L'Odyssée de la Belle Hélène (épisode 12) -

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : L'Odyssée de la Belle Hélène (épisode 12) - Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-01-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'Odyssée de la Belle Hélène (épisode 12) -
L'Odyssée de La Belle Hélène : Le Temple d'Apollon Epikourios (3/3) –

… Poussée en avant, Clytia fit un effort pour ne pas chuter sur le sol rocheux de l'immense caverne où d'incroyables machineries mêlaient cordes, bois et acier à la chair des femelles dont la mise en jouissance permanente constituait l'offrande Au Dieu Apollon. Le vaste espace bruissait de gémissements, de râles, de cris mêlant indissolublement souffrances et jouissances ! Rien n'avait jamais autant terrorisé l'esclave au crâne rasé, que la perspective de se retrouver définitivement harnachée sur l'une de ces machines perverses et de subir éternellement les assauts ininterrompus de ces sexes d'acier et de bois poli par des milliers d'allées et venues entre les cuisses impudiquement écartelées des esclaves femelles attachées, au fil des ans. Toutes ces jeunes femmes, offertes vierges au Temple et immédiatement livrées aux mains de ces prêtres encapuchonnés qui en faisaient les jouets de ces vicieuses machineries. C’était pour ces esclaves offertes en sacrifice sexuel, le prix à payer de l’Immortalité, la jouissance éternelle ! Mais était-ce un lourd tribut ou mille plaisirs jouissifs, à vivre pour ces femmes qui visiblement prenaient d’inestimables orgasmes qui se succédaient à l’infini…

Clytia tremblait tandis que les prêtres la promenaient de machine en machine. Ils ne disaient rien, la menaient devant l'une de ces terribles constructions aux rouages parfaitement huilés. Clytia était alors contrainte de contempler ces humbles créatures, le regard éperdu, les lèvres tremblantes, maintenues dans les positions les plus avilissantes. Ce n'était que reins cambrés, croupes offertes, cuisses largement ouvertes, seins frémissants... Les machines étaient dotées de plusieurs pénis de bois et d'acier d'une taille démesurée, ils pouvaient tous être orientés afin de pénétrer l'un ou l'autre des orifices offerts, voire tous les orifices en même temps et ils allaient et venaient alors, sur un rythme diaboliquement régulier, emplissant ces sexes et ces culs offerts, ces bouches dégoulinantes. Les femmes ainsi livrées Au Dieu Apollon y gagnaient l'Eternelle jeunesse, car une fois offertes en sacrifice, elles ne vieillissaient plus, les jouissances multiples qui leur étaient imposées agissant sur elles comme un élixir de jouvence permanent et les sustentaient tout autant qu’elles empêchaient le vieillissement. Mais si elles s'en réjouissaient au début, elles comprenaient bien vite que c'était en effet la plus terrible et perverse des malédictions ou bénédictions : Plus besoin de dormir, de se nourrir, plus de craintes de mourir mais juste jouir, uniquement jouir à tout jamais. Devant chaque machine, Clytia devait regarder chaque détail de la machinerie, contempler les corps maintenus, contraints, frémissants en permanence car, sous les assauts incessants, le moindre souffle sur la peau devenait insoutenable. Il leur fallait pourtant subir maintes et maintes pénétrations, rendant leurs chairs si sensibles ! Les prêtres forçaient l'esclave à contempler les Divines Perversions imposées à ses semblables...

Lorsque Clytia croisait leurs regards, elle y devinait un subtil mélange, la détresse d'être à jamais devenues des machines à orgasmes, mais aussi le plaisir qu'elles éprouvaient à être ainsi livrées aux plus extrêmes jouissances ! Parfois, la saisissant au cou, un prêtre forçait Clytia à embrasser l'une de ces femelles, voire à plonger son visage entre leurs cuisses, pour lécher leur sexe ou faire aller et venir sa langue entre leurs fesses... Les machines étant mues par des mécanismes perpétuels, il n'y avait nul repos pour les victimes qui d’ailleurs par magie Divine ne ressentaient jamais la fatigue et elles sentaient à peine la langue pourtant experte de l'esclave. Mais les prêtres n'en avaient cure ! Ils entraînèrent Clytia à l'écart, la forçant à se tenir à quatre pattes, puis ils se dévêtirent. Sans leurs lourds manteaux encapuchonnés, ils étaient effrayants. Dénués de visage (ou plutôt un visage horrible) à l'exception d'une bouche sans dents mais d'où sortait une langue jaune, longue et pointue... Deux orbites rondes, vides et sombres à la place des yeux. A ne pas douter qu’ils avaient eu, jadis, les yeux brûlés par la Lumière Divine, et que Celle-ci leur permettait de voir désormais. Pas de nez, celui-ci était juste remplacés par deux minuscules trous placés sous les orbites et faisaient guise de fosses nasales. Dénudés, ils exhibaient des corps d'une pâleur de cadavres, aux veines phosphorescente et saillantes de couleur jaune, couleur de la Lumière Divine, comme si Celle-ci coulait dans leurs veines. Dénués de la moindre pilosité, mais chacun avec une verge raide, énorme, lumineuse d’un jaune divin, toute dressée et semblant être dure comme l'acier. Nus, il était impossible de les différencier. Ils étaient cinq qui entouraient Clytia, les autres s'étant dispersés à travers la grande salle afin d'aller tourmenter l'une ou l'autre des jeunes femmes livrées aux infernales machines.

Clytia fut soulevée du sol par des mains aussi froides que la neige... Comme si, la Lumière phosphorescente qui circulait dans leurs veines était, pour eux, de la lumière froide. Deux prêtres la maintenaient écartelée, tenant avec une effrayante fermeté ses poignets et ses chevilles tandis que les trois autres se penchaient sur elle, l'un d'eux poussant sa verge illuminée de l’intérieur et démesurée en elle, un autre tirant sa tête en arrière pour enfoncer sa verge jaune et glaciale entre ses lèvres, tandis que le troisième s'amusait de ses tétons. Leurs mains glaciales tétanisaient Clytia... Même si les énormes sexes allaient et venaient en elle, elle ne ressentait quasiment rien, comme anesthésiée. Durant des heures, elle fut ainsi besognée, saillie par les prêtres, les uns après les autres, sans que l'un d'eux jouisse... Clytia ne comprenait pas ce qui se passait. Leurs verges phosphorescente, éclairées de la Lumière Divine jaune étaient dures, tendues, énormes et la pénétraient sans ménagement, investissant tour à tour ou parfois en même temps chacun de ses orifices mais elle ne ressentait aucune douleur, aucun plaisir... rien ! Un froid terrible avait envahi son corps au contact de ces effrayantes créatures. Elle se cabrait en vain, maintenue avec force comme par des serres d'acier... Jusqu'au moment où, enfin, l'un d'eux gicla en elle, dans un gémissement sans fin, et d’un sperme abondant également de couleur de la lumière jaune ! Les autres alors firent de même et Clytia eut la sensation d'être totalement remplie par leur épaisse et abondante semence de couleur divine…

Ils la relâchèrent et elle chuta sur le sol sans ressentir la douleur du choc contre le sol rocheux, paralysée. Immobile, le corps en croix, elle sentait la semence jaune qui se répandait en elle, non comme un simple fluide, mais comme une créature multiple qui l'investissait et prenait possession d'elle, de son corps tout entier. Elle ne pouvait pas bouger, même pas un doigt, et éprouvait la sensation avilissante de n'être qu'un réceptacle que l'on remplissait comme une vulgaire outre. Mais ce qui avait été injecté en elle, par son sexe, son cul, sa bouche semblait Divinement vivant. C'était comme si un froid serpent avait investi chaque parcelle intérieure de son corps et qui circulait tout en elle. C'était effrayant, mais fascinant, car en prenant ainsi possession d'elle, la semence insufflait en Clytia une étrange sensation de plénitude. Si elle était restée totalement insensible aux pénétrations glaciales des prêtres, la semence jaune commençait à agir, à faire son effet, à réveiller tout son être. Tout doucement, son corps endormi jusque-là se réveillait par ce bien-être qui envahissait désormais son corps. Elle ressentait d'étranges picotements tandis que leur semence illuminée, phosphorescente se frayait un passage partout au plus profond de son anatomie. C'était comme si soudain, un flot de ‘’sang jaune’’ nouveau se répandait en elle, rendant plus sensible le moindre nerf... Comme si elle se régénérait entièrement de l’Energie Divine. Oui la plénitude était totale, jamais elle n’avait ressenti autant de bien-être en elle…

Au bout de longues minutes de bien-être total, elle se mit d'abord à trembler doucement, puis son corps commença à se tendre, à être animé de brefs sursauts... qui devinrent plus durables et de plus en plus forts. Clytia ne contrôlait plus son corps qui s'agitait malgré elle, elle convulsait frénétiquement et ressentait comme une fulgurante brûlure de plaisirs entre ses cuisses et dans son ventre. Comme si tout ce qu'elle avait subi auparavant et qui avait été anesthésié par le froid et se réveillait brusquement. Le plus puissant orgasme de sa vie et que la belle esclave spartiate ait jamais ressenti était en train de se répandre partout dans son corps, d'investir son enveloppe charnelle et de noyer son esprit. C’était sans aucun doute un puissant orgasme à … retardement !!! Mais quel orgasme ! Elle n'était plus qu'une poupée de chair en fusion, s'agitant sans contrôle sur le sol de la caverne, ouvrant la bouche dans un grand cri silencieux, elle se tordait de mille plaisirs incroyables et si jouissifs, à même le sol, Cette orgasme Divin ne s’arrêtait pas, ininterrompu, lui procurait mille décharges électriques qui se succédaient à une vitesse folle ! Jamais elle n’avait joui de la sorte, jamais ! Un flot de Cyprine coulait le long de ses cuisses ! Sa mouille était phosphorescente d’un jaune lumineux et divin… Puis son cri silencieux se transforma en de salvateurs hurlements jouissifs si bons pour elle et qu’elle ne pouvait contrôler, elle jouissait encore et encore. A la voir ainsi jouir si puissamment, on aurait cru qu’elle était en train de s’électrocuter de plaisirs ! Mais ces convulsions, ses spasmes puissants n’étaient surtout pas de douleur mais uniquement constitués de mille sensations sublimement orgasmiques… Et tout cela se passait au milieu du concert frénétique des râles et gémissements femelles sacrifiées sur les autels mécaniques de la Divinité d'Apollon...

Apollon, sous la forme fulgurante d'une créature de Lumière aux multiples attributs, ne cessait de posséder Hélène... La Belle était toujours en lévitation au coeur du Temple, environnée de lumières scintillantes qui formaient comme des tentacules aux bouts phalliques tout autour d'elle et en elle... Avec toujours dans sa tête La Voix Du Dieu son Epoux, Hélène était livrée à une extase également ininterrompue. Elle jouissait, et jouissait encore, prise de convulsions qui lui montraient à quel point son corps ne lui appartenait plus. Elle n'était plus qu’un jouet manipulé d'Apollon qui allait et venait en elle, la pénétrait, la possédait et la pliait à Sa Divine Volonté. Jamais lorsqu'elle n'était qu’êta l'esclave amnésique, Hélène ne s'était sentir aussi dépouillée de tout ! Son corps était un objet, le joujou Du Dieu. Elle n'était qu'une poupée de chair emportée par un maelström de sensations et d'orgasmes multiples. Elle parvenait à gémir, mais elle était privée de la parole. Il ne lui était pas permis de s'exprimer, de discuter, seulement de laisser échapper les humiliants borborygmes qui prouvaient que son corps était sensible à tout ce qui lui était imposé. Hélène qui avait pensé détenir désormais les clefs de son destin était ainsi ramenée à son humaine réalité par Le Dieu son Epoux. En étant ainsi utilisée comme un simple objet, réduite au rang de jouet des plaisirs d'Apollon, Celui-Ci lui rappelait que ses actes dépendaient toujours de Lui et de Lui Seul. Qu’Il l’avait manipulé depuis longtemps et que toutes ses aventures vécues n’avaient été dictées que par Lui. Certes, elle avait le pouvoir d'imposer Sa volonté aux humains subjugués par son incomparable beauté, mais elle demeurait seulement une humaine, une femelle que L'Olympe pouvait à tout instant réduire à cet état d'impuissance, rabaisser à son état d'humaine, inférieure et dépendante…

Apollon prenait possession de Son épouse, cette humaine à l'ineffable beauté... Il lui imposait Sa Volonté, Sa Puissance, Sa Divine Virilité en n'épargnant aucune partie de son corps. Il l'investissait avec force, comme une troupe furieuse investit la citadelle qui lui a trop longtemps résisté. Comme les Grecs avaient investi Troie, saccagé la Cité et pris possession physiquement des femmes et des hommes avant de les réduire en esclavage… Tandis qu’Apollon la prenait par tous ses orifices en même temps, ce sont ces images qui envahissaient l'esprit d'Hélène, images imposées par Apollon qui prenait plaisir à torturer son esprit ainsi Celle qui avait précipité la chute et la destruction de l'orgueilleuse Cité. Lorsqu'elle avait voulu mettre fin à ses jours en sautant dans le vide, Hélène avait voulu échapper à ces images. L'amnésie imposée à êta lui avait épargné la cruelle punition de ces souvenirs. Mais Apollon ne se contentait pas de la posséder, Il imposait Son Pouvoir au plus profond d'elle. Il la pliait, la brisait … pour mieux la reconstruire ! Hélène tentait de résister, si son corps était vaincu, son esprit osait encore se redresser. Mais Apollon ne l'entendait pas ainsi ! Il voulait la voir ramper... totalement asservie à Son Epoux et Dieu ! Ce n'est qu'humiliée jusqu'au plus profond d'elle-même qu'il daignerait la relâcher. Ainsi, l'éblouissante Lumière Divine d'Apollon poursuivit inlassablement sa possession de La Belle Hélène. Des heures durant, elle demeura ainsi suspendue au-dessus de l'autel, environnée et pénétrée de cette Lumière qui glissait en elle, parcourait ses veines, entrait dans ses chairs. Et la belle blonde était agitée des violents spasmes, des orgasmes incessants, puissants et à l’instar de Clytia avec les prêtres, elle n’avait jamais autant joui de la sorte ! Jamais joui aussi fort. Le Divin Apollon lui avait procuré des incomparables orgasmes que jamais, de sa vie terrestre, elle n’avait ressenti aussi intensément au plus profond d’elle-même… Et cela dura également des heures et des heures ininterrompues de jouissances extrêmes…

Jusqu'à ce que, enfin, elle supplie... Elle supplia Apollon, avec humilité, servilité... elle implora Le Dieu de mettre fin à ce jouissif supplice. Alors que ses chairs les plus intimes tremblaient encore et encore d'excitation, ses lèvres murmurèrent un seul mot... ‘’pitié !’’ … La Lumière alors baissa d'intensité et, lentement, redéposa Hélène sur la pierre sobre de l'autel unique. Elle était épuisée, brisée, son corps tremblant encore de façon incontrôlée. Ses cuisses poisseuses de l'abondante mouille qui s'était écoulée d'elle... Hélène avait compris où était désormais sa place... Dominante certes envers ses soeurs et frères humains, mais définitivement et éternellement soumise Aux Pouvoirs de ceux qui, depuis L'Olympe présidaient au destin des viles créatures terrestres dont elle faisait partie. Aussi divine que put apparaître sa beauté aux yeux des hommes, elle devrait toujours montrer humilité et obéissance à Apollon qui l'avait faite et qui la manipulait comme bon Il lui semblait... Riche de cet enseignement, Hélène se laissa doucement descendre au pied de l'autel, puis, nue, courbée, ressentant de toute son âme son humaine fragilité, elle se mit à genoux face à l’autel sacré, baissa la tête, puis se positionna en levrette pour ensuite se prosterner les bras en avant quasiment plaqués au sol en signe de soumission totale au Dieu quand la Lumière reprit un puissant éclat Divin d’un jaune pur. C’est dans cette position de prosternation que La Voix Divine lui raisonna dans son esprit, avec simplement ces quelques mots laconiques :

- Désormais, tu sais ou est ta place… Maintenant, va !

Elle embrassa le sol avec humilité, puis se leva et c’est tête baissée qu’elle se dirigea vers une immense statue de son Dieu. Elle se mit à genoux puis embrassa le pied de la statue géante d’Apollon. Puis elle sortit du Temple toujours en baissant la tête. Sur le trajet, elle vit le corps du prêtre qui l'avait amenée, consumé sur le sol. Elle ne s'attarda pas et gagna la sortie, rampant presque... épuisée, vidée... Elle s'arrêta sur les marches du Temple et fondit en larmes, consciente de sa vulnérabilité et de sa faiblesse de n’être qu’une humaine. Il faisait grand jour encore, comme si le temps s'était arrêté. Elle sanglotait encore quand elle aperçut une forme qui rampait sur l’allée centrale où tout gardes avaient disparus. Elle reconnut Clytia, nue, le corps marqué des traces de flagellations qui venait à quatre pattes vers elle. Hélène, vacillante, tenta cependant de se redresser un peu et lorsque son esclave au crâne rasé enfin parvint à elle, Hélène se sentit au-dessus d'elle. Elle la saisit entre ses bras et l'enlaça, caressant sa nuque pour la consoler comme on le fait d'un chien effrayé. Se blottissant contre sa Maîtresse, Clytia sanglotait en silence se sentant protégée. Alors Hélène l'attira tout contre elle et referma ses mains sur les seins lourds de l'esclave, dont les tétons portaient encore la trace rouge de la morsure des pinces qui lui avaient été imposées. Hélène massa doucement les deux formes fermes et douces, en faisant lentement descendre une main sur le ventre de l'esclave qui s'apaisait et s'abandonnait. Il faisait doux, un silence serein régnait sur le plateau où s'élevait le Temple. Deux femmes nues, aux corps splendides s'enlaçaient, l'une au crâne rasé, l'autre arborant une abondante chevelure aux reflets d'or. Puis Hélène dirigea doucement la tête de Clytia entre ses cuisses, tout en se laissant lentement glisser en arrière, pour s'allonger sur les marches de pierre. Hélène regardait le ciel, Clytia avec tendresse et vénération léchait sa vulve humide... Pendant que l’esclave lui prodiguait ce doux léchage La Belle Hélène aperçu, dans le ciel bleu, un unique nuage qui vira au jaune phosphorescent et qui prit la forme de la statue d’Apollon… Hélène compris alors qu’elle était et sera toujours observée, scrutée, manipulée, pour toujours, par son Divin Apollon…

Bientôt elles allaient reprendre leur périple...

(A suivre...)

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