La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 390)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 390) Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-02-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 390)
Suite de l'épisode N°384 - La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans –

Monsieur le Marquis d’Evans vient de laisser son cher ami d’enfance, Dominique, DomDominus de son nom de Dominant D/s, qui s’apprêtait à aller punir sa soumise « reka9 » parce qu’elle s’était masturbée sans autorisation et qui, prise en flagrant délit, avait même eu le toupet de se rebeller au lieu de faire profil bas en reconnaissant ses torts. Le Noble Châtelain se dirige vers un attroupement qui a visiblement attiré, par pur voyeurisme ou par simple curiosité, quelques Invités qu’IL n’identifie pas encore de loin, apercevant néanmoins, au milieu d’eux, deux de Ses esclaves-femelles dont il distingue les corps peints en doré qui brillent dans les éclairages tamisés du Grand Hall transformé en Donjon D/s pour la nuitée orgiaque. Désireux de savoir ce qu’il en est, le Châtelain s’approche et constate qu’au centre de ce groupe de personnes se trouve une soumise qui a été solidement attachée sur un fauteuil médical comme ceux que l’on trouve dans les cabinets des gynécologues, installé là pour l’occasion et mis à disposition des Dominants amateurs de jeux « médicaux ». Debout juste derrière se trouve Sir RightHand, un Dominant anglais de pure souche qui a fini par déserter les rues huppées de Londres dont les pavés sont si souvent mouillés par une pluie abondante pour venir profiter amplement du soleil que l’on trouve sur la French Riviera (Côte d’Azur). Le Dominant n’a pas hésité pour l’occasion festive à faire le voyage d’une traite à bord de sa Ferrari Rouge pour franchir les kilomètres qui séparent Cannes où il réside désormais toute l’année et le cœur du Beaujolais, où se situe le célèbre Château du Marquis Edouard d’Evans. Tandis que le Châtelain approche, le Dominant délaisse pour quelques instants la poitrine de sa soumise « FrenchPussy » sur laquelle il s’affaire et qu’il malaxe voluptueusement dans tous les sens depuis de longues minutes. Il se redresse pour accueillir à bras ouverts le Marquis. Et c’est avec son fort accent anglo-saxon qu’il s’exprime :

- Dear Marquis, Sir Evans, je suis trop content ici. Pardonnez my français car moi fais beaucoup progrès, mais pas encore très très good …

Parlant assez lentement, pour être assuré que son ami anglophone le comprenne assez bien, malgré une conversation qui ne s’annonce pas pour être des plus aisées, le Noble, tendant à son tour les bras en direction de son ami d’outre-manche pour une bonne accolade des plus amicales, lui répond.

- Très cher Sir RightHand, je suis moi aussi très content de vous savoir ici. Avez-vous fait bon voyage ? Je n’ai pas eu le temps de vous le demander lorsque je vous ai croisé sur le perron, accompagné de votre soumise.
- « pair on » ??? What is this ? je avoir une seule soumise pas une « paire » de soumise
- Désolé, Je voulais juste dire « lorsque je vous ai croisé à votre arrivée, à l’entrée, en haut des marches », c’est cela le « perron » d’un château.
- Ah sorry ! Je avoir pas compris … et FrenchPussy avec ball-gag car elle peut crier trop fort peut pas traduire pour moi. Elle donne beaucoup cours français à moi mais difficile être débutant et avoir toujours parlé anglais only since 45 ans.

Le Marquis d’Evans regarde avec délectation la soumise qui a été installée sur le fauteuil médical, les mains liées à l’arrière juste derrière le fauteuil ce qui l’oblige à rentrer le dos et bomber le torse, faisant ressortir sa poitrine attrayante avec deux seins en forme de poire, que surplombent deux auréoles gonflées et colorées et au centre deux tétons assez long, raides et proéminents. Les deux mamelles sont enserrées au centre d’un harnais de corps en cuir, formé de divers croisillons et losanges, dont deux qui entourent chaque sein. L’équipement continue jusque vers le pubis enserrant la soumise au niveau de la taille, puis du bassin, pour se terminer par deux fines lanières qui passent dans chaque pli de l’aine. Les deux pieds de FrenchPussy sont fixés sur les étriers qui sont écartés en position maximum, et même bien au-delà de la position naturelle du bassin, ou de la position dite médicale lorsqu’on ouvre les cuisses pour une auscultation gynécologique intime. Si bien que cet écartement extrêmement forcé, qui est imposé par la contrainte des attaches au niveau du torse et des liens sur les étriers formant un angle largement obtus, tire sur les tendons de l’entrecuisse et a fini par devenir assez douloureux avec le temps, pour celle qui n’est ni contorsionniste, ni danseuse assez souple pour savoir faire le grand écart dans tous les sens.

La soumise a de fait son sexe largement exposé aux yeux de tous et en particulier de deux esclaves-soumises MDE, N°6 et N°18, glissées entre les cuisses de la soumise écartelée. Les deux chiennes-femelles du cheptel sont munies l’une et l’autre d’une pince à épiler et s’activent à débarrasser toute la zone pubienne du moindre poil. Un petit « supplice » punitif qui ne semble pas plus que cela être apprécié de FrenchPussy qui est en larmes mais qui étant bâillonnée ne peut pas exprimer autrement son désagrément de la situation, sans parler de la douleur de l’écartement extrême qui lui est devenue difficile à supporter. A la gêne et honte se mélange cependant une forte excitation car elle sait qu’elle est sous le regard sévère du Maître auquel elle appartient et que sa punition est méritée, ce qui lui impose donc de devoir l’endurer en silence, pendant tout le temps que durera la sanction qu’il a choisi de lui infliger. Aux côtés du Dominant Londonien se trouve Master Gé et sa toute nouvelle soumise « Gémienne » qui est sagement agenouillée à ses côtés.

- Très cher Master Gé, permettez-moi aussi de vous dire combien je suis content de vous savoir parmi nous ce soir, et visiblement avec une toute nouvelle bestiole de compagnie. Nous n’avons pas eu la possibilité d’échanger par mail depuis fort longtemps, je suis tellement pris en ce moment avec mes affaires et aussi la gestion au quotidien de ce grand et Noble domaine familial auquel je tiens plus que tout, sans parler de Mon cheptel qui occupe le Maître consciencieux et soucieux que je me dois d’être vis-à-vis de ceux qui se sont mis à mon service et également sous ma protection. Je suis particulièrement ravi de savoir que vous avez pu reprendre une relation D/s active, car je sais à quel point cela vous permet de vivre vos pulsions de Dominant pleinement.
- Monsieur le Marquis d’Evans, c’est surtout moi qui suis content d’avoir la chance d’être à Vos côtés et d’avoir eu la possibilité d’emmener ma nouvelle petite chienne qui fait ce soir sa première sortie dans le monde BDSM. Je lui ai posé son collier d’appartenance, il y a maintenant deux mois et je dois avouer que je suis fière des premiers progrès de celle qui ignorait tout de la D/s mais qui était au fond d’elle bien plus soumise dans l’âme qu’elle-même l’imaginait et l’imagine encore, je dois dire. Je me suis approchée de Sir RightHand que j’avais eu déjà l’occasion de croiser dans une soirée en donjon privé sur la Côte aux alentours de Nice, et je lui ai proposé « main forte » pour l’épilation de sa FrenchPussy pour éviter que cela ne s’éternise pendant toute la nuit. En réalité, et plus précisément, j’ai mis à sa disposition la main experte de Votre esclave-soumise N°6 qui m’avait été octroyée lors du tirage au sort, tandis que nous conversons et confortons nos idées sur la D/s et nos exigences de Dominant, Sir RightHand m’expliquant combien il appréciait plus que tout, les chattes bien glabres et sans le moindre poil chez les femelles. Je crois savoir que Vous êtes, Vous-même, Monsieur le Marquis d’Evans un assez fervent amateur de l’épilation intégrale pour toutes vos esclaves.

Sir RightHand qui n’a pas tout compris de la conversation, mais qui a bien retenu le fait qu’il était question de « chatte » et de « poils » se penche sur sa FrenchPussy, lui retire le bâillon-boule et, dans un français toujours hasardeux, il lui intime l’ordre de s’expliquer

- « FrenchPussy », arrête pleurer maintenant ! Toi expliquer pourquoi punition ce soir ici … et bien expliquer Tooouuuut … Arrête pleurer même si mal, c’est toi faute ! It’s your fault, … I say !

La soumise qui est installée sur le fauteuil médical, les cuisses écartées en train de se faire épiler poil après poil, se met à rougir encore plus à l’idée de devoir s’expliquer longuement devant le Maître des Lieux dont elle connaît la renommée, le charisme, la justesse mais également la fermeté dans Ses exigences. D’autant plus, que cette situation humiliante dans laquelle elle va devoir avouer et expliquer sa faute, lui occasionne un profond trouble excitant dont elle ressent bien l’humidité qui doit se voir largement sur ses lèvres vaginales soyeuses qui ont du devenir brillantes car elles sont en permanence titillées tout comme son pubis par les deux pinces à épiler qui la dénudent peu à peu de toute trace de sa toison féminine naturelle. FrenchPussy ne pouvant réellement incliner et encore moins baisser la tête car elle est solidement attachée sur le fauteuil, avec les bras étirés vers l’arrière arrimés au niveau des pieds du fauteuil, a depuis le début fermé plus ou moins les paupières, en signe d’humilité d’une part, mais aussi pour laisser ses larmes sortir et tenter de calmer la douleur qui lui tiraille le bas ventre et l’entrecuisse écartelé. Elle se met à renifler ne sachant pas comment arrêter le flot qui coule de ses yeux, car elle est très sensible de la chatte et ressent intensément le moindre étirement de poils, d’autant plus attristée de la situation qu’elle est consciente qu’elle aurait très bien pu et surtout dû éviter ce qui est à l’origine de cette punition qui lui semble si désagréable même si son excitation compense par son côté agrable.

- Me… snif …. Me … snif …. Me… Monsieur le Marquis d’Evans, je Vous prie de pardonner la soumise fautive que je suis qui mérite amplement son sort et son châtiment. Pour me conformer aux ordres de Sir RightHand, je me dois de vous dire que ce dernier exige que je sois toujours parfaitement épilée au niveau des aisselles et du bas-ventre. Il m’impose d’ailleurs une séance en institut tous les 15 jours maximum. Je n’aime pas particulièrement devoir aller chez l’esthéticienne pour une épilation intégrale, car je trouve cela plus que gênant de devoir se mettre à nue devant une inconnue et surtout que cela reste très douloureux à supporter.

Avec une voix ferme et lourde, le Châtelain l’interrompt.

- Je suppose que désirant être une soumise obéissante, tu te plies cependant aux exigences du Dominant auquel tu appartiens, et que tu le fais en outre avec plaisir, dépassant la honte que tu pourrais ressentir d’un acte qui reste cependant très banal en institut, surtout de nos jours où les épilations intégrales sont de plus en plus à la mode, particulièrement appréciée dans notre milieu BDSM. Quant à la douleur, je pense qu’elle reste très relative, toutes les esclaves-femelles de Mon cheptel y passent et ne semblent pas se plaindre de ce qui reste un vrai soin de beauté qui met en valeur leur intimité en les débarrassant du superflu et en mettant à nu leurs lèvres rosées pulpeuses. J’exige aussi les mêmes « débroussaillages » de certains esclaves-mâles beaucoup trop velus à Mon goût surtout pour « celles » qui ne sont en somme que de belles lopettes qui n’ont nul besoin de montrer quelque virilité que ce soit pour servir de simples vide-couilles encagées.

Impressionnée par la prestance et l’assurance de ce Grand Maître qui ne mâche pas ses mots et ne fait pas dans la pruderie, la soumise rougit encore plus, sentant son bas-ventre qui se contracte comme pris par une ondée de plaisirs qui la déborde. De fait, elle s’arrête de pleurer instinctivement, ressentant toujours la douleur, mais presque heureuse de pouvoir offrir impudique sa chatte gonflée d’excitation aux mains expertes des deux esclaves-soumises N°6 et N°18 qui s’affairent sans s’arrêter, traquant le moindre poil brun qui oserait encore montrer sa queue.

- Monsieur le Marquis d’Evans, je reconnais humblement que j’ai très mal agi. Sir RightHand a dû s’absenter pour plus de 15 jours devant retourner en Angleterre pour régler certaines affaires personnelles. Je ne l’ai pas fait vraiment consciemment, enfin je le crois quand même, mais j’ai raté mon rendez-vous chez l’esthéticienne. Lorsque je m’en suis rendu compte, je me suis dit que finalement j’y retournerai juste avant le retour du Maître, que cela serait bien suffisant puisqu’il n’en verrait rien. Je n’étais pas mécontente malgré tout de voir que je m’étais au passage exonérée du coup d’une de ces séances bimensuelles que je n’apprécie guère. Sauf que le Maître a pu modifier son planning et qu’il est rentré bien plus tôt que prévu. Voulant me faire la surprise de son retour avancé, il est arrivé un soir à la maison alors que je ne l’attendais pas du tout.

FrenchPussy s’interrompt une seconde, puis sursaute comme si elle revivait dans sa tête le moment précis où Sir RightHand était arrivé sans bruit, se glissant derrière elle pour la surprendre en lui mettant les mains sur les yeux, la faisant bondir de peur autant que de plaisirs avec un « It’s Me » dans un accent très reconnaissable.

- Monsieur le Marquis d’Evans, je dois avouer devant vous et tous ceux ici présents que j’étais dans une tenue qui laissait franchement à désirer, je le reconnais sans détours, pas très coquette ce soir-là, du genre plutôt cocooning nonchalant, un vrai laisser-aller bien peu sexy: Je m’étais affalée dans le fauteuil devant la télé les pieds sur la table, essayant de passer le temps avec un sérieux coup de blues en solitaire. Sir RightHand très contrarié en me voyant dans ce vrai délabrement m’a attrapé par les cheveux que je n’avais pas coiffés depuis au moins trois jours et il m’a tiré jusque dans la douche m’obligeant à me dévêtir sous l’eau froide et à me laver avec un gant de crin de fond en comble. J’étais très excitée, malgré le fait que j’étais gênée de la situation sachant très bien que je n’aurais pas dû profiter de l’absence du Maître pour oublier tout ce qu’il m’enseigne, et le plaisir que j’ai maintenant à laisser ma féminité et ma sensualité s’exprimer lorsqu’il est là et que je suis à Ses pieds, car il a vraiment fait de moi une femme désirable tout autant qu’une soumise, m’aidant également à me sortir de la misère dans laquelle je sombrais avant qu’il me trouve et me prenne en mains.
- FrenchPussy ! Toi bien dire combien vilaine fille sale quand Maître absent …. Moi pas entendre et pas tout comprendre si toi parle français vite.
- Yes, I do, Sir ! Let me go on, please, Sir RightHand. ..... (La soumise reprend l’exposé des faits adressé au Maître des Lieux) …. Lorsque je suis sortie de la douche, Sir RightHand un peu plus calmé était visiblement excité car il s’est approché tout nu, la verge dressée et gonflée de désirs virils. Il a envoyé la main pour se glisser dans mon intimité et vérifier si je mouillais, enfin je pense que c’était son intention. Or, à son grand désespoir, il n’a pu que constater que je n’étais pas épilée de frais, la repousse ayant une taille bien plus importante que ce qu’il tolère entre deux séances. Il m’a fait m’agenouiller alors que j’étais encore trempée, grelottante, la peau avec la chair de poule, et il m’a baisé de la bouche sans ménagement et sans tendresse, m’interdisant de jouir, en me précisant qu’il était déçu et offensé de constater ma désobéissance et la vitesse avec laquelle j’avais laissé mes démons du passé à nouveau m’envahir. Il m’a depuis interdit l’accès de son lit, m’obligeant tous les soirs à dormir par terre sur la descente de lit, me disant qu’il me réservait une punition qui me servirait de leçon et qui vaudrait largement la séance en institut que j’avais sauté, en profitant de son absence. Je dois avouer qu’après cette épilation intégrale à la pince à épiler de ce soir, je vais trouver les séances en institut à la cire bien agréables et beaucoup moins longues et difficiles à supporter.
- En entendant ta confession, je pense que tu as pleinement conscience que tu n’es qu’une soumise fautive et coupable qui mérite d’être châtiée comme il se doit. J’ose également espérer qu’il est bien dans ton intention de prouver ta gratitude au Maître qui a daigné te faire prendre conscience de tes égarements et que tu auras à cœur de le remercier amplement pour la punition qu’il a eu la sagesse de t’imposer.
- Oui, Monsieur le Marquis d’Evans, je n’y manquerais pas. Soyez-en assuré, dit-elle plus excitée que jamais avec la chatte en feu ! …

(A suivre…)

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