Titre de l'histoire érotique : ma vrai première fois( suite et fin)

- Par l'auteur HDS Abasa-arioul -
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : ma vrai première fois( suite et fin) Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-04-2007 dans la catégorie Pour la première fois
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Titre de l'histoire érotique : ma vrai première fois( suite et fin)
voici un recit veridique.
je vous ai raconté dans mon premier récit ,mon age 18 ans en1950 ,la façon dont j'ai été "violé" par madame Claire.
ma macrogénitosomie ( dévelopement insolite de la verge chez l'enfant).
sa manière de me demander de faire "attention" pendant la "baise" , puis ensuite vaincu par le plaisir tout oublier.
la oilule n'existait pas , les jeunes d'auhourd'hui ne connaissent pas leur bonheur.
donc malgré mon extrème timidité de l'époque notre relation a continué, cela ne se faisait plus chez elle ,mais dans un petit hôtel ,ou on se retrouvait le samedi.
je me sentais mieux rassuré , nos effusions durait plus longtemps.
je peux dire , vous l'aviez compris dans mon premier récit madame Claire , m'a vraiment déniaisé.
je lui posais la question , mais tu as un mari , est ce qu'il ne te suffit pas , il t'a quand méme fait 4 enfants.
la je sus sa "vérité" elle était marié depuis 20 ans ,les enfants sont venu les premières années, sont il tous du même père , la je la questionnais , car j'ai su qu'elle était considéré comme facile, elle ne me répondit pas ,ou plutot elle fit mine de ne pas comprendre.
elle me dit , je fait toujours attention avec lui , ca craint toujours , j'ai 39 ans , mais on ne sait jamais, ue goutte de sperme est si vite parti.
il me baise quelquefois 2 ou 2 fois par mois , toujours de la même manière, le matin , il me saute dessus , enfonce sa petite bite dans ma chatte, après quelques mouvements , il decharge très vite sur mon ventre, me fais un petit bisous sur mon front et s'en va me laissant pantelante et inassouvie.
tu vois me dit elle que j'ai le droit d'aller voir ailleurs, j'ai appris en devenant plus âgé que c'est le cas de nombreuses femmes.
je lui pose la question , au sujet des dimmensions du sexe se son époux, la je fut flatté , ele me répondit, il n'y a aucune comparaison avec toi.
donc le samedi nous baisions comme des dingues , moi ma jeunesse , elle son formidable appétit, plus question de faire attention.
elle m'a appris a lècherune chatte , je la vois le jour de la première leçon, couché sur le dos au bord du lit , elle me fit assoir sur une chaise,, me dit d'approcher devant son minou, je n'en avait jamais vu un de si près.
le sien était de belle taille , entouré de poils noirs et brillants, je crois qu'elle mouillait continuellement.
elle enfouis ma tête dedans , à m'étouffer , je me débattais, elle relâcha son étreinte et m'indiqua le précieux endroit du plaisir chez les dames,le clitoris.
je bandais comme un cerf , me levait , et amenait ma queue , sur le bord de l'organe poilue, elle me dit , tu est pressé et bien vas y enfile moi bien et toujours suvi des mots grossiers qui jaillisaient de son gosier , quand elle était empalé.
je lui déchargeai mon foutre à plein jets , et au fur et à mesure de nos relations , je prenais de l'assurance et je crois que c'est à cette époque que je me suis fait homme.
et un jour ce qui devait arriver arriva, ça y est je suis enceinte , cala fait un mois que j n'ai pas vu mes règles.
je restais circonspect , qu'est ce qu'on fait , et bien je vais le faire sauter ,mais et ton mari , tu vas devoir lui donner une explication, je lui raconterai qu'un jour , il s'est attardé sur le roti et voila.
ce qui fut fait , je me senti gèné , je commençais a ètre fatigué de cette liaison pourtant formidable du point de vue da la baise, mais jeunesse ingrate , j'en faisait partie, j'aimais bien me vider les burettes, mais le sentiment je n'étais pas encore prêt
a cause de cela nos relations s'espacèrent., et un jour elle me fixa rendez- vous, j'y allais pas tellement content , des choses me trottaient dans la tête , son mari copain de boulot, si ma sainte mère apprenait ca etc.
un incident me donna l'occasion de rompre définitivement , c'était encore une leçon qu'elle allais me donner qui a précipité les événements.
à notre rendez-vous , elle me demanda , pour ne plus avoir d'ennuis , car son gynécologue lui avait dit , vous ètes faite pour procréer, je voudrais que tu m'encules, je restais stupéfait , je savais que ca existait , mais je ne l'avais jamais fait .
l'on fit comme d'habitude , elle me suça goulument et pendant ce temps elle se masturbait l'anus.
et je vis qu'elle avait un petit flacon d'huile , je lui dit en plaisantant , on va faire une salade, elle se mit à rire et ne me répndit pas.
elle se mit à 4 pattes comme pour une levrette , écarta son trou bien huilé ,elle me dit vas y doucement , avec ta grosse bite , ne me blesse pas.
je me pointais devant ,chose nouvelle pour moi, et commencait la pénétration par petite secousses , qui à chaque fois lui arrachait un cri , je ne sais si c'était de douleurs ou de plaisir.
et je m'enquillait complètement en elle, va et vient , elle en bas se trémoussait de joie, je pense q'elle connaissait déja la combine.
je déchargeait longuement dans son étui, un moment de volupté , et me retirai assez brusquement, elle se coucha sur le côté , et son anus commenca a faire des petits pets , et hop elle se soulagea dans le lit , les draps .
la senteur était épouvantable, je restais la un moment , embêté , cet hotel ou on était si bien, il n'est plus question d'y revenir.
je n'ai pas faire autrement, j'ai des problêmes d'intestin me dit elle larmoyante.
je vais le nettoyer.
cela mit un arrêts a nos rapports , malgré ses supplications, je n'en démordis pas ingrat que j'étais , je pense que que cette femme m'a aimé, surtout ma queue.
mais Sigmund Freud à dit le sexe mène le monde.
voila la fin de mon histoire avec Claire , aujourd'hui décédé, ce récit fais partie de ma mémoire mot très a la mode en ce moment.
devoir de mémoire etc etc chère Claire , la ou tu est , je te remercie , et avec ce petit récit tu vois que j'ai pensé à toi.

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