La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 381)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 381) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-02-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 381)
L’arrivée de l'esclave e73700MDE au Château (suite de l’épisode précédent N°380) - Histoire écrite par un de mes soumis (pascal) –

La séance se termine là après que le Marquis m'ait dit ses mots qui résonneront toute ma vie dans ma tête : "Maintenant tu es soumis ! Mais pas un soumis banal ! Non, tu es en réalité beaucoup plus que ça ! Tu es désormais un soumis-esclave MDE, oui Mon esclave appartenant à Moi, Le Maître, à Monsieur le Marquis d’Evans ...". Le Noble Châtelain se ré-habille et me détache sans se presser. Il profite du moment pour me passer ses mains baladeuses sous mes couilles qu’il enserre, les pressent tout en flattant ma croupe…

- Remonte dans la voiture" m'intime-t-il alors !

Je suis encore tout abasourdi de cette sodomie qui vient de m'arriver. J'obéis aveuglément comme un automate, je suis saturé de jouissance et de fatigue et je me laisse aux ordres qui m'apaisent et me rassurent. La voiture roule doucement sur le chemin carrossé qui longe des immenses étangs où une multitude d’espèces d’oiseaux semblent s’y plaire. J'appréhende ce qui m'attend maintenant, mais je n'ai pas longtemps à attendre. L'homme tire sur ma laisse alors que je suis toujours nu, la bouche encore souillé par le goût de son sperme.

- Mets-toi à genoux sur le siège. Dès qu'on arrivera à notre destination, tu avanceras à genoux sur l'esplanade de graviers jusqu’à l'entrée et tu suivras celui qui te recevra. Tu feras alors tout ce qu'on te demandera et là tu vivras véritablement ce que tu es, en étant livré à des inconnus, mais tu devras toujours penser que tu m’appartiens seulement à Moi, au Maître, oui Moi, Monsieur le Marquis d’Evans et qu'en étant livré à ces inconnus tu obéis à un ordre du Maître et de plus cela permet à Ses amis d'assouvir leurs désirs et leurs fantasmes sur toi qui va leur servir de vide-couilles…

Mon angoisse revient alors et une peur m'enserre la gorge. La luxueuse voiture roule lentement le long des étangs dont l'eau lisse est d'un vert profond alors que le Mont du Chat se mire sur sa surface. Je suis encore nu à genoux sur le siège, j'ai un peu froid, je jette un regard discret à l'homme qui regarde la route sans s'occuper de moi. J'appréhende ce qui va se passer. Qu'est-ce qu'on va exiger de moi ? Serai-je à la hauteur et est-ce que je supporterai. Alors que je m'interroge sans fin, le véhicule s'insinue dans quelques virages en lacets et finalement freine devant l'entrée d'une somptueuse Demeure avec un crissement de pneus sur les gravillons qui stoppe la voiture. Le Marquis me dit sèchement:

- Sors de la voiture et mets-toi à genoux sur le gravier.

Je m’exécute sans discuter voyant que la porte s’est ouverte. Une fois sur les graviers, je me sens tiré par la laisse violemment par un homme en costume strict. J’entends le Maître lui dire :

- Ah, Walter, amène cette chienne en chaleur auprès de nos Invités…
- Bien Monsieur le Marquis… Aller, avance à quatre pattes soumise chienne….

Mes genoux sont douloureux et deviennent rouge sang. Cependant je sens une érection monter dans un mélange de honte, d'humiliation et de plaisir dans cette soumission forcée. Je suis à quatre pattes l'homme comme je peux, les genoux maintenant en sang et me faisant très mal. En arrivant sur de l'herbe la douleur s’estompe, mais l'humiliation reste et une rage monte en moi. J'aimerais me libérer, mais je romprais le charme du désir et c'est avec des sentiments contradictoires que j'escalade des larges escaliers en pierre froide et pénètre dans un couloir carrelé en damier noir et blanc.

Maintenant des Invités de plus en plus nombreux me dévisagent avec des sourires entendus et chuchotent ou disent tous des commentaires dont certains sont très crus du genre : "Regardez la chienne salope, elle va se faire saillir par ceux qui veulent d'elle". L'humiliation est à son comble, mais de façon ambigüe, le désir de soumission provoque en moi de l'excitation et je ne puis cacher mon érection. Je suis alors entrainé de couloir en couloir constitués de dalles puis de pierre dont je sens la froideur et la rugosité. Il n'y a maintenant personne dans ces corridors et nous descendons doucement avec précaution des escaliers en colimaçon toujours en pierre. Walter qui m'amène me dit alors d'une voix brutale de m’arrêter Je suis toujours à genoux, il se place derrière moi et m'enserre la taille et me maintient mon dos contre son corps avec ses deux mains. Walter soulève mes fesses qu’il écarte puis je l’entends défaire sa ceinture et sans aucun mot, approche le bout de son énorme tige dure en érection et toute chaude.

C'est alors qu'il s'enfonce brutalement dans mon anus et je subis une saillie comme une chienne. La verge s'enfonce sauvagement et me transperce de part en part. La douleur est fulgurante mais aussi si jouissive pour moi de me sentir possédé ainsi. Walter arrête de s'enfoncer et continue de me prendre avec une douceur inattendue puis se repaît de moi. Maintenant son ample mouvement de va et vient ne me fait plus mal et j'aime cet énorme sexe qui devient de plus en plus gros et finalement dans un grand râle répand sa semence au fond de mon ventre. L'homme se retire alors sans un mot et mon anus devient douloureux. Je me sens soumis et honteux de subir cet assaut et cette saillie comme un animal que son maître a fait saillir sans préambule.

Après cet intermède ayant conforté mon excitation bandante, nous continuons notre progression pour aboutir dans une grande salle qui ressemble à une grotte, je devine être dans la crypte du Château ou dans les sous-sols près des fameux cachots. J'ai des frissons et je ne sais pas si c'est de froid ou de peur. Je suis toujours sur les genoux qui me font très mal, ils ont été rapés par les gravillons et les pierres. Je repense au seul Maître à qui j’appartiens et qui doit savoir ce que je subis, qui est même ici avec Ses Invités et pour qui j'ai une pensée de respect et de fierté de pouvoir résister, même si je ne sais pas ce qui m'attend maintenant. Walter qui m'a amené prend mon visage avec ses mains et fixe un masque noir sur les yeux ainsi qu’un bâillon boule à la bouche. La boule force ma bouche et me gêne au début et le noir qui m'est imposé me fait un peu peur dans cet endroit froid et humide. Puis je n'entends plus aucun bruit et les minutes passent. Mon accompagnateur est-il parti ? Puis ce ne sont plus les minutes, mais un temps qui semble une éternité qui s'écoule avec une lenteur infinie. J'ai peur et froid, et que va-t-il m'arriver, vais-je être oublié ? ...

J'ai perdu la notion du temps, et je me suis peut-être assoupi lorsque je m'aperçois que je ne suis plus à genoux mais assis nu et bâillonné. Des bruits me ramènent à la réalité et je me redresse brusquement pour me remettre à genoux. Puis c'est le silence qui me fait dire que j'ai peut-être été oublié. Soudain, j'entends des pas et je sens des frôlements. Je suis regardé c'est sûr ! Un objet dur et froid tâte alors mon côté, puis mon sein et essaye de s'insérer dans mes fesses. Je les soulève un peu pour faciliter l'intrusion je sens une douleur fulgurante dans mon anus puis un ordre laconique claque :

- Lève-toi, intime celui qui semble être le Maître de cérémonie.

Des mains me palpent. Certaines me caressent, d'autre me donnent des claques violentes sur les fesses qui commencent à me brûler. Un doigt s'insère dans mon anus et le forcent, puis deux doigts, ils élargissent mon petit trou. Je sens alors une main entière écarter les chairs et ma douleur est telle que je me sens défaillir. La main a pris possession de mon bas-ventre et commence à aller et venir en me massant, c'est un fist anal en règle. Je ne savais que ça puisse être aussi douloureux alors que je reçois toujours des claques sur les fesses et aussi sur la joue. Je suis le jouet de ces inconnus dont je vois rien, sont-ils hommes, femmes? J'ai peur qu'ils me démantibulent...Le Maître des lieux, lequel je reconnais la voix, enfin me semble-t-il, ordonne de cesser et de m’enlever le bandeau et je découvre avec soulagement que c’est bien Lui, c’était bien sa voix, celle du Maître, cette fois, c’est bien lui, je ne doute plus, Celui qui m’a Lui-même accueilli dans la Rolls en personne et donc qui m’a fait l’honneur de venir me chercher sans son chauffeur. Monsieur le Marquis me regarde presque avec tendresse, je lui réponds par un regard d'acceptation et de confiance, ce dont il semble satisfait. Nous allons passer à un autre jeu dit-il…

Après m’avoir bondagé à des cordes et chaînes suspendues au plafond, je me retrouve dans une position acrobatique, suspendu par ces cordes à une petite poutre horizontale, moi-même encordé à celle-ci à un mètre de hauteur, mains liées derrière le dos, la tête en bas. Mon ventre est vers le haut, j'ai les cuisses largement écartées et offertes attaché ainsi, et je me sens impuissant, je redoute d'être livré à tous ces inconnus, hommes et femmes dont je vois maintenant les visages et qui me lancent des mots orduriers comme si j'étais jeté en pâture à eux. Certains sont nus, des femmes en tenue sexy et des hommes en costumes strict vont me faire des choses terribles, mais la présence du Maître me rassure.

- Allez dit-Il.

Comme l'a entendu Emmanuelle dans 'l'anti-vierge". Une femme élégante en robe de soirée s'approche de moi, palpe et caresse mon bas-ventre, mon sexe encore en érection, mes seins, mes fesses et enfonce brutalement deux doigts dans mon cul. J'ai honte de me montrer ainsi dans cette position, nu et offert à tout le monde, mais la flamme de la soumission m'excite et me pousse vers le désir de satisfaire Le Maître.

-Tu es à moi, pour le moment, Le Maître me donne carte blanche, dit-elle d'un air autoritaire.

Elle dégrafe prestement sa robe qui tombe à terre et son magnifique corps sculpté et ses seins ronds plantureux apparaissent alors. Elle est voluptueuse et ses mains qui enserrent ma taille sont chaudes et douces, je sens ses seins charnus et chauds contre mon torse. Elle me quitte quelques instants, juste pour se munir d'un gode-ceinture noir de taille gigantesque et revient se placer entre mes jambes écartées. Dans la position où je suis, sa taille et son ventre sont à hauteur de mon cul offert. Je redoute l'assaut, vu la monstruosité du mandrin et j'ai un mouvement de peur en me tordant sur moi-même dans un inutile mouvement de protection vu ma position d'esclave immobilisé.

- Inutile de résister chienne soumise, tu es à moi et je vais déchirer ton ventre et te posséder, dit-elle avec une assurance emplie d’autorité.

Je sens alors l'objet me pénétrer brutalement et me déchirer mon anus déjà soumis à rude épreuve. La boule-bâillon qui ne m'a pas été enlevée m'empêche d'émettre des sons et j'enrage de mon impuissance et de la douleur qui m'assaille. C'est comme si j'allais m'évanouir, mais je résiste et je sens l'énorme gland noir dur en ébène écarter mes entrailles et les pénétrer d'un mouvement brusque et violent. Il s'enfonce profondément et le mouvement reste en suspend un instant. "Elle" me regarde d'un air satisfait enserre toujours ma taille avec ses mains douces et entame un mouvement de va et vient qui m'arrache des cris sourds étouffés par le bâillon. "Elle" n'en n'a cure et poursuit son oeuvre de possession de mon corps. "Elle" s'arrête alors et je la vois appuyer, de la paume de ses mains, sur ses ‘’couilles’’ en plastique et incorporées à la base du gode-ceinture

Un liquide épais et chaud comme du sperme emplit alors mes entrailles.

- Tu vois dit-elle d'un air triomphant, je suis comme un mâle qui vient d'enculer sa petite femelle.

Jusque-là, tout le monde regardait cette femme Domina triomphante mais maintenant je sens un énorme sexe d'homme venu se placer dans ma bouche et un autre qui a pris la place de la femme dans mon anus. Ce sont deux noirs au sexe énorme qui prennent possession de moi sans ménagement. Leur jouissance arrive facilement et je sens leur sperme tiède et épais dans mon ventre et dans ma bouche. Les autre hommes et femmes se succèdent ensuite et je ne suis plus qu'un objet sexuel pour le plaisir de ces inconnus. Je subis tous les assauts et maintenant je ne sens plus la douleur. Mon corps nu suspendu à plus d'un mètre de haut est balloté, malmené, des verges et des godes pénètrent mon cul, ma bouche est forcée et reçoit le sperme de tous ces inconnus, mon visage et mon dos en sont inondés. Puis vient le moment où les derniers assauts cessent et on se désintéresse de moi. Même Le Maitre disparait momentanément comme je vais le découvrir...

(A suivre ...)

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Texte coquin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 381)
Histoire sexe : Une rose rouge
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