LE MARIN

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : LE MARIN Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-04-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE MARIN
Ma crevaison
Contrairement à l’habitude, ce n’est pas Christian le marin qui va rapporter ce qu’il nous est arrivé mais moi Véronique femme mariée vertueuse depuis plus de vingt ans date de mon mariage avec Paul, officier supérieur sur un sous-marin atomique basé à l’île longue à quelques kilomètres de Brest.
Pour des facilités de vie familiale et je n’ai pas peur de le dire et surtout de confort familial, j’ai souhaité et même imposé de vivre dans les meilleurs quartiers de Brest.
Nous avons loué un appartement de cinq pièces dans l’un des plus beaux immeubles de la ville dans le quartier résidentiel de la ville à quelques pas de la mairie de la ville.
Mon mari comme souvent est parti pour soixante dix jours en mer avec son sous-marin sans que moi sa femme sache où il se trouve.
J’ai l’habitude de cette situation depuis que je l’ai épousé, les trois quarts de ces dix dernières années, je ne l’ai pas vu.
Comme toutes les femmes, j’aurais tendance à être jalouse mais depuis qu’il a postulé pour les atomiques, je sais que sauf panne, il ne touche jamais terre.
Pourquoi, pour la première fois à quelques jours de mes trente ans, cette séparation pour la première fois depuis quelques jours j’ai des chaleurs qui montent de mon intimité au point de me caresser jusqu’à me faire jouir alors que j’ai arrêté ces pratiques depuis que Paul m’a pris mon hymen ?
Mes deux grossesses m’ayant donné un garçon et une fille choix du roi ont été une accélération de mon bonheur et je les ai élevé depuis dans le respect de leur père qui par son travail et hélas son absence nous donne une vie suave.
Est-ce que mes enfants partis pendant ses vacances d’été à Bordeaux chez mes parents et mes beaux-parents étant originaire comme Paul de cette ville ont commencé à me peser ?
Où n’est-ce pas les confidences de Sylvie, mon amie rencontrée lors d’une soirée de l’amirauté un soir de gala organisé pour le changement de commandement des amiraux responsables de la place maritime de Brest qui ont entraîné ce qui va m’arriver.
J’ai dîné chez Sylvie qui comme moi est célibataire pour deux mois son commandant de mari étant parti pour deux mois avec son aviso pour Rio et New York.
Elle a mis une bouteille de vin de Provence sur la table et comme je conduis, je n’ai bu qu’un demi-verre car nous avions pris un whisky en apéritif.
Un pour moi, deux pour elle.
À la fin du repas Sylvie ayant la descente facile a vidé la bouteille et me propose de prendre un verre de Marie Brizard.
Nous passons sur le canapé. Sylvie a du mal à passer de la table à la banquette.
Elle perd l’équilibre et m’atterrit dans les bras. C’est la première fois que je sens des seins de femmes sur les miens et un grand trouble monte en moi.
La bouche de mon amie est à deux doigts de la mienne mais un moment de lucidité me fait reculer me voyant mal me gouiner avec ma copine.
Pourtant si je mets la main sur ma chatte, je suis sûr que je ruisselle d’envie.
Éducation quand tu nous tiens, au couvant des oiseaux ou j’ai été élevé, il nous fallait dormir les bras hors des draps à la mode ancienne.
Avec une certaine difficulté, elle me fait une confidence de pocharde qui me laisse pantoise.

• Véronique, tu sais que je trompe mon mari ?

Je ne sais que répondre ne souhaitant pas qu’elle continue ses confidences.

• Tu m’écoutes, il est cocu et j’aime cela.
• Sylvie, tu as trop bu, tu ne sais plus ce que tu dis.
• Non, je sais très bien, c’est mon voisin et si tu veux, je te le prête.
• Arrête, je vais partir si tu continues.
• Et comment je vais continuer, mon voisin est un grand noir qui a un sexe aussi gros que celui d’un taureau ?
Il me défonce littéralement, Julien ne fera jamais le poids et j’envisage de vivre avec lui et de devenir sa belle chienne comme il me dit.
Sylvie, tu es ma chienne et j’aime te mettre en levrette, tu es dans la même position que la leur.

En ayant assez entendu, je profite de ce que ses yeux se ferment tous seuls pour l’allonger, mettre un cousin sous sa tête et un plaid sur elle.
Sans faire de bruit, je quitte son appartement pour descendre par l’ascenseur.
Il est en train de monter et s’arrête sur le palier de mon amie.
Un grand noir en sort et se dirige vers la porte opposée à celle de Sylvie.
J’ai une envie qui monte de mon bas-ventre chamboulé par ce qu’elle m’a dit.
J’ai, une fraction de seconde envie de lui dire, « c’est vrai que vous avez une queue énorme »Mais là encore mon éducation m’impose de me taire.
Je retrouve ma voiture, la nuit est tombée lorsque je quitte la rue Anatole France, pour m’engager sur le pont de recouvrance afin de rejoindre mon domicile.
J’arrive à la moitié du pont quand je sens des vibrations dans ma direction.
Je m’arrête et lorsque je descends, je constate que mon pneu arrière droit est à plat.
Catastrophe, je ne sais même pas où est ma roue de secours et surtout comment défaire ma roue.

• Je peux vous aider madame ?

Un sauveur, je ne l’ai pas entendu arriver, il est arrivé dans mon dos.

• J’ai crevé et je ne sais pas comment faire.

La nuit de ce mois de juillet est très chaude après la belle journée que nous avons eue.

• Mettez-vous au volant, je vais pousser la voiture jusqu’à la sortie du pont pour éviter que vous ayez un accident.
• Mon moteur tourne, je peux avancer.
• Non, avec le moteur vous risqué de couper votre pneu et il serait fichu.

Je m’installe et il pousse la voiture qui pèse son poids. Dès qu’il se sent en sécurité, il me demande de descendre pour ne pas déséquilibrer la voiture lorsqu’il la lèvera avec le cric.
La roue crevée est enlevée lorsqu’il fait un faux mouvement et que son bachi tombe au sol. Je vois fréquemment des pompons en ville mais comme mon mari est officier, je n’ai jamais eu envie de la poser sur ma tête.
Un pompon, c’est différent et je le pose sur ma tête. Dommage que je ne peux pas faire de photo cela m’aurait fait un souvenir.
La roue crevée dans le coffre avec les outils, le jeune marin veut me quitter alors qu’il a, les mains salent et pire, sa tenue blanche est maculé de particule des freins de ma voiture.

• Comment vous appelez-vous ?
• Christian madame.
• Appelez-moi Véronique, Vous l’avez bien mérité, vous m’avez sorti d’une situation difficile. Monter, je vais vous amener chez moi pour vous remettre en tenue correcte et réglementaire comme dit mon mari.
• Il est marin.
• Oui officier sur un sous-marin nucléaire et en mer jusqu’en septembre.
• La solitude ne vous paise pas ?
• J’ai l’habitude depuis dix ans que je suis mariée.

Pendant que j’arrive chez moi, je constate que j’ai toujours le bachi sur ma tête.

• Je ne vous ai pas rendu votre bachi.
• C’est bien, vous marquez un point, vous connaissez le nom de mon couvre-chef.
• C’est Paul, mon mari qui m’a dit son nom dans les premiers jours où je suis arrivé à Brest.
• Vous veniez d’où.
• De Bordeaux, j’ai eu du mal à m’adapter surtout l’hiver avec le froid et mon mari absent pour me réchauffer.

En même temps que, je dis ces derniers mots, je voie la portée de ce que je dis et comment Christian va l’interpréter ?
C’est un gars bien car il n’a aucune réponse grivoise qui m’aurait fortement dessus.
Arrivé à la maison, je prends conscience que si des gens nous voient entrés avec ce jeune marin, ils vont me prendre pour une salope qui se tape des gamins alors que ma pensée était entièrement pure lorsque je lui ai proposé de venir se remettre en tenue normale à la maison.
Assez, contente de ne rencontrer personne. Il est vrai qu’il est vingt trois heures lorsque nous fermons la porte derrière nous.

• Venez-vous laver les mains dans la salle de bains.

Il me suit et en quelques minutes ses mains sont propres.

• Je vais nettoyer votre tenue.

Je prends un gant de toilette que je mouille et rapidement la tunique blanche est plus noire qu’avant. Je n’ai fait qu’étaler la poussière de frein plutôt que l’enlever.
Christian un peu gêné semble mal à l’aise.
Moi une fraction de seconde mes démons sont revenu lorsque j’ai passé la patte mouillée sur son torse.
Je n’ai jamais senti une poitrine si musclée. Il est vrai qu’à part celle de Paul, c’est seulement la deuxième que je tâte un homme.

• Enlevez votre tunique que je la lave ainsi que votre pantalon qui est aussi sale surtout que vous avez mis les genoux au sol.

Il enlève sa tunique qu’il me donne et je vois qu’il a un léger mouvement d’arrêt au moment d’enlever son pantalon.
Mouvement de courte durée car il ouvre son pont avant des pantalons de marin et le fait glisser au sol.
Je comprends son mouvement de recul car il n’a ni slip ni boxer et il présente à mes yeux une virilité presque deux fois plus grosse que celle de Paul.
Dommage que je n’ai pas suivi l’amant de Sylvie chez lui, j’aurais pu comparer, laquelle des deux en avait vu une la plus grosse.
Juste voir, car si la tension dans mon sexe, commence à me faire envie de me jeter sur mon sauveur, une fois encore mon éducation me fait reculer de le prendre en bouche pour qu’il me défonce la chatte et plus si affinités.
Je lui passe une serviette qu’il noue autour de sa virilité et je peux démarrer la machine pour qu’il soit tout propre.

• Voulez-vous boire une bière ?
• Je ne bois jamais d’alcool.

Ce n’est pas possible, moi qui ai toujours entendu dire par mon mari que la moitié des marins étaient des alcooliques, je suis tombé sur la deuxième moitié avec Christian.
Je le fais entrer dans notre salle à manger et il s’approche de la console de disque futuriste que mon cher et tendre m’a offert pour mon vingt cinquième anniversaires.

• Vous pouvez la démarrer, j’aimerais écouter ce disque.

Je démarre la console et place le disque. Au moment de le poser, je voie la folie d’avoir accepté. Pascal Danel, celui qui à chaque fois que mon mari est seul avec moi et qu’il souhaite me faire sentir qu’il a envie de moi, met ce disque.
J’ai tous ses disques. Pourvu que ce ne soit pas…Trop tard « la plage aux romantiques » le slow qui ne me fait pas mouiller mais tremper ma petite culotte.

• Vous dansez ?

Situation incroyable, je viens me lover contre le torse de ce garçon qui n’ait protégé que par une serviette de bain.
Ce qui me fait craquer, c’est qu’il danse divinement, il me serre sans me serrer, ses pieds pourtant nus vous juste là où il faut pour que je sente sa virilité sans pour autant me sentir agresser.
Trois minutes de charme. Trois minutes et je ne sais plus que je suis chez moi dans ma salle, que la bouche qui prend la mienne au moment de l’arrêt du morceau hélas remplacé par un autre slow n’est pas celle de mon mari mais celle de ce demi-inconnu que j’ai fait la bêtise d’amener chez moi.
D’autres voyants leur erreur ne prendrait pas cet homme par le cou comme je le fais.
D’autres ne se frotteraient pas sur la virilité qui est maintenant bien dure et que je ne peux ignorer qu’elle me désire.
D’autres ne laisseraient pas descendre leur main pour arracher la serviette et empoigner la verge qui se tend vers moi.
D’autres ne s’agenouilleraient pas devant lui pour admirer de plus près ce que je désire de plus en plus et que, pourtant je devrais rejeter.
D’autres ne la dirigeraient pas dans sa bouche pour la faire durcir encore plus.

• Déshabille-moi et prends-moi. Je ne peux plus de t’attendre.
• Tu ne regretteras pas.

Cette phrase alors que j’aurais pu encore me reprendre me fait craquer définitivement. Quatre vingt dix pourcents des hommes auraient foncé au fond de mon corps, lui me demandent encore si je suis d’accord de le recevoir.
Je le sors de ma bouche et j’arrache carrément mes vêtements. Je les arrache car j’entends le tissu se fendre et dès que mon slip a quitté mon intimité, je le reprends par le cou lui jettent mes jambes autour de ses reins et sans effort apparent il me fait retomber sur son pieu.
Il est entré si fortement et si loin en moi que j’ai une fraction de seconde l’impression de subir une deuxième défloraison mais contrairement à la première fois, mon sexe réagit immédiatement et aussitôt le plaisir monte en moi.
Je dois reconnaître avec une grande honte que les frissons qui partent de mon intimité pour remonter tout le long de ma colonne vertébrale se terminant par un orgasme jamais ressenti à ce jour me font tellement perdre les pédales que je ne me rends même pas compte que je viens de passer dans le camp des putes qui trompent leur mari absent.
Lorsqu’il me pose les fesses sur ma table de salle à manger, je commence à prendre conscience de ce fait mais pour montrer que je m’en fiche, je le laisse continuer à me labourer donnant même de grands coups de reins en avant pour qu’il me pénètre plus loin.
Et que dire lorsque ensemble nous jouissons dans une apothéose que je n’ai jamais atteinte avant.
Ce qu’il y a de bizarre, c’est d’avoir des pensés entre avant – après.
Avant avec mes seules connaissances de mes rapports très simples, voire simplistes avec Paul et après où je peux comparer avec Christian qui je le sens n’a pas fini de m’étonner.
Il me libère en prenant ma bouche et c’est nue que nous partons dans la cuisine pour que nous prenions un grand verre d’eau.
Je l’entraîne dans la chambre d’amie où encore une fois gentleman, il se couche me prends dans ses bras et c’est comme cela que nous finissons la nuit.
Au matin, je ne le sens pas ce lever et quitter mon appartement.
Je suis malheureuse d’un côté qu’il soit parti comme un voleur mais soulagé d’arrêter là une aventure qui aurait pu m’amener bien des soucis.

Je dors jusqu’à onze heures lorsque l’on sonne à ma porte, d’un coup mon sang est en ébullition, il a compris que je ne souhaitais pas le quitter si vite n’ayant pas encore exploré avec lui tous les jeux de l’amour.
Je passe un peignoir et je vais ouvrir prête à lui sauter au cou.

• Salut, je venais m’excuser d’avoir pris une biture hier, j’espère que je n’ai pas dit trop de conneries.
• Non, tu m’as parlé de ton amant un grand noir.
• Je sais, je sors de son lit et il m’a dit qu’il t’avait croisé sur le palier. Il t’a trouvé très bandante comme il m’a dit.

Ce n’est pas parce que je ne suis plus vierge comme femme mariée que je dois sauter sur toutes les bites fussent-elles grosses. Autant allé directement dans les bars louches de la ville où les marins trouvent des filles qui sont tombées si basses qu’elles n’ont plus le respect de leur corps.
• Viens prendre un café, tu m’as réveillé.
• Tu as fait des folies de ton corps pour avoir les yeux au milieu de la figure.

Je ne lui réponds pas et je me dirige directement vers ma cafetière ou j’appuie sur le bouton de mise en marche.
Sophie s’assoit sur une chaise et lorsque je me retourne, elle lit un papier déchiré de mon bloc pour les courses.

• Eh bien, ma salope, tu caches bien ton jeu.

Pourquoi me traite elle de salope ?
Qui y a-t-il sur ce papier.
Je lui arrache presque des mains.
« Véronique, tu dormais trop bien, je n’ai pas voulu, te réveiller. Je dois être à bord pour l’appel de huit heures, merci pour la soirée de rêve que tu m’as faite passé.
J’ai récupéré mes affaires encore mouillées, nous avons tellement joui ensemble et nous avons oublié de les mettre dans le sèche-linge.
Si tu le désir, je serais chez toi vers dix-huit heures. Tu es marié et je comprendrai que tu ne souhaites pas me recevoir.
Ce serait dommage, je n’ai pas encore exploré tout ton corps qui sent le plaisir à des kilomètres à la ronde. J’espère que tu ouvriras ta porte. Christian »
Le ciel me tombe sur la tête obligée de m’expliquer.
Je lui raconte mon départ de chez elle, ma crevaison et ma recontre avec Christian, ce jeune marin qui m’a aidé et que j’ai conduit ici sans penser à mal, je lui parle du Bachi sur ma tête. Elle m’interrompt.

• Malheur à toi, tu ne connais pas la légende. Pompon rouge obligation de pompon noir, roux blond, voire auburn.
• Non.
• En mettant son bachi, une femme en touchant le pompon rouge sera baisée dans les heures qui suivent par ce marin. Tu n’as pas échappé à la règle.
• Je vais te faire une confidence, je ne regrette pas de l’avoir fait.
• Je peux venir ce soir, je le mettrai sur la tête, je sens qu’il t’a éclaté.
• Non, il est sûr que je vais l’attendre avec impatience, il a raison, je n’ai pas encore goutté à tous.
• Il t’a sodomisée ?
• Tu crois que je devrais, tu sais, il est comme ton voisin, il est bien monté.
• Demande-lui deux trois jours en marchant un peu bizarrement mais après tu en redemanderas.

Elle est parti et j’ai attendu avec impatience son coup de sonnette.
Dans les jours qui ont suivi, il m’a tout fait et j’ai été enchanté, mon corps l’attendait surtout le lendemain de son jour de service.
Pour être plus libre, les week-ends, nous prenions la voiture et allions vers Saint gille croix de vie à l’hôtel et jouer dans les vagues comme des enfants que nous étions.

Hélas, tout à une fin, Christian est partie le quinze août muté sur un bateau à Toulon.
Mes enfants sont rentrés et mon mari est revenu avant de repartir me laissant insatisfaite car la comparaison avec mon amant tourne toujours en sa défaveur.
Il a essayé au début à lutter avec mon matelot sans le savoir. Il ne fera jamais le poidsComme elle l’avait dit Sophie est allé habiter au début avec son sexe noir pour le quitter et s’installer près de chez moi.
Depuis le mois de novembre où mon mari est reparti, une ou deux fois par mois une baby-sitter vient chez moi.
Si vous entrez dans certains bars à marins, vous rencontrerez peut-être deux femmes avec perruques lunettes et robes suggestives qui passeront un moment avec vous si vous avez un pompon sur la tête.
Chaque fois elles ne sont pas déçues, leurs amants d’un moment apportent à leur corps que ceux qu’elles ont où avaient épousés ne save pas leur procurer.
La perruque brune avec des lunettes d’écaille que je suppute être moi, accepte même d’emmener dans la chambre du petit hôtel discret où nous nous préparons deux pompons en même temps.
Je vais faire un aveu, faire l’amour avec deux hommes surtout au moment où les deux me prennent par la chatte et par l’anus m’apportent des moments fantastiques.
Sentir ces deux verges en moi qui se touchent à travers mes chaires intimes m’apporte la plénitude que toute femme est en droit d’espérer.

Souvent l’après-midi si vous allez chez moi ou chez Sylvie avant que mes enfants ne reviennent, vous nous trouverez en train de nous lécher les chattes et même nous faire des feuilles de rose et atteindre la plénitude de nos corps comme deux belles gouines que nous sommes fiers d’être devenus.

Tout cela à cause d’une crevaison…

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