J'aime les pêcheurs (la suite)

- Par l'auteur HDS Mirlaine -
Récit érotique écrit par Mirlaine [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : J'aime les pêcheurs (la suite) Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-12-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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(8.0 / 10)

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J'aime les pêcheurs (la suite)
J’aime les pêcheurs, suite.

Je me réveillai en cette fin d’octobre. Il était six heures du matin mais j’étais prêt à affronter une belle journée pleine de surprise et de sexe.

Petit déjeuner, douche, lavement et j’étais fin prêt pour me rendre à ma séance de pêche (ou plutôt de sexe).

J’avais décidé de mettre un string rose et un gilet angora rose assorti très féminin. De plus comme il faisait frais j’avais mis des jambières en laine rose que j’avais remontées comme des bas. Elles me tenaient bien chaud!

J’arrivai, comme la veille à 8 heures. Je me garai et allai rejoindre l’accueil pour payer le propriétaire.
Je savais pertinemment que j’aurai dû me rendre directement près de l’étang mais je voulais l’exciter un peu.

J’entrai et une sonnette tinta. J’attendais et Marcel le proprio apparut.

- Bonjour, je voudrais une place pour la journée.
- Tu n’est pas en retard ce matin. C’est bien. Tu me paieras quand tu partiras. On se connait bien maintenant.

Je ne sais pas s’il me connaissait bien mais effectivement il m’avait bien enculé la veille.

- Tu veux un café, Bruno ?
- Oui ce n’est pas de refus.
Marcel revint avec la cafetière et deux tasses et nous servit.

La pièce était chaude et la cheminée dispensait une chaleur qui me devenait insupportable.
Marcel s’en rendit compte et me dit que je pouvais me mettre à l’aise.

- Enlèves ton coupe vent, tu vas prendre froid quand tu vas sortir.
Il avait raison et je dézippai mon imper de pêche.

J’étais désormais devant lui, assis à table pour boire le café.
Marcel remarqua tout de suite mon gilet angora rose orné de boutons perlés.

J’attendais sa réaction.
Il ne dit rien mais pris sa tasse et but une gorgée de café. J’en fis de même.
Son café avait davantage le goût d’eau et de jus de chaussette mais se laissait boire.

Il se leva avec sa tasse et vint s’asseoir sur le banc à mes côtés.

- Tu as fait un très bon choix avec ce pull Chéri. Si tu l’as mis pour me plaire tu as gagné!

Il s’approcha de moi et me roula une pelle. Sa grosse langue allait et venait dans ma bouche.
Elle avait un goût de cendrier froid et de café mais il savait rouler une pelle. Il me caressait les tétons et me déboutonnai mon gilet.

- Tu me fais bander petite pute. Viens gober ma grosse queue, je sens que tu en meures d’envie.
Il enleva son pantalon et son slip et son sexe dressé vint se poser sur mes lèvres.
Je l’aspirai avec envie et décalottai son gland pour pouvoir encore mieux le sucer.

La journée s’annonçait bien!

Il me baisait la bouche tout en me traitant de tous les noms d’oiseaux.
Je léchai ses grosses couilles et lui introduit un doigt dans le cul.
Il sursauta mais banda encore davantage. Il était prêt à jouir et moi à accueillir tout son sperme.

Je poursuivit ma fellation, bien décidé à le faire jouir.

Soudainement il se retira et m’ordonna d’enlever mon pantalon.
J’otai mes bottes, mon pantalon et mes chaussettes. Je n’avais désormais que mon gilet, mon string, et mes bas de laine roses. Pas vraiment la tenue d’un pêcheur!

- Eh bien, ma salope, tu as vraiment décidé de m’exciter aujourd’hui. Je vais te défoncer. Tu m’excites trop.

Il me demanda de m’allonger sur la table sur le dos. Il me fit lever les jambes au maximum et posa son engin sur ma rosette. Il cracha sur mon anus puis y entra sans ménagement.
Sa queue était épaisse mais n’eut aucun mal à me pénétrer.

Il me traitait toujours de salope et y allait franchement. Je crus défaillir un moment.
Comment ce salop de 60 ans pouvait il tenir un tel rythme!

Il s’acharnait entre mes reins et il y a bien longtemps que le plaisir avait pris place à la douleur.
Je me faisais mettre comme une pute et j’aimais ça.

- Vas-y, baises moi fort, défonce moi le cul Marcel. Je suis à toi!

Ces mots crus eurent pour effet qu’il me baise encore plus vite et plus fort.
Son corps poussa et je sentis sa queue au plus profond de moi. Il me jouit dans le rectum. Je pouvais sentir son sperme envahir mon anus et j’étais bien.
Il ne semblait pas s’arrêter et me remplissait de sperme.

Finalement il retira son bel engin de mon anus et me le présenta à sucer.

Je ne me fis pas prier et avalai toutes les gouttes de sperme qui restaient sur son membre encore dur.

- J’ai déjà baisé de sacrées putes mais je dois te dire que tu es la meilleure! Et la journée n’est pas finie.
Il se rajusta et m’embrassa.

Nous avons terminé notre café. Cette séance de baise insolite n’avait duré qu’une demi heure mais elle m’avait mis en forme et la journée ne pouvait que mieux commencer.

Il était près de neuf heures et je me décidai à aller pêcher. J’avais le cul bien ouvert et prêt pour de nombreux assauts.

Alors que j’allais me rhabiller Marcel me prit par le bras et m’ordonna de ne garder que mon gilet, mon string, mes bas de laine et mes bottes.

- J’ai réservé l’étang pour toi et César aujourd’hui. Et pour moi aussi. Nous ne serons pas dérangés, je te l’assure. Bonne pêche! me dit il en souriant tout en me donnant un baiser et en caressant mes fesses.

Je pris toutes mes affaires et me dirigeai vers ma place de la veille.
Tout était calme.
J’étais bien. Je me trouvais très désirable ainsi vêtu et j’avais envie de bites.

Je préparai mon matériel pour la pêche et mis mes lignes à l’eau. Marcel arriva quelques minutes plus tard pour ajouter à l’étang de belles truites et saumons de fontaine de très belle taille.

- Puisque tu aimes les grosses prises je pense que tu seras satisfait! Bisous.
Il se plaça derrière moi et me claqua les fesses puis m’embrassa à nouveau.
-Bonne pêche Chéri.

Je lui rendis son baiser puis il tourna les talons.

Je n’avais pas pour habitude de pêcher quasiment à poil mais cela m’excitait.
Vers 9H30 César n’était toujours pas là.
J’étais un peu déçu. J’aurai bien aimé le sucer mais il avait sans doute autre chose à faire.

Le soleil faisait son apparition et il commençait à faire une bonne température.
Puisque Marcel m’avait dit que l’étang était réservé pour nous je me décidai à enlever mon string. Etant naturiste j’aimais bien sentir le vent sur ma queue. Et l’endroit si insolite ne faisait que redoubler mon désir.

Je pris quelques poissons, dont certains de plus d’un kilo, et continuai à pêcher.

J’étais concentré sur mes cannes à pêche, prêt à déceler le moindre mouvement du scion, lorsque une voix me ramena sur terre.

- Salut Bruno, tu vas bien aujourd’hui?
Je me retournai et aperçut César qui venait d’arriver.
Je le saluai en souriant.
Il vint se placer juste à côté de moi.

- Alors ça mord?
- Oui je n’ai pas à me plaindre. C’est plutôt une bonne journée.
- C’est ce que Marcel m’a dit ! Tu es splendide aujourd’hui. Tu pêches à poil?
- Non pas vraiment mais Marcel m’a demandé de mettre le minimum de vêtements
et comme il faisait chaud j’ai décidé d’enlever mon string rose.
- Avec ton gilet et tes bas en laine, tu me fais bien bander Chéri. Je sens que l’on va passer une excellente journée.

Il me donna un fougueux baiser comme si j’étais sa femme et parti installer son matériel.

Les touches étaient plus rares et je décidai de m’allonger sur l’herbe.

César pêchait et faisait mine de ne pas faire attention à moi. Sans doute était il épuisé de la veille.

Je me caressai et fini par me branler activement mais je ne voulais pas jouir.
J’étais là, à regarder mes flotteurs, et à me masturber.

Vers midi César s’allongea près de moi. Il ne disait mot.
Mais sa main se dirigea vers mon sexe et il commença à me branler.

Depuis mon arrivée, où je m’étais fait copieusement enculer, j’avais vraiment envie de jouir.
Je lui fis comprendre que je voulais qu’il me suce. Il ne se fit pas prier. Sa langue savait y faire, et explorai toutes les parties de mon pénis.

Elle était si bonne que je ne tardai pas à jouir. César avala toute ma semence et semblait satisfait.
C’était si bon d’être ainsi en pleine nature avec une personne qui partage les mêmes goûts.

Il était temps de déjeuner.
Comme la veille nous avions allumé un barbecue et préparé notre poisson.

C’est alors que Marcel arriva pour déjeuner avec nous. Il avait apporté une bouteille de vin, du fromage, et du pain bien frais.

Le repas était presque prêt et nous allions nous mettre à table lorsque César nous dit qu’il n’avait pas jouit ce matin et qu’il avait envie d’un bon cul de salope avant de manger. Je sentis que ça allait être ma fête!

Il me prit par les hanches, déboutonna mon gilet, me caressa les fesses et me mit sa queue dans l’anus sans ménagement.
Mmmm j’adorais ça, il me pilonnait comme une chienne en chaleur et était très excité. Marcel n’était pas en reste et m’avait mis sa queue dans la bouche.
Ils me traitaient de salope et de dépravée et me baisaient avec avidité.
Ils jouirent en même temps. Mon cul était ouvert. Marcel n’avait pas débandé et il se posta derrière moi.
Il n’eut pas de mal à me pénétrer. Sa queue épaisse était trop bonne!
Il jouit une seconde fois puis m’embrassa.

Je n’en pouvais plus mais j’en voulais encore.

- Décidément tu es une sacrée chienne! me dirent- ils.

J’étais fier de les avoir fait jouir.

Nous primes place à table et avons déjeuné tranquillement.
De temps en temps mes deux compères se faisaient sucer et me traitaient de pute pour mon plus grand plaisir.

A la fin du repas Marcel s’absenta. Nous n’étions plus que César et moi.
César bandait encore et me fit signe de le sucer, ce dont je ne me fis pas prier.
Je lui demandai si je pouvais le prendre.
Je ne savais pas comment il allait réagir et s’il serait d’accord.
Il baissa son pantalon et sortit un tube de gel. Il s’en enduit copieusement la rosette et me fit signe qu’il était prêt.
Je lui ouvrai bien les fesses et mon gland se posa sur son cul. Il faisait lui même des va et vient et son anus s’ouvrait lentement. Au moment où il était prêt je poussai un grand coup et mes couilles vinrent heurter ses fesses.
Je le défonçai et il ne cessait de gémir et d’y aller encore plus fort.
Il serra son anus ce qui eu pour effet de me faire décharger au plus profond de lui.
Il jouit en même temps que moi.

- On peut dire que tu es aussi une sacrée salope César! Tu aimes la queue.
- Oui j’ai toujours aimé ça. Tu m’as bien baisé.
Il se retourna, me prit dans ses bras et me roula un patin pour me remercier.

Marcel revint une heure plus tard accompagné de trois hommes. Ils étaient tous les trois âgés, légèrement bedonnant, mais d’une allure joviale.

Pour ma part j’étais toujours vêtu uniquement de mon gilet angora rose et des mes bas en laine de même couleur.

Je les saluai. Ils n’étaient pas forcément très beaux mais j’avais encore envie de queues.

En revanche ils étaient entreprenants. Ils se présentèrent et me roulèrent une pelle tout en me caressant.
Je sentais leur sexe gonflé au travers de leur pantalon.

Marcel avait apporté de la « goutte » et me faisait boire le plus possible.
J’étais un peu éméché je dois avouer. C’est alors que tout se passa très vite.

Je voyais un peu des étoiles et mes cinq compères étaient totalement nus autour de moi.
Leurs mains me caressaient, leurs bouches m’embrassaient et leurs sexes étaient tendus comme des arcs.
Ils me prirent chacun leur tour. J’avais à chaque fois une queue dans la bouche, une dans la main et une dans le cul.
Je ne savais plus où j’étais.

Mais pourtant c’était si bon. Sentir tous ces corps d’hommes matures me prendre chacun leur tour me plaisait énormément. J’étais leur proie consentante.
Ils me défonçaient et se faisaient plaisir et jouirent tous les cinq dans mon anus et dans ma bouche.

Ils me traitaient de salope, de pute, de trou à bite. Ils m’humiliaient et j’aimais ça.
Certains, plus endurants, me prirent à plusieurs reprises et jouirent maintes fois.
J’en voulais encore plus! Ils m’avaient défoncé la rosette mais je n’étais pas encore satisfait.
C’est alors qu’un autre homme fit son apparition.

Je sus par la suite que Marcel l’avait appelé.

Il était plutôt maigre mais musclé.
Il sortit sa bite de son pantalon. Jamais je n’avais vu une telle bite pour un tel gabarit.
Il me demanda de le sucer puis rapidement se posta sur mon postérieur pour m’enculer.

Sa queue était énorme mais j’en avait envie.
Il la planta d’un coup brutal dans mon cul. La douleur fut si forte que je crus m’évanouir.
Puis ses mouvements furent plus doux et mon anus s’habitua à son énorme membre.
Il me besogna pendant une vingtaine de minutes . Puis je le sentis jouir dans mon cul.

Mmm c’était si bon! Jamais je ne m’étais senti aussi chienne qu’à ce moment.
Mais là j’étais rassasié!

Plein de sperme coulait de mon anus et ma bouche avait un goût acre.
Je décidai qu’il fallait que j’arrête pour aujourd’hui.

Je leur expliquai et leur dit que j’allais retourner pêcher quelques heures.

Ils n’y voyaient pas d’inconvénient et me laissèrent tranquille.

Finalement j’avais trouvé une bonne bande de copains!

Pendant que je me reposais auprès de l’étang et surveillai mes cannes je pus constater que mes compères avaient bien d’autres idées en tête.

Ils étaient tous à poil et continuaient de se faire prendre chacun leur tour sans rechigner.
C’était une véritable orgie en plein air.

Visiblement ils se connaissaient bien et rien ne pouvait les arrêter.

Au bout d’un moment César reprit place à mes côtés pour pêcher. Les autres s’étaient calmés et se faisaient bronzer au soleil.

- Ce sont de vraies machines, ils n’arrêtent pas de bander, me dit il.
- Tu t’es bien fait baiser alors?
- Oui, en fait on adore baiser et se faire baiser, c’est pour ça que l’on est amis.
Et comme aujourd’hui l’étang est à nous on en profite.

J’allais continuer la discussion lorsque l’une de mes cannes se courba pour m’indiquer une touche.
Je me levai, laissai partir un peu de fil, puis décidai de ferrer le poisson.
C’était une belle pièce et je n’arrivai pas à le sortir de l’eau. Il sautait et se débattait mais ne voulait pas se laisser maitriser.
Arrivé près de la berge, alors que j’étais certain de l’avoir suffisamment épuisé il donna un gros coup de queue et cassa la ligne.

J’étais dégoûté.
Je me dis qu’il était temps de rentrer chez moi.

Je rangeai mes affaires et allai voir Marcel qui dormait à moitié.
Je lui tapai sur l’épaule et lui demandai combien je lui devais pour cette journée de pêche.

- Tu ne me dois rien Chéri. Tu as bien travaillé. Tu veux vraiment partir tout de suite?
- Oui ça ne mords plus.
- Ca te dirait de faire partie de notre cercle d’amis?
- Oui bien évidemment, vous êtes tous très sympas et respectueux.
- J’en ai parlé avec mes collègues et ils sont tous d’accord pour t’accepter parmi nous.
Ainsi tu pourras venir pêcher gratuitement quand tu le voudras. Il faudra juste que tu t’occupes de nous quand l’un de nous sera présent. Ca te convient?
- Oui pas de souci.
- Alors suces moi un peu avant que tu ne partes stp.

Je pris son sexe dans ma main puis dans ma bouche. J’aimais vraiment sa grosse bite. Tous les autres étaient sympas mais Marcel était mon préféré. Il savait y faire et bandait bien.
Il me défonçait la gorge puis me demanda de m’empaler sur sa queue face à lui.

Sa bite entra sans difficulté et il ferma les yeux. Il ne bougeait plus mais les mouvements de mon bassin le faisait entrer plus profondément à chaque fois. Les collègues s’étaient réveillés et nous regardaient baiser. Ils se suçaient et s’enculaient chacun leur tour.

Marcel, lui, conservait une bonne cadence et me baisait fortement. Il me fit mettre à quatre pattes.
Il avait envie de me prendre en levrette. Il releva mon gilet et m’enfila d’un coup sec.
Mon dieu, que sa queue était bonne!

Je sentais ses couilles claquer sur mes fesses et j’étais soumis.
C’était un pro de la sodomie. Malgré son sexe énorme il ne me faisait pas mal.

Il me jouit dans l’anus pendant deux bonnes minutes puis me tapa sur les fesses.

- Merci Chéri, tu es une bonne pute. Nous t’intégrons désormais dans notre club.
Tu as largement passé le test. Saches maintenant que si tu souhaites te faire prendre ou bien prendre le cul d’un collègue tu le pourras sans souci. Tu es des nôtres.

Je le remerciai. Je pris mes affaires et ne décidai même pas de me rhabiller pour rentrer chez moi.

Quelle journée! Je m’étais fait de nouveaux amis, et nous partagions tous la même vision de la vie.
Je dis au revoir à tous mes collègues. Chacun prit le soin de me caresser et de m’embrasser. Leur langue me faisait encore bander. Mais je savais qu’il était temps que je rentre chez moi.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
j'ai adore ton histoire humm ces males endurants !!!!!

Histoire Erotique
Il est ou ce lac que j'y aille aussi ?



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