Semaine 1er mai Lundi acte 1, tournant au bureau

- Par l'auteur HDS Helenclass -
Récit érotique écrit par Helenclass [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Semaine 1er mai Lundi acte 1, tournant au bureau Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-04-2015 dans la catégorie Plus on est
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Semaine 1er mai Lundi acte 1, tournant au bureau
Je fus réveillée par Pascal qui m’a apporté le petit déjeuner au lit. Je me demandais ce qui ma valait ce traitement de faveur. Je me disais qu’il avait envie de me baiser en solo. C’est ce qu’il a fait une fois que j’ai eu mangé. Il m’a fait très bien jouir en me visitant de toutes parts. Ensuite il m’a dit « habille toi nous allons faire un tour » Moi « où. Nous n’attendons pas les autres » Pascal « le temps qu’ils se réveillent, nous serons rentrés. Habille toi de façon classique et met un pull ou autre car il fait un peu frais» Je mettais une robe classique mi cuises, des bas, petits talons et un gilet. J’étais étonnée qu’il prenne soins autant de moi . Nous sommes partis tous les deux en ville. Une fois arrivés nous avons fait les boutiques, il m’a même acheté 2 maillots de bain et deux robes classiques, une blanche et une bleue en lin. Nous nous sommes installés à une terrasse pour prendre un café. Pascal « cela fait du bien d’être tous les deux tranquilles. Tu es de plus en plus belle » Moi « oui » je pensais quel baratineur. Il était plus que gentil et attentionné avec moi depuis le début des vacances. Il s’est montré très drôle et amusant. Je me détendais, j’étais bien.
Il devait être environ 11h00. Deux hommes sont arrivés et son venus à notre table en saluant Pascal et en faisant de même avec moi. Là j’ai senti Pascal changer. En quelques minutes après avoir échanger courtoisement les banalités d’usage, Pascal m’a expliqué que j’allais repartir avec les 2 hommes et qu’ils allaient m’emmener dans la société de transport où Nathalie était déjà allée. Que j’allais passer la matinée et déjeuner avec 5 cadres. A peine ces mots prononcés, Pascal se leva m’embrassa sur le front et s’en alla. Ils me dirent « nous retournons à l’entreprise « Je me levais avec eux. Ils étaient très courtois. Ils m’ouvraient la portière arrière d’une berline et nous allions en direction de la société. Une fois arrivé, nous nous sommes garés au fond du parking et sommes montés. Je me suis retrouvée dans une salle de réunion où 3 hommes m’attendaient. Le patron m’invita à m’assoir autour d’une table de réunion et me proposa un café. Nous échangeâmes un peu, je fus complimentée sur mon physique. Il alla jusqu’à me dire que Pascal leur avait beaucoup parlé de moi en très bien. Il vint s’assoir à coté de moi, en me tournant vers lui, me posa une main sur mes genoux afin de m’écarter les jambes. Ce fut le signal. Je sentis des mains sur ma poitrine, un homme commençait à m’embrasser dans le coup en baissant la fermeture éclair arrière de ma robe. Celui qui m’avait écarté les jambes me présenta son sexe à sucer. Je l’engloutis en m’appliquant. je pouvais entendre « messieurs c’est très bon, je sens que nous allons passer un bon moment » j’avais des main qui me parcouraient le corps. Le haut de ma robe était tombé, mon soutien gorge retiré, je me faisais ploter les seins qui étaient bien raides, je commençais à avoir le souffle qui s’accélérait surtout que le patron était en train de me manger le clitoris. Les commentaires « elle est bonne, elle suce comme une reine, c’est un bon début de semaine » « on a terminé la semaine avec sa copine » « si tous les lundis les réunions étaient de la sorte, je viendrais en chantant » Jacques, le patron, me pris par la main en m’invitant à me lever. Il me releva ma robe qui était roulée sur ma taille. J’étais nue en bas et talons devant 5 hommes, la queue bien dressée. Il me mit à plat ventre sur le coin de la table en disant « messieurs je passe le premier, profitez en sa bouche est libre». Il est entré en moi sans problème, tellement j’étais mouillée par l’envie et le léchage. Il a commencé par des mouvements lents et appuyés tout en accélérant le rythme progressivement, pendant ce temps les autres me passaient dans la bouche ; J’eu 2 orgasmes en 10 minutes sous les assauts du patron qui étaient de plus en plus forts.
Après le deuxième orgasme les commentaires commencèrent à s’entendre « c’est bon tu jouis, ça te fait du bien. Tu vas voir tu vas pouvoir t’éclater et on va t’éclater » Jacques, le patron me libéra en disant « elle est vraiment bien cette petite » Ils tournèrent autour de moi. J’eu de nombreux orgasmes. Les commentaires étaient devenus plus crus « tu jouis salope, t’aime ça te faire baiser ». Lorsque Jacques revint en moi il demanda à un autre « Daniel va me chercher le gel, il faut qu’on la visite complètement » Je le vis tout en continuant à sucer les autres, se diriger vers un meuble, ouvrir une porte et sortir une petite bouteille. Il était en moi, je sentis le gel couler sur mon cul et ses doigts entrer dedans pour me dilater si besoin était. Lorsqu’il est sorti de mon vagin et qu’il s’est présenté à l’entrée de mon cul , je lui ai dit « doucement doucement » accompagné de ma main derrière pour ralentir et limiter la pénétration. Il m’a pris le poignet afin de m’immobiliser le bras dans le dos en me disant « tu ne vas pas faire la sainte ni touche petite salope, avec tout ce que l’on a vu sur toi » et de rajouter « Mat allume le vidéo projecteur pour lui montrer que l’on sait tout » et s’adressant à moi « regarde tu vas te voir en pleine action ».
Une image apparait sur le mur celle du fond d’écran, je voyais qu’il cherchait le dossier et je vis mon prénom.
Mat « ça y est je l’ai » il clique dessus et j’ai l’horreur de constater qu’il y a beaucoup de fichier photos et vidéo.
Il ouvre le premier, une photo de moi en train de sucer une grosse queue noire. Jacques le patron qui était en train de me sodomiser dit « avec sa grosse bite tu lui dis aussi doucement sinon il va te déchirer » un autre fichier s’ouvre moi avec 5 ou 6 hommes, chez Didier dans la chambre du bas en triple pénétration. J’entendais « elle aime ça la bite et pas qu’un peu » ensuite un autre ou je venais de subir une double vaginale, j’avais la chatte complètement ouverte « on peut rentrer à deux la dedans » ensuite la même chose avec mon cul : jacques ouverte comme ça , tu ne va pas me dire doucement ou que je te fais mal » une autre où je subissais une double vaginale avec une sodomie « oh tu prends bien » Jacques « oui on va lui faire des double vaginale et anales c’est bien comme sa copine »en parlant de Nathalie. Il ouvre un fichier Vidéo, je suis au milieu de Harry, Sylvain, Patrick, Willy et Lionel, au début on peut voir Patrick me sodomiser et me défoncer ensuite me la mettre dans la chatte où se trouvais déjà Harry et Sylvain venir me sodomiser. Il avance le film et je vois Patrick venir avec Sylvain dans mon cul. J’entendais « elle a la santé la petite » surtout lorsqu’ils ont vu mon cul ouvert « oh lala qu’est ce que c’est bon un cul comme ça on doit pouvoir y entrer la main » et pour finir le filme avec le gode transparent où l’on peut voir l’intérieur de mon cul avec la cloison qui bouge sous les coups de queue et ensuite la double vaginale.
Là les commentaires « quelle salope, regarde son cul comme il est rouge à l’intérieur » Jacques le patron « tu es une vraie petite pute. Tu vois nous savons tout sur toi, alors ne fait pas la mijaurée avec nous ». J’en voulais à Pascal et de voir toutes ses photos m’avais un peu bloquée mais fortement excitée. Il me redressa, me retira ma robe.
J’étais en talons et bas sodomisée debout. Il s’assit sur une chaise en disant « maintenant on va passer la vitesse supérieure, on va la prendre en double.
« Allez Messieurs une dans la chatte et un autre dans la bouche, allez y elle ne demande que ça » Je fus visitée sans ménagement. Ils me prenaient par les cheveux et me pilonnaient la bouche en disant « ouvre ta gueule de pute, lorsque tu as une grosse bite de noir dedans tu es bien obligée de l’ouvrir, pendant que le patron me soulevait les fesses pour me besogner. Au bout de 3 ou 4 passages. Jacques, le patron dit « maintenant vous allez l’enculer chacun votre tour ensuite on ira sur le canapé » je fus mise à plat ventre sur le coin de la table et ils m’ont tous sodomiser les uns après les autres. Je les suçais en même temps. Ils disaient « quel cul , ma femme ne veut jamais et elle c’est son quotidien » un autre « avec ce qu’elle prend en taille ça rentre un vrai hall de gare » un autre «putain c’est le cas de le dire, enculer une chienne comme celle la tous les jours moi je veux bien, son mec doit se régaler » Lorsque je jouissais, ils encourageaient celui qui était en moi « vas y défonce la, elle en veut de la bite » Le patron dit « on va sur le canapé » Je fus empalé sur celui qui avait la plus grosse bite un certain Lucien qui était membré comme Didier voir un peu plus. Il me ceintura. Je fus investie bucalement de suite et j’entendis Jacques le patron dire « je vais lui en mettre une deuxième dans la chatte »il entra, j’étais prise en double vaginale. J’ai joui assez rapidement « Jacques « c’est bon petite pute tu jouis, ça te fait du bien » Je reçus 4 doubles vaginales de suite sans un instant pour respirer. Jacques qui dirigeait les opérations me pris par le bras, me retourna en me disant assied toi sur Lucien. J’enjambais Lucien qui me la présenta au niveau de mon cul. Elle entra. Il me leva les jambes pour mieux me pilonner en disant « je vais la défoncer et la faire jouir ». Il me besogna 5 bonnes minutes avant que l’orgasme arriva. Ensuite Jacques dit « j’y vais allonge toi » . Ma bouche fut prise immédiatement et lui entra dans mon vagin, j’eu un orgasme assez rapidement. Il se retira et força l’entrée de mon cul. Lorsqu’il entra « ouha qu’est ce que c’est bon, une double annale, regardez ce cul bien ouvert » il me tripotait le clitoris en même temps je rejouis rapidement, ce qui lui donna de l’énergie. Ils me défonçaient. Ils me passèrent tous dessus en doubles annales. Jacques toujours lui dit « on va se mettre au sol pour lui en mettre trois dans son arrière train, 2 dans la chatte et une dans le cul » Je fus empalé vaginalement par Lucien, Jacques me fit une double vaginale « ça rentre de mieux en mieux, ça glisse c’est bon une petite pute comme elle » ensuite il me sodomisa en disant « allez y les mecs en cadence dans la bouche et la chatte on va la finir » Je reçus les assauts successifs, jusqu’au moment où il y en a eu un qui allait jouir .
Il dit « vite laissez moi sa bouche je veux l’arroser » Il se dégagea de mon vagin et est venu dans ma bouche jusqu’au fon pour se vider en me pinçant le nez. J’ai cru que j’allais étouffer. Il déchargea une bonne quantité de sperme, je dus déglutir plusieurs fois pour tout avaler. Ils se succédèrent tous dans ma bouche pour se vider et Jacques en profiter pour m’arroser le visage en disant « c’est bon salope et oui messieurs j’ai le privilège d’être le patron » Il y avait des toilettes à coté. L’un d’eux a été me chercher du papier essuie main pour je m’essuie le visage.
Jacques « pour motiver les vendeurs en réunion le lundi matin, je suis sur que les résultats augmenteraient naturellement. Qu’es ce que vous en pensez » un autre « c’est sur ils auraient du cœur à l’ouvrage et cela optimiserait les résultats ».
Jacques me pris par le bras et me conduisit vers les toilettes pour que je me réajuste. Lorsque je sortis, ils étaient tous rhabillés.
Jacques me dit « Helen, vous avez été superbe, nous avons commandé à déjeuner » Les plateaux sont arrivées rapidement. Il rajoute « il faut que vous preniez des forces » Moi « oui parce que on remet ça après déjeuner » Jacques « je ne sais pas, vous verrez avec Pascal ».
Il téléphona « oui c’est Jacques, vous pouvez passer vers 13h30 » « 13h30 à tout à l’heure ». Nous avons déjeuné, dans la bonne humeur, ils ont tous été gentils et prévenants avec moi, le vouvoiement était revenu.
A 13h30 Jacques me dit « Helen vous êtes attendue » Ils m’ont tous fait la bise pour me dire au revoir. Je voyais bien que certains auraient bien recommencé. Je suis descendue avec Jacques, par un escalier dérobé. Avant d’ouvrir la porte il m’embrassa et me mis une tape sur le cul en me disant « vous revenez quand vous voulez ce sera avec grand plaisir ».

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