La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-03-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans
La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans – Suite de l'épisode N°400 -
Monsieur le Marquis d’Evans vient de faire la démonstration de sa licorne transformée en « sex-machine » devant MagisterDu qui, étant particulier excité et ravi de voir sa soumise darkchose pénétrée par la corne phallique en mouvement et prenant son pied à plusieurs reprises avec des orgasmes fulgurants la laissant encore pleine de soubresauts, a fini par éjaculer dans la bouche de l’esclave N°22MDE en train de lui faire une fellation des plus voluptueuses. Le Châtelain éteint l’appareil pour laisser à chacun le temps de reprendre leurs esprits. La soumise, épuisée de tant de plaisirs charnels, est encore dans un état second, trempée au niveau de l’entrecuisse, retenue par les liens qui la tiennent solidement arrimée à la barre de soutien pour l’empêcher de tomber. Elle serait déjà à terre si ses bras et son corps n’était pas attachés car ses jambes ne la portent plus du tout et elle est carrément empalée, vidée de toute énergie, et se tenant tant bien que mal presque toute flasque sur la tête de la licorne. Le Noble manœuvre l’appareil pour légèrement faire s’abaisser la corne qui servait de pal anal et pour pouvoir libérer la soumise qui est en nage reprenant à peine une respiration normale. Constatant que celle-ci a du mal à maintenir la position et à se tenir droite sur ses jambes après tant de secousses qui l’ont portée à l’acmé, IL s’interrompt. D’un claquement de doigts, IL fait signe pour qu’un esclave inutilisé qui se tenait à genoux près du mur s’approche. Respectueusement, arrivé aux pieds du Maître Vénéré en se déplaçant à quatre pattes, le chien-mâle se prosterne attendant les ordres.

- Mon chien N°8MDE, tu vas aller détacher la soumise darkchose de Mon très cher ami MagisterDU qui est empalée sur la licorne vibrante. Tu la soutiendras pour qu’elle ne tombe pas et surtout tu la soulèveras bien droite pour ne pas risquer de la blesser avec la corne qui lui pourfend encore le cul.

Ayant donné les ordres qu’il convenait, le Marquis d’Evans se retourne vers celui qui n’a pas tardé à se faire nettoyer par l’esclave qui venait de lui faire une fellation digne de l’éducation reçue au Château et qui est en train de refermer soigneusement la braguette de son pantalon et d’agrafer la ceinture en cuir, l’air apaisé et satisfait.

- Très cher MagisterDu, je suis désolé, je crois bien que j’ai carrément épuisé votre darkchose sur cet engin diabolique qui lui a pilonné le cul comme aucun de nos sexes de Mâles ne pourrait le faire en vitesse et en densité. J’aurais sûrement dû plus considérer que c’était une petite nature fluette. Je pense qu’il va falloir lui laisser reprendre un peu de force maintenant, car elle est encore toute tremblante.

- Très cher Ami, Cher Marquis d’Evans, ne soyez pas désolé. Je n’ai jamais vu ma darkchose avoir des orgasmes aussi puissants qui se lisaient sur son visage et j’en suis vraiment comblé pour elle et au moins autant qu’elle. Il est vrai qu’elle est très fluette et que son teint naturel blafard la fait paraître fragile, mais n’ayez aucune crainte, elle a de l’énergie en réserve à revendre. Si Vous le permettez, je vais profiter de votre esclave si costaud pour qu’il m’aide à venir l’allonger sur le canapé le plus proche, je pense que je vais la laisser se reposer un peu physiquement et que cela nous permettra de nous retrouver un peu au calme pour discuter et nous embrasser tendrement. Je la désirais si fort lorsque je la regardais prise et pénétrée par cette sex-machine infernale, je veux qu’elle me décrive tout ce qu’elle a ressenti pour me faire partager cette expérience qu’elle ne devrait pas oublier de sitôt.

- Alors, Cher MagisterDu, je vais vous laisser à des moments câlins plus intimes. Je souhaite d’ailleurs continuer à faire le tour de mes nombreux amis qui sont venus à ma soirée anniversaire et il est temps pour moi de vous abandonner en des bras plus féminins et amoureux. Vous pouvez garder le chien N°8MDE aussi longtemps qu’il vous plaira à vos côtés et le renvoyer à sa place dès que vous n’en aurez plus la moindre utilité.

- Encore Merci pour cette merveilleuse soirée, Monsieur le Marquis d’Evans et plus particulièrement pour cette démonstration de licorne. Je pensais que ma darkchose avait depuis toujours une jouissance plus anale que clitoridienne, mais je me demandais toujours si ce n’était pas simplement pour me faire plaisir qu’elle disait cela, car elle sait à quel point j’aime l’enculer en levrette, avec le seul regret c’est que lorsque je pratique ainsi je ne peux pas voir de face les expressions de son visage et son ravissement, sauf si je me positionne devant une glace, et encore ce n’est pas évident car elle baisse la tête la plupart du temps. Ce soir, le spectacle fut total et j’ai pu l’apprécier dans toute sa dimension, vous m’avez fait la démonstration qu’elle est capable de jouir intensément aussi du cul, ce qui n’est pas donné à toutes les femelles, qu’elles soient soumises ou simples partenaires vanille. Je ne sais si j’aurai l’occasion de vous croiser avant de monter me coucher, ou même avant mon départ demain matin, alors je vous souhaite une très bonne fin de nuitée D/s et je vous renouvelle tous mes plus sincères remerciements pour cette invitation en vous disant que je reste au plaisir de notre prochaine rencontre.

Monsieur le Marquis d’Evans d’un signe de la tête salue Son ami juste après avoir jeté un coup d’œil pour s’assurer que Son esclave N°8MDE prend bien soin correctement de la frêle darkchose qu’il a d’ailleurs pu soulever comme un poids plume, la portant maintenant dans ses bras délicatement. Le Châtelain se retourne et aperçoit tout près Maître Steel (acier en anglais), un industriel lyonnais qui est particulièrement passionné par tout ce qui touche à l’acier, que cela soit dans son activité professionnelle qui s’y rattache, mais également dans ses attirances sexuelles préférées, comme s’il ne pouvait pas s’épanouir pleinement sans cet élément qui a pris une part importante dans sa vie, aimant le contact du métal froid comme d’autres sont fétichistes du cuir ou du latex, que ce soit pour des jeux D/s avec des chaînes à lourds maillons en métal ou encore pour des cages de toutes sortes qu’il collectionne et des appareillages de contraintes en tubulures diverses et variées. Pour pouvoir assouvir ses fantasmes, avec l’espoir de pouvoir y mêler sentiments et vie commune, il avait longtemps cherché à s’accoupler avec une esclave-compagne qui aimerait et apprécierait avant tout d’être enfermée et contrainte. Pendant des années, il trouvait dans des cercles BDSM des soumises ponctuelles qui acceptaient bien de se lancer dans l’aventure et de laisser mettre en cage pendant quelques minutes, parfois le temps d’une séance et encore, mais il avait le sentiment qu’il ne trouvait pas son plaisir comme il l’aurait voulu, et surtout qu’il ne devait pas être celui qui convenait pour celles qu’il croisait sur son chemin. Accumulant les relations qui ne duraient jamais très longtemps par manque d’affinité réciproque sur le plan sentimental, et par divergence de désirs sur le plan D/s, il avait presque pensé renoncer à l’idée de pouvoir assouvir ses fantasmes, abandonnant les soirées en donjon privé pour essayer au moins de construire une famille dans une vie vanille équilibrée.

Et puis un jour par hasard dans un salon professionnel, il avait rencontré une femme qui semblait avoir un contact particulier et un toucher presque sensuel qui ne l’avait pas laissé indifférent avec des tubulures en acier qu’il avait installé pour des stands de présentation. Elle le fascinait et il se lança à l’inviter à boire un café. Très vite, ils firent connaissance plus intimement et elle finit au bout d’un certain temps par lui avouer son fantasme, son désir imaginé car elle ne pouvait pas parler de vécu puisqu’elle n’avait jamais essayé, son idée profonde qu’elle ne pouvait se sentir libre dans sa tête que lorsque son corps ne l’était plus. Elle rêvait depuis longtemps de ressentir ce sentiment d’enfermement, mais pour autant n’avait jamais trouvé quelqu’un en qui elle pourrait avoir une confiance absolue pour se laisser vraiment mettre en cage, sachant qu’il fallait que le Dominant soit d’une grande vigilance à son égard capable de ne pas la laisser sans surveillance et aussi d’intervenir en cas de danger physique ou même de panique, puisqu’étant enfermée elle n’aurait plus la possibilité de se libérer et ne pouvait s’en remettre qu’à la merci de celui qui tiendrait lieu de geôlier. Depuis, ils se plaisaient tous les deux à jouer dès que leurs vies vanilles leurs en laissaient le temps, très souvent il la baisait longuement utilisant l’un de ses orifices alors qu’elle était coincée ou immobilisée dans sa cage et il prenait aussi du temps pour l’amener au plaisir absolu en lui collant un vibromasseur entre les cuisses, qui lui chatouillait avec intensité le clitoris, tandis qu’il s’affairait à la pénétrer autrement. Il l’avait baptisé sa reica (l’anagramme en verlan d’acier), car elle était vraiment son pendant symétrique « /s » de son côté « D », sachant qu’il se sentait surtout devenu un vrai Maître depuis qu’elle l’avait reconnu comme tel, lui ayant fait confiance pour qu’il la guide dans sa propre découverte de ses désirs enfouis.

Avec la complicité de Walter, le Majordome, la veille de la soirée, Maître Steel avait fait livrer au Château, comme cadeau d’anniversaire, trois magnifiques cages en acier poli. La première est un genre de cage à oiseau que l’on peut poser sur le sol mais qui prend toute sa symbolique de cage-volière si elle est suspendue. Elle est d’un diamètre restreint ce qui limite tous les mouvements, une fois la cage refermée. De forme bombée, elle se termine en haut par un large cercle évidé. Elle peut être utilisée en obligeant le/la dominé(e) enfermé(e) à se tenir debout, la tête sortant alors par le haut de la cage qui fait comme un collier d’acier ceinturant le cou du soumis ou de la soumise. Le bas est réglable en hauteur pour s’adapter à la taille de la personne encagée qui peut se tenir soit debout avec les pieds bien à plat, soit contrainte de rester sur la pointe des pieds en équilibre, station plus difficile à supporter à long terme. Mais la cage peut aussi être utilisée en position assise surtout si elle est suspendue. Il y a une place pour pouvoir passer les deux jambes à travers les barreaux qui sont alors maintenues en position écartée, soit pendantes si la cage est en l’air, soit allongées reposant sur le sol si la cage est posée par terre avant ou après avoir été levée. Le bas de la cage est évidé en partie, ce qui permet d’accéder à l’intimité et aux orifices anal et vaginal (pour les femmes) de la personne encagée, pour des jeux D/s de toutes natures (godages, pinces, vibro, etc). Une trappe sur le côté, qui s’ouvre comme les portes des vraies cages à oiseaux, se trouve grosso modo à hauteur de la bouche pour pouvoir utiliser également cet orifice mis à disposition du Dominant.

Les deux autres cages, l’une plus grande que l’autre, ont la forme non pas d’un vrai chien animal, mais bien d’un « human-pet BDSM », un chien-mâle ou une chienne-femelle contraint de se tenir à quatre pattes, épousant le corps à merveille de l’esclave maintenu dans la position idéale, laissant porter son poids sur les mains à plat et sur les genoux et le bas des jambes. Les deux cages de taille différentes, visiblement l’une pour les femelles, l’autre pour les mâles plus charpentés et plus grands, sont assez larges et hautes pour que le/la dominé(e) ne puisse pas être gêné(e) par les barreaux mais une fois la cage refermée, plus aucun mouvement ample ne devient possible, ni au niveau du corps, ni au niveau des membres, qui sont comme saucissonnés par un entourage de grille en métal. Le sol de la cage est recouvert d’un genre de moquette pour que la station prolongée dans cette position bien peu naturelle pour un être humain puisse rester confortable et tolérable. Il est évident que l’esclave ainsi grillagé de toute part se voit dans l’impossibilité de se soustraire à ce que le Maître/la Maîtresse lui imposerait, si tant est même qu’il ou elle en eut envie, ce qui est bien peu probable s’il s’agit d’un(e) dominé(e) librement asservi(e), n’ayant comme seul désir que celui de contenter le/la Dominant(e) auquel il/elle appartient. Les deux cages à « chiens-humains » ont la particularité d’être munies de roues rétractables, si bien qu’il est aussi possible de les déplacer tout en laissant encore le chien-mâle ou la chienne-femelle mariner quelques temps de plus dans la cage, mais aussi d’ajouter à l’humiliation de les transformer en simples joujoux « déshumanisés » pour le temps du jeu D/s, ressemblant presque à ces petits chiens en bois à roulettes que les tout-petits trainent derrière eux, bien qu’en l’occurrence, ils soient plus transformés en joujoux pour adultes avertis car la cage a été suffisamment bien pensée pour que l’encagé(e) ne soit plus qu’un simple objet sexuel laissant tous ses orifices accessibles pour servir de simples vides-couilles.

Le Majordome a d’ailleurs pris soin d’installer en début de nuitée les trois cages dans le Grand Hall transformé en donjon pour la nuitée orgiaque, se disant qu’il était persuadé que cela aurait été la volonté de Monsieur le Marquis s’il avait eu connaissance avant la soirée des nombreux cadeaux qui lui ont été adressés par tous les invités et qu’il n’a pas encore pu découvrir puisque la soirée anniversaire a commencé par une vraie surprise à laquelle il n’était pas préparé, ne sachant pas du tout ce qui avait été savamment orchestré par Son fidèle domestique pour sa plus grande satisfaction de s’apercevoir que tant de Maîtres et de Dominas ont fait le déplacement pour l’occasion et de voir tout ce qui a été préparé, non pas à Son insu, mais en cachette pour que l’émerveillement Lui soit le plus total.

Monsieur le Marquis d’Evans en s’approchant de Maître Steel découvre la cage oiseau suspendue et juste en dessous, il aperçoit les deux nouvelles cages à chien-esclave. La plus petite est utilisée par une des esclaves du cheptel peinte en doré, mais dont il ne peut lire de loin le chiffre gravé sur ses fesses. Mais le Châtelain est tout aussi intéressé par Son esclave qui même sans cage serait capable de rester immobile dans la même position s’IL le lui imposait tout simplement d’un seul mot ou un seul regard directif, que par cet objet nouveau qu’il n’a jamais vu et utilisé dans Sa demeure, pensant qu’il doit s’agir d’une acquisition de plus du majordome en vue de l’occasion festive. Il se dit que cela lui donne des idées pour dresser les novices qui arrivent au Château et qui ont beaucoup de mal au début à adapter une position et une démarche canine acceptable correspondant à Ses exigences très précises.

- Très Cher ami, Maître Steel. Comment allez-vous ? J’ai eu à peine le temps de vous saluer tout à l’heure sur le perron à votre arrivée, il y avait tant de monde qui se pressait à l’entrée que je ne pouvais consacrer plus que quelques mots courtois à chacun.

- Très Cher Marquis d’Evans. Je vais très bien et je vous suis vraiment reconnaissant de pouvoir faire partie de Vos invités triés sur le volet pour cette occasion festive de qualité.

- Je m’aperçois que vous avez toujours la même passion, fascinée par les femmes en cage. Vous ne portez pas votre nom de Maître Steel sans raison. J’espère que Mon esclave vous apporte tout le plaisir que vous pouvez en retirer.

- Cher Marquis d’Evans, aucun souci, Votre esclave N°14MDE que j’ai tirée au sort en piochant une boule dorée est parfaite. Je la trouve tout à son aise ainsi mise en cage et puis si désirable elle aussi, mais vous savez bien que je me réserve pour ma reica dorénavant qui est devenue ma compagne libre de vivre à mes côtés au quotidien, autant que ma soumise encagée qui devient à ma merci totale quand nous sommes en temps D/s.

- Je suis particulièrement ravi de voir comment votre couple dans la vie a su se construire autour de cette passion commune de la D/s en faisant si bien se compléter vos fantasmes réciproques. Mon esclave N°14MDE est à votre entière disposition et même si votre seul désir en cette soirée est de la maintenir enfermée dans cet écrin d’acier aussi longtemps qu’il vous plaira, privée de tous plaisirs charnels, je sais que ma propriété se trouvera bienheureuse d’avoir fait avant tout son devoir d’esclave qui est d’obéir au Maître Vénéré que Je suis avec le désir de Me satisfaire en tous points, et en particulier à l’occasion de cette soirée organisée en Ma demeure de se soumettre aux exigences de toutes natures de Mes Invités, lorsqu’ils ou elles ont la chance que Je les remette entre les mains d’un autre.

Le Châtelain s’avance un peu plus près de la soumise reica pour examiner plus en détail la manière dont elle est entravée.

- Je suis tellement stupéfait de voir votre soumise dans un appareillage si original et si complexe. Vous me surprendrez toujours cher Maître Steel dans votre art de jouer de l’acier qui semble si malléable entre vos mains d’artiste, compositeur de formes en tous genres.

- Vous savez, Cher Marquis, que ma soumise reica se plie à toutes mes fantaisies, quand ce n’est pas elle qui en demande encore plus. L’équipement de ce soir, car je dois avouer que c’est devenue plus une tenue qu’une cage est une idée au départ de son invention. Mon esprit pervers, affiné par une certaine maîtrise de la technicité, n’a eu qu’à rajouter quelques petites touches plus pimentées, car il n’était pas question que ma soumise s’imagine qu’elle allait à un bal costumé où elle jouerait les princesses en robe longue d’acier. Quant à sa tenue que j’ai pris plaisir à réaliser dans mes ateliers, je trouve même que cela pourrait presque inspirer un de ces grands couturiers en manque d’idées qui n’hésitent pas à venir emprunter dans nos accessoires et fantasmes BDSM pour créer leur collection et présenter leur défilé.

- Vous avez raison, Cher Maître Steel, j’ai eu l’occasion d’apercevoir certaines créations de haute couture qui me semblaient plus être l’expression de certains fantasmes BDSM érotisés que de vrais habits portables dans une vie vanille normale citadine. La société actuelle n’est pas encore prête pour accepter de voir le quotidien envahi par des références trop marquantes de ce que bon nombre de gens qui ne font pas partie de notre communauté considèrent encore comme des perversions malsaines. Mais ici, nous sommes entre nous, et nous pouvons laisser libre cours à nos imaginations fécondes, d’autant plus que les saines relations D/s que nous pratiquons les uns et les autres, sont toujours consensuelles et dans une recherche du bien-être commun de tous les partenaires, qu’ils ou elles soient Dominant(e)s ou dominé(e)s.

- Je dois vous dire, Cher Marquis, ce qui n’a pu que ravir mon petit égo de concepteur, que nombre de vos invités sont d’ailleurs venus nous saluer pour voir de plus près cette cage « presque » transportable, une fois que j’ai eu installé mon petit équipement. Je dis « presque », car je dois quand même reconnaître que je savais que je ne pourrais y insérer ma reica qu’une fois arrivés à l’intérieur du Château, car il n’était pas question que ma compagne rentre dans la voiture ainsi accoutrée, ce qui était au surplus était techniquement impossible, sans compter qu’elle n’aurait jamais pu monter à ma suite les marches du grand escalier pour atteindre le perron. Et puis pas question de prendre des risques en la faisant voyager dans des conditions qui ne rentrent pas dans la légalité et qui pourraient être bien trop dangereuses en cas d’accident de voiture. Mon chauffeur m’a aidé à transporter le matériel en passant par l’escalier de service après avoir rangé la voiture. De toute manière, sa tenue était bien trop rigide pour que je lui fasse porter toute la soirée, ses muscles auraient fini par ne pas supporter l’engourdissement au niveau du corps et du cou qui reste une partie très fragile de l’anatomie humaine…
(A suivre …)

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Texte coquin : La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans
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