Petit défi entre amis

- Par l'auteur HDS AmantDesSens -
Auteur homme.
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Récit libertin : Petit défi entre amis Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-01-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Petit défi entre amis
Je savais que tu attendais à l’arrêt du tram, que peut-être tu t’étais avancée… Bien entendu, comme à chaque fois, les bouchons sont là… Encore une fois, le destin vient nous jouer des tours. Mais il est hors de question cette fois qu’il ait encore le dernier mot.

Finalement, je vois l’arrêt. Au profit d’un nième ralentissement, je scrute les alentours pour t’y chercher. Point de Nathalie. J’avance avec prudence, craignant de te rater. J’arrive devant le restaurant donc je t’ai parlé et avec soulagement, je te vois attendre sur le parking.

Rapidement, je me faufile dans la circulation et je m’engouffre dans l’allée. Tu m’aperçois et ton visage s’illumine d’un léger sourire.

Nous n’avons pas beaucoup de temps malheureusement, et la circulation m’a déjà coûté de précieuses minutes avec toi.

Nous entrons tous deux dans le restaurant et demandons une table, de préférence un peu à l’écart.

Passés les échanges de formalités, j’entre dans le vif du sujet.

- Je t’avais promis une surprise n’est-ce pas ?

Tu me regardes d’un sourire à la fois confus et curieux.

- Oui, d’ailleurs… que m’as-tu réservé ?

Je sors alors de la poche intérieure de ma veste une enveloppe que je glisse sur la table à ton attention. Curieuse, tu la prends et la décachette.

Tu commences alors la lecture des deux pages qu’elle contient. Dès les premières lignes, tu comprends le contenu. Et oui, il s’agit bien d’un texte que j’ai l’habitude d’écrire et de te confier. Tu lis avec assiduité. Je vois tes yeux parcourir les lignes. En tournant la première page, tu ne peux pas t’empêcher de jeter un coup d’oeil vers moi qui t’observe. Ton regard pétille, mais sans rien dire, tu continues la lecture. De mon côté, je reste stoïque, picorant quelques amuse-bouches dans le bol entre nous.

Tu replis les pages et les remets dans l’enveloppe. Sans un mot, tes yeux restent fixés sur la table, la tête appuyée dans sur ta main.

- Ouf ! Consens-tu à dire. Je reconnais bien ta plume !

- Je te remercie. Dois-je comprendre que le texte te plait ?

- S’il me plait ? Bien sûr !

- J’aurais pu te demander qu’on se retrouve dans un lieu isolé, prétexter un repas sur le pouce, et profiter de notre promiscuité pour te voler un baiser, goûter ta bouche… J’aurais pu vouloir m’assurer que ma présence et mes attentions aient déclenchées en toi quelques “émotions”... J’aurais alors glissé la main sur l’intérieur de ta cuisse, puis, innocemment, mes doigts se seraient égarés sur l’avant de ta petite culotte… Et si j’avais détecté quelques humidités, je pense que j’aurais poussé l’investigation plus loin. Mes doigts se seraient frayés un chemin sous la fine dentelle, puis auraient glissés sur tes lèvres lisses et pulpeuses… Je ne doute pas qu’ils se seraient enduis rapidement de ton nectar… Liquide ô combien doux et invitant à “approfondir” la quête…. Je n’aurais eu de cesse d’explorer profondément ton intimité pour m’en assurer… Il se peut hélas qu’il y ait des effets collatéraux et que ma curiosité déclenche en toi quelques “réaction”... D’avance, je m’en serais excusé…. Peut-être alors que tu aurais voulu me rendre la monnaie de ma pièce… Que tu aurais souhaité aussi vérifier les effets du plaisir que j’ai d’être avec toi… que ta main …
- Arrête, me dis-tu alors
- Oui, tu as raison… Au lieu, j’ai préféré te confier ce texte pour te faire plaisir.

- Ca pour me faire plaisir, crois-moi, il le fait !

- Ah bon ? dis-je sur un ton faussement étonné
- Mais oui… tu comprends.

- Heu, … comprendre, oui. Mais tu sais, je préfèrerais m’en assurer.

- T’en assurer ? Si te demander d’arrêter de me raconter ce que tu ferais ne te suffit pas …
- Prouve-le moi alors !

- Te le prouver ? Là ? Mais comment ?

Je m’approche alors de toi pour te parler presque à l’oreille :
- Prétexte d’aller aux toilettes pour te repoudrer. Et laisse-moi une “preuve”
Tu t’écartes, à la fois surprise voire choquée. Nos regards se soutiennent. Puis, sans crier gare, tu te lèves. Je te vois t’éloigner.

Quelques minutes après, tu me rejoins, le regard brillant :
- Sous les serviettes…
Je me lève pour également aller aux toilettes. D’un oeil, j’observe si on me regarde. Je prête l’oreille à la porte des toilettes femme : pas un bruit. Je pousse la porte et je vois un petit panier sur le lavabo contenant des serviettes pour s’essuyer. Je plonge la main et retire du fond une petite culotte. Je la mets immédiatement dans ma poche et je sors.

Dans ma poche, mes doigts explorent le tissu. J’ai effectivement ma preuve….

Je te rejoins à table où tu attends ma réaction.

- Effectivement, le texte semble t’avoir fait de l’effet.

- Pas que…
- Ah bon ?

- Toi aussi, me réponds-tu avec un large sourire
Je suis flatté de cette confession.

- Et si nous commandions ?

Le repas se passe, discutant de nous, de chacun. Mais je garde à l’esprit que je détiens quelque chose de toi… quelque chose qui te fait en plus désormais défaut… Même si nous n’y faisons pas allusion, nous “savons”.

Le repas se termine. Je règle la note tandis que tu m’attends à la porte. Sur le parking, je t’interroge :
- Il faut que je te la rende tout de même...

- C’est clair. Je ne peux tout de même pas rentrer ainsi !

- Oui, mais tu ne vas pas la remettre dans la rue ? Suis-moi !

Nous nous dirigeons vers ma voiture. Tu t’assieds à l’avant, tandis que je te rejoins côté conducteur.

Tu me tends la main pour me demander la culotte.

- Enfin, tu n’y penses pas ! Tu as pris la peine de l’enlever pour moi. Laisse-moi prendre celle de te la remettre.

Tu es surprise de ma réponse.

Je m’approche alors de toi, certes, contraint par l’agencement du véhicule. Ma main se pose sur ton genou. Malicieusement, elle descend jusqu’à ta cheville, en prenant un malin plaisir à bien caresser l’intérieur. Je la saisis et m’astreint à lever ton pied pour y glisser la première partie de ta délicieuse petite culotte. Penché sur tes jambes, la tentation est grande d’apposer sur leur haut quelques baisers… Je n’y résiste pas. Je te sens te crisper au contact de mes lèvres. Ta main se pose sur mon dos puis ma nuque. Je ne perds pas mon objectif. Je saisis l’autre cheville et laisse passer le deuxième pied. Je me redresse doucement pour guider ce qui fut l’objet du flagrant délit… Mais arrivé à mi-parcours, je me heurte à ta jupe et au siège. Elle ne pourrait aller plus loin qu’au prix de contortionnements fort peu élégants. Tu m’interroges du regard pour savoir que faire.

Je passe la main le long de tes cuisses, sous cette jupe contraignante. Elle remonte doucement, grâce un peu à ton aide. S’expose à moi en partie, la nudité de ton intimité.

Mes mains courent entre tes cuisses, se régalent de leur douceur. Je remonte dans le pli de leur aine. J’avoue prendre un malin plaisir à tourner autour de cette fente rosée… Mais l’inévitable m’attends… J’effleure le haut de tes lèvres. Je suis le sillon, visiblement gorgé de plaisir. Un léger suintement vient mouiller mes doigts. Il m’invite à les en enduire. Mon index glisse naturellement entre. Gorgées de plaisir, elles sont; débordantes d’envie, je les découvre.

Je fais des va-et-vient sur toute la longueur. Toi, tu te plaques au siège, m’offrant encore plus tes lèvres. Enfin, au gré d’un passage, mon doigt entre en toi...Happé par cet orifice, je décide de l’explorer. D’abord les contours, puis son intérieur… profond, chaud et humide.

Tu poses par réflexe la main sur ma cuisse. Tu la serres… Elle remonte jusqu’à mon entre-jambe… Tu sens très bien que je te désire… Mais ce n’est pas l’objet de mes attentions. Bientôt un deuxième doigt entre en toi… Tu t’ouvres à mon appétit digital…. J’oeuvre entre tes cuisses… de plus en plus vite…. Tu te cambres sous mon indécence… Je t’observe un instant… Nos regards se croisent et ta main vient saisir ma nuque pour me rapprocher de ton visage. Ta bouche me dévore alors que tes cuisses se referment sur ma main besogneuse… Tu t’abandonnes… tu expires un grand coup… tu reprends tes esprits. Ton étreinte se relâche et ma main se retire.

Alors que je reprends ma place sur mon siège, ta main revient sur ma cuisse. C’est elle qui est maintenant curieuse, appâtée par la bosse qu’elle a perçu tout à l’heure. Tu caresses mon pantalon… Je comprends où tu veux en venir… J’avoue me laisser séduire et apprécier tes caresses… Mais lorsque ta main commence à aller plus loin, je la reprends doucement…
- Aurais-tu quelques idées derrières la tête ? t’interroges-je malicieusement.

- Peut-être… tu veux bien que je te montre ?

Je ne réponds pas et tu prends ce silence pour accord.

Tu reprends ton massage sensuel, plus affirmé. Désormais, tu peux dessiner parfaitement les formes que mon pantalon dissimule. De ma main, j’accompagne tes intentions : je défais la boucle de ma ceinture. De ton côté, tu saisis le bout de la fermeture zip pour l’ouvrir. Aussitôt, ta main plonge pour découvrir de plus près ce que tu avais deviné. L’épaisseur de tissu est moindre, et tes doigts enserrent fidèlement mon membre. Pourtant, un obstacle demeure… Après quelques caresses, tu te décides à le découvrir. Ta main chaude remonte sur mon bas ventre et se glisse sous l’élastique de mon boxer. Si je ressens tout d’abord un soulagement en sentant l’étreinte moins forte, elle est de courte durée : ta main se substitue avec bonheur et vient enserrer délicatement mon membre tendu. Tu le saisis à la base et tu commences des va-et-vient. J’observe ton application. Ta tête posée sur mon torse, tu suis la réaction de mon gland rouge de désir. Ta main est douce et ton geste, sûr. Je me laisse aller au plaisir de tes caresses, à imaginer plus. Je me penche un peu vers toi et te susurre à l’oreille :
- Fais-en ce que tu veux ….

- Tu sais ce que je veux en faire ?

- Montre-moi …
Ton visage s’approche de mon sexe, l’occultant à mes yeux. Je ne vois plus ce que tu fais, mais je le sens très vite. Le bout de mon sexe sent la délicatesse de ta langue qui s’y pose. Puis, tu en dessines le tour. Enfin, tes lèvres viennent le gober tout en douceur. Je me serais attendu à ce que tu en prennes toute la longueur. Au lieu, tu te contentes de garder mon gland entre tes lèvres. Je sens ta langue le parcourir, tes lèvres le savourer. Ta tête fait d’imperceptibles mouvements que seul mon sexe ressent.

Soudain, au bout de la rue, un couple surgit. Je les observe alors qu’ils se décident à s’avancer vers nous. Je suis partagé entre t’interrompre ou savourer le plaisir que tu me donnes.

- Attention, quelqu’un arrive !

Tu ne dis rien. Tu ne réagis pas. Spontanément, les yeux fixés vers la route, je fais mine d’être perdu dans mes songes tandis que le couple longe la voiture. Nous ont-ils vu ? La situation est à la fois terriblement excitante et gênante. Toi, tu continues à t’occuper de moi avec la même rigueur. Est-ce la scène, ton agilité ou les deux, mais je sens à chaque passage de tes lèvres mon plaisir monter.fellation1
- Attends, je sens que …
Remarque à mon avis inutile, car je me doute que tu as du le sentir. Mon sexe se tend encore plus… Je me mords les lèvres alors que je me sens exploser dans ta bouche pulpeuse. Mon sexe témoigne de mon plaisir en déversant plusieurs flots que tu sembles apprécier sans un mot. Tu enfonces mon sexe un peu plus dans ta bouche. Je reste tétanisé, à la fois par le plaisir que tu me procures et par la présence de ce couple qui commence à s’éloigner. Méthodiquement, tes lèvres continuent avec douceur à garder cette étreinte suave. Enfin, tu consens à abandonner l’objet de ta convoitise. Tu redresses le visage et regarde autour : le couple est rentré dans la voiture garée derrière nous. Dans le rétroviseur, je les observe en train de s’embrasser. J’en souris en te décrivant la scène. Je réalise l'heure qu'il est. Je dois hélas y aller. Tu rajustes ta robe et je me rhabille. Tu ouvres la portière, non sans te retourner vers moi.

- La prochaine fois, c'est ensemble que nous jouirons, m'affirmes-tu
- Hé, tu oublies ta petite culotte
- Non, garde-la. Justement, la prochaine fois, tu auras ça de moi à enlever pour

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