoire de sexe. On n'excite plus autant nos mecs, faut croire.
- Et si on montait un plan pour leur rendre la politesse et pour leur montrer qu'ils nous excitent moins aussi ? Je suis sûre que ça leur donnerait davantage de coeur à l'ouvrage au lit.
- Que veux-tu dire ? Draguer des types ?
- Non, un truc plus fin. Faire comme eux, partir en groupe allumer une équipe, je sais pas moi, des footeux, des handballeurs... J'ai un faible pour les handballeurs, ils sont barraqués mais plus secs que nos rugbymen.
- Ah oui tiens, c'est une idée, on va en parler à Lydie et Christine.

Réunies autour d'un thé, les quatre filles évoquèrent le projet de revanche pour en débattre la faisabilité. Lydie et Christine étaient emballées à l'idée de donner une leçon à leurs mecs. Le seul problème était le passage à l'acte. Jusqu'où devait-on aller ? Car pour que la revanche ait un sens, il fallait "coucher".
- Moi, je suis open, décréta Chantal à la surprise générale.
- Moi aussi, répondit Corinne, mais ce qui m'embête, c'est de faire la même chose à d'autres nanas et je crois savoir que la plupart des handballeurs sont mariés.
- Et si on regardait du côté des volleyeurs ? interrogea Lydie. Je suis allée les voir jouer une ou deux fois, ce sont des étudiants, ils sont mignons tout plein, de grande taille, bien foutus et ils aiment rigoler. Je le sais, je suis sortie avec eux une fois mais en tout bien tout honneur, hein ? Et ils ne sont pas mariés, vu leur âge.
- Ah oui tiens, pourquoi pas, répondit Corinne; en plus, nos mecs seront vachement vexés qu'on fricote avec des types qui ne se rentrent pas dedans et qui se contentent de se toucher la main quand ils ont marqué un point. Pour eux, ce sont des gonzesses.
Les quatre filles tombèrent d'accord. Ce serait donc les volleyeurs et entrainées par les deux anciennes, Lydie et Christine se sentaient prêtes à tous les sacrifices. Mais il fallait des infos et elles n'en avaient aucune. Où les retrouver, ces gars là ? Comment les piéger ?
- On pourrait demander à Elodie, suggéra Chantal; les volleyeurs, elle les connait forcément et celle-là, je l'ai en main.
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Elodie fut effectivement une informatrice précieuse. Elle savait où se réunissaient les volleyeurs après leur entrainement et a fortiori leur match. Elle voulut quand même savoir pourquoi les quatre filles voulaient cette info et quand elle sut le fin mot de l'affaire, elle demanda à "en être". Ce qui lui fut accordé car elle pouvait servir d'utile trait d'union. Un soir donc, les cinq filles se décrétèrent un quartier libre "entre nanas", à charge pour les maris ou compagnons de s'occuper qui des enfants, qui de la bouffe. Chacun son tour, n'est-ce pas ? Elles se retrouvèrent comme par hasard dans le resto des volleyeurs qui étaient déjà au bar. L'arrivée du quintette de charme déclencha de la curiosité chez ces jeunes hommes qui culminaient tous au-dessus des 190 cm et ne passaient pas inaperçus. Pour l'occasion, les filles s'étaient mises en frais. Chantal et Corinne avaient visité le coiffeur, s'étaient soigneusement enduites de "trompe couillon" sur le visage et avaient revêtu une blouse ample mais légèrement décolletée par dessus leur pantalon afin de dévoiler la naissance de leurs seins tout en effaçant quelque peu leur fessier un peu trop copieux à leurs yeux. Lydie et Christine, plus minces, plus jeunes et plus hardies, optaient pour un jean serré et un tee shirt moulant sans rien dessous. Elodie était la plus sexy avec une mini jupe et un boléro ultra light qui annonçaient franchement la couleur, estimaient Chantal et Corinne. Etant la seule connue des joueurs, elle fut aussitôt entourée et les quatre filles ne furent pas longues à comprendre qu'elle connaissait intimement deux ou trois des jeunes hommes présents.

Dans un premier temps, Chantal et Corinne se demandèrent ce qu'elles étaient venues faire dans cette galère. Toutes deux avaient bien dix ans de plus que la plupart des garçons qui devaient les prendre pour des "vieilles" alors que les trois autres étaient plus dans leur élément. Mais l'initiative d'Elodie de réunir tout le monde à la même table les décoinça. Les joueurs présents se montrèrent au contraire très empressés auprès des "anciennes", certains n'hésitant même pas à plonger le nez dans leur décolleté en leur versant à boire. La fin du repas commença même à être un peu chaude. Le voisin de Corinne la pelotait d'une manière de plus en plus indécente et ne s'attirait en réponse que des gloussements. "Elle a un peu trop picolé", se dit Chantal. Elodie roulait des pelles à un grand type blond chevelu qui lui passait la main sous la jupe. Un autre lança à la cantonade :
- Elodie, un strip !
- Oui oui, un strip Elodie, sur la table Elodie ! abondèrent ses coéquipiers.
Pas farouche, Elodie se campa au milieu des assiettes alors que le patron du restaurant, prudemment, verrouillait la porte et baissait le rideau. La volleyeuse entreprit une sorte de danse en se dépouillant un à un de ses vêtements avec une lenteur calculée. Les volleyeurs s'échauffaient, certains même tentaient de lui toucher le sexe et Elodie leur tapait sur la main en riant. Pendant ce temps, le voisin de Chantal, un grand brun au système pileux très développé, avait glissé son bras autour de son cou et laissait mine de rien sa main soupeser son sein droit. Chantal laissa faire, fascinée par le show d'Elodie qui n'avait plus maintenant que son minislip et son soutien-gorge.
- A poil ! A poil ! hurlaient les convives. Y compris Lydie et Christine, qui s'étaient laissées gagner par l'ambiance. Chantal chercha Corinne des yeux et ne la trouva pas. Sa chaise était vide ainsi que celle de son voisin. Mais où étaient-ils donc passés ? Elle se dirigea vers les toilettes, prétextant une envie pressante. La porte était fermée. Elle mit l'oreille contre le bois et entendit un bruit qu'elle identifia immédiatement comme celui d'une succion. Corinne était passée à l'acte avant tout le monde !

Très troublée, Chantal revint à sa place. Elodie, seins nus, était en train de faire glisser son slip le long de ses cuisses musclées et de dévoiler une épaisse toison brune dans l'enthousiasme général, y compris du patron qui n'en perdait pas une miette. Le voisin de Chantal avait réussi à glisser un doigt dans le bonnet du soutif pour dégager le mamelon et le titiller à loisir, provoquant chez sa propriétaire une excitation croissante et difficilement dissimulable.
- Branle-moi, murmura le garçon à l'oreille de Chantal.
- Non, pas ici, répondit-elle. Et à ce moment précis, Elodie venait de lancer à la cantonade :
- Allez, on paye et on s'en va tous chez moi !
Bruit de chaises remuées, éclats de voix, ce qui restait de l'équipe de volley (six mecs en tout, que des géants sauf le passeur, un petit gars nerveux qui traquait visiblement Christine) quitta le restaurant en compagnie des cinq filles, chacun se répartissant dans les voitures, direction l'appartement d'Elodie. Chantal avais auparavant pris Corinne à part :
- Alors ? Tu fais tes coups en douce maintenant ?
- Oh ça va, toi, tu ne vas pas jouer les oies blanches maintenant, j'en avais envie c'est tout. Et puis j'ai bien vu que tu te laissais tripoter aussi.
- Quand même, baiser dans les chiottes...
- D'abord, on n'a pas baisé, je l'ai juste sucé et puis tiens, je vais te dire, il a une queue de rêve et j'ai bien l'intention de m'en occuper ce soir. Et Kevin le saura. Et ne me dis pas que tu n'as pas envie de te faire sauter aussi.
- De toute façon, comme tu dis, on n'a plus le choix, on va pas se dégonfler devant les jeunes. Regarde Lydie et Christine, elles sont chaudes comme la braise...
De fait, les deux jeunes du groupe avait à l'évidence jeté leur bonnet par-dessus les moulins et ne se posaient plus du tout la question du passage à l'acte. Elles n'attendaient que ça...

Le convoi s'arrêta devant une pharmacie pour vider un distributeur de préservatifs avant de rejoindre le logement d'Elodie. Chantal était nerveuse, au contraire de Corinne, Lydie et Christine qui semblaient totalement désinhibées, sans doute en partie à cause de l'alcool ingurgité pendant le repas. Elodie sortit à nouveau des apéritifs et des biscuits secs. Tout le monde se montait le bourrichon avant la grande orgie. Elodie et deux volleyeurs passèrent dans la chambre pour la "préparer" : repousser le sommier dans un coin et étendre deux matelas sur le sol.
- Allez, maintenant, tout le monde à poil ! décréta la locataire, qui montra l'exemple en se débarrassant de ses maigres effets. Les volleyeurs suivirent dans l'enthousiasme, certains exhibant déjà une trique conséquente. L'un d'eux, sans doute étudiant en économie, fit rire tout le monde en lâchant :
- C'est le moment d'investir !

Corinne avait déjà disparu dans la chambre en tenue d'Eve alors que Chantal en était encore à enlever ses chaussures :
- Alors, la petite dame, on hésite ? lui lança un grand échalas à la queue étonnamment longue et battant sur le haut des cuisses.
- Euh non, j'arrive mais laissez-moi un peu de temps, balbutia Chantal, déroutée par la rapidité du passage à l'acte des autres filles.
Déjà, les premiers cris de plaisir se faisaient entendre de la chambre. Le garçon l'aida à se débarrasser de sa blouse et l'entraina sur un canapé pendant qu'elle déboutonnait fébrilement son pantalon. Le gars avait visiblement jeté son dévolu sur elle. Elle le trouva séduisant avec son visage encore juvénile, son ventre musclé, ses cuisses nerveuses et bien sûr son pénis long et fin qui prenait la position verticale à mesure que ses vêtements touchaient le sol. Il tira sur le pantalon et elle apparut en slip et soutien-gorge. Pendant un instant, elle eut une brève pensée pour son mari et ses enfants. Mais qu'était-elle en train de faire, mon Dieu ! Et dire qu'elle avait affirmé être "open"... Puis elle se souvint que Jérôme l'avait odieusement trompée dans une circonstance comme celle-là et ce rappel la décida à s'enhardir. Sans trop se forcer, car ses hormones la travaillaient de plus en plus dans la torride atmosphère de l'appartement, elle se pencha et goba le membre de son chevalier servant. Ce contact buccal l'électrisa. Elle se mit à pomper avec frénésie pendant que le garçon dégrafait son soutien-gorge et faisait glisser son slip avec son aide. Elle était nue maintenant, sa vulve s'humidifiait à vue d'oeil, stimulée par la croissance considérable du pénis et quand le garçon la prit par la main pour la conduire dans la chambre, elle n'opposa aucune résistance.

Le spectacle était prodigieusement bestial. Quatre couples étaient emmêlés sur les matelas dans d'invraisemblables positions si bien qu'on ne savait pas toujours qui copulait avec qui. Corinne Martin était prise par derrière tout en suçant, Lydie "Michaud" chevauchait, Christine "Smith" se faisait écarteler et Elodie Michon tête-bêchait,les unes et les autres changeant de partenaire au gré de leurs appétits dans une ambiance où les "aaahhh" se mêlaient aux "oooohh". Chantal se laissa pousser sur les matelas, bousculant au passage Corinne et Lydie tandis que son partenaire, dûment capoté, se glissait entre ses cuisses ouvertes. Alors, elle se laissa forer. Son partenaire allait très loin en elle et il n'était plus question de tergiverser et de biaiser. Bien au contraire, elle se rendit compte qu'elle baisait. Sans sentiments, rien que pour le sexe et c'était la première fois de sa vie. Et ça ne lui déplaisait pas. Elle ressentait une grande liberté, comme si son corps s'était détaché de son esprit et vivait en totale autonomie. Elle lui renvoya la balle avec une telle ardeur qu'un autre garçon, tout aussi désirable avec un magnifique damier, lui tendit sa queue avant de la prendre en levrette. Puis un autre suivit, et un autre encore. A sa grande surprise, Chantal s'aperçut qu'elle était devenue la cible privilégiée de l'orgie. A l'évidence, les jeunes hommes désiraient fortement la belle femme mûre aux formes épanouies qu'ils caressaient ou pétrissaient avec volupté.

A un moment, Chantal se retrouva sur le matelas joue contre joue avec Corinne qui balbutiait de manière incompréhensible, tout entière à son plaisir, fouaillée par un grand échalas à la phénoménale vitalité, aux coups de boutoir rapides et sonores. Telle était d'ailleurs la marque de fabrique de ces sportifs musculeux et dépourvus de graisse : leur capacité à honorer les cinq femmes sans débander. Pas étonnant qu'on ne comptât plus les orgasmes féminins sur les matelas. Prise en sandwich par deux volleyeurs, Elodie couvrit de ses décibels la pâmoison des autres femmes alors que Chantal observait une pause pour se repaitre du spectacle. Elle n'avait jamais participé à une partouze et n'y reviendrait sans doute jamais mais au moins, que celle-ci reste gravée dans sa mémoire. L'infidélité de Durand aurait toujours servi à ça. A quatre pattes, elle regarda, un rien médusée, la prestation de Lydie la secrétaire médicale et Christine l'institutrice, deux filles qu'elle croyait sages et qui se révèlaient de grandioses et prometteuses cochonnes, sautant sur le moindre volleyeur en érection, feulant comme des lionnes : "on dirait qu'elles n'ont pas baisé depuis six mois" se dit Chantal, qui se posa des questions sur la virilité des joueurs de rugby. A ce moment, elle ressentit un chatouillis entre ses fesses que deux mains venaient d'écarter. C'était une langue qui titillait son anus. Jamais on ne lui avait fait ça. Le garçon lui murmura à l'oreille :
- Tu veux que je te prenne par là ?
Chantal opina, c'était le mot. Ce soir, elle acceptait tout, ou presque. Cet inconnu allait entrer là où jamais personne n'avait osé s'aventurer. La douleur fut d'abord vive, mais brève et le garçon s'y prit suffisamment bien, avec une bonne dose de gel, pour qu'elle ressentît assez vite une satisfaction érotique inédite. Juste devant elle, Corinne subissait d'ailleurs le même traitement avec un plaisir évident.
- Je me fais enculer... souffla-t-elle à son amie, radieuse.
- Moi aussi.
Et elles éclatèrent de rire, laissant leurs partenaires interdits, qui en manquèrent de débander.

Mais plus l'orgie avançait et plus une odeur sui generis envahissait la petite pièce. Certains volleyeurs avaient éjaculé et leurs capotes trainaient par terre dans un désordre douteux tandis que les femmes avaient imprégné les matelas de leur jus abondant. On se bousculait déjà à la seule douche de l'appartement. Pendant ce temps, à plat ventre sur le matelas et face à face, Chantal et Corinne devisaient à voix basse, un peu alanguies, la peau par endroits marquées par le sperme qui avait giclé un peu partout et attendant leur tour d'aller se nettoyer dans la salle de bains.
- Pfff, je suis vannée, ils m'ont tuée ces mecs, c'est plus de mon âge ces trucs là, murmura Chantal.
- Tu regrettes ? répliqua Corinne
- Non, pas du tout. Nos mecs nous ont pris pour des blondes mais les blondes ont eu leur revanche.
- D'accord avec toi. Mais honnêtement, ce truc, je ne l'aurais pas fait si tu n'avais pas été là, comme Lydie et Christine, ça m'a motivée, j'ai juste l'impression d'une fiesta un peu poussée alors que si j'avais trompé mon mari avec un type, je culpabiliserais davantage.
- Pas faux. J'en arriverais presque à comprendre pourquoi nos mecs se sont laissé entrainer. Mais bon, match nul, balle au centre et maintenant , il faut rentrer au bercail. J'espère que ça va bien se passer. J'avoue que j'appréhende un peu. On doit sentir le mâle, non ?
- Ah ça tu peux le dire, j'ai du jus de mec partout sur moi. Mais on va se savonner et se parfumer, Elodie doit bien avoir ça.
- Au fait, tu as joui ?
- Oui, plusieurs fois et c'est bien ça le pire. Dans le feu de l'action, je n'étais plus vraiment moi-même.
- Pareille. Tiens, tu veux que je te dise ? Je suis encore en feu et il n'en faudrait pas beaucoup pour que ça reparte. Bon, allez, il faut se calmer, on va à la douche...
***************************************************************
Le retour au bercail se passa comme sur des roulettes, malgré l'heure tardive. Les quatre filles avaient mis au point un plan avec Elodie, comme quoi elles étaient allées finir la soirée chez elle pour "discuter" (tu parles !) et qu'elles n'avaient pas vu l'heure passer. Les mâles avaient tout gobé sans discutailler. Corinne et Lydie avaient même eu droit à une séance de jambes en l'air supplémentaire à leur retour au lit conjugal, ce dont elles se seraient bien passées, mais bon...
Malheureusement, Elodie ne put s'empêcher de bavasser une fois de plus, cette fois dans l'oreille d'Alexandra Morin, du service des écoles, laquelle, ne pouvant pas blairer Chantal Martin, rapporta l'info à Coralie Raymond, du service com', dont le mari se trouvait être le soigneur de l'équipe de rugby. On ne sait trop quelle interprétation en fit le coupeur de citrons mais toujours est-il que les rugbymen furent dûment informés de l'écart de certaines épouses (certaines, attention, pas toutes) auprès de ces tapettes de volleyeurs. Une expédition punitive fut organisée par Martin, Durand, Smith, Michaud renforcés par Fernandez et Raymond au restaurant des as du filet. Combat inégal qui se traduisit par quatre hospitalisations au service des petits blessés côté volleyeurs, dont deux gars qui n'avaient même pas baisé le soir fatal, et la mise en garde à vue de cinq des six délinquants occasionnels, Raymond ayant réussi à s'échapper par la porte de derrière au moment où les flics déboulaient à l'appel du restaurateur. Heureusement, la presse fut discrète sur l'incident grâce à l'intervention décisive de M. Charles, le président du club de rugby conjointement avec celle de Mme Brunet, la présidente du club de volley (une ancienne joueuse qui n'avait pas été farouche dans sa jeunesse). En vérité, la presse était parfaitement au courant du fond de l'affaire mais préféra l'occulter, de peur de nuire à la saison des rugbymen, bien partis pour monter en division supérieure. Les cinq énervés s'en tirèrent avec une lourde amende comprenant la réparation des dégâts du restaurant, ce qui amputa fortement leur budget vacances et donc pénalisa aussi leurs épouses, comme quoi il y avait malgré tout une morale. Précisons cependant que les couples se sont tous rabibochés, la double partouze ayant été rangée tout au fond des cerveaux comme dans un grenier où on ne va jamais. La seule traduction concrète est la mise en ménage de Jacky Fernandez et de Martine Gomez, la capitaine des volleyeuses car tous deux se sont beaucoup plu au cours de la première des deux orgiaques soirées. Mais aussi, dans un certain sens, un heureux événement annoncé aux foyers Michaud et Smith dans la courant de l'année. A l'Etat-civil, Elodie se tient prête à coucher les noms de deux nouveaux citoyens.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
J'aime ces histoires joyeuses qui giclent avec bonheur et exhubérance sportive
E l'enavans di fort
Jpj

Bravo, l'amie

Toujours une aussi belle plume. Merci pour vos récits si bien écrits.



Texte coquin : Vengeances féminines
Histoire sexe : Une rose rouge
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