L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-03-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré
L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré – Suite de l'épisode précédent N°405 -
Soumise Florès MDE qui est de nature plutôt timide et réservée se sent prise au piège, comme dans un étau qui se referme sur elle, la faisant suffoquer. Plus elle essaye de réfléchir, plus ses pensées se troublent, et elle ne sait même plus quoi dire, se sentant perdre pied. Elle éclate en sanglots en ajoutant.

- Je … Je suis désolée … Je ne sais… Monsieur Walter.
- Bon, la pleurnicharde, tu arrêtes tes jérémiades immédiatement. J’ai beau savoir que les femelles pleurent pour un oui, pour un non, il n’y a rien qui m’insupporte plus que de vous voir mouiller des yeux et non des lèvres vaginales, car au fond, vous n’êtes toutes que de vulgaires catins, des femelles en chaleur qui n’attendent que d’être baisées par un Mâle et pénétrée par une queue qui vous donnerait du plaisir.

Comme visiblement, la soumise Florès MDE, de plus en plus désarçonnée, en pleurs de se voir réprimander et pour autant troublée et excitée de se sentir Dominée et malmenée, ne s’arrête pas sur le champ de verser des larmes, Walter l’attrape par les cheveux et l’oblige à se redresser. Il lui tient le visage relevé l’obligeant à croiser son regard Dominant et Directif, tout en la toisant car il la dépasse de plus de 30 centimètres.

- esclave-soumise Florès MDE, écoute-moi bien ! Effectivement il faut sans doute que je t’éclaire sur l’objet de ta punition… Même si tu as dû réagir plus par impulsion qu’en t’en rendant vraiment compte, parce que cela ne ressemble guère à ta nature actuelle profondément soumise, devenue si douce et très docile…. Lorsque je suis arrivée dans cette pièce, tu vociférais comme une hystérique en furie contre l’esclave e6934MDE outrepassant la loi du silence qui est imposée aux esclaves sauf autorisation particulière dans le cadre de la mise en application des activités et travaux qu’ils doivent accomplir. De plus, avec des mots injurieux, intolérables dans la bouche d’une esclave, tu te permettais de l’insulter. Ceci, ce n’est pas à toi de le faire en aucune manière et pour quelque raison que ce soit. Seul Le Maître à qui cet esclave appartient parce que librement il a choisi de se remettre en son pouvoir, ou encore ceux qui agissent par délégation en substitution du Dominant en personne, peuvent se permettre de le réprimander si cela est justifié et seulement dans ce cas-là….

Walter amplifie son regard fixe et sévère dans ceux de la soumise MDE craintive et reprenant son souffle et d’une voix encore plus froide, il continue :
- Le plus grave, c’est que j’ai l’impression qu’au lieu de réagir pour réparer les dégâts, voire de chercher à prévenir un responsable, tu as complètement perdu ton sang-froid. Ce sang-froid reste être le fruit de l’éducation qui t’a été transmise et le bien-fondé des règles qui te sont imposées. Ce chien d’e6934MDE doit et va être puni pour ce qu’il a fait pour être autorisé à implorer le pardon du Maître qu’il a offensé, mais c’est aussi un soumis librement asservi qui est sous la protection de Monsieur le Marquis d’Evans, un être humain respectable en tous points bien que chien-mâle du cheptel, portant collier et mené en laisse à quatre pattes. Quelle que soit sa faute, dont j’espère qu’elle était avant tout involontaire, ce n’est pas une raison pour qu’il soit insulté et humilié par toi qui n’est qu’une vulgaire esclave n’ayant aucune autorité entre ces Nobles murs et étant tenu de respecter entre vous une bonne fraternité parce qu’il est tout comme toi la propriété de Celui que tu Vénères, et là pour servir et agir suivant le seul bon plaisir du Maître, ce qui doit rester pour vous la priorité absolue de chacun et chacune.

Soumise Florès MDE a cessé de pleurer et elle reste immobile, attentive aux paroles du Majordome, même si elle n’est pas certaine d’en comprendre toute la teneur. Car s’il est vrai, ce qu’elle reconnaît dans sa tête, qu’elle s’est emportée lorsqu’elle a vu l’eau du seau sur le sol et que certaines de ses paroles ont dû dépasser ses pensées, car elle s’est sentie tout de suite culpabilisée et apeurée des conséquences, elle n’a pas vraiment eu le sentiment d’en être arrivé au point d’avoir voulu insulter et humilier un frère de soumission MDE qui en entend mille fois plus de la bouche de Walter et Marie lorsque les deux complices pervers se mettent à déblatérer pour malmener un ou une des esclaves du cheptel, ce qu’ils adorent faire à tout bout de champ, quand ce n’est pas sournoisement pour le/la mener à la faute avec la ferme intention de le/la punir par la suite presque à coup sûr. Certes, la soumise regrette amèrement d’avoir oublié la loi fondamentale du silence imposée entre les esclaves et presque assurément la teneur de ses propos incontrôlés, mais elle trouve que le vrai fautif de l’histoire est l’esclave e6934MDE à cause de qui tout cela est arrivé, et partant de là elle ne voit pas pourquoi (et c’est bien là le souci qu’essaye de lui faire ressentir le Majordome) elle devrait en plus s’abaisser à reconnaître qu’elle a manqué de respect à son frère de soumission MDE pour quelques mots de trop, sortis à la va-vite sur le choc.

- N’oublie pas que tu n’es qu’une des nombreuses esclaves-soumises MDE, que tu as la chance pour l’instant de pouvoir passer tes journées à t’occuper de tâches de décorations florales qui ne sont pas des plus désagréables par rapport à tes sœurs de soumission qui à quatre pattes cirent les parquets et lavent les sols, mais rien ici n’est accordé par Le Maître comme un privilège à vie. Tout doit se mériter, et se mériter à chaque instant par l’effort, l’obéissance et la dévotion totale. Même la possibilité de porter les dignes initiales MDE du Maître, tout comme celui de rester un esclave asservi sous Le Joug de Monsieur le Marquis d’Evans n’est pas une chose acquise avec certitude pour l’éternité ou même pour le temps qu’il te conviendrait à toi de laisser libre cours à tes pulsions de soumission. Le Maître a à tout moment la possibilité de renvoyer dans ses pénates ceux qu’IL ne jugerait pas digne de le servir et de lui appartenir, et ceux qui l’auraient courroucé par leurs actes ou leurs manquements.

L’esclave e6934MDE, recroquevillé et inquiet, entend bien que le Majordome parle à la soumise Florès MDE, mais il prend pour lui personnellement une part des propos qu’il perçoit distinctement. Il commence à se demander si sa punition ne sera pas tout simplement un renvoi lorsque le Châtelain constatera que Son chien-esclave n’est pas digne de pouvoir continuer à poser ses pattes sur un sol dont il n’a pas su préserver la valeur hautement symbolique des lieux dans lesquels il avait eu la chance d’être admis. Il est d’autant plus troublé, ce qui ajoute à son excitation mêlée de désirs et de peurs, qu’il a le sentiment que plus personne ne s’intéresse à lui. Il est devenu transparent, inexistant physiquement et au fond de lui, il a presque l’impression que c’est d’un autre dont parlait le Majordome lorsqu’il reprochait à la soumise Florès MDE d’avoir d’une certaine manière insulté et humilié l’esclave « e6934MDE » alors qu’elle aurait dû avoir à son égard des devoirs de fraternité, ayant entendu son matricule prononcé comme si cela avait celui d’un autre, d’un étranger, de celui qu’il n’est déjà peut-être presque plus dans son esprit ou dans celui de Walter. Plus que jamais, il redoute une issue fatale, un couperet qui lui fait regretter amèrement sa maladresse, honteux en prenant conscience au fond de lui qu’il reconnaît qu’il a agi un peu à la légère, ne portant pas l’attention nécessaire à ce qu’il devait accomplir, préférant rêver dans sa tête à quelques plaisirs sodomites forcés qui ne lui auraient pas déplus, au lieu de se voir transformé pendant de longues heures en simple « porteur d’eau », comme un vulgaire animal de charge ou l’un de ses anciens serfs du moyen-âge qui étaient muni d’une lourde palanche (un bâton posé à même l’épaule utilisé pour porter de lourdes charges à chaque extrémité). Le Majordome poursuit :
- Florès MDE, je t’ai personnellement confié cette mission de décoration florale du Château au vu de tes compétences professionnelles, mais aussi parce que je te sais assez prudente et consciencieuse pour prendre soin des multiples objets de collection particulièrement précieux que tu dois manipuler avec précaution. Il n’est pas question que je puisse douter de toi et m’imaginer qu’en cas de souci quelconque, tu vas perdre la tête et le contrôle de toi, retrouvant tes vieilles manies, d’avant que tu n’arrives au Château lorsque tu étais encore une soumise en devenir mal dégrossie, si rebelle dès que tu te sentais agressée, prête à sortir ses griffes dès que tu prenais peur, et pourtant si soumise dans l’âme, même si jeune et novice tu ne ressemblais guère à celle que tu es devenue par la suite lorsque tu t’es assagie en prenant confiance en toi et que tu as trouvé Le Maître dont tu avais besoin pour te canaliser, te Dominer, et te faire t’épanouir comme une rose dans Son jardin.

Le Majordome tient toujours fermement les cheveux de la soumise Florès MDE qu’il toise en la regardant droit dans les yeux, l’ayant très vite intimidée ce qui l’a obligé à baisser les yeux ne pouvant soutenir le dur regard Directif de celui qui la sermonne et essaye de lui inculquer d’abord dans la tête la leçon qui s’impose pour lui faire bien comprendre le pourquoi de son courroux justifié avec toute la nuance de ce qu’il a cherché à lui expliquer. Il lui lâche la tignasse et l’oblige en appuyant sur la tête à s’agenouiller. Humblement, elle baisse la tête tout en se tenant droite et instinctivement, elle croise les mains dans le dos, comprenant qu’il vaudrait mieux pour elle qu’elle sache tirer profit de tout ce que le Majordome vient de prendre le temps de lui expliquer et de lui inculquer.

- chienne, je pense que maintenant tu devrais avoir quelque chose de plus précis à me donner comme réponse à ma question précédente. Alors, pour la dernière fois, sais-tu pourquoi tu dois être punie ?
- Monsieur Walter, je ne suis pas allé beaucoup à l’école et les mots me manquent parfois pour mettre en ordre mes idées. Je sais bien mieux mettre en ordre les fleurs dans une composition. Mais je pense que j’ai compris ce que vous avez cherché à m’expliquer et je veux vous remercier en tout premier lieu du temps et de la peine que vous avez pris pour parfaire mon éducation d’esclave-soumise MDE. Je dois être punie parce que je me suis mal comportée, parce que j’ai mal réagi tantôt, parce que j’ai enfreint les règles du Maître en particulier celle du silence, parce que j’ai été impolie et insultante envers l’un de mes frères de soumission MDE, parce que je n’ai pas su rester à ma simple place d’esclave, parce que j’ai oublié tout à l’heure tout ce qui m’a été enseigné ici depuis mon arrivée et au cours de mon dressage, et pour peut-être tant d’autres choses que je ne sais pas bien dire. Je vous implore Monsieur Walter de bien vouloir me punir pour mes fautes et mes erreurs. J’accepte la punition qu’il vous plaira de m’imposer, comme et quand il vous plaira de daigner me l’infliger.
- Alors, voilà ta punition se fera en deux temps, mais pas tout de suite. Pour l’instant, tu as du travail jusqu’à demain au moins, et cela doit passer en priorité dans l'intérêt du Maître des Lieux. Tu vas donc reprendre dès que possible ce que tu faisais et terminer les décorations florales des salles d’apparat, mais aussi celle des chambres d’invités, sans oublier bien évident les appartements privés de Monsieur le Marquis. Tu ne recevras donc ta punition qu’après le départ des invités, quand je n’aurais plus besoin de tes services. Il est en effet nécessaire que tu restes concentrée sur ce que tu fais, pour éviter de devenir à ton tour maladroite. S’il est possible de réparer tant bien que mal les lames de parquet détrempées, je pense qu’il n’existerait pas de colle invisible pour restituer aux vieux vases de porcelaine de Chine du petit salon bleu leur état d’origine si tu avais le malheur de les faire tomber, d’autant plus que ce sont des pièces uniques inestimables que bon nombre de musées voudraient pouvoir disposer. Tu seras punie de deux manières physiquement et psychiquement. Pour la sanction physique, tu vas garder un des pétales de roses de ton bouquet, et tu recevras autant de coups qu’il le faudra de divers instruments D/s pour que tes fesses soient assortis à ces fleurs. Pour ce qui te tiendra lieu de pénitence plus intellectuelle, je veux que tu saches que tu vas être privé de tes fonctions de soumise-fleuriste pendant aussi longtemps qu’il me plaira de t’imposer d’aller à la place t’occuper de nettoyer tous les jours les box des chevaux, chargée de récupérer le crottin, de remplacer le paille salie par l’urine des animaux … tu vas apprendre combien ce travail aussi est noble lorsque l’on se prétend être digne d’être une esclave MDE, et puis je peux t’assurer que c’est une autre odeur de fleur que celle des roses qui est présente dans les stalles de l’écurie.

La soumise baisse encore plus la tête, ayant écouté la sentence sans broncher. Comme elle a appris à le faire, elle sait qu’elle se doit de remercier le Majordome pour le châtiment qu’il lui impose et qu’elle va endurer en espérant obtenir au terme de sa correction et au vu de son repentir le pardon de ses fautes.

- Monsieur Walter, l’humble esclave-soumise MDE que je suis vous remercie de la punition que vous avez choisie de m’imposer qui me fera prendre encore plus conscience des erreurs qui ont été les miennes et que je regrette sincèrement. J’espère rester une digne soumise pour le Maître Vénéré, prête à obéir au Maître et à vous-même en tous points, afin que je puisse espérer être pardonnée.

Soumise Florès MDE s’incline pour déposer délicatement un baiser respectueux sur la main droite du Majordome et elle se prosterne à ses pieds, attendant ses ordres. Walter prend un moment pour regarder l’état du parquet qui commence à reprendre des couleurs.

- soumise AnnaMDE, je reconnais que Monsieur Firmin a bien fait de te ramener. Je n’espérais pas que l’on puisse réparer aussi bien un tel incident, même si je pense qu’il ne s’agira pas de le crier sur tous les toits pour éviter que tous les esclaves, sachant que nous avons à demeure « soumisePropre » qui rénove tout du sol au plafond, se croient libres de pouvoir, comme cet espèce d’abruti malhabile, transformer en piscine ces magnifiques pièces chargées de Nobles histoires anciennes et de souvenirs divins (en référence au « Divin Marquis »),. Est-ce que tu penses que toutes les traces vont finir par partir et que tu seras capable de redonner aux lames abimées la teinte et la finition patinée qu’elles avaient avant ?
- Monsieur Walter, je m’y emploie au mieux. Je ne peux pas dire que cela sera parfait et comme avant, mais je pense que je vais arriver à ce que cela ne se voit pas trop.
- Alors je crois bien que je vais te laisser continuer à travailler. As-tu toujours besoin des petites mains pour frotter le parquet, où est-il possible que les deux chiennes reprennent sans tarder leur travail pour ne pas prendre de retard. Tout doit être impeccablement fleuri avant l’arrivée de Monsieur le Marquis d’Evans ?
- Monsieur Walter, je peux continuer seule sans souci. Je resterai aussi longtemps qu’il le faudra pour obtenir la meilleure finition et la bonne teinte de cire.
- Alors les deux autres chiennes, debout et au travail. Je vais demander à Monsieur Firmin de mettre à ta disposition quelqu’un de plus adroit qui ne risquera plus d’arroser le parquet au lieu des plantes en transportant son seau d’eau. Quand à ce stupide cabot « gauche et aux mains qui glissent malencontreusement » comme il s’est permis de dire de manière presque hautaine, je m’en vais lui faire un petit dressage sur mesure dont il se souviendra longtemps.

Le Majordome attrape la laisse du chien-mâle e6974MDE et tire dessus fermement d’un coup sec pour lui faire comprendre qu’il a pris les choses en mains dès cet instant.

- A nous deux, maintenant …..

(A suivre…)

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