- Par l'auteur HDS Marlasinger -
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Récit libertin : Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-04-2007 dans la catégorie Dominants et dominés
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Couleur du fond :
"Le masochisme est une expérience mystique."
(André Pieyre de Mandiargues / 1909/ 1991 / La mort mithridatisée)


J’ouvre les yeux. Tu te caresses sur ton canapé, ému, émouvant. Ton plaisir s’entend, se sent. Tu te crois seul. Tu gémis de plus en plus fort. Ta main serre ton pénis de plus en plus fort. Tu ne le sais pas mais je t’observe. Je suis de l’autre côté de l’écran. Par moment j’ai l’impression que tu me regardes. Je le prends comme une invitation. Je viens. Je traverse l’écran. Nullement surpris, tu me vois et souris. Tu me dit « viens ! ». Mais je ne veux pas te déranger, juste te contempler dans ce moment. Tu insistes. Je m’approche. Mes mains parcours ta peau, ça t’électrise et augmente sensiblement tes sensations. Je t’aide à te caresser. Ma main s’arrête sur tes fesses. Ton cul réclame des douceurs, alors tu te lèves. Pendant que je te malaxes tes boules, mon autre main qui caressait gentiment tes fesses, commence à les presser de plus en plus fort. Une petite claque pour le vilain garçon. Tu aimes, cochon. Alors je le fais de plus en plus fort. Ton postérieur devient rouge. Je m’arrêtes.
Je me tourne face à toi et engloutie ton membre dur. Ma langue tourne autour de ton gland (j’aime ça…), je lèche de bas en haut ta verge très tendue, je repasse sous le gland, remonte et l’avale et l’aspire plusieurs fois de suite… Te voir ainsi m’excites. Alors je mets ma main sur ma vulve gonflée et l’essuie. Mes doigts sont pleins de me mouillure. Je la mets sur ta queue et continue de t’astiquer ainsi, en serrant très fort. Mes doigts glissent le long de cette fée pornographique. Je recommence à
t’avaler. Et mes talents felationnesques te font presque perdre la tête… tu perds l’équilibre. Tu me regardes, les yeux troublés, et surpris tu remarques mes belles moustaches à la Salvador Dali que je me suis dessinée ! Masculin/féminin, je deviens comme toi, un être hybride. Associant les plaisirs d’un genre et de l’autre.
Je te retourne, t’indique délicatement la marche à suivre… A genoux devant moi, je te demande de me caresser à ton tour ma petite chatte très humide. Je sens tes doigts glisser dans ma fente. Je te sens me fouiller, chercher mon mystère. Mon clito bande du plaisir que tu me fais ressentir. Je ressens les premières vibrations. Un 1er à-coup, puis un autre… humm… l’ivresse… Tu veux que je m’installe sur toi.. mais non.
Non ce que je veux maintenant c’est t’enfoncer le grand gode que j’ai rien que pour toi. Je veux te l’enfoncer très profondément. Un homme qui se fait pénétré, est un homme complet. Le pénétrant devient le pénétré, il comprend alors mieux le pénétré. J’ai mis un peu de lubrifiant, mais vraiment peu pour que tu ressentes mieux les sensations de se faire enfoncer un gros objet dans ton trou du cul. Au début un peu inquiet, tu ressens à fois de la douleur et une envie de découvrir. Tu es a 4 pattes devant moi, avec le gode enfoncer dans tes profondeurs. Je ne sais si je dois rire ou pleurer, tant l’image que tu donnes alors me trouble. Tu m’impressionnes et là, tu as l’air d’une petite chose. Le trouble est partagé, mais c’est le but. Bousculer pour que ça bascule. Et tu bascules… Tu commences à rejeter la honte, pour entrapercevoir le plaisir. Mes mouvements de va et vient s’accélère. Tu assumes ta position de dominé. Tu n’as jamais aimé autant ton trou du cul qu’en cet instant. Tu sens que tu deviens différent. Comme d’avoir compris ce que les autres hommes ne veulent pas savoir par bêtise.
Pourtant moi ça ne me suffit pas. Je te vois grotesque ainsi alors je cherche à t’humilier, te faire mal. D’abord par les mots. « Tu n’es qu’une petite chienne en chaleur, et tous les chiens du quartier pourraient avoir envie de te baiser tous en même temps ». J’attrape une aiguille. Elle parcours ton corps jusqu’à tes parties intimes. Tu angoisses à l’idée de ce que je pourrais en faire. Mais tu n’as rien à dire à ce moment, tu es bien trop vulnérable. Je suis l’adepte du Marquis de Sade, et comme toute
adepte, je te déconsidère petit à petit de ta qualité d’être humain semblable à moi même. Ton avis n’as plus d’importance. Seul compte mon plaisir à te voir pauvre chose misérable. Seule compte ma jouissance. Alors je fais pénétrer mon aguille sur tes cuisses d’abord. Des points rouges apparaissent. Ton angoisse se mêle à l’envie que je continue plus loin. Mais peu m’importe de toute façon. Je parcours ta queue et tes boules avec cette aiguilles. Mon gode est toujours là en toi. Je continue à te faire du bien et au moment le plus propice où tu vas jouir et cracher ton jus, j’enfonce l’aiguille dans ton gland… tu n’as jamais ressenti une telle douleur et un tel bonheur en même temps.

Tu ne sais plus quoi penser. Tu pleures, perdu. Comme une femelle. Et tu me susurres à l’oreille
« Merci, Maitresse, merci... »

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