La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 400)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 400) Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-03-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 400)
La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans – Suite de l'épisode précédent N°399 -

La soumise regarde avec stupeur, partagée entre le plaisir de pouvoir enfin lever les yeux et de découvrir une partie de la salle aménagée en Donjon D/s avec en particulier cette belle pièce de collection effectivement magnifique et symboliquement érotisée. Mais en même temps, elle est tétanisée par ce qu’elle aperçoit après ce qu’elle a entendu des propos échangés par les deux Dominants. La corne particulièrement dressée à la verticale de cette tête de licorne est d’une longueur inhumaine et elle imagine mal qu’elle pourrait trouver à se loger dans son anus et son rectum. Ses yeux s’humidifient de terreur à l’idée d’avoir cet appendice « cérébral » planté en son fondement comme un pieu. Malgré la confiance absolue qu’elle a envers MagisterDU, elle se met à douter et à s’affoler même, se demandant si l’excitation de cette soirée prestigieuse où les passions sont librement exacerbées dans ce contexte très D/s ne lui a pas fait un peu perdre la tête, et même s’il n’a pas abusé de l’alcool qui en excès enlève un peu trop certaines inhibitions. Elle n’ose pas cependant ouvrir la bouche pour faire part de ses craintes qu’elle estime fondées, intimidée en premier par la présence du Marquis Edouard d’Evans qui ne semble pas le moins du monde perturbé par l’idée d’une enculade qui lui serait fatale vu la longueur de l’engin phallique qui lui semble en outre pointu et dur comme du métal. La soumise dont plusieurs larmes coulent déjà sur sa joue, espérant un revirement de situation, regarde avec insistance celui entre les mains de qui elle s’est remise pour vivre ses plaisirs masochistes certes et ses pulsions de soumission, mais pour en jouir avant tout, avec la ferme intention d’y survivre et non pas de se laisser entraîner par la part d’ombre qu’ils cultivent ensemble. La réaction ne se fait pas attendre.

- Baisse les yeux, insolente chose ! Et puis, tu peux m’expliquer à quoi correspondent ces larmes que je vois couler sur tes joues. Je veux bien voir de grosses larmes de mouille serpenter sur tes cuisses, mais cela doit s’arrêter là. Quelques soient nos attirances et nos goûts noirs pervers, je n’en reste pas moins quelqu’un de censé et de prudent. Le fantasme est une chose, la réalité en est une autre, je sais manier la canne et les instruments D/s pour marquer sans blesser ton corps qui désire s’échauffer sous mes coups, mais ne me dis pas que tu as imaginé une seule seconde que j’allais t’embrocher sur ce pal au point de te perforer tripes et boyaux. Tu me déçois et tu me fais honte devant Monsieur le Marquis d’Evans qui est un Maître Dominant des plus Honorables, exigeant et ferme, mais très respectueux de tous Ses esclaves qui se sont mis sous Sa protection. Et quand à moi, sois honnête dans tes pensées, ai-je une seule fois porté atteinte à ta vie et t’es-tu senti vraiment en danger de mort entre mes mains ?

La soumise honteuse baisse la tête en se mettant à rougir, frissonnante et tremblante, constatant que la peur qui l’avait fait paniquer s’est dissipée et transformée aussi sec en une excitation qui maintenant lui dévore le bas-ventre, faisant se contracter et se relâcher son anus de manière presque inconsciente, avec un désir qui lui parcoure l’échine avant de se fondre entre ses lèvres intimes qui sont encore plus onctueuses, gonflées et soyeuses, tant elle mouille d’envie de se faire pénétrer et posséder par celui qu’elle sert et qu’elle Aime aussi profondément. Le Châtelain assiste sans rien dire à la mise au point qu’IL ne peut qu’approuver du Dominant MagisterDU. Pour ajouter à la réassurance, IL se permet de proposer néamoins.

- Souhaitez-vous, cher MagisterDU que j’appelle une esclave-femelle inoccupée pour vous faire la démonstration de cet engin original. Car bien évidemment, il y a un réglage qui permet de limiter la pénétration à ce qui est humainement possible. Il est certes possibles d’utiliser tous les orifices d’une femelle à des fins éjaculatoires ou masturbatoires avec des godes surdimensionnés, mais la nature a ses limites que même les soumises les plus obéissantes ne peuvent pas dépasser. Votre darkchose s’est fait peur bien inutilement, je ne suis pas un de ces bourreaux de l’inquisition qui ne ressemblaient en rien à ce que Nous sommes nous les Dominants du monde BDSM actuel, pratiquant une saine D/s SSC (saine, sauf, consensuel), même s’il plait à certains de parfois jouer à des jeux de rôles qui ne sont que des simulations plus ou moins mises en scène qui s’inspirent de ces anciennes pratiques qui n’avaient à l’époque rien de jouissives pour ceux et celles qui en étaient des victimes non consentantes.

MagisterDU se retourne vers sa chose qui est de plus en plus confuse et honteuse, tête basse, sachant très bien qu’elle a dû froisser le Dominant envers qui elle aurait dû avoir une confiance aveugle, d’autant plus qu’elle connaît les sentiments sincères d’Amour qu’ils éprouvent l’un pour l’autre, même s’ils le vivent pour l’instant dans un contexte particulier gothique et D/s mélangés, ce qui ne les empêche pas parfois de parler de leur avenir vanille et du temps où ils se sentiront prêt à fonder une famille, sachant tout ce que cela impliquera dans leur vie à trois ou plus qui ne pourra rester la même que celle qu’ils s’accordent encore de vivre en ce moment, laissant libre cours à tous leurs désirs, leurs fantasmes, et leurs ombres.

- Quel dommage, ma darkchose, de constater que Monsieur le Marquis d’Evans en soit venu à songer que tu n’as pas confiance en moi, et qui plus est qu’IL envisage d’appeler l’une de ses esclaves-femelles pour me faire la démonstration de son invention. Je n’ai plus qu’à remettre en Ses mains Son esclave N°22 MDE qui est encore entre mes cuisses, et tu prendras sa place sous ma redingote, ce qui te privera du spectacle et du plaisir par la même occasion.

La soumise s’agenouille aux pieds des deux Dominants et joint les mains devant elle tout en gardant la tête baissée. Elle n’ose pas parler avant d’y avoir été invitée. Monsieur le Marquis d’Evans, même s’IL comprend que la supplique lui est en partie adressée ne bouge pas, estimant qu’IL n’a pas à interférer dans la relation D/s entre MagisterDU et sa darkchose.

- Tu as quelque chose à dire, ma chose…. Je t’écoute.
- Maître MagisterDU, daignez écouter la supplique de votre si petite chose, qui se sent honteuse et repentante d’avoir manqué de confiance envers celui qui a toujours été pour elle un sage Dominant digne de confiance. Je viens implorer sans tarder votre pardon. Je sais qu’il ne m’appartient pas de demander quoique ce soit, mais permettez-moi, si cela vous agrée, de réparer mon erreur en acceptant moi-même de tester l’appareil, car je sais que ce soit entre vos mains ou celles du très réputé Monsieur le Marquis d’Evans, je n’ai rien à craindre d’autre que de jouir des plaisirs D/s que j’affectionne et de bénéficier de tout ce que vous m’imposerez, sachant que vous agissez toujours pour mon bien autant que pour N/nos plaisirs partagés. Mais c’est à vous, Maître, de décider dans tous les cas.
- Darkchose, tu comprends aisément qu’on ne peut pas effacer aussi vite une faute sans une punition adaptée. Monsieur le Marquis d’Evans décidera lui-même s’IL accepte d’entendre ta supplique, après ta démonstration larmoyante qui n’est pas de mon goût et qui m’a fait offense, car elle n’est digne d’une soumise aguerrie avec qui j’ai partagé tant de bons moments D/s. La sagesse du Maître des Lieux est telle que je m’en remets à Son appréciation.

Les mains jointes au dessus de la tête qu’elle garde baissée, darchose agenouillée attend de savoir quel sera son sort, sachant très bien que sa punition ne sera jamais physique ou cinglante car MagisterDU connaissant son tempérament masochiste aurait le sentiment de lui faire cadeau au lieu de la punir. Le Châtelain à ce moment-là intervient.

- Darkchose, la confiance en D/s est une chose sacrée, importante autant pour les Dominant(e)s que pour les dominé(e)s, car beaucoup de nos pratiques peuvent être à risques si elles ne sont pas pratiquées avec sérénité en parfaite connaissance de l’autre. Le risque n’est pas que pour celle qui se remet aveuglément entre les mains d’un pseudo-maître inconscient ou dangereux et peut en payer lourdement le prix physiquement et psychiquement. Il l’est aussi pour le vrai Maître consciencieux qui est responsable de celle dont il a pris la vie en charge, qui doit pouvoir anticiper et se prémunir de tout ce qui pourrait lui porter préjudice et ce n’est pas une petite responsabilité à la légère, crois-moi ! Ceci dit, la confiance ne peut pas s’imposer par la force, elle se créé avec le temps et la puissance de la relation D/s qui réunit deux personnes, quand ils apprennent à mieux se connaître. On ne peut donc pas vraiment punir pour un manque de confiance, fut-il fondé ou infondé, car ce n’est pas un ordre auquel on peut obéir, mais quelque chose que l’on ressent et qui n’est pas constant. Je peux comprendre et accepté de penser que tu aies été troublée par ce que tu as aperçu subrepticement, car la soirée à déjà aiguisé tous tes sens sur un plan charnel et intellectuel. Si tu veux me faire confiance, je vais te faire goûter aux plaisirs particuliers de cette corne phallique.

La soumise en guise de remerciements s’incline jusqu’à terre et dépose de nouveaux baisers sur les pieds du Marquis d’Evans mais également sur ceux de MagisterDU. Le Noble reprend.

- Alors debout, darchose ! Tu vas commencer à caresser avec tes mains cette corne torsadée et tâche de nous montrer combien tu la désires. Tu pourras même la lécher et saliver dessus pour la rendre encore plus glissante.

Darkchose se lève et s’approche de l’animal dont la tête, disons plutôt l’encolure, est posée sur un socle assez large pour pouvoir monter dessus. La corne est faite d’un métal dur de couleur doré qui reflète la lumière dans tous les sens. Elle est torsadée en colimaçon sur toute la hauteur, chaque torsade faisant un petit renflement de bosses et creux qui s’enroulent jusqu’à la base du métal qui sort de la tête sculptée dans le bois. Prenant des positions suggestives plus que lascives, la soumise se met à caresser sur toute la longueur la corne comme elle l’aurait fait d’un vit bien dressé qu’elle allait pouvoir s’enfiler, puis elle le lèche, langue bien sortie au maximum, de bas en haut ou de haut en bas, pour finir par se pencher dessus pour en avaler le petit bout, regrettant un peu que ce ne soit pas le vrai sexe du Dominant qu’elle affectionne particulièrement lorsque le Maître cède la place à l’Amant.

Monsieur le Marquis d’Evans regarde avec attention la démonstration lubrique de celle qui ne ressemble plus à la frêle soumise blafarde qu’IL avait vu agenouillée au sol. La dépravation et l’excitation semble éveiller toute sa sensualité et lui faire perdre un peu de son côté noir qu’elle cultive. Malgré un accoutrement gothique qui n’est pas du goût de tous, il est indéniable que le charme sensuel et féminin de la soumise agit sur MagisterDU dont la queue s’est redressé dès qu’il a vu sa chose devenir chienne en chaleur, se plaisant à lécher symboliquement dans toute son animalité une simple corne de métal dont elle allait pouvoir profiter comme gode anal. Le Dominant a d’ailleurs aussi sec écarté les jambes pour attraper la soumise qui consciencieusement était toujours sous ses basques en train de lui lécher le cul ; il l’attire vers lui en la faisant passer entre ses cuisses, lui faisant faire volte-face pour engouffrer aussi sec sa queue gonflée dans la bouche docile de l’esclave N°22 MDE, voulant profiter du spectacle dont il ne perd pas une seconde offert par sa chose impudique, tout autant que du plaisir qu’il va prendre à voir sa soumise enculée pour la première fois par une corne de licorne.

Monsieur le Marquis d’Evans trouvant que le spectacle de ces préliminaires avait été concluants et que la corne devait être suffisamment lubrifiée, IL fait installer la soumise sur deux marchepieds réglables qui se trouvent de part et d’autre de l’encolure de la licorne qu’IL a monté suffisamment pour que le bout de la corne se trouve juste à la hauteur de l’anus effleurant à peine la corolle qui déjà s’émoustille. IL monte une tige en métal coulissante de plus de deux mètres de haut, sur laquelle IL attache les bras de la soumise en l’air. IL sangle également la soumise à la barre avec deux ceintures de cuir réglables l’une au niveau de la taille et l’autre sous les bras.

- C’est pour que tu ne risques pas de tomber en glissant des marchepieds, surtout lorsque je vais mettre la machine en marche ou s’il t’arriver de te tordre de plaisir anal, ce que je te souhaite.

La soumise droite, les jambes écartées en V inversé, les pieds reposant à plat sur les deux marchepieds, les bras attachés en l’air, le corps retenu à une solide barre de métal, sent l’appareil se mettre en route et la corne s’enfoncer doucement dans son fondement, tandis que les marchepieds sur lesquels elle repose redescendent peu à peu. Comme à l’inverse d’un vrai pénis ou d’un gode de la même forme, il n’y a pas de gland pour forcer la dilatation de sa rondelle, mais juste une forme conique évasée, elle n’éprouve que du plaisir à se voir ainsi pénétrer et délicatement dilatée à petite vitesse. La sensation du métal froid en contraste avec ses parois rectales internes chaudes la font déjà frémir. Le Marquis d’Evans la regarde pour voir d’un seul coup d’œil lorsque la pénétration aura atteint son niveau maximal et supportable, darkchose ayant commencé par froncer les sourcils avant de se mordre les lèvres.

Le Châtelain stoppe net, attend quelque temps pour que le cul de la soumise s’habitue à l’objet qui lui pourfend le cul et IL règle la machine qui commence à faire des va-et-vient incessants d’arrière en avant imitant les coups de butoir d’un mâle en rut. La soumise s’abandonne au plaisir qui la fait vaciller et même couler de plus en plus, elle crie son plaisir orgasmique d’être ainsi empalée par une « sex-machine » infernale qui ne s’arrête jamais sauf quand on appuie sur le bouton « stop », mais qui varie dans l’intensité, la profondeur de pénétration et la rapidité des saccades qui la laboure. Après un premier orgasme spectaculaire qui la laisse déjà éperdue de plaisir, de nouvelles sensations apparaissent, la corne se met à tourner sur elle-même. Les rainures en épaisseur caressent la peau interne déjà très excitée, et elle a l’impression d’être possédée et pénétrée par une roue sans fin qui ravage son cul en feu. Un nouvel orgasme et un troisième ne tardent pas à l’emporter vers l’acmé, laissant la soumise tremblante de tout son corps, avec de multiples spasmes qui la secouent dans tous les sens (mais comme elle est attachée elle ne risque pas de tomber). Le spectacle est excitant pour MagisterDu qui est si content de voir sa chose débordante de plaisirs et à son tour pour la niemme fois de la soirée, il éjacule déversant tout son sperme dans la bouche de l’esclave N°22 MDE qui était en train de le sucer avec volupté et savoir-faire.

(A suivre ….)

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Texte coquin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 400)
Histoire sexe : Une rose rouge
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