Envies d'hommes (3) - Trip musclé

- Par l'auteur HDS BenjiX -
Récit érotique écrit par BenjiX [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Envies d'hommes (3) - Trip musclé Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-04-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Envies d'hommes (3) - Trip musclé
Il est temps de refaire le point. Je m’appelle Benji, j’ai 29 ans et je vis dans le sud-ouest de la France. J’ai découvert les plaisirs entre hommes tardivement, il y a cinq ans. Un an plus tard, j’ai rencontré Jean, un bel éleveur. Après une nuit plutôt torride, nous avons décidé de nous revoir régulièrement.

En cette fin juillet, cela faisait un bon mois que je voyais Jean au moins une ou deux fois par semaine. C’était samedi, et je ne travaillais pas. Lui non plus. Nous avons donc décidé de passer le weekend ensemble. Quand il sonne à ma porte en début d’après-midi, je bande à la simple pensée de son corps. Comme chaque fois je ne suis pas déçu : il porte simplement un short de rugby rouge, plutôt court, un débardeur blanc un peu trop petit et des lunettes de soleil noires, style sport. Des tongs et une casquette blanche terminent ce look touriste sportif très bandant. Moi-même je suis en mode décontracté : seulement un short de bain (sans rien dessous, il fait chaud…). Il m’embrasse tendrement en entrant et sourit en voyant et tâtant la grosse bosse de mon entrejambe.
Nous buvons un verre de coca sur la terrasse, en moitié allongés sur les transats. Il enlève son débardeur pour profiter du soleil. Nous discutons de tout et de rien : boulot, sorties, télé… Le soleil est au zénith et nos torses commencent à perler. Je remarque que Jean se caresse doucement le sexe tout en discutant.
« Tu es excité ?
- Pourquoi ?
- Tu te tripotes.
- C’est la chaleur, ça m’excite un peu de te voir tout luisant au soleil. Pas toi ?
- Ouai c’est vrai, j’aime bien aussi. J’ai toujours eu un faible pour les sportifs. Avec ton short et ton beau torse en sueur on dirait que tu viens de courir !
- C’est ton trip ?
- On peut dire ça. Et toi, tu as des trips, des fantasmes ? »Nous n’avions jamais parlé de nos fantasmes. Pour ma part, rien d’exceptionnel : comme beaucoup de gays, je suis attiré par un mec sportif, musclé, et pourquoi pas juste après l’effort, le corps encore chaud. Jean, lui, avait des envies plus précises. Il m’explique alors :« J’aime bien les trips musclés. Ça me fait bien bander de sentir la force d’un autre mec.
- Ah… Bein de toute manière t’es largement plus fort que moi.
- C’est pas le problème, peu importe qui est le plus fort, c’est l’effort et les muscles tendus qui me font bander. »Il me détaille alors les différents trips qui le font bander. Ça va simplement du bras de fer à la lutte en boxer ou à poil. Et même une version un peu plus violente : le combat d’abdos (chacun à son tour doit frapper les abdos de l’autre jusqu’à l’abandon d’un combattant). Jean s’aperçoit vite que ma bite est gonflée à bloc. Je n’avais jamais osé l’avouer, mais c’est tout à fait quelque chose qui m’attire.
« Ca te dit ? me demande-t-il alors.
- Je veux bien essayer. »
Il me prend la main et me conduit jusqu’à ma chambre. A sa demande, nous nous mettons tous les deux en boxer. Il aurait préféré des jockstraps, mais je n’en ai pas. Je suis alors les consignes de mon mec qui visiblement n’en est pas à son coup d’essai. En guise d’échauffement il me propose un petit bras de fer. Je sais que je vais me faire balayer, mais j’accepte avec plaisir. Nous nous couchons alors sur le ventre en travers du lit et commençons le duel. Il ne force pas trop pour me laisser croire que je peux le battre. Alors que je pousse de toutes mes forces, il arrive à maintenir un sourire en coin tout en écrasant le dos de ma main sur le matelas. « Tu as perdu, tu fais trente pompes. » m’ordonne-t-il. Je le regarde étonné, mais il fait signe de la tête. Je m’exécute alors, pendant qu’il se branle lentement en me regardant faire. Deuxième manche. Les pompes m’ont bien chauffé et je me sens plus fort. Il ne s’y attend pas et j’arrive à le battre très rapidement. A mon tour je lui demande une trentaine de pompes. Il en fait cinquante.
« Maintenant qu’on est chaud on passe à la suite. On se met tous les deux à genoux sur le lit. Celui qui plaque les deux épaules de l’autre sur le matelas a gagné et choisis un gage pour le perdant. » Sa proposition m’inquiète : il est plus fort que moi et certainement expérimenté. Je suis quasiment sûr de perdre. Pour m’encourager il me dit alors : « si tu te bas bien, tu vas kiffer même si tu perds. Mais si tu ne donnes pas tout, tu vas dérouiller. » Etrangement, cela m’excite énormément et j’accepte ce jeu que je ne peux gagner. Je lutte alors de toutes mes forces et Jean a du mal à prendre le dessus. Les positions sont aussi acrobatiques qu’excitantes. Il essaie de faire baisser ma garde en me branlant pendant que je me débats. Mais je tiens bon. Ne pouvant le battre par la force, je vais essayer de l’avoir sur l’endurance. Je suis à quatre pattes sur le lit et j’essaie de ne pas me faire retourner. Il profite alors de cette position pour se placer derrière moi et commence à appuyer sa queue sur mon trou. Elle y rentre presque quand il attrape mes deux poignets. Il tire mes bras et je glisse alors sur le ventre. Mon menton tape sur le matelas. Sans relâcher la pression de sa bite, il plie mon bras dans mon dos et je ne peux plus bouger. Chaque mouvement me fait mal. Je ne peux plus bouger mais il n’a pas encore gagné. Il doit encore me mettre sur le dos. Mais il a une autre idée. Sans lâcher mon bras, il passe devant moi et place sa grosse bite dure devant ma douche. Je serre les dents pour ne pas lui offrir ce plaisir, mais il tire alors sur mon bras. Un petit cri de douleur me fait ouvrir la bouche et il en profite pour y entrer sa queue toute entière. Je m’étouffe presque. Il ressort est frotte son sexe mouillé sur mon visage. Je ne l’avais jamais vu autant excité. Tous les muscles de son corps sont gonflés et durs comme du bois. Sa queue est énorme, avec de belles veines que je n’avais jamais remarquées. Bien que je sois dans une situation plutôt délicate, j’aime cette nouvelle expérience. J’aime lutter et j’aime le sort qu’il m’inflige. Mais je ne veux toujours pas perdre. Après avoir enfoncé quelques fois de plus sa queue au fond de ma gorge, il me lâche enfin. Je me redresse avec un peu de mal. Nous sommes face à face, à nouveau à genoux sur le lit. Il me regarde droit dans les yeux et lance « Je te laisse une autre chance. » Je me jette alors sur lui, espérant profiter une nouvelle fois d’un effet de surprise. Mais il ne bascule pas et je m’écrase contre son corps d’athlète. Encore raté. Il saisit l’occasion pour entourer mon cou avec son bras. J’ai suis à nouveau bloqué. J’ai son biceps gonflé juste devant ma bouche. Je l’embrasse et finalement lui fait un bon suçon. J’aurai au moins réussi à l’emmerder un peu. Il desserre alors légèrement son bras, juste assez pour que ma bouche arrive jusqu’à son pec. Je lui mords le téton. Pas trop fort, mais quand même… « Petit con ! Puisque tous les coups sont permis du va prendre cher quand tu auras perdu ». Quitte à me faire carrément défoncer, autant tenter un dernier coup bas. Il est toujours à genoux, avec ma tête dans ses bras. Mais j’ai les mains libres. J’en glisse une entre ses jambes et espère pouvoir lui titiller la rondelle. Mais avec l’élan et la sueur, je rentre d’un coup deux doigts entiers dans son trou. Il crie de douleur et d’excitation. Il en profite quelques secondes puis me pousse alors en arrière et je bascule sur le dos. Il se jette sur moi, ses mains sur mes pecs me plaquent contre le lit. Il a gagné. Pour marquer sa victoire, et pour se venger des coups bas que je lui ai fais, il coince ma tête entre ses mollets et « s’assoie » sur mon visage, tout en se branlant, m’obligeant à lui lécher la raie et termine par me mettre un bon coup de poing dans le ventre. Heureusement, j’ai de bons abdos et j’encaisse bien, ce qu’il semble apprécier.
Il se relève, je suis un peu KO mais lui est surexcité. Il bande toujours autant et ne veut pas en rester là. Je pense qu’il va me prendre comme une bête, ce sera mon gage. Mais il préfère pousser son trip jusqu’au bout. Il m’avait promis que je prendrai cher, et il déborde d’imagination. « J’ai envie de tester tes abdos, on va voir comment tu encaisses ! » Je tente de protester, mais il me rappelle simplement que j’ai perdu, et que je n’ai pas le choix. Je suis toujours excité, et bien que pas totalement confiant en mes muscles, j’aime bien l’idée. A sa demande, je me couche sur le lit. Il s’installe à genoux au-dessus de moi et commence à me donner des petits coups de poing sur les abdos. Puis il accélère le rythme tout en se branlant de plus en plus fort. Avec l’excitation, j’encaisse le sourire aux lèvres et la queue au garde à vous. « Fais pas le malin, on va voir à quel point tu es fort… » Il se relève, debout sur le lit au-dessus de moi, puis doucement il met un pied sur mon ventre. Il se branle de plus en plus fort. Il s’appuie de plus en plus pour finalement se retrouver debout sur mes abdos. J’ai du mal à respirer mais je tiens, je ne veux pas le décevoir. Il est beau sous cet angle, et très excitant : sur moi, les jambes légèrement fléchies, tous les muscles bandés, se branlant à fond. Je vois un énorme jet partir de sa queue, accompagné d’un véritable cri de plaisir. Il m’inonde de sperme qui tombe en pluie sur moi et sur les draps. Il descend et sans ménagement, me met sa queue dans la bouche et un doigt dans le cul. Un dernier jet tape le fond de ma gorge et je jouis à mon tour sans même me branler.
Ça reste l’expérience sexuelle la plus étrange que j’ai connu, et une des plus excitantes.

Je suis resté encore quelques semaines avec Jean, et même si nous jouions de temps en temps, nous n’avons jamais poussé le trip aussi loin. Puis la distance a eu raison de notre relation. Nous nous sommes séparés en septembre. Mais j’espérais bien trouver un autre compagnon de jeu, avec l’espoir de gagner cette fois. Quoique… perdre, c’est bien aussi…

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