L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-04-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré
L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré – Suite de l'épisode précédent N°411 -
L’infirmière fait le nécessaire pour redonner à l’esclave une épilation intégrale correcte, nettoyant par la suite son intervention et recouvrant la peau d’une crème onctueuse pour éviter les rougeurs et les irritations sur les peaux sensibles. Elle ordonne alors à Thaïs MDE de se lever et de se tenir prête près de la porte car le chauffeur ne devrait pas tarder, vu l’heure. Thaïs MDE commence un peu à s’angoisser dans sa tête, car l’infirmière lui avait parlé la veille d’une réunion professionnelle et elle est pour l’instant encore nue, ne portant que son collier en métal permanent dont seul Le Maître Vénéré détient la clé, sa laisse de chienne-esclave et le plug qui lui pourfend le cul et dont elle ne peut ignorer la présence pénétrante. Elle se voit mal arriver dans les bureaux où ne travaillent pas que des soumis et soumises MDE, même si une partie des membres du personnel ont fini par le devenir par choix personnel, car Monsieur le Marquis d’Evans a bien tenu à ne forcer aucun de ses employés en ce sens et à veiller à ce qu’il n’y ait aucune discrimination possible à quelque niveau de la hiérarchie que ce soit entre ceux qui sont restés de simples salariés professionnels et ceux qui se sont voués à Lui corps et âme. Mais comme elle a une confiance absolue envers le Maître Vénéré, elle tente de se rassurer en se disant que ce dernier a dû prévoir le nécessaire pour son arrivée et qu’elle ne va pas surgir nue au milieu du personnel, voire des clients et autres prestataires de service qui déambulent dans les couloirs de l’immense bulding, bien qu’elle pense qu’à cette heure matinale, les bureaux ne doivent pas encore être vraiment très animés.

Le chauffeur de l’entreprise arrive à l’heure pile pour prendre en charge celle qu’il doit conduire dans les bureaux de la Holding Financière. Il tape à la porte de l’infirmerie que Mûriana MDE s’empresse d’aller ouvrir.

- Bonjour Mûriana MDE.
- Bonjour Monsieur.
- Non pas « Monsieur » ! Je suis désolé, je n’ai pas pris le temps de me présenter. Je suis l’un des soumis de Monsieur le Marquis d’Evans et je réponds au nom donné par Le Maître de « car2MDE » quand je suis à Son service.
- Bonjour quand même, soumis car2MDE. L’esclave Thaïs MDE est là (dit-elle en lui présentant d’un geste de la main la soumise qui attend à côté de la porte, debout avec la tête baissée).
- Très bien. Merci et bonne journée, soumise Mûriana MDE- Bonne journée aussi, soumis car2MDE, et bonne route surtout.

Sans avoir perdu la moindre seconde à bavarder hormis cet échange de politesse, le chauffeur en livrée attrape la laisse de Thaïs MDE et file jusqu’au véhicule d’un pas leste. Il installe la soumise sur la banquette arrière en cuir de la somptueuse voiture de fonction aux vitres teintées avec une vitre de séparation derrière le chauffeur pouvant coulisser. Thaïs MDE est déjà rassurée de voir qu’elle ne sera pas visible de l’extérieur, car si elle avait pu voyager sans souci ligotée dans les petites routes peu fréquentées du Val de Loire dans la voiture conduite par Walter au retour du Château de M….., elle se voyait mal arrivée en tenue d’Eve en centre-ville, en plein trafic urbain, où tout le monde dans les véhicules autour, sans parler des chauffeurs de bus ou de camions qui ont une vue plongeante, aurait pu apercevoir et s’offusquer de sa nudité, illégale au demeurant. Le soumis car2MDE lui bande les yeux, ce qui surprend Thaïs MDE car elle connaît déjà, pour s’y être rendue plusieurs fois directement, l’emplacement des bureaux de Monsieur le Marquis d’Evans. Cette privation des sens ajoute à sa confusion en se disant qu’après tout elle n’a aucune idée de l’endroit où elle doit être amenée et qu’elle a peut-être fait des projections bien inutiles en s’imaginant qu’elle devait être conduite dans les bureaux de l’entreprise à cette heure matinale. Elle ressent encore plus sa nudité lorsque le chauffeur lui attache les mains aux deux sangles qui se trouvent au-dessus de chaque porte arrière et surtout les pieds de part et d’autre la forçant à garder les jambes et les cuisses grandes ouvertes, sans compter qu’il lui passe en sus la ceinture obligatoire qui se trouve sur le siège central ce qui achève de la plaquer immobile sur son siège. Le chauffeur ouvre la bouche pour la première fois.

- Le Maître, Monsieur le Marquis d’Evans, qui semble bien connaître Sa chienne en chaleur, te fait dire que tu as intérêt à te débrouiller comme tu veux, mais qu’il serait préférable pour toi, si tu ne tiens pas à commencer la journée par une sérieuse punition adaptée, de ne pas tremper le siège en cuir de l’une de ses prestigieuses voitures de fonction, d’autant plus qu’IL a prévu ce soir de s’en servir pour ramener au Château certains de ses Invités professionnels avec lesquels il est en pourparlers d’affaires.

Cette remarque glace d’effroi Thaïs MDE, qui ressent des choses si contradictoires, mais en tout premier lieu une véritable excitation qui humidifie son bas-ventre allant à l’encontre de la « sécheresse » qui lui a été imposée. Elle voudrait serrer ses cuisses et ses lèvres intimes pour tenter de ne pas laisser sa cyprine couler, mais les liens qui la maintiennent les jambes écartées l’empêchent de le faire. Le plug enfoncé dans son anus est aussi une gêne pour qu’elle tente de contracter ses muscles internes et externes. Elle se dit qu’elle doit absolument penser à autre chose, à quelque chose de neutre pour faire tomber son excitation, d’autant plus renforcée qu’elle a su que la remarque venait du Maître Vénéré en personne. Elle commence à s’inquiéter de ne pas pouvoir arriver à respecter ses exigences, et en même temps elle se sent honteuse et une peu perdue comme si c’était un reproche que le Maître lui avait adressé personnellement, bien que par personne interposée, lui faisant remarquer qu’elle est une chienne-femelle en chaleur souvent humide et coulante, dès qu’elle sent l’excitation sexuelle la gagner. Mais, elle ne sait pas contrôler la cyprine qui coule de son corps, pas plus que son eau de fontaine quand elle jouit, en tout cas pas encore … si tant est qu’elle puisse imaginer que cela soit humainement possible pour une femelle sensuelle.

Le voyage se passe dans la plus grande inconnue pour la soumise attachée et écartelée qui sent juste les mouvements de la voiture qui s’est mise en route. Cette situation n’est pas sans inquiéter mais aussi exciter Thaïs MDE qui se doute bien que le siège en cuir de la voiture risque fort d’être auréolé à l’arrivée malgré tous ses efforts pour tenter de penser à autre chose de moins sensuel que la sensation du cuir sous ses fesses et la situation dans laquelle elle se trouve, mais ses pensées reviennent sans cesse sur Le Maître Vénéré qu’elle espère de plus en plus fortement apercevoir à l’arrivée. Elle a perdu la notion du temps dans la nuit de son bandeau, mais il lui semble que depuis quelques temps, la voiture a quitté les petites routes sinueuses du Beaujolais pour se déplacer dans un contexte plus urbain, s’arrêtant et démarrant de nombreuses fois, ce qui la plaque chaque fois au siège, car le chauffeur ne semble pas être des plus tendres avec la pédale d’accélérateur faisant vrombir le moteur puissant de la belle cylindrée. Puis, à nouveau le silence se fait et l’esclave comprend qu’elle a dû arriver à bon port lorsqu’elle entend le moteur que car2MDE éteint et quelques secondes plus tard la porte arrière de la voiture s’ouvrir. Elle ne sait alors si quelqu’un va entrer et la rejoindre, ou bien si c’est elle qui va être sortie du véhicule et préparée en conséquence pour son rendez-vous, habillée déjà pour le moins. Elle se dit qu’il vaut mieux qu’elle ne se mette pas à réfléchir à ce qui va lui arriver, car il sera bien temps pour elle de s’adapter aux circonstances dans lesquelles sa réunion de travail va se dérouler et à ses interlocuteurs, ce qu’elle a toujours su faire dans un contexte professionnel, à force d’expérience. Le chauffeur commence à détacher Thaïs MDE de tous ses liens et attrape sa laisse pour lui faire comprendre qu’elle doit sortir du véhicule.

- Allez, la chienne, dépêche-toi ! Tu es attendue au plus tôt ! Tu sors de là immédiatement et tu restes debout car le sol de ce parking est en béton brut et il n’est pas question que tu te salisses avant le rendez-vous en marchant à quatre pattes.

Thaïs MDE se rassure en se disant que c’est plutôt bon signe pour elle qu’on veille à lui éviter de se salir avant sa réunion professionnelle, mais il lui semble qu’il aurait été plus simple de lui permettre de quitter le Château déjà vêtue et prête, ce qui lui aurait d’ailleurs évité de s’inquiéter et de s’exciter « inutilement » pendant tout le trajet au risque d’auréoler le siège de la somptueuse voiture de fonction. Mais la soumise sait que les ordres du Maître Vénéré sont toujours réfléchis et incontestables au demeurant. car2MDE lui ôte son bandeau et l’esclave est un peu étourdie de se retrouver dans la lumière pourtant atténuée de ce sous-sol, qu’elle identifie en une seule seconde pour s’y être déjà garée, comme étant celui des buildings de la Holding de Monsieur le Marquis d’Evans. Elle ne comprend donc pas à quoi pouvait bien servir la mise en scène du bandeau mais elle ne tarde pas à en percevoir au moins l’une des raisons, ne sachant si cela était volontaire ou non.

- Et bien, la dégoutante, tu as vu dans quel état tu me laisses la voiture ! Tu ne mouilles pas, tu dégoulines carrément ! Tu as fait bien peu cas des mises en garde de Monsieur le Marquis d’Evans, je me demande comment il peut tolérer à Ses pieds des chiennes qui bavent d’en bas sans la moindre gêne quand on ne leur permet pas de mouiller et surtout qui désobéissent à Ses ordres.

Thaïs MDE est honteuse de n’avoir pu empêcher sa nature de femelle et son corps de laisser transparaître son excitation. Et d’un autre côté, elle a presque l’impression qu’il n’aurait pas pu en être autrement et que Monsieur le Marquis d’Evans savait très bien ce qu’il faisait lorsqu’IL a donné ses ordres et lui a imposé ce trajet en voiture, nue, pluguée et écartelée. Mais c’est surtout la peur qui la prend lorsqu’elle commence à entendre des bruits de voiture lointain dans le parking, sûrement à d’autres étages, mais elle prend conscience qu’elle est toujours nue et que le chauffeur qui a pris la laisse en mains la conduit vers l’ascenseur qui doit déboucher directement dans le grand hall du prestigieux building, comme c’était le cas lorsqu’elle-même avait dû se rendre dans ces lieux pour y rencontrer le Maître Vénéré. Son inquiétude va grandissante, malgré la grande confiance qui l’habite, ce qui peut paraître contradictoire et révélateur de l’excitation qui la gagne encore plus face à l’inconnu qu’elle ne « maîtrise » plus du tout, et pour cause puisqu’elle est devenue soumise et que la Maîtrise de sa vie revient au Maître Vénéré. Le chauffeur entre dans l’ascenseur et appuie sur le bouton « haut » de la cabine qui ne comprend que deux boutons « Haut » et « Bas » (ce que ne sait pas l’esclave, c’est qu’il s’agit de l’ascenseur personnel du PDG, Monsieur le Marquis d’Evans, qui dessert directement « l’antichambre » de Ses bureaux de prestige avec son étage réservé dans les sous-sols, utilisé pour ses rendez-vous d’affaires avec des businessman de haute importance qui peuvent ainsi le rejoindre directement sans avoir à passer comme le commun des mortels et le personnel par l’accueil central du grand building.

Pendant que la cabine grimpe les étages, le chauffeur pose sur la tête de Thaïs MDE un masque, muni d’un ball-gag, qui lui couvre à nouveau les yeux et qu’il sangle très serré derrière la tête de l’esclave, ce qui accentue l’impression de malaise mélangé avec un degré d’excitation qui va s’accentuant. Il la fait sortir de l’ascenseur, fait quelques pas, franchi au moins deux portes qu’elle reconnait au bruit et oblige l’esclave à se mettre à quatre pattes en levrette, ajustant lui-même la position pour qu’elle garde bien la tête penchée vers le sol et les jambes écartées. Thaïs MDE apprécie la douceur et l’épaisseur de la moquette des lieux, mais elle se demande de plus en plus à quel type de réunion d’affaires elle a été conviée sur ordre du Maître Vénéré. La chienne-esclave a l’impression d’entendre les bruits des pas du chauffeur qui s’éloigne, mais il ne lui a pas dit un mot de plus en partant. Le silence devient lourd et pesant, il semble à Thaïs MDE qui a perdu à nouveau la notion du temps, qu’il s’éternise au-delà du possible car elle commence à avoir les jambes engourdies, les genoux douloureux et les paumes des mains qui lui font mal à force d’appuyer dessus. Elle se demande bien pourquoi le chauffeur lui avait dit en la faisant sortir de la voiture qu’elle était attendue au plus tôt, car visiblement personne ne l’attendait et personne ne s’occupe de sa présence. Elle se demande même si on ne l’a pas oublié dans un quelconque bureau. Et toujours ce silence assourdissant qui l’angoisse autant qu’il l’excite, car elle n’ose pas bouger d’un millimètre, tout au plus respirer fortement car son cœur bat à toute vitesse, se disant que les locaux sont munis de nombreuses caméras de surveillance et que le moindre de ses gestes doit être épié. Elle sait qu’elle devra déjà implorer Le Maître Vénéré pour avoir osé tâcher le siège en cuir de son véhicule de fonction espérant qu’il daignera la punir et lui pardonner, elle ne tient donc pas à accumuler les erreurs et préfère attendre encore et encore.

A un moment donné, très longtemps après (ce qui était calculé), Thaïs MDE sort de sa torpeur, elle croit entendre des bruits. Il lui semble que quelqu’un marche et respire autour d’elle. Elle finit par en être certaine lorsqu’elle sent une main qui se pose sur sa nuque et l’oblige à se courber pour mettre la tête au sol. Elle a sursauté de surprise mais par chance elle a su retenir les sons qui n’auraient pas manqué de lui valoir une punition supplémentaire. Mais aucun mot n’est prononcé et elle ne sait pas qui est entré dans la pièce. Elle voudrait au plus profond de son cœur que ce soit Le Maître Vénéré, mais rien ne lui permet de pouvoir L’identifier. Et d’un autre côté, elle pense que si c’était Lui, il n’aurait pas tardé à lui faire des remontrances pour sa mouille laissée dans la somptueuse voiture, d’autant plus qu’elle l’imagine plutôt occupé dans le cadre de ses pourparlers d’affaires. Thaïs MDE s’en veut de ne pouvoir s’arrêter de réfléchir, de penser, d’imaginer, de subodorer, de lancer plein de suppositions, au lieu de tout simplement lâcher prise et laisser faire, se laisser faire, juste obéir sans réfléchir à tous les ordres qu’elle recevra, ce à quoi de toute manière elle ne pourra s’opposer. Deux fessées lourdement appuyées la sorte de ses pensées. La peau des fesses lui chauffe rapidement et vu la force avec laquelle la main s’est abattue sur elle, elle reste persuadée qu’elle a gardé l’empreinte rouge des deux mains avec la marque des dix doigts. La main se glisse dans la raie des fesses et vient se frayer un chemin dans sa caverne humide qui est remplie de cyprine. Il en récupère au passage comme lubrifiant naturel et la ramène tout autour de la petite rondelle qui frémit au contact des doigts inquisiteurs et au passage des boules du plug qui est retiré.

Toujours pas un seul mot de prononcé, l’esclave ne peut donc songer à identifier la voix de celui qu’elle imagine comme étant un Homme vu la puissance des deux fessées qu’elle a reçu d’emblée comme « mise en bouche » pour la prévenir de son arrivée. Sans attendre, le Mâle phallique qui vient de sortir sa queue déjà bien gonflée et dure à souhait se glisse derrière la chienne-femelle en levrette, présente son gland contre son petit trou et force le passage, obligeant Thaïs MDE à serrer les dents le temps de la pénétration rendue moins douloureuse par le port du plug en métal et l’excitation qui a été savamment entretenue pendant de longues minutes d’attente. Par de longs va et vient bestiaux, « l’Homme » la laboure puissamment, pouvant maintenant s’enfoncer profondément dans le conduit étroit qui s’est dilaté à souhait. Le Maître (car c’est bien de Lui dont il s’agit, même s’IL a décidé de ne pas se laisser identifier) la possède pendant de longues minutes, prenant à pleine mains les deux hanches de la femelle pour accentuer encore plus ses coups de butoir saccadés. La chienne-femelle Thaïs MDE, de plus en plus en chaleur, a beaucoup de mal à retenir la montée du plaisir qui la submerge et elle craint d’atteindre un orgasme qui ne lui a pas été autorisée et que pourtant elle désire plus que tout avec cette sodomie qui la transporte dans un état d’extase avancée. Au bout de longues minutes de ce traitement, « l’Homme » (Monsieur Le Marquis d’Evans pour les lecteurs qui peuvent être quant à eux dans la confidence) éjacule dans son fondement avec plusieurs grands « ahhhhhh » de jouissance phallique. L’esclave Thaïs MDE à qui il lui semblait avoir reconnu à plusieurs reprises les gestes et attitudes du Maître Vénéré lorsqu’IL décidait de la baiser en levrette est étonnée de ne pas reconnaître la voix (volontairement transformée) de Celui qui l’encule, ce qui ajoute à sa confusion d’avoir pris autant de plaisirs charnels même si elle a dû retenir sa jouissance grâce à la subtile Queue d’un inconnu.

L’esclave à l’habitude de devoir nettoyer la Queue du Maître maculé de Sa sublime semence, mélangée avec la cyprine de la chienne-femelle et elle s’attend donc à ce que Celui qui vient de la sodomiser l’oblige à devoir le sucer avant de pouvoir se rhabiller en refermant son pantalon, ayant pu glisser dans le boxer un sexe propre … Mais rien ne se passe …. Et le silence s’installe, comme si « L’inconnu » après s’être vidé s’était éclipsé. Thaïs MDE est dans un état de confusion totale, ayant perdu tous ses repères, n’ayant plus qu’à attendre la suite des événements…
(A suivre…..)

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