LA BONNE DU CURE (2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LA BONNE DU CURE (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-04-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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LA BONNE DU CURE (2)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

À la demande d’un de mes lecteurs voici le volet deux de « La bonne du curé »

Une sonnerie résonne dans ma tête alors que la seule chose que je souhaite c’est de dormir.
Allo, mon corps ne répond plus aux sollicitations, monsieur, vous voulez monter avec moi pour me baiser, revenez demain. Aujourd’hui, je dors.
Un gant de toilette imbibé d’eau passe sur mon visage et me remet provisoirement les idées en place.
Heureusement que les centaines de bites qui m’enfilaient les unes après les autres étaient un rêve. Même si dans la réalité, il faut que je l’admette, je me suis prostitué en recevant 13 bites dans ma première soirée alors que j’étais vierge en arrivant à Gand.
Si je n’en avais pas le souvenir, tous les billets dispersés sur le lit par Léa sont là pour me le rappeler.

• Justine, tu habilles, le car part dans une demi-heure, Amsterdam nous attend !

Oui, Amsterdam, les tulipes, les moulins et les canaux. J’avais oublié !
Pendant que Léa ramasse les billets, je vais sous la douche les jambes écartées mon entrejambe me rappelant douloureusement la nuit que je viens de passer.
Le temps d’avaler un café et je suis à l’heure pour monter dans le car.
J’ai remis mes vêtements de bonne du curé ne voulant pas choquer mes grenouilles de bénitiers.

Dans le car, nous sommes assises côte à côte. Léa retrouve ses parents qui s’inquiètent de savoir si elle a passé une bonne nuit. Sans se démonter, elle leur dit que je l’ai invité à dîner et que nous nous sommes couchées.
Le car est loin d’être plein et nous sommes relativement isolées à l’arrière. Toutes ces vieilles rombières ont peur du mal de cœur et s’agglutinent vers l’avant.

Je suis endormie quand je sens une main remonter ma cuisse, Léa veut me caresser la fente.
Je la repousse non pas que ces caresses ne soient pas agréables, mais j’ai vraiment de petites douleurs.
Aux arrêts très fréquents, car ces dames commencent à avoir des problèmes de vessie, Léa, repère une pharmacie et dès que nous repartons.

• Enlève ta culotte et ouvre tes cuisses, je vais te mettre de la pommade adoucissante.

Je me tortille et je l’enlève. Léa la récupère et ouvre la petite fenêtre à glissière au-dessus de nous.

• Tu n’as plus besoin de ça, à Amsterdam nous irons dans une boutique refaire ta garde-robe.
• Tu es folle, je ne vais pas rester les fesses à l’air toute la journée. Ma valise est tout au fond de la soute.

Elle passe sa main sur l’un de mes seins.

• Et tu as encore ce machin-là, tes seins n’en ont pas besoin. Enlève-le !

Je suis vraiment à la merci de la simple voix de Léa. Elle m’ordonne, j’exécute.
C’est encore le cas ce coup-ci, Je m’avance, je fais passer une bretelle puis l’autre et je me dégrafe.
Je l’ai à peine dans mes mains qu’elle le prend et lui fait suivre le même chemin que ma petite culotte.
Elle prend sur ses doigts de la crème vaginale et retourne sous ma jupe.
Jusqu'à l’hôtel, elle me passe régulièrement ses doigts. Je la surprends même à me pénétrer plus profondément que les zones sensibles.
Les petites démangeaisons font place à un début de plaisirs.
D’un coup, mon corps se cabre et des ondes irradient tout mon bas-ventre.
Je suis contente, toutes ces verges qui m’ont pris hier, n’ont pas détruit mon système vaginal.
Je m’abandonne lorsque le car s’arrête. Nous sommes arrivées pour deux nuits ici.
La responsable, nous signal que le car démarrera dans deux heures pour faire le tour des canaux et de la ville.
Demain, départ 10 heures pour la visite des moulins et des champs de tulipes.

Nous nous installons dans notre chambre et dès que nous avons rangé nos affaires, elle m’entraîne vers la ville.
Nous entrons dans une boutique où la serveuse la connaît.

• Vous êtes revenue.

Cette conversation a lieu en anglais, je saisis quelques mots.

• Pour quelques jours, mon amie vient voir vos nouveautés.

La jeune femme me regarde et doit se demander ce qu’elle peut me proposer vu mon look actuel.
Léa est là pour l’orienter, rapidement j’essaye des vêtements que je peux mettre dans la journée mais complètement différent de mon style … du curé.

Les deux autres me font plus peur, ils sont plus près de ce qu’elle m’a prêté hier.
Un short rouge vif avec gilet de couleur identique. Le gilet a du mal à contenir mes seins, mais les mets bien en valeur.
Une mini-robe vert pâle accompagnée d’un chemisier et une veste en synthétique.
Pour cette mini, elle me fait prendre des strings car elle est tellement courte que, lorsque je me baisse mon intimité, apparaît.
Nous sommes en avril et si la température est agréable, le temps peut être encore frais. Elle accepte que je m’achète un imperméable noir.
Nous allons dans un magasin de chaussures et là encore elle me choisit ce que je dois porter.

• Viens, je dois rencontrer quelqu’un !

Nous passons à l’hôtel déposer nos achats car elle a craqué sur deux modèles styles putes.
Je mets mes nouveaux effets. Elle m’évite les deux tenues osées pour un ensemble me donnant une allure plus jeune de petite-fille espiègle.
L’imper me donne une allure respectable que j’apprécie.
Nous repartons vers les canaux et d’un coup devant moi, des maisons de style hollandais très étroites avec trois vitrines éclairées.
Dans chacune d’elles des filles pas plus vêtues que moi si je passais le short ou la mini que je viens d’acheter se trémousse devant des hommes, qui déambulent devant elles.
À un moment, l’un d’eux cède aux sollicitations de la fille. Elle ouvre la vitre et je les vois passer derrière un rideau. La lumière s’éteint.

• Viens, il faut que je demande si le patron est là.

Qu’est-ce qu’elle a encore en tête ?
Que va-t-elle vouloir que je fasse ?
Je commence à trop la connaître.
Nous passons par une petite porte et nous nous trouvons à l’arrière des vitrines.
Dans une pièce un homme est là qui compte des billets.
Lui aussi connaît Léa et est content de la voir.
Il discute en anglais. À un moment, il semble me jauger. Je ne parle pas assez anglais pour comprendre ce qu’ils disent.
L’homme semble hésité et donne un morceau de papier sur lequel il a écrit quelque chose. Elle l’embrasse et nous quittons les lieux.

Jusqu’au soir, nous visitons les quartiers chauds. Dans de nombreuses vitrines les filles ont la même attitude aguicheuse avec les hommes qui les observent.

À 18 heures, nous passons à l’hôtel et Léa veut que je mette la mini avec le gilet et des chaussures assez hautes. Elle me maquille. Lorsque je me regarde dans la glace de la salle de bains, elle a tellement noirci mes yeux et mis du rouge à lèvres d’un rouge très prononcé que je ne me reconnais pas. Elle a mis l’une des tenues provocantes et se maquille comme elle la fait pour moi. Nous allons manger et à 19 heures, Léa m’entraîne vers une maison où nous sommes passé devant dans l’après-midi.

• Léa où va-t-on ?
• Ne t’inquiète pas, suis-moi !

C’est bien le moment de m’inquiéter, nous passons déjà la porte.
Sur un modèle identique, dans une pièce, l’homme qui nous reçoit parle un peu français.

Je vous attendais, prenez la deux et la trois. Je les éclaire.

• Justine, tu sais ce qu’il te reste à faire, si tu es efficace et que tu te tortilles assez les fesses, on va se faire un maximum d’argent.

C’est reparti, elle veut que je vende mes fesses comme hier au soir.
Le traitement qu’elle a pratiqué sur mon sexe toute la journée fait effet, je n’ai plus de douleur.

• Combien prend-on par client ?
• L’homme que tu as vu fera payer l’homme que tu auras appâté et à la fin de la nuit, il nous donnera notre part. Ils sont très réglos.

Je passe derrière le rideau et au début très intimidé, je commence à me trémousser au rythme de la musique diffusée dans les quatre vitrines de la maison.
Je vois des hommes mettre leurs doigts à la bouche. Ils doivent me siffler.
Après quelques minutes, leur regard change et certains s’intéresse à moi.
Les vitrines ne sont pas jeunes et je vois un client entré chez Léa.
La garce, elle a accroché son premier client.
Oui, moi aussi l’un d’eux me demande d’entrer. La vitrine ouverte, nous passons à l’arrière, l’homme qui nous gère éteint et discute avec le client.

Enlève ton string et allonge-toi.
Sans aucun préliminaire, le client se couche sur moi et me met sa verge dans la vulve.
J’ai un peu mal au début mais mon corps est bien fait et des sécrétions viennent lubrifier mon minet.
Au moment où il se vide, j’étais à deux doigts de prendre du plaisir.
Un coin lavabo me permet de me passer un coup d’eau ainsi que chez le client, qui quitte la maison par une porte arrière.

• Cela va Justine.

C’est Léa qui vient aux nouvelles après avoir terminé avec un client.

• Oui, je commence à m’amuser !

Pourquoi lui ai-je dit que je m’amusais !
Elle me prostitue et je suis à deux doigts d’aller la remercier.
Je reprends ma place et rapidement mon compteur explose. J’ai reçu assez de coup de bite dans la chatte et le derrière que j’arrête de compter. Sans parler de ceux qui n’ont voulu qu’une fellation.
Alors que j’ai entendu Léa ouvrir à un client, un homme s’approche et semble évaluer la marchandise.
En deux secondes, je le reconnais, c’est le père de Léa. J’ai beau me cacher au maximum, il semble que je l’intéresse. Il me fait signe d’ouvrir.
Je me souviens que, lorsque sa fille m’a maquillé, j’ai eu du mal à me reconnaître.
Comment peut-il reconnaître la jeune femme habillée comme je le suis tous les jours dans cette fille vêtue de vêtements provocants !
Si Léa finie rapidement, son père peut-il ne pas la reconnaître ?
J’ouvre et je le laisse passer, le tôlier le reçoit et comme il lui parle en français, il me regarde.
J’ai la chance d’être derrière lui, je lui fais signe de ne pas me parler. Il doit comprendre qu’il y a problème car il encaisse sans rien dire.
Je m’allonge et je l’attends en moi. Lorsqu’il m’a pénétré, sa position l’empêche de voir mon visage.
Je tortille des fesses pour l’exciter et le faire se vider rapidement. Deux minutes après il a fini. Je me tourne pour prendre une serviette que je passe sur mon visage comme si j’avais trop chaud.
J’arrive à ce qu’il passe par-derrière sans qu’il repasse devant Léa car elle a rallumé la lumière.
La soirée se termine, je suis épuisé mais quoique j’ai reçu plus de clients qu’hier, ma chatte doit s’habituer car après avoir reçu notre argent, je monte toute seule dans le taxi qui nous dépose devant l’hôtel.
Rapidement nous refermons nos chambres et nous prenons un bain réparateur.

Dois-je dire à la petite que son père est entré et a baisée avec moi ?
Comment réagira-t-elle si elle l’apprend ?
Je décide de garder cela pour moi.
Léa met l’argent que nous avons partagé 50 – 50. Hier grâce aux mille euros de mon pucelage, j’avais gagné plus qu’elle, ce soir, elle m’a battu.
Déduit des vêtements, ils nous restent plus de 8000 €.

Notre voyage devient vraiment intéressant. Fatiguant mais intéressant. J’étais vraiment vierge hier au soir. À la distance de bite reçue, je le demande si je n’ai pas rêvé.

Le lendemain, nous décidons de donner le change, nous avons loupé la visite de la ville hier, nous mettons le réveil pour participer à la visite des moulins et des champs de tulipes.
Un peu crevé, nous sommes à l’heure au départ.

Les parents de Léa sont là. Je passe à côté de son père qui ne semble pas me reconnaître.
Je voudrais bien savoir quel motif il a donné à sa femme pour venir aux vitrines se vider les testicules.
Le voyage se passe bien, j’arrive à me reposer un peu. Léa a apporté la crème et a tour de rôle nous nous caressons les chattes sans qu’aucune des bigotes ne s’en aperçoive.

Lors de la visite d’un moulin alors que Léa et sa mère se sont isolées pour un besoin naturel, j’arrive à m’approcher de son père.

• Vous avez passé une bonne soirée monsieur.
• Appelle-moi Alain, je t’appellerai Justine !
• Aucun problème, c’est normal, nous avons beaucoup de points communs Léa et moi.
• Lesquelles ?
• Histoires de filles, vous ne pourriez pas comprendre. Vous êtes allé voir les filles dans les vitrines en ville hier au soir.
• Nous y sommes passé avec le car hier après-midi, je suis marié, ses filles ne m’intéressent pas !
• Comment se fait-il que je t’ai vu entrer dans l’une des vitrines hier soir ! Nous avions décidé de nous promener avec Léa et je t’ai vu entré !
• Ma fille m’a vue.
• Non, je t’ai protégé en me plaçant devant elle le temps que tu rentres. Elle n’a pas pu te voir.
• Merci !
• Elle valait le coup.
• Qui ?
• La pute que tu as baisée !
• Une jolie fille, une vraie pro, sa chatte était rasée alors qu’Audrey refuse de raser la sienne.
• Elle a su y faire.
• Je n’ai jamais eu de fille qui tortillait sa chatte comme celle-là. J’y retournerai ce soir.
• Alain, tu t’arrêtes, ce soir tu restes à l’hôtel et tu te fais pardonner d’avoir trompé ta femme avec une prostituée. Si tu sors, demain avant que le car parte, je préviens ta femme et ta fille de tes incartades. Tu me le jure.
• Oui, Justine, je te le promets.
• Je te fais confiance. Si tu respectes ta promesse, un jour prochain, je te ferais une surprise !

Hier lorsque nous sommes parties des vitrines, Léa a demandé au patron si nous pouvions revenir ce soir. J’avais envie de lui dire non mais comme d’habitude elle décide, j’exécute. Le patron a donné son accord, nous avons été de bonnes gagneuses.
En agissant comme je viens de le faire, je viens d’éviter bien des ennuis à Léa.
Si son père était revenu ce soir, aurions-nous eu autant de chances que cette nuit.
Léa et sa mère nous rejoignent et nous continuons la visite.

Ce qui l’y a de bien en Hollande, c’est qu’un champ de tulipes succède à un autre champ de tulipes. Seule la couleur change.
Vers 17 heures nous sommes contentes de retrouver nos chambres.
Comme la veille, nous nous habillons et grâce à nos impers, nous sortons dîner sans éveiller les soupçons !
Comme la veille, nous prenons place dans les vitrines dès la tombée de la nuit !
Je ne sais pas ce qu’ont les mâles ce soir, ils semblent tous en rut.
Est-ce la lune, qui leur met le feu aux parties intimes ?
Tout ce qui est sûr, alors que je rallume la lumière de ma vitrine les trois personnes qui passent devant moi, l’une me regardant avec insistance me glace le sang.
Trois des bigotes dont la responsable du groupe son venu s’encanailler et voir les vitrines.
Elle passe devant Léa qui doit-elle aussi les voir car je viens de voir sa lumière elle aussi se rallumer.
Coup de chance, intrigué par une ressemblance improbable, Berthe la responsable fait trois pas en arrière pour confirmer qu’elle a mal vu.
Ouf, elles continuent leur chemin.

Quelques passes et il est l’heure de renter.
Léa me confirme qu’elle a vu les trois rombières passer devant elle mais à aucun moment elles ne l’ont regardé.
Nous prenons toutes les précautions possibles et rapidement nous sommes douchées et couchées.
Au matin, le bilan de nos trois jours de travail se monte à plus de 12 000 €.
Nos vacances ont été prolifiques. Ils ne nous restent plus qu’à faire le voyage du retour.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Super génial cette suite
bravo
Rudy



Texte coquin : LA BONNE DU CURE (2)
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